article, blog etc...
la corde d'argent
voici un site super intéressant, avec de nombreux articles entre autres celui-ci :
3. La corde d’argent :
J’ai parlé, plus haut, de la corde d’argent. Nous venons de voir que celle-ci fait partie des douze constantes (réduites ici à cinq) dégagées par Jean Prieur. Les personnes expérimentant une décorporation, spontanée ou dans le cadre d’une NDE, ne signalent pas, pour la plupart, la présence de la corde d’argent. C’est ce constat qui a fait écrire à Ian Wilson qu’une « corde d’argent » entre le « corps spirituel » et le corps physique « est un aspect régulièrement rapporté par les faux médiums spiritualistes depuis au moins un siècle, mais n’a pas d’équivalent dans l’ensemble des témoignages de quasi-mort »... Or, rien n’autorise à qualifier de « faux médiums spiritualistes » les personnes ayant témoigné de l’existence de la corde d’argent, car de nombreuses sources (témoignages de certains « décorporés », etc.), que je ne détaille pas ici, convergent remarquablement pour attester l’existence de ce lien entre les corps physique et spirituel. Il faut évidemment se demander pourquoi la majorité des personnes expérimentant la décorporation ne perçoivent pas cette corde d’argent. Robert Monroe, par exemple, n’a que très rarement perçu ce lien. Mais il a pu se rendre compte de l’existence de celui-ci en cherchant à déterminer sa réalité ou non... Ce sujet est notamment développé dans : “Le processus de la transition et les premières phases de l’après-vie” (en deux parties).
Ian Wilson a prétendu qu’aucun « sujet crédible de quasi-mort » (NDE) n’a mentionné la corde d’argent. Or, dans une note se trouvant en fin de volume, il mentionne l’ouvrage de Peter et Elizabeth Fenwick (Londres, 1995), dans lequel sont répertoriés des cas de personnes ayant aperçu un tel cordon lors d’une NDE ! (3)
Notons, au passage, que la corde d’argent est mentionnée... dans la Bible ! Voici la citation :
« L’homme s’en va vers sa maison d’éternité ! Et les pleureurs tournent déjà dans la rue ; avant que le fil d’argent lâche, que la lampe d’or se brise, que la jarre se casse à la fontaine, que la poulie se rompe au puits. » (Ecclésiaste, XII, 6) (4)
Il convient
de noter
que
Wilfried
Chettéoui
a, dans un
livre paru
en 1983,
publié des
photographies prises au chevet d’une mourante. Sur ces documents exceptionnels, on voit la « corde d’argent » reliant le corps physique à la tête, au cœur et au plexus.(5)
Ces photos sont reproduites dans l’une des deux parties de : “Le processus de la transition et les premières phases de l’après-vie”.(Même rubrique.)
Evoquons, enfin, la mythologie grecque. On connaît le mythe des trois Parques, dans lequel la vie est symbolisée par un fil. Clotho le file, Lachésis le tisse, et Atropos le coupe quand l’heure de la mort a sonné... (6) La vie, effectivement, tient toujours... à un fil.
http://www.mondenouveau.fr/la-decorporation-fausses-decorporations-et-vraies-sorties-hors-du-corps/
désolée les photos ont été supprimées ?
Il est lié à lui par ce que l'on appelle la corde d'argent. Cette corde a quatre ramifications : la première est liée à un point du cerveau, la deuxième est liée au cœur, la troisième au plexus solaire, et la quatrième au foie. »
j'ai pris cette photo étrange dans ma chambre, ma tête se trouve à droite, je suis allongée sous la couette
ceux qui me connaissent savent que je pratique de nombreuses expériences d'où ce blog
http://lefildargent.over-blog.com/2015/04/le-veritable-fil-d-argent-c-est-quoi.html
Certains pensent que c'est de ce lien dont il est question dans l'Ecclésiaste/ Kohelet (écrit par le Roi Salomon), lorsqu'il met en garde les hommes de revenir vers leur Créateur tant qu'il en est encore temps,
12.6 - (N'attends pas) que se rompe la corde d'argent,
que se brise la lampe d'or,
que le seau soit mis en pièce près de la fontaine,
et que la poulie fracassée roule dans la citerne;
que la poussière retourne à la poussière, redevenant ce qu'elle était,
et que l'esprit remonte à D.ieu qui l'a donné.
Vanités des vanités, disait Kohelet, tout est vanité!
La corde d'argent - le fil d'argent - désignerait aussi le canal spirituel qui relie l'esprit de l'homme à l'Essence Universelle de toute âme.
Ce serait donc le lien invisible qui rattacherait le corps physique à un "corps spirituel", un peu comme le cordon ombilical rattache le fœtus au placenta
« Selon mes observations, ce n'est pas réellement une corde mais une substance fibreuse filiforme ressemblant au fil d'une toile d'araignée. La corde d'argent semble servir de lien entre le corps physique et le premier corps d'énergie intérieur corps éthérique que possèdent toutes les formes de vie. ».
Les occultistes appellent cordon d'argent ou corde d'argent un lien subtil qui rattacherait le corps physique à un corps invisible (appelé « corps éthérique » ou parfois « corps astral »), un peu comme le cordon ombilical rattache le fœtus au placenta. Ce cordon serait lui-même invisible... sauf à des médiums, voyants, rescapés de la mort. Ce serait en raison de sa nature luminescente, voire fluorescente électrique, qu'il est comparé à un éclat argenté et nommé assez communément « cordon d'argent ».
Francesco de Biasi en dit ceci :
« Ce que nous appelons une corde d'argent... est un véritable cordon ombilical d'une couleur lumineuse très proche de celle de [le corps éthérique |l'éthérique ] qui relie le corps physique au corps psychique... Elle est généralement d'une couleur argent lumineuse et ressemble parfois à une sorte de tornade d'énergie d'un diamètre sensiblement identique sur toute sa longueur... La corde d'argent est extensible à l'infini et empêche que nous soyons coupés de notre enveloppe corporelle. Il faut bien se souvenir que ce cordon ne se tranche qu'au moment de la mort. Cela ne peut donc vous arriver lors d'une sortie volontaire ou non en astral « le voyage astral » ».
Le cordon d'argent lierait les deux parties du corps matériel : le corps physique (ou corps grossier) et le corps éthérique (ou double vital), et non pas le corps astral avec le corps physique. C'est du moins l'affirmation de Omraam Mikhaël Aïvanhov :
« C’est donc grâce au corps éthérique que le corps physique possède la vie et la sensibilité. Il est lié à lui par ce que l’on appelle la corde d’argent. Cette corde a quatre ramifications : la première est liée à un point du cerveau, la deuxième est liée au cœur, la troisième au plexus solaire, et la quatrième au foie » 3.
://p8.storage.canalblog.com/89/65/1193778/130452912.pdf
extrait
TEST EMPATHIE : QUEL EMPATHE ÊTES-VOUS ?
https://mon.astrocenter.fr/voyance/mag/quel-empathe-etes-vous
Test empathie : quel empathe êtes-vous ?
Un empathe est une personne hypersensible qui comprend, ressent voir absorbe, les émotions des personnes qui l'entourent. Mais le don d’empathie, ou l’hyper empathie, est bien plus profonde que ça. Il existe en fait 11 types d’empathes à travers le monde. Quel type d’empathe êtes-vous ? On vous répond.
Si vous faites partie de ces personnes qui peuvent pleurer devant le journal télévisé, ou qui se sentent mal pour leurs collègues ou amis, vous êtes sans doute empathe. L’empathie est la faculté de se mettre à la place des autres et de percevoir ce qu’ils ressentent.
11 types d’empathes : lequel êtes-vous ?
Il existe 11 types d’empathes, nous vous les présentons, afin que vous déterminiez lequel vous êtes. Pour mieux vous connaître, faites le test !
1. L’empathe émotionnellement réceptif
Ces empathes captent et ressentent les émotions des autres
2. L’empathe physiquement réceptif
Ici, il ne s’agit plus d’émotions, de type d’empathe ressent les mêmes douleurs ou sensations physiques que son entourage.
3. L’empathe très conscient
Ce type d’empathe à la capacité de percevoir la vraie personnalité des individus. Leur intuition est très forte.
4. L’empathe de géomancie
Les empathes géomantiques aspirent les énergies de la terre et du sol. Parfois, ils peuvent même ressentir si une catastrophe naturelle est imminente.
5. L’empathe fanna
Ils peuvent sentir, entendre et interagir avec les animaux.
6. L’empathe flora
Les empathes floras peuvent communiquer avec les plantes, les arbres, les plantes et la végétation dans son ensemble.
7. L’empathe médium
Les empathes médiums arrivent à sentir, à voir ou à entendre les esprits. Ceux qui errent entre deux mondes.
8. L’empathe psychométrique
Les empathes psychométriques ont la capacité de recevoir de l’énergie et des informations provenant d’objets inanimés comme les bijoux, les photos, etc.
9. L’empathe télépathique
Les empathes télépathiques peuvent lire les pensées inexprimées des autres.
10. L’empathe cognitif
Les empathes cognitifs peuvent ressentir une situation ou un événement avant qu’il n’arrive, par le biais de rêves avec de grandes sensations émotionnelles ou physiques. IIs sont incapables de prédire l’avenir, mais ont une grande capacité d’écoute de leur instinct.
