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paralysie du sommeil

 

 



 

 

 

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http://www.techniquesdemeditation.com/5-techniques-pour-mieux-gerer-la-paralysie-du-sommeil/

 

5 techniques pour mieux gérer la paralysie du sommeil

 

 

J’ai récemment connu une nouvelle paralysie du sommeil et me suis demandé que faire la prochaine fois que cela arrivera.

Pour ceux qui ignore ce que c’est, voici ce qu’en dit Wikipédia :

La paralysie du sommeil est un trouble du sommeil, ou plus précisément une parasomnie selon la Classification internationale des troubles du sommeil, qui se caractérise par le fait que le sujet, sur le point de s’endormir (paralysie hypnagogique) ou de s’éveiller (paralysie hypnopompique) mais tout à fait conscient, se trouve dans l’incapacité d’effectuer tout mouvement volontaire. À cette sensation d’immobilisation sont couramment associées des hallucinations auditives, kinesthésiques ou visuelles ainsi que des impressions d’oppression, de suffocation, de présence maléfique et de mort imminente. Le sujet, dans l’impossibilité d’articuler les sons et de prévenir l’entourage, éprouve le plus souvent un sentiment d’anxiété et de frayeur.

Pour ceux à qui cela n’est jamais arrivé, sachez que ce phénomène touche entre 25 et 60 % de la population au moins une fois dans leur vie !

Comment faire pour éviter une paralysie du sommeil et comment la vivre au mieux lorsqu’elle se produit ? Voici le résultat de mes recherches.

 

Paralysie du sommeil

Première approche : la vivre paisiblement

La paralysie du sommeil n’est pas obligatoirement un phénomène effrayant. Il semblerait que l’aspect terrifiant des hallucinations, tel que certaines personnes l’éprouvent, dépend en grande partie de leur état d’esprit : le fait de se sentir immobilisé provoque la panique et la panique induit le caractère cauchemardeux des hallucinations. En faisant disparaître la peur qui accompagne le phénomène, on fait aussi disparaître les expériences désagréables. Un conseil est donc de maîtriser ses émotions et, en particulier, d’éviter de lutter et de se débattre, réactions qui accroissent l’angoisse et intensifient les aspects désagréables de l’expérience. Il est aussi possible de modifier ses sentiments en évoquant des émotions positives.

Deuxième approche : tenter de se réveiller complètement

Certaines techniques permettent de provoquer rapidement un réveil complet. L’une consiste à se concentrer sur sa respiration et en prendre le contrôle, en la ramenant à un rythme régulier et en pratiquant des respirations profondes. Tousser volontairement conduit au même résultat.

L’atonie musculaire ne touche complètement que les muscles posturaux ; de nombreux petits muscles du corps ne sont pas affectés, ou moins. Aussi remuer un doigt ou un orteil, crisper et décrisper régulièrement le poing, grimacer en contractant les muscles du visage, ou encore remuer la langue dans la bouche, bouger les yeux çà et là ou loucher sont des méthodes connues pour mettre fin au trouble

Troisième approche : demander de l’aide à votre partenaire

Sachant qu’un simple contact extérieur suffit pour revenir à un état normal, il est souhaitable de mettre au courant son partenaire de lit et de lui demander d’intervenir sitôt qu’à certains indices (gémissements, respiration haletante) il estime que se produit une crise.

Quatrième approche : rendre les hallucinations agréables

Il faut aussi savoir qu’il est possible d’orienter volontairement les hallucinations afin de leur donner un caractère agréable et les transformer en expériences subjectivement positives, voire parfois vécues comme spirituelles. On peut entre autres visualiser une situation en accord avec les sensations proprioceptives (par exemple profiter de l’impression de flottement pour s’imaginer flotter sur un lac).

Cinquième approche : la transformer en rêve lucide (ma préférée !)

Il est aussi faisable, depuis l’état de paralysie du sommeil, d’entrer consciemment dans un rêve lucide (un rêve où l’on se sait rêver et où s’offre donc la possibilité d’agir et de modifier le contenu onirique avec plus de liberté), ce qui désamorce généralement l’aspect effrayant de l’expérience. Les méthodes consistent, toujours après s’être convaincu du caractère onirique et inoffensif des ressentis, à accepter images et sensations telles que la pression vers le bas, le flottement, les impressions de sortie du corps, à se laisser aller et à les accompagner mentalement ou bien même à susciter et accentuer ces perceptions, en particulier la rotation sur soi-même.

Alternativement, l’état de paralysie du sommeil est également idéal pour débuter une projection astrale. Plus d’informations sur le voyage astral peuvent s’obtenir via ce livre.

Grâce à ces cinq techniques pour mieux gérer la paralysie du sommeil, j’espère que vous aurez désormais l’esprit plus tranquille la prochaine (ou première !) fois que cela arrivera. Je suis en tout cas rassuré à propos de ce phénomène. J’avais instinctivement utilisé la deuxième approche la dernière fois que cela m’est arrivé et vais tenter de la vivre différemment (première, quatrième ou cinquième approche) la prochaine fois !

Avez-vous déjà connu une paralysie du sommeil ? Comment l’avez-vous vécu ?



25/05/2017
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