11.L’empathe Heyoka
L’Heyoka est le type d’empathe le plus puissant. Terme Amérindien, les Heyokas sont des miroirs émotionnels vivants pour ceux qui les entourent. Ils révèlent les lacunes et les faiblesses. Ils reflètent les défauts et les points forts de chacun des individus en les mettant à nu.
https://mon.astrocenter.fr/voyance/mag/quel-empathe-etes-vous
Gérard de Nerval et ses rêves (Aurélia)
voici des extraits de ses voyages astraux
https://fr.wikisource.org/wiki/Aurélia/Texte_entier
GERARD DE NERVAL
AURELIA
Cette nuit-là, je fis un rêve qui me confirma dans ma pensée. — J’errais dans un vaste édifice composé de plusieurs salles, dont les unes étaient consacrées à l’étude, d’autres à la conversation ou aux discussions philosophiques. Je m’arrêtai avec intérêt dans une des premières, où je crus reconnaître mes anciens maîtres et mes anciens condisciples. Les leçons continuaient sur les auteurs grecs et latins, avec ce bourdonnement monotone qui semble une prière à la déesse Mnémosyne. — Je passai dans une autre salle, où avaient lieu des conférences philosophiques. J’y pris part quelque temps, puis j’en sortis pour chercher ma chambre dans une sorte d’hôtellerie aux escaliers immenses, pleins de voyageurs affairés.
Je me perdis plusieurs fois dans les longs corridors, et, en traversant une des galeries centrales, je fus frappé d’un spectacle étrange. Un être d’une grandeur démesurée — homme ou femme, je ne sais, — voltigeait péniblement au-dessus de l’espace et semblait se débattre parmi des nuages épais. Manquant d’haleine et de force, il tomba enfin au milieu de la cour obscure, accrochant et froissant ses ailes le long des toits et des balustres. Je pus le contempler un instant. Il était coloré de teintes vermeilles, et ses ailes brillaient de mille reflets changeants. Vêtu d’une robe longue à plis antiques, il ressemblait à l’Ange de la Mélancolie d’Albrecht Dürer. — Je ne pus m’empêcher de pousser des cris d’effroi, qui me réveillèrent en sursaut.
J’entrai dans une vaste salle où beaucoup de personnes étaient réunies. Partout je retrouvais des figures connues. Les traits des parents morts que j’avais pleurés se trouvaient reproduits dans d’autres qui, vêtus de costumes plus anciens, me faisaient le même accueil paternel. Ils paraissaient s’être assemblés pour un banquet de famille. Un de ces parents vint à moi et m’embrassa tendrement. Il portait un costume ancien dont les couleurs semblaient pâlies, et sa figure souriante, sous ses cheveux poudrés, avait quelque ressemblance avec la mienne. Il me semblait plus précisément vivant que les autres, et pour ainsi dire en rapport plus volontaire avec mon esprit. — C’était mon oncle. Il me fit placer près de lui, et une sorte de communication s’établit entre nous ; car je ne puis dire que j’entendisse sa voix ; seulement, à mesure que ma pensée se portait sur un point, l’explication m’en devenait claire aussitôt, et les images se précisaient devant mes yeux comme des peintures animées.
— Cela est donc vrai ! disais-je avec ravissement, nous sommes immortels et nous conservons ici les images du monde que nous avons habité. Quel bonheur de songer que tout ce que nous avons aimé existera toujours autour de nous !… J’étais bien fatigué de la vie !
Tout changeait de forme autour de moi. L’esprit avec qui je m’entretenais n’avait plus le même aspect. C’était un jeune homme qui désormais recevait plutôt de moi les idées qu’il ne me les communiquait… Étais-je allé trop loin dans ces hauteurs qui donnent le vertige ? Il me sembla comprendre que ces questions étaient obscures ou dangereuses, même pour les esprits du monde que je percevais alors… Peut-être aussi un pouvoir supérieur m’interdisait-il ces recherches. Je me vis errant dans les rues d’une cité très populeuse et inconnue. Je remarquai qu’elle était bossuée de collines et dominée par un mont tout couvert d’habitations. À travers le peuple de cette capitale, je distinguais certains hommes qui paraissaient appartenir à une nation particulière ; leur air vif, résolu, l’accent énergique de leurs traits, me faisaient songer aux races indépendantes et guerrières des pays de montagnes ou de certaines îles peu fréquentées par les étrangers ; toutefois c’est au milieu d’une grande ville et d’une population mélangée et banale qu’ils savaient maintenir ainsi leur individualité farouche. Qu’étaient donc ces hommes ? Mon guide me fit gravir des rues escarpées et bruyantes où retentissaient les bruits divers de l’industrie. Nous montâmes encore par de longues séries d’escaliers, au-delà desquels la vue se découvrit. Çà et là, des terrasses revêtues de treillages, des jardinets ménagés sur quelques espaces aplatis, des toits, des pavillons légèrement construits, peints et sculptés avec une capricieuse patience : des perspectives reliées par de longues traînées de verdures grimpantes séduisaient l’œil et plaisaient à l’esprit comme l’aspect d’une oasis délicieuse, d’une solitude ignorée au-dessus du tumulte et de ces bruits d’en bas, qui là n’étaient plus que murmure. On a souvent parlé de nations proscrites, vivant dans l’ombre des nécropoles et des catacombes ; c’était ici le contraire sans doute. Une race heureuse s’était créé cette retraite aimée des oiseaux, des fleurs, de l’air pur et de la clarté. — Ce sont, me dit mon guide, les anciens habitants de cette montagne qui domine la ville où nous sommes en ce moment. Longtemps ils ont vécu simples de mœurs, aimants et justes, conservant les vertus naturelles des premiers jours du monde. Le peuple environnant les honorait et se modelait sur eux.
Du point où j’étais alors, je descendis, suivant mon guide, dans une de ces hautes habitations dont les toits réunis présentaient cet aspect étrange. Il me semblait que mes pieds s’enfonçaient dans les couches successives des édifices de différents âges. Ces fantômes de constructions en découvraient toujours d’autres où se distinguait le goût particulier de chaque siècle, et cela me représentait l’aspect des fouilles que l’on fait dans les cités antiques, si ce n’est que c’était aéré, vivant, traversé des mille jeux de la lumière. Je me trouvai enfin dans une vaste chambre où je vis un vieillard travaillant devant une table à je ne sais quel ouvrage d’industrie. — Au moment où je franchissais la porte, un homme vêtu de blanc, dont je distinguais mal la figure, me menaça d’une arme qu’il tenait à la main ; mais celui qui m’accompagnait lui fit signe de s’éloigner. Il semblait qu’on eût voulu m’empêcher de pénétrer dans le mystère de ces retraites. Sans rien demander à mon guide, je compris par intuition que ces hauteurs et en même temps ces profondeurs étaient la retraite des habitants primitifs de la montagne. Bravant toujours le flot envahissant des accumulations de races nouvelles, ils vivaient là, simples de mœurs, aimants et justes, adroits, fermes et ingénieux, — et pacifiquement vainqueurs des masses aveugles qui avaient tant de fois envahi leur héritage. Eh quoi ! ni corrompus, ni détruits, ni esclaves ; purs, quoique ayant vaincu l’ignorance ; conservant dans l’aisance les vertus de la pauvreté. — Un enfant s’amusait à terre avec des cristaux, des coquillages et des pierres gravées, faisant sans doute un jeu d’une étude. Une femme âgée, mais belle encore, s’occupait du soin du ménage. En ce moment, plusieurs jeunes gens entrèrent avec bruit, comme revenant de leurs travaux. Je m’étonnais de les voir tous vêtus de blanc ; mais il paraît que c’était une illusion de ma vue ; pour la rendre sensible, mon guide se mit à dessiner leur costume qu’il teignit de couleurs vives, me faisant comprendre qu’ils étaient ainsi en réalité. La blancheur qui m’étonnait provenait peut-être d’un éclat particulier, d’un jeu de lumière où se confondaient les teintes ordinaires du prisme. Je sortis de la chambre et je me vis sur une terrasse disposée en parterre. Là se promenaient et jouaient des jeunes filles et des enfants. Leurs vêtements me paraissaient blancs comme les autres, mais ils étaient agrémentés par des broderies de couleur rose. Ces personnes étaient si belles, leurs traits si gracieux, et l’éclat de leur âme transparaissait si vivement à travers leurs formes délicates, qu’elles inspiraient toutes une sorte d’amour sans préférence et sans désir, résumant tous les enivrements des passions vagues de la jeunesse.
Je ne puis rendre le sentiment que j’éprouvai de ces êtres charmants qui m’étaient chers sans que je les connusse. C’était comme une famille primitive et céleste, dont les yeux souriants cherchaient les miens avec une douce compassion. Je me mis à pleurer à chaudes larmes, comme au souvenir d’un paradis perdu. Là, je sentis amèrement que j’étais un passant dans ce monde à la fois étranger et chéri, et je frémis à la pensée que je devais retourner dans la vie. En vain, femmes et enfants se pressaient autour de moi pour me retenir. Déjà leurs formes ravissantes se fondaient en vapeurs confuses ; ces beaux visages pâlissaient, et ces traits accentués, ces yeux étincelants se perdaient dans une ombre où luisait encore le dernier éclair du sourire…
Telle fut cette vision, ou tels furent du moins les détails principaux dont j’ai gardé le souvenir. L’état cataleptique où je m’étais trouvé pendant plusieurs jours me fut expliqué scientifiquement, et les récits de ceux qui m’avaient vu ainsi me causaient une sorte d’irritation quand je voyais qu’on attribuait à l’aberration d’esprit les mouvements ou les paroles coïncidant avec les diverses phases de ce qui constituait pour moi une série d’événements logiques. J’aimais davantage ceux de mes amis qui, par une patiente complaisance ou par suite d’idées analogues aux miennes, me faisaient faire de longs récits des choses que j’avais vues en esprit. L’un d’eux me dit en pleurant : « N’est-ce pas que c’est vrai qu’il y a un Dieu ? — Oui ! » lui dis-je avec enthousiasme.
Et nous nous embrassâmes comme deux frères de cette patrie mystique que j’avais entrevue. — Quel bonheur je trouvai d’abord dans cette conviction ! Ainsi ce doute éternel de l’immortalité de l’âme qui affecte les meilleurs esprits se trouvait résolu pour moi. Plus de mort, plus de tristesse, plus d’inquiétude. Ceux que j’aimais, parents, amis, me donnaient des signes certains de leur existence éternelle, et je n’étais plus séparé d’eux que par les heures du jour. J’attendais celles de la nuit dans une douce mélancolie.
vous pouvez retrouver la suite sur le lien en haut de la page
Les passeurs d'Ames
https://latelierdastree.blogspot.fr/2017/11/bonjour-bonsoir-tous-aujourdhui-je.html?spref=fb
blog intéressant de Sophie avec une vidéo
Les passeurs d'âmes
le passeur d'Ames
Un passeur d'âme est une personne qui aide les âmes errantes à rejoindre l'au-delà. L'au-delà n'est pas ailleurs, il est au-delà de la conscience terrestre.
L'âme de l'homme est une conscience, sa conscience astrale, sa conscience avant son incarnation dans un corps physique, sur Terre.
Mais cette conscience n'est pas faite pour la vie dans le corps, alors il va se construire, au début de sa vie, une autre conscience, sa conscience terrestre, et sa conscience astrale va se contenter d'être alors son subconscient, sauf s'il travaille à l'intégrer dans son conscient.
Cette nouvelle conscience, est constituée de trois corps spirituels :
- le corps éthérique, l'énergie du corps, par lequel passe les sens physiques.
- le corps émotionnel qui sera le siège des émotions liées à la vie dans le corps, comme la peur de l'abîmer par exemple.
- le corps mental qui contiendra les habitudes de comportement et des connaissances apprises.
Une âme est errante quand elle a conservé sa conscience terrestre après la mort de son corps, et cela arrive pour plusieurs raisons :
- L'ignorance. C'est fréquent, l'âme ne sait pas ce qu'elle doit faire, où aller, qu'il suffit de franchir le tunnel (qui semble n'être rien d'autre que la sortie de sa conscience terrestre).
- La peur de l'inconnu, la peur du tunnel, la peur du jugement.
- L'habitude de comportement, l'âme continue à vivre comme avant la mort de son corps, sur son lieu de vie habituel.
- L'âme est prisonnière de ce qu'elle s'apprêtait à faire, elle se demande comment le réaliser, elle tourne en rond de ne pouvoir le faire.
- L'âme est prisonnière de l'éducation qu'elle a reçue, donc elle croit qu'elle n'a pas le droit, ou ne peut aller au paradis, pour différentes raisons :
- son comportement passé.
- son apparence suite à une maladie, une malformation, un accident.
- L'âme souhaite rester près de ses proches, et ignore qu'elle peut le faire en étant au paradis, que l'au-delà n'est pas ailleurs, mais au-delà de la conscience terrestre.
- L'âme est prisonnière de sa souffrance, de ses émotions.
L'action du passeur d'âme est très variable, elle se contente parfois d'être une simple remarque, mais consiste parfois en un véritable combat, une longue psychanalyse. Il faut parfois faire preuve d'astuce, d'écoute, d'empathie, etc... Bref, ce n'est pas toujours simple.
L'architecture de l'âme :
Le fait de ne pas voir, mais ressentir les âmes, d'avoir beaucoup travaillé dans ce domaine, semble m'avoir permis de percevoir des choses que je n'ai jamais lu dans aucune littérature.
Donc, selon mon expérience, mon analyse, ma compréhension :
Une âme libre n'est pas localisée, elle est à la fois partout et nul part, elle est le Tout.
Seule sa manifestation dans l'Univers a une localisation, mais il est possible à une âme libre d'être localisée à plusieurs endroits.
Le Tout est un point sans dimension (par définition, un point est infiniment petit), mais dans le néant. Le néant n'ayant pas de dimension, le Tout est donc autant infiniment petit que infiniment grand.
Tout ce qui n'est pas ce point est illusion, mais cette illusion n'en a pas moins une architecture, des règles.
Ce point apparaît toujours dans la manifestation d'une âme, à condition de pouvoir le percevoir :
(Dessin de Barbara Ann Brennan, comme les suivants).
Le rayonnement est déjà une illusion, et le fait d'avoir tous ce point rayonnant en nous en est une autre, nous ne sommes en réalité qu'un.
Qu'un qui aurait choisi de se manifester sous différentes personnalités, mais qu'un tout de même.
Ce point rayonne dans notre corps céleste :
C'est le centre de notre âme, notre conscience astrale. Ce corps est aussi appelé Nirvana, ou Ecstasy dans d'autres traditions, c'est notre Être.
Les autres corps sont le résultat de l'existence de l'âme, notre mémoire :
Nos capacités psychiques :
Nos sentiments, notre intelligence dans le sens qualités de choix :
(L'âme n'a pas nécessairement une forme).
Ce que la littérature ne dit pas, est que pour se manifester dans l'Univers, l'âme a besoin de son énergie physique, électromagnétique, en conséquence de quoi l'âme dispose aussi de la ligne centrale appelée Hara :
Cette ligne centrale, chez l'âme libre, est donc reliée au noyau de la Terre quand cette âme se manifeste sur Terre, comme nos projection astrales.
Par contre, chez une âme errante, cette ligne n'est ni reliée à la Terre, ni à sa divinité, et le point rayonnant est masqué par la souffrance, c'est pourquoi l'âme errante est si dépendante de l'énergie de son environnement, c'est pourquoi les âmes errantes recherchent les lieux forts en énergie telluriques pour se manifester, ou elles s'accrochent à nous.
Sara (une âme que j'ai aidé à rejoindre l'au-delà) m'a informé que chez elle, l'enfant intérieur, le point rayonnant est peu lumineux, ce qui indique que les âmes conservent cette souffrance qui le masque, cette blessure liée aux incarnations.
C'est pourquoi elle m'a donné des informations concernant son accueil, à sa naissance, afin de soigner cette blessure.
Le fait que l'enfant intérieur des âmes soit masqué fait que leur énergie psychique est diminuée, en conséquence de quoi leurs capacités à atteindre certaines informations est diminuée aussi.
Ce qui explique que j'ai constaté que vos guides ne répondent jamais à mes questions techniques pointues.
Cela explique aussi que vous ayez besoin de guides, alors que vos âmes pourraient jouer ce rôle. Ainsi, en fonction de votre avancement, votre guide change, car il se doit de porter une blessure moins importante que la vôtre, s'il veut effectivement vous aider à accéder à certaines informations.
Mon premier cas :
Quand je suis arrivé sur la section "Paranormal" de Doctissimo, j'avais des connaissances concernant les esprits, mais je n'avais pas éveillé mes capacités de médium, de spirite. Quand la présence d'une âme errante était avérée, je ne pouvais rien faire d'autre que d'expliquer quoi faire pour l'aider. Du moins c'est ce que je croyais.
Un soir, alors que je discutais à propos d'un cas dans un immeuble, et que je m'attristais de ne voir aucun passeur d'âme intervenir, j'ai ressenti intérieurement l'invitation à faire quelque chose.
Mais quoi ?
Je savais ce qu'il se passait, ce qu'il s'était passé, parce que les échanges avaient permis de comprendre que nous avions affaire à la manifestation d'une femme qui s'était suicidée dans l'immeuble.
Alors j'ai eu l'idée de soigner cette personne à distance, et de lui envoyer mes meilleurs conseils en pensées -à savoir que les esprits entendent toujours les pensées qui leur sont adressées.
Donner de l'énergie à une âme errante va lui servir à diminuer sa souffrance, lui permettant ainsi de s'en libérer plus facilement. Les pensées vont lui servir à comprendre pourquoi elle reçoit cette énergie, et quoi en faire.
Mais cette action peut avoir un inconvénient : attirer à soi cette âme errante. Ce n'est pas systématique, mais c'est une possibilité. Et un risque, car nous ne sommes pas tous en capacité d'accepter la présence d'une âme errante à nos cotés ; en effet, sa souffrance risque de peser sur notre énergie, et nous faire souffrir tout autant que souffre cette âme.
Il est possible de se protéger de ce risque, en s'entourant d'une bulle de protection, en général bleue, qui se construit par l'imagination. En réalité, nous sommes tous entourés de cette bulle bleue, qui est notre cinquième corps de notre aura, qui est notre créateur en nous, mais cette action permet de le "réveiller", de lui demander cette mission de nous protéger.
A l'époque où j'avais fait cette action, je n'en avais pas besoin, parce que j'étais malheureusement protégé par un blindage qui me venait d'un traumatisme d'une autre vie, mais c'est une autre histoire.
S'il vous venait à l'idée d'aider une âme de cette façon (le magnétisme à distance), sans savoir de quoi souffre cette âme, voici les pensées que vous pourriez lui adresser :
"Il est temps pour toi de rejoindre le paradis, tu y as droit comme tous les autres, tu y seras mieux que dans ta souffrance. Une fois au paradis, tu pourras aller et venir où et comme bon te semblera, tu seras libre et pleine de bonheur comme les autres, et tu retrouveras les personnes que tu as aimées et qui y sont arrivées avant toi.
Laisse ici ta souffrance, et franchit le tunnel, c'est la seule chose à faire pour être au paradis.
N'aie aucune crainte pour ton apparence, c'est toi qui décidera de l'apparence que tu voudras.
N'aie aucune crainte d'être jugée, quand tu reverras ta vie, tu seras seule juge de ce que tu en as fait.
Laisse ici tout ce que tu avais, tu n'auras besoin de rien, au paradis le bonheur est roi."
Sans communiquer avec les âmes errantes, toutes ne pourront être aidées ainsi, mais c'est toujours mieux que de ne rien pouvoir faire du tout.
Les âmes perçoivent nos intentions, il faut donc agir pour elle, et non pour la personne qui a fait la demande. Vouloir repousser une âme est prendre le risque de son incompréhension, sa colère. Le but de l'aide apportée à une âme est de la voir rejoindre la lumière, le paradis, et rien d'autre.
A l'époque je n'ai pas su quel résultat j'ai obtenu, je sais seulement maintenant que cette âme a trouvé la paix.
Mon deuxième cas :
Les circonstances de mon deuxième cas m'ont étonné : d'abord les médiums sont intervenus pour comprendre qui était présent, et les raisons de l'errance de cette âme. Il s'agissait de l'oncle de la personne ennuyée, qui avait peur du jugement.
Je me suis étonné que les médiums n'aient pas spontanément expliqué à cet homme ce qu'il est du jugement, alors je leur ai expliqué ce qu'il fallait dire à cette âme. Sitôt mon message validé, j'ai ressenti que je devais le faire moi-même. Mais comment ? Je n'étais ni médium, ni spirite .
Toutefois, je savais que l'âme allait recevoir les pensées que j'allais lui envoyer. Il m'a répondu sur le plan des sentiments, parce que j'avais déjà cette faculté de percevoir les sentiments des autres. Ainsi, j'ai su qu'il me comprenait, j'ai perçu qu'il passait de l'autre coté.
C'était fin 2011, juste avant Noël, ce qui peut expliquer que les médiums n'aient pas pris le temps nécessaire pour s'en occuper. La nièce de cette âme a confirmé son départ.
Un tournant inattendu :
Février 2012, je pensais à une chanson dont j'avais utilisé le titre pour une lettre ouverte à portée philosophique, quand son auteur, décédé depuis peu, est venu discuter avec moi. Sur le coup j'ai discuté avec lui le plus naturellement du monde, mais après la discussion j'ai tout de même pris conscience que c'était ma première expérience spirite, et qui plus est, inattendue.
J'avais, longtemps précédemment, eu des expériences de télépathie, donc discuter avec des esprits devait venir naturellement, mais cela n'avait encore pas été le cas, ce que j'expliquais par des blocages dus à une vie antérieure difficile.
Et paf, voici que cela arrivait de façon inattendue :)...
Mon premier cas en tant que spirite :
C'était chez Carocine (une doctinaute) , dans sa seule discussion "Je deviens folle". Ne m'attendant pas à détecter moi-même la présence d'une âme, ne l'ayant encore jamais fait, j'ai commencé par tenter de la rassurer.
Je n'ai pas pensé à demander les photos, ne pensant pas être capable de m'en servir pour détecter la présence de cette âme. Et c'est simplement en réfléchissant à ce qu'il se passait chez elle, que j'ai eu la surprise de percevoir la présence d'une femme, Amélie, que j'ai aidé spontanément. Son problème était simple, elle ne savait pas qu'il lui fallait rejoindre l'au-delà...
Ce premier cas a eu ceci de particulier, que j'ai suivi Amélie plusieurs semaines, prenant ainsi connaissance de son chemin dans l'au-delà, de son évolution, ses changements.
Ce premier cas a été suivi de nombreux autres, voyant mon expérience grandir au fur et à mesure.
Le remerciement d'une âme :
Une seule fois dans ma vie de passeur d'âme, une âme (David) que j'avais aidée la veille, a monté le son de mon autoradio quand passait cette chanson de Jean-Jacques Goldman :
Minuit se lève en haut des tours
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur
J'ai pas choisi de naître ici
Entre l'ignorance et la violence et l'ennui
J'm'en sortirai, j'me le promets
Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux
Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Pas de question ni rébellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L'hiver est glace, l'été est feu
Ici, y'a jamais de saison pour être mieux
J'ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l'abandon
J'm'en sortirai, je te le jure
A coup de livres, je franchirai tous ces murs
Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d'autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi ...
Regarde moi bien, je ne leur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça
Envole-moi, envole-moi, envole-moi ...
Etre passeur d'âmes :
Autant que toutes autres personnes, un passeur d'âmes se doit d'avoir une vie équilibrée, parce que :
- un passage d'âme laisse des traces, il faut donc que le passeur ait une personnalité stable,
- vu qu'il fréquente plus d'âmes que les autres personnes, il a d'autant plus de risque d'être parasité par une âme errante. Ce qui n'arrivera pas, s'il entretient un niveau n'énergie suffisant.
Ainsi, j'ai remarqué que si taux vibratoire descend en-dessous de 18 000 Unités Bovis, il est possible qu'une âme reste à mes côtés, voir pire.
La première fois que c'est arrivé, j'avais attiré à moi une âme qui parasitait une amie médium. Ce devait-être un vendredi soir, et l'âme, qui simplement se trouvait bien avec moi, est restée à mes côtés toute la fin de semaine, accrochée à mon bras. Je n'en ai pas souffert, mais je sentais tout de même que l'énergie de mon bras droit était anormalement basse. Pas assez basse pour parler de douleur, mais presque.
Le remède a été simple : le lundi matin, séance de sport. Mon énergie s'élevant pendant la séance, Agnès a mieux perçu l'intérêt de passer de l'autre côté, et après s'être amusée à m'accompagner sur un vélo imaginaire, a rejoint l'au-delà, où elle a de suite rencontré une âme qui l'a accueillie avec tendresse. Un homme que j'avais aidé quelques mois plus tôt. Une image magnifique, c'est beau aussi, d'être passeur d'âmes.
Avoir un taux vibratoire global élevé n'est pas tout, encore faut-il qu'aucune partie de notre être ne soit en-dessous du seuil minimum. Ainsi, beaucoup plus récemment, au sortir d'une sinusite, j'ai été confronté au cas d'un bébé parasité par une âme errante. Je me savais un peu faible, sur le plan physique, mais qui est plus faible qu'un bébé ? Comme j'avais un taux vibratoire global élevé, j'ai pris la décision d'attirer à moi l'âme, Marc, plutôt que de laisser le risque au niveau du bébé. C'était un lundi soir.
Rapidement, je me suis senti mal, j'ai commencé à tousser de façon importante, et j'ai pensé que ma sinusite s'était transformée en bronchite (ma poitrine est une zone affaiblie par un chagrin ou une surcharge que je n'arrive pas à éliminer). J'ai dû cesser mes travaux sur le forum.
Le mercredi en fin d'après-midi, j'allais mieux, ce qui correspond au temps habituel qu'il me faut pour éliminer les toxines générées par la prise en charge d'une âme lourde de souffrance, ce qui m'avait rassuré. Mais la toux persistait, et j'ai pris conscience qu'en fait, j'avais un dysfonctionnement cardiaque, et c'est ce qui provoquait cette toux.
Il ne s'agit pas d'une affection grave ( es extrasystoles), les cardiologues incriminant le stress. Ce n'est que vendredi que j'ai commencé à m'inquiéter. J'ai alors constaté que mon aura s'était d'écalée vers la gauche. La remettre en place a diminué mes difficultés, mais pas supprimé.
C'est le soir que j'ai pris conscience que Marc s'était caché dans mon corps. A part cette affection cardiaque, je n'avais absolument rien remarqué.
J'ai repris mon aide à son égard, mais il était très attaché à sa dépression. Je l'ai sorti de mon corps par le magnétisme, ce qui a amélioré mon état, mais il y est retourné. Comme c'était la toute première fois qu'une telle expérience m'arrivait, je me suis mis à chantonner "Toute toute première fois", de Jeanne Mas, ce qui lui a plu. Du coup, je l'ai chanté en karaoké. Cela m'a permis de sortir Marc de sa dépression, mais il est tout de même resté dans mon corps. Du coup, j'ai détaché les liens qui lui permettait de s'attacher à mon plexus solaire, et je l'ai empêché de s'y raccrocher. J'ai tout de même continué à prendre soin de lui, comme s'il avait été un enfant que je portais.
C'est le samedi matin, que la solution s'est présentée d'elle-même, à ma grande surprise : je répondais à une discussion, un autre cas d'âme errante. J'allais écrire que je ne pouvais aider moi-même l'arrière-grand-père qui était resté attaché à sa maison, quand au contraire j'ai senti que je devais l'aider, ce que j'ai écrit sur la discussion, et ai exécuté de suite. J'ai attiré l'âme à moi, et l'ai invité à se placer dans mon énergie, parce que je sais que -en dehors du cas de Marc- cela vaut pour les âmes ascenseur pour l'au-delà.
Mais j'ai pensé que l'arrière-grand-père pourrait emmener Marc avec lui. Et à ma surprise, j'ai senti l'arrière-grand-père descendre dans mon corps. Puis j'ai perçu comme une altercation. Afin de ne pas prendre le risque d'influencer ce qu'il se passait, je me suis détaché de ce qu'il se passait.
Après quelques minutes, j'ai senti qu'il se passait quelque chose au sommet de mon être. Ces derniers temps, quand j'utilisais cette méthode, c'est par ce sommet que les âmes rejoignaient l'au-delà.
Depuis, je sens que Marc n'est plus dans mon corps. Je crois qu'une telle aventure ne peux arriver qu'à moi . Il fallait certainement que je le vive, pour que je n'oublie pas que cela peut arriver. Il fallait peut-être aussi que je sache que les autres âmes ne me laisseraient pas tomber .
Dans le même genre de problème, j'ai vu un jour une femme, parasité par une âme errante, qui a été prise en charge par un magnétiseur. Le magnétiseur avait éloigné l'âme errante, mais elle était aussi revenue. Sauf que le travail du magnétiseur avait augmenté le niveau d'énergie de la femme, ce qui a suffit à pousser l'âme vers l'au-delà. C'est suite à cette expérience, que j'ai commencé à écrire cet article.
Donc, il est essentiel d'avoir une vie équilibrée. Une vie équilibrée, c'est à dire :
- suffisamment d'activités physiques, déstressantes, et de préférence dans la nature,
- vivre dans un environnement aussi sain que possible, logement, habillement, mais aussi une alimentation aussi correcte que possible,
- avoir une vie affective (amis, famille) normale,
- avoir une vie sociale (étude, profession ou association) normale aussi.
Si ce n'est pas le cas, vous risquer d'attirer à vous des âmes errantes pour compenser un manque, vous risquer donc de les garder.
Détecter la présence d'âmes errantes :
Certaines personnes voient les esprits comme elles voient les autres personnes. Dans ce cas, il leur est facile de détecter la présence d'âmes errantes à proximité.
Les animaux comme les chiens et chats voient naturellement les esprits, il est donc possible de détecter des présences en les observant.
Pour ce qui me concerne, je ne vois pas les esprits avec mes yeux, mais je vais sentir leur énergie, quand ils sont à mes côtés.
A distance, c'est autre chose. j'avais ouvert une discussion sur ce sujet. A ma connaissance, les personnes qui voient les esprits avec leurs yeux restent favorisées pour la vision à distance. C'est pourtant une vision qui se fait dans notre esprit, comme les rêves. Comme les rêves, ces visions sont plus ou moins précises suivant la situation.
Pour détecter la présence d'âmes errantes à distance, beaucoup de personnes utilisent une photo du lieu, ou de la personne concernée. Ce n'est pas indispensable, mais cela peut aider.
Si je suis capable de voir à distance depuis 2012, par contre l'expérience m'a invité à développer une autre méthode, en utilisant une silhouette pour représenter la personne concernée, comme celle-ci :
J'ai à ma disposition une silhouette de femme, une d'homme, et une pour représenter les enfants, mais maintenant j'utilise tout simplement ma main, généralement la gauche.
La première fois que j'ai utilisé cette idée, c'était sur une intuition, pour détecter la présence d'une âme dans l'aura d'une personne, Mary J. Anna . Elle avait ouvert une discussion pour demander de l'aide, et j'avais rapidement compris que l'âme, Seb, se tenait au chaud dans son aura. J'avais immédiatement senti la présence de Seb en utilisant la silhouette qui sert d'avatar à Mary, en haut à gauche.
J'ai ensuite utilisé cette technique chaque fois que je soupçonnais un cas de parasitage dans l'aura, mais avec le temps j'ai pris conscience que je pouvais y voir bien plus.
Aujourd'hui, c'est ma méthode de détection principale. C'est l'énergie de l'âme, que je détecte, ou plus exactement la projection de son énergie sur cette silhouette. Cela me permet de détecter même une âme qui est passée près de la personne concernée, sans rester à ses côtés, parce que ce passage laisse une trace que je suis capable de détecter.
En général, je vais détecter une âme errante à la gauche de la personne, ce qui est une position symbolique et non géographique, comme ceci :
Je détecte une énergie, sans voir ce qu'il y a dedans. Pour voir, je vais me concentrer sur cette énergie, et voir dans mon esprit.
Cette énergie va me renseigner :
- Sur le "taux" de parasitage en fonction de son éloignement de la personne. Si l'énergie est très proche, l'âme perturbe directement l'aura de la personne, si elle est loin, la perturbation est la même que celle de l'environnement de la personne.
- Si je vois que l'énergie est loin de la personne, cela signifie qu'elle parasite quelqu'un d'autre de l'environnement de la personne, un proche.
- Si je vois que l'énergie est proche du sol, cela signifie que l'âme est très terrestre, si elle est élevée, c'est qu'elle ne demande qu'à passer de l'autre côté. Ainsi, il m'est arrivé de percevoir que l'âme partait au fur et à mesure de l'aide que je lui apportais.
- Si l'énergie est faible et statique, alors ce n'est qu'une trace, et l'âme n'est pas présente en ce moment auprès de la personne. Mais cette trace pèse tout de même sur l'énergie de la personne, c'est pourquoi il est bien de s'en occuper, pour la personne et pour l'âme. Pour moi il est toujours bien d'aider une âme, sauf information contraire.
- Si l'âme est très présente, l'énergie est plus forte, et pulse, éventuellement bouge. Il m'est arrivé de "courir" après une âme.
Dans le cas où l'âme errante est dans l'aura de la personne, je vais la détecter, soit à la place où elle est, soit je vais détecter la masse de son énergie.
Exemple :
Déformation de l'aura par la présence d'une âme errante :
Détection d'une âme par la masse de ton énergie centrée sur le plexus solaire :
Chez les femmes, il arrive que cette masse d'énergie soit centrée sur l'utérus, ce qui indique une âme qui cherche à se réincarner, ou qui cherche la douceur d'avant la naissance.
Communiquer avec les âmes :
Pour une personne incarnée, s'adresser à une âme est simple, il suffit de lui parler, en pensant à cette âme. L'âme percevra la pensée qui lui est adressée, ressentira les émotions et les sentiments.
Le problème de la langue ne se pose pas, la pensée étant un mode de communication universel.
C'est dans l'autre sens que c'est plus difficile. Le moyen de communication des âmes est la télépathie (transmission de pensées), et souvent chez les personnes incarnées, cette capacité est fermée.
Il existe d'autres moyens de communiquer, qui consistent à mettre à disposition de l'esprit une partie, ou tout notre corps. Ce sont des moyens susceptibles d'être dangereux, que je n'utilise pas.
Parmi ceux-ci, il y a l'écriture automatique, la oui-ja, et dans certains cas le pendule.
La transcommunication instrumentale met à disposition de l'âme un appareil (magnétophone, dictaphone), mais il faut tout de même que le médium prête à l'âme ses capacités pour qu'elle le fasse fonctionner.
L'empathie permet de percevoir les sentiments de l'esprit avec lequel nous souhaitons communiquer, et c'est déjà un outil de communication intéressant. En effet, avec cette capacité, vous pouvez émettre des pensées, et percevoir comment elles sont reçues. Vous pouvez suggérer des réponses, et percevoir si vous êtes dans le juste ou non. Comme je l'ai relaté précédemment, j'ai utilisé cette méthode avec succès.
Le pendule peut aussi servir à amplifier notre propre ressenti, c'est pourquoi il est parfois utilisé.
La réception de la transmission de pensées peut se développer à différents niveaux :
- la pensée suggérée. A ce niveau, vous n'entendez pas les pensées que vous recevez, mais vous les pensez vous-même. A vous de ressentir si votre pensée entre bien en accord avec ce que vous auriez entendu. Cette capacité s'approche de l'utilisation de l'empathie.
- la clairaudience. A ce niveau, vous entendez les pensées de l'esprit avec lequel vous communiquer. Suivant la qualité de cette clairaudience, vous percevrez la voix propre que l'esprit avait de son vivant, ou celle qu'il a en tant qu'âme (plus claire, moins vibrante dans les graves).
- la clairvoyance. C'est l'idéal, vous recevez les images que l'âme vous suggère.
Tout cela se développe avec la pratique du silence intérieur (méditation), et le bon usage.
Les cas :
Au risque de surprendre, à la première âme errante que j'ai vue, j'ai simplement dit "Il est temps d'aller au paradis", et elle y est allée.
Certaines personnes, lors de leur décès, continuent à vivre suivant leurs habitudes de comportement, et n'ont pas l'idée d'en changer en fonction de leur nouvelle condition de vie.
C'est pourquoi il me paraît important d'expliquer à nos défunts qu'il faut maintenant rejoindre l'au-delà. Même si cela ne concerne de loin pas tous les défunts, cela aiderait quelques personnes.
Le tunnel :
Parfois, à l'idée qu'il faut rejoindre l'au-delà, je ressens en réponse une interrogation :
"Comment rejoint-on l'au-delà ?"
- En franchissant le tunnel.
C'est si simple. Mais qui est instruit au sujet de ce tunnel, avant son décès ?
Certaines âmes le franchiront sans même s'en rendre compte. Le tunnel est très personnel, et différent pour chaque âme.
Il peut passer quasiment inaperçu pour certaines âmes, tellement il est large et son environnement clair. Cela signifie que leur conscience est claire et peu chargée en souffrance.
Il peut au contraire être particulièrement étroit et dans un environnement sombre, ce qui signifie une conscience fermée sur l'au-delà et chargée de souffrance.
L'absence de tunnel est tout aussi possible. Cela peut venir de ce que l'âme ne le conçoit pas, ou que sa conscience est bien trop fermée. Dans le premier cas, il va apparaître si on en évoque l'existence. Dans le deuxième cas, il faut aider l'âme autrement que par le dialogue.
Le franchissement du tunnel ne va pas de soit, parce que l'inconnu fait peur. Il arrive que des passeurs d'âmes accompagnent les âmes dans ce franchissement. Cela m'est arrivé en projection astrale.
Il m'est aussi arrivé de pousser. Cela peut surprendre, mais l'âme comprend ;).
Souvent je me suis contenté de rassurer.
Franchir le tunnel peut être assimilé à partir, et certaines âmes ne souhaitent pas partir. Dans ce cas, il faut convaincre.
- Il m'est ainsi arrivé de rencontrer un papa âme errante, qui était auprès de sa fille, et se considérait à sa place, comme protecteur. Il s'est étonné de mon intrusion dans leurs existences.
Je lui ai alors expliqué qu'il ne s'agissait pas de partir, mais de quitter sa vieille conscience terrestre, qui faisait que son énergie n'était pas élevée, et qu'il faisait sans le savoir du mal et peur à sa fille.
Le tunnel ne mène pas ailleurs, il est seulement la sortie de la conscience terrestre. Une fois sortie de celle-ci, l'âme a une conscience mieux adaptée à la vie astrale, une vision plus large et plus profonde, une énergie de meilleure qualité.
Me faisant confiance, il a donc franchi son tunnel, et s'est retrouvé aux côtés de sa fille, mais différent. Il m'a fait sentir comment il était, j'ai pu le dire à sa fille, et ainsi la rassurer.
"Pire", une fois j'ai retrouvé une maman, qui errait aux côtés d'une de ses filles, cherchant une autre de ses filles, décédée enfant. Or, la dite fille était aussi au côté de sa soeur, mais comme âme libre, comme son guide. Quand j'ai expliqué la situation à la maman, elle n'a eu qu'à franchir son tunnel, pour retrouver son enfant.
Les âmes libres voient les âmes errantes, mais les âmes errantes ne voient pas les âmes libres, sauf si celles-ci abaissent leur niveau d'énergie pour se placer au niveau des âmes errantes, ce qui apparemment n'est pas possible pour toutes.
Certaines âmes errantes ne voient pas non plus d'autres âmes errantes, en fonction de leur niveau d'énergie.
Pourquoi franchir le tunnel ?
Certaines âmes n'ont pas conscience qu'il peut y avoir une différence. Un jour, j'ai rencontré ainsi un homme, qui vivait "chez lui", et ne comprenait pas pourquoi je l'invitais à passer de l'autre côté.
Alors que j'allais abandonner, je lui ai fait remarquer sa souffrance. Il l'avait oublié, habitué. A ce moment, il est parti comme si il avait oublié un rendez-vous. Rarement perçu un franchissement de tunnel plus rapide .
En résumé, franchir le tunnel, c'est quitter ses souffrances passées, c'est quitter ses oeillères, poser ses valises, retrouver sa conscience d'âme, sa conscience astrale, retrouver une vision large et profonde, une compréhension facile, retrouver son existence d'avant l'incarnation, retrouver ses proches décédés aussi, accéder à d'autres mondes, etc...
Sans pour autant quitter ceux que nous aimons et qui sont encore incarnés. Au contraire, c'est accéder à une compréhension incomparable de ce qu'ils vivent, et donc la possibilité de mieux les aider.
La peur du jugement :
Beaucoup d'âmes errantes sont bloquées par la peur du jugement. C'est l'héritage des pseudo-religions.
Alors il faut convaincre.
Dans les faits, l'âme va revoir sa vie, et c'est elle seule qui va juger de la portée de ses actes.
Expliquer de la façon la plus simple, et être convaincu soit-même.
En fait, ce passage peut être comparé à un débriefing, c'est le mot qui me paraît le mieux correspondre, et c'est celui avec lequel j'ai le plus convaincu. En effet, l'âme revoit sa vie pour mieux la comprendre, pour mieux percevoir ce qu'il y avait autour des scènes, mais qu'elle n'avait pas pu percevoir, comme l'influence des lieux, de sa mémoire profonde (vies antérieures ou mémoire cachée par un traumatisme), influence des présences, influences télépathiques, etc... mais aussi les réactions des autres, dont elle n'avait pas pu avoir connaissance.
Un jeudi de folie... et des astuces :
Ce jeudi, il devait pleuvoir, mais le matin, le ciel découvert annonçait évidemment le contraire.
Certes, les nuages peuvent se cacher derrière les montagnes, et couvrir rapidement l'Alsace, mais à 10 h il faisait encore beau.
J'avais prévu la pluie, et le refuge dans le travail, mais j'ai changé d'avis, j'avais besoin de soleil, de grand air, un grand parcours en roller me paraissait plus qu'indiqué.
A 10 h 40 j'étais sur mes rollers, sur un parking au sud de Mulhouse, à proximité de l'Eurovélo 6, une piste cyclable internationale.
Avant de partir, j'ai pensé aux trois âmes qui avaient laissé leurs traces dans mon aura, et je les ai invité dans mon énergie.
Comme assez peu de personnes sont entraînées à ce sport, je leur ai proposé de me suivre en vélo. Elles ont choisi le tandem, la triplette même.
Puis très rapidement cette triplette s'est transformée en tandem acrobatique : deux monocycles reliés par une barre. Très difficile à utiliser sans entraînement, mais d'évidence ces âmes ont fait confiance à leur imagination.
Puis comme elles n'arrivaient pas à me suivre, les petites roues sont devenues des roues de grand bi...
Ce n'est pas allé plus loin, ce délire a conduit ces âmes au paradis lol:{}.
Puis j'ai eu la surprise de revoir une femme que j'avais aussi aidé de cette façon, début 2013, sur le même vélo qu'elle s'était créé.
Quelques kilomètres plus loin, j'étais bien sur mes roulettes, j'ai pensé à une âme qui avait laissé sa trace très loin de moi. Je l'ai invité (un homme), mais lui n'avait pas envie de suivre le même jeu. Comme la piste suivait le canal de Rhône au Rhin, je l'ai poussé à l'eau. C'est alors qu'il s'est rendu compte qu'il pouvait marcher sur l'eau.
Je l'ai alors entraîné à jouer au ski nautique. Ce qui s'est compliqué à l'approche d'une écluse. Je lui ai suggéré de s'envoler au-dessus, mais il a choisi le décollage vertical au dernier moment, et n'a plus cessé de monter...
J'ai continué ma route, bien décidé à faire un exploit sportif. C'est au port de Dannemarie que je me suis décidé à faire demi-tour. Un panneau affichait Mulhouse à 25 km, et je n'ai encore jamais fait cinquante kilomètres en une fois en roller.
Quelques kilomètres plus loin, j'ai pris conscience que je n'étais pas seul. Je me suis arrêté, j'ai pris mon bidon pour me représenter, et j'ai repéré l'homme. Je l'ai invité, lui ai proposé de prendre des rollers... puis je lui ai demandé s'il préférais un vélo. Il n'a pas pris le temps de me répondre, il est parti comme une flèche, très rapidement je ne l'ai plus vu .
J'ai rejoint ma voiture après une randonné de 2 h 35 environ pour un peu plus de 40 kilomètres.
Repas, puis ballade dans le bois des philosophes, toujours au sud de Mulhouse où je m'étais garé. J'ai eu très envie de marcher pieds nus, et après avoir hésité, je l'ai fait.
Puis j'ai senti que je n'étais pas seul ... Je vise un banc, et m'y installe pour contrôle. Je prends mon bidon (pour me représenter)... deux femmes. Je les invites dans mon énergie, puis joins leurs tunnels, et mon double astral les accompagne jusque de l'autre côté.
Dès leur départ j'ai senti qu'elles m'avaient laissé leurs souffrances à digérer...
Je suis alors à la limite de l'épuisement physique, je remets mon aura en place, et je continue à marcher dans le bois. Je n'ai fait que quelques pas, que je sens que j'ai heurté une énergie anormale. Je n'en tiens pas tout de suite compte, mais plus tard j'ai senti qu'il y avait bien un problème... Un homme. Il ne trouve pas son tunnel, je lui indique qu'il est derrière lui, parce qu'il ignorait son existence. Il lui suffit donc d'y penser pour qu'il se place devant lui.
Un fois cet homme parti, j'arrête de laisser faire n'importe quoi, je demande à mon cinquième corps, ma bulle bleue, de remplir son rôle, de me protéger. Je suis épuisé maintenant, je ne peux plus me permettre de me laisser faire. Cette promenade était destinée à renforcer mon ancrage, je ne m'attendais vraiment pas à aider des âmes en forêt.
Il est l'heure de chercher le gamin à l'école. J'en profite pour pisser une petite goutte, vraiment petite par rapport aux deux litres d'eau que j'ai bus.
A peine je rentre, je me connecte sur le forum, et que fais-je ? J'attrape une âme errante . Il (un homme) s'accroche à ma main droite, celle qui m'a servie à sonder son énergie. Plus tard j'ai voulu décrocher son lien avec l'énergie de ma main, mais il n'a pas accepté, il est passé chez moi. Je lui ai donc servi d'ascenseur. D'évidence c'est ce qu'il voulait.
Cette journée c'est bel et bien passée ainsi.
Maintenant j'explique.
Donner des conseils aux âmes errantes, comme je vous invite à le faire, cela fonctionne à 80% environ.
Ensuite il y a donc les autres cas.
Il y a ceux qui ne trouvent pas leur tunnel, parce qu'ils ignoraient son existence. En général il est derrière eux, il suffit donc de le leur indiquer.
Il y a ceux qui n'osent pas s'y aventurer, et pour ceux-là, le plus simple est de les y accompagner. Cela se fait grâce à la projection astrale, certains le font lors d'une sortie hors de leur corps.
Il y a ceux qui ont un message à passer, pour ceux-là il faut le bon médium, celui qui pourra transmettre à la bonne personne.
Il y a ceux qui croient devoir passer un message, pour ceux-là c'est souvent une élévation de leur énergie qui va les aider, il faut donc leur servir d'ascenseur.
Servir d'ascenseur, parfois des personnes le font sans le savoir, mais quand quelqu'un le fait volontairement, comme moi par exemple, il y a une limite qui dépend de la capacité de notre organisme à éliminer les toxines liées à la souffrance de l'âme aidée. Il faut aussi, cela va de soi, avoir suffisamment d'énergie pour que cela fonctionne, sinon l'âme reste, et c'est susceptible d'être pathogène.
Servir d'ascenseur, c'est efficace aussi pour ceux qui ont besoin d'être consolé, ceux qui sont épuisés, et même ceux qui ne veulent pas, mais qui ainsi se retrouvent de fait dans l'au-delà, sans avoir rien vu venir.
Un jour j'ai aidé une médium, qui était ennuyée par un homme qui ne voulait absolument par rejoindre l'au-delà. Je l'ai poursuivi, jusqu'à que finalement il soit séduit par mon énergie, et se laisse faire.
Et il y a le jeu. Dans l'au-delà, l'imagination est reine, et comme elle y est la base du jeu, entraîner les âmes errantes dans le jeu est un moyen roi.
La première fois que je l'ai utilisé, c'était pour deux femmes joueuses, qui avaient prise une jeune fille pour victime, parce qu'elle avait essayé le spiritisme.
Elles ont voulu jouer avec moi, c'était la première et seule fois que cela m'arrivait, et j'ai fait spontanément le choix d'entrer dans la danse. Elles ont été surprises de mon attitude, et sont entrées dans l'au-delà après une vingtaine de minutes d'amusements.
Le cas des femmes faussement enceintes :
Je suis effaré par le nombre de cas de femmes qui portent sans le savoir une âme errante en leur ceint. Si ces femmes n'étaient pas nombreuses à me donner des indices de confirmation, soit en ressentant le départ de cette âme, soit par le disparition de symptômes, ou par un mieux-être, je ne pourrais que ressentir le besoin de me remettre en question.
Toutefois, une telle épidémie peut s'expliquer par le fait que les femmes sont habituées à porter une âme en leur ceint, sauf que ce sont des âmes qui s'incarnent, et non des âmes errantes.
Le fait que la société discute du phénomène de la réincarnation peut l'expliquer aussi. En effet, quand une âme, à cause de sa souffrance, erre, elle se trouve souvent isolée. Retrouver un corps peut alors leur sembler une solution évidente pour sortir de cette isolation.
Il faudrait donc que la société instruise ses individus à propos du chemin pour l'au-delà. C'est si simple : franchir le tunnel.
Que les femmes se rassurent : l'expérience m'a montré qu'aider ses âmes à rejoindre l'au-delà est d'une facilité agréable :
Mettez-vous dans une position confortable, par exemple assise dans un fauteuil, ou allongée.
Mettez vos mains sur votre ventre, en-dessous du nombril, pour donner de l'énergie à votre "bébé". Cela va l'aider à quitter sa conscience terrestre, donc rejoindre l'au-delà, mais aussi lui donner confiance dans vos intentions.
Puis, avec toute votre tendresse (c'est important), expliquer-lui qu'il n'est pas possible de devenir ainsi votre bébé, mais qu'il lui faut d'abord se défaire de sa conscience terrestre, rejoindre l'au-delà, le paradis, en franchissant son tunnel.
En général, cela suffit, et la plupart d'entre vous sentirez le départ de l'âme par un courant d'air. Certaines femmes vont le ressentir émotionnellement : d'abord comme un gros remerciement, puis une tristesse incompréhensible.
En général aussi, cela n'arrive qu'une fois, parce que inconsciemment vous allez mettre une barrière émotionnelle. Je n'ai vu qu'un seul cas de récidive.
Pour ce qui est de donner de l'énergie, sachez que les personnes incapables de soigner avec l'énergie de leurs mains sont assez rares. Si nous ne sommes pas tous magnétiseurs, c'est parce que nous n'avons pas tous la motivation pour le devenir, mais c'est rarement un problème de capacité.
Aider des communautés d'âmes errantes :
Aider des communautés d'âmes errantes est relativement différent de l'aide apportée à des âmes seules, parce que ces communautés ne connaissent pas la solitude des autres âmes, et parce qu'elles forment éventuellement un égrégore (un esprit de groupe).
Ma première expérience dans ce domaine a eu lieu dans l'hôpital de Strasbourg Hautepierre, où mon enfant a souvent été hospitalisé.
Ainsi c'était le cas au début des vacances scolaires de février, pour une opération bénigne, mais stressante pour lui, la fermeture de l'orifice de trachéotomie, déviation de sa respiration au niveau de la gorge, pratiquée à l'origine peu de temps après sa venue au monde.
La présence permanente des parents dans le service de réanimation pédiatrique n'est pas prévue, mais dans notre cas elle est souhaitée et bien accueillie par l'équipe, mon enfant étant particulier, et notamment sourd.
Et elle a été particulièrement nécessaire, mon attention a donc d'abord été focalisée en permanence sur mon enfant, du mercredi en fin de matinée, au jeudi soir.
Le jeudi soir, j'ai commencé à me questionner quand à une éventuelle présence dans la chambre. J'ai alors trouvé un adolescent, décédé dans le service quelques mois plus tôt, et qui était positionné sur un croisement Hartmann.
J'ai discuté un petit peu avec lui, et me suis enquéris à propos de sa volonté de rejoindre l'au-delà.
Comme il ne le souhaitait pas, je me suis interrogé sur le nombre d'âmes présentes sur le lieu. 782 m'a été répondu. Vu la taille, l'énergie et l'ancienneté de l'hôpital, la présence d'un pôle gériatrie, cela m'a paru crédible.
Je lui ai demandé s'il souhaitait retrouver ses proches, et il a été plus intéressé. Je lui ai alors indiqué que c'est la pensé qui dirige, et ai retourné mes conseils sur la communauté des âmes présentes, en dirigeant vers elles mes pensées.
Le soir même, deux âmes rejoignaient leur proches. Aucune ne s'intéressait à l'au-delà.
Le vendredi matin, tôt, dix avaient rejoint leurs proches.
Ne croyez pas que je les ai envoyées parasiter leurs proches. En effet, mon idée est que en faisant cela, je les sors de l'idée d'attendre que leurs proches viennent les chercher. Une fois cela fait, et ces âmes sorties de la communauté, constater qu'elles n'ont plus qu'à rejoindre l'au-delà va aller de soi.
Ce vendredi matin, je me suis assis sur une chaise, contre le mur extérieur, et j'ai invité la communauté à discuter avec moi. Je n'ai eu aucun mal à les rassembler, puisque mon attitude faisait de moi un sujet de curiosité . Elles étaient toutes là, les murs n'existaient plus, je réalisais ma première conférence avec des âmes.
J'ai cherché d'autres idées. D'autres lieux où les inviter. J'ai pensé à Tahiti. Pourquoi Tahiti ? Et bien parce que c'est pour beaucoup une idée du paradis. Non ?
J'ai alors senti un fort déplacement, comme quand un peloton cycliste passe dans la rue.
Toujours en leur rappelant que la pensée dirige, j'ai pensé à des personnes célèbres. J'ai même eu, comme un réflexe, l'idée de les envoyer vers un personnage célèbre du passé, mais comme il s'agissait d'une de mes incarnations, il y a bien eu un mouvement de foule, mais très court. Mince, la gaffe .
Bon, ce n'est pas grave, c'est même plutôt bon pour ma crédibilité auprès de ces personnes .
Après avoir trouvé quelques idées, je me suis rendu compte qu'il y avait un autre problème : les âmes restantes n'osaient plus sortir de l'hôpital, à cause de leur apparence.
Je leur ai alors rappelé qu'elles étaient maintenant esprits, que c'est aussi leurs pensées qui forgent la vision qu'elles donnent d'elles-mêmes.
Je me suis alors retrouvé avec un hôpital vide. Enfin presque : il y avait comme une lumière au fond. Une âme libre avait assisté à mon travail.
Qu'est-ce que cela m'a coûté ? Rien, je n'ai fait que meubler un peu de ce temps dont je disposais, entre deux visites d'infirmières ou médecins. A noter que si mon récit paraît continu, en fait il est une succession de brides entrecoupées par les actes relatifs à notre raison d'être dans l'hôpital. Le fait de couper ce travail en plusieurs épisodes n'a pas posé de problème, au contraire, les âmes prenant le temps de réfléchir.
En quittant l'hôpital, je me suis retourné, et j'ai senti que son énergie avait changé. Donc les âmes ont bien rejoint l'au-delà, leurs traces ont bien changé d'énergie.
En réfléchissant à ce que j'avais fait, j'ai pensé que pour un tel travail, il était préférable d'être sur place. L'avenir va me montrer que je me trompe sur ce point. Une nuit, je me suis senti appeler à en faire l'expérience, dans un autre hôpital que je connaissais : l'hôpital de la mère et l'enfant, le Parc à Colmar.
Je me suis donc rendu en projection astrale dans cet hôpital, et me suis retrouvé en face d'une centaines d'enfants et bébés décédés sur place.
L'accueil a été très différent : je leur ai demandé s'ils souhaitaient rejoindre le paradis, et ce fut un concert de "oui".
Je n'ai eu qu'à leur indiquer qu'il leur suffisait de traverser le tunnel, et je me suis retrouvé seul, face à trois adultes, qui étaient là parce qu'ils s'étaient donné le devoir de veiller sur ces enfants. Du fait qu'ils n'avaient plus de raison de rester, ils ont rejoint aussi l'au-delà. J'ai passé une bonne nuit.
Mon travail suivant a été à Mulhouse où l'hôpital, récent, a été placé sur un colline. J'y avais un rendez-vous pour moi.
Il y avait peu d'âmes errantes, je n'ai eu qu'à les inviter à passer le tunnel. Par contre j'ai senti beaucoup de présences d'âmes libres. Le niveau élevé de l'énergie de cet hôpital l'explique.
J'ai utilisé mon expérience nouvelle sur un cas du forum. Chez une personne j'avais déjà aidé cinq âmes, individuellement, mais j'avais pris conscience que je mettrais beaucoup de temps et d'énergie pour les aider de cette façon.
Je me suis souvenu du lieu où Titali (une médium doctinaute) avait croisé mon double astral, et m'y suis rendu à nouveau. Je me suis rendu compte que pour l'occasion, cette fois mon double était blanc. J'ai alors rassemblé les âmes, vingt-cinq, qui étaient volontaires pour rejoindre l'au-delà. Il est vrai qu'elles m'avaient déjà vu à l'oeuvre, et s'attendaient à ce que je revienne pour elles.
J'ai eu une idée originale, comme elles étaient en communauté assez soudée, je les ai invité à imaginer un tunnel commun, pour y passer ensemble. En effet, elles formaient un esprit de groupe (égrégore), donc autant partir ensemble. Je rappelle que le tunnel que prennent habituellement les âmes pour quitter leur conscience terrestre est individuel, il est la sortie de leur conscience, et non un accès à autre chose.
Ces âmes ont donc franchi le tunnel ensemble, et je les ai étonné en les retrouvant à la sortie. Je leur ai alors rappelé qu'en effet, l'au-delà n'est pas ailleurs, mais au-delà de la conscience terrestre.
Plus tard, j'ai vérifié que la consultante n'avait plus de trace d'âme errante à ses côtés.
Début décembre 2014, parce que j'avais pris la défense d'une personne, j'ai eu la surprise d'être attaqué par sept magiciens successifs.
Le sixième attaquait en chargeant sa victime d'âmes errantes. Cela se fait en enfermant une âme errante dans un nuage d'énergie, et en attachant ce nuage à la victime. Il avait joué à cela en soirée, puis plusieurs fois au cours de la nuit, et comme je ne ressentais plus d'attaques dans la mâtinée, j'ai pensé qu'il avait laissé tombé.
En début d'après-midi, j'ai eu un doute, et je me suis connecté à la personne que je défendais, pour m'assurer que tout allait bien. Elle était si couverte d'âmes errantes, que je ne pouvais ressentir sa vitalité. Dans l'urgence, j'ai libéré toutes les âmes errantes d'une seule action. Les nuages d'énergies pouvant être détruits par le feu spirituel, j'ai envoyé un grand feu sous la victime.
Les âmes ainsi détachées n'ont eu qu'une idée, se retourner contre le magicien.
Voyant cela, je leur ai expliqué que plutôt que se venger sur un magicien, il était plus profitable d'aider toutes les âmes errantes à rejoindre l'au-delà, ainsi les magiciens ne pourraient plus les exploiter de la sorte.
Et ces âmes errantes m'ont écouté, et sont parties à la recherche des autres âmes errantes.
Mais ce que je n'avais pas prévu, est qu'elles me les ont amenées, au lieu de les aider à rejoindre directement l'au-delà...
Et je me suis donc retrouvé submergé de présences d'âmes errantes autour de moi.
D'abord, je les ai regroupées par dizaines, puis je leur ai expliqué comment former un tunnel commun, et ainsi rejoindre l'au-delà.
Puis par centaines...
Mais là, cela me posait problème, parce que l'énergie qui restait après me posait problème.
J'ai alors fait l'expérience de le faire dans l'église voisine, mais je n'ai pu le faire qu'une journée, la seule journée où quelqu'un avait oublié de la fermer...
Alors j'ai trouvé une autre solution : former des cercles, mais de telle façon que les âmes se trouvaient hors de mon logement (je me mettais face à un mur extérieur, les esprits n'étant pas dérangés par les murs).
J'ai oeuvré ainsi plusieurs semaines, à raison de plusieurs milliers d'âmes par jour. Pendant mes vacances, je l'ai fait au bord du lac Léman, à Genève. Des cercles géants, dans un tel cadre, c'est magnifique.
Courant janvier 2015, j'ai eu un petit souci à la gorge, et pensant qu'il était dû au surmenage, j'ai voulu marquer un pause.
J'ai alors été surpris par l'agressivité des âmes. Par hasard, j'ai découvert que mon souci n'était pas causé par le surmenage, et je l'ai même soigné en reprenant mon travail.
Puis j'ai découvert qu'un magicien les poussaient pour m'épuiser, c'est pourquoi certaines étaient agressives. Je l'ai découvert, et submergé de la magie que des âmes m'envoyaient...
Je me croyais débarrassé de lui, mais j'ai vite compris qu'un autre avait pris le relais. Une autre plus exactement.
Alors j'ai commencé une course, car moins il y a d'âmes errantes disponibles pour les magiciens, moins ils pourront faire de victimes...
Comprenant qu'ils avaient les moyens de mobiliser beaucoup d'âmes, j'ai pris le risque d'appeler toutes les âmes errantes d'un premier continent, l'Afrique.
Me sentant en forme, ce fut ensuite l'Europe.
Puis l'Asie.
Ceci fait en un soir, j'ai eu la surprise de visualiser un homme complètement abasourdi de ce que je venais de réaliser.......
Je pensais qu'une telle démonstration, allait me mettre à l'abri de ses tentatives de m'atteindre, et ne pensais plus qu'à calmer le flux d'énergie afin de pouvoir dormir. J'étais à peine couché, environ trois quarts d'heure plus tard, quand je vis douze personnes s'installer dans la salle de réunion d'une entreprise que j'ai reconnue plus tard. Il s'agissait de l'entreprise qui tentait d'atteindre la personne que je protégeais.
A peine étaient-ils installés, qu'ils m'envoyaient leur premier tir. Retour immédiat, certains perdent l'équilibre.
Deuxième tir, deuxième retour, seuls trois se relèvent, et encore avec difficulté. Je perçois des âmes qui s'élèvent.
Je ne comprends pas que cela ne leur ait pas suffit. Ils ont continué en individuel. J'ai eu le droit à l'homme que j'avais visionné en début de soirée, puis une femme en tenu de dessin animé.
Après, je ne suis plus très sûr de ce que j'ai vécu, non que j'ai oublié, mais parce que je différenciais les magiciens des âmes errantes à leur hara ancré, alors que j'ai découvert plus tard que les égrégores ont aussi un hara ancré. Donc je ne sais pas si ce sont d'autres magiciens qui ont continué à me harceler, ou s'ils m'ont envoyé des égrégores. Toujours est-ils que cela a duré toute la nuit, et une partie de la journée. Au matin, à l'heure d'emmener mon enfant à l'école, je n'avais dormi qu'une heure, j'ai prévenu l'enseignante qu'il ne viendrait pas ce jour.
Une fois réglée cette attaque, j'ai terminé mon appel de toutes les âmes errantes du monde. Enfin, seulement celles qui répondaient facilement à l'appel, celles que les magiciens utilisent pour leurs méfaits.
L'aventure ne pouvant s'arrêter là, j'ai d'abord eu affaire à beaucoup d'égrégores, qui se présentaient comme des personnes, et qui profitaient de mon ignorance pour m'obliger à les délivrer sans que je sache que c'est cela que je faisais. Je l'ai très mal vécu, et mes recherches pour comprendre ont mis longtemps à aboutir.
J'ai eu ainsi une longue période pendant laquelle j'ai aidé beaucoup d'âmes, mais sans savoir ce que je faisais, raisons pour laquelle cela a été une période d'affrontements.
Puis il y a eu le moment de la compréhension, fruit du hasard, grâce à quoi les affrontements ont cessé, au profit d'un travail plus efficace. Et c'est ainsi que depuis plusieurs mois, je sais que mon travail est de vider le bas astral.
Je sais que je ne suis pas seul à faire ce travail, puisque Lulumineuse en parle :
http://www.lulumineuse.com/pages/articles-lulu/vortex-de-lumiere-permanant.html
C'est un des articles sur le sujet, il y en a un autre qui parle de la fin du bas astral, mais je ne le trouve plus. Si quelqu'un a le lien...
Je sais, mais je fais tout de même ce travail seul, et de façon très intensive. Plus j'aide, plus il en vient, et plus il en vient, plus....
Pour moi, la fin du bas astral est une évidente nécessité pour que l'humanité puis s'élever. Nous ne sommes qu'un, laisser une partie de l'humanité derrière nous serait laisser une part de nous. C'est impossible, cela constituerait une blessure qui nous empêcherait une réelle élévation.
Le flux de ces âmes rejoint le hara, le remonte, puis enserre la personne - mais sans toucher le corps éthérique. Si l'énergie de la personne est suffisante, alors ces âmes se transforment, et rejoignent "les autres" qui forment une bulle au-dessus comme ceci :
Si l'énergie n'est pas suffisante, alors les âmes errantes redescendent le long de l'aura, et s'accumulent autour de la personne. Quand le nombre devient important, ces présences compriment l'aura de la personne, cela devient alors pathologique.
A noter, que l'aura augmente de volume en raison du passage qui s'est formé à l'intérieur.
J'en viens donc à regretter de n'avoir aucun moyen d'être informé d'un éventuel changement chez cette personne.
- Je repère l'âme errante, je cherche son tunnel, je le signale à l'âme, et je l'accompagne dans son passage. Cela me prend environ quatre secondes. L'âme reste présente, mais son énergie a changé.
- Si elles sont nombreuses autour de moi, je promène ma main parmi elles, l'élève, et change soudainement de direction au-dessus de moi, où se trouve "les autres". En général, en retour, je reçois un courant d'air sur la tête, et à l'endroit où elles étaient il y a un trou, donc elles ne se manifestent plus.
- Ma façon de faire la plus étonnante consiste à ramener sur moi, au niveau de mon cou, les âmes errantes proches. Alors un "vlouf" caractérise la transformation, soulevant mes cheveux, et l'âme errante disparaît au-dessus de moi. Un flux d'énergie fraîche se fait au-dessus de moi.
Si elles sont nombreuses à passer en même temps, le son à mes oreilles devient 'Vlvlvlvlvlouf". L'avantage de cette façon de faire est le nombre qu'il m'est possible d'aider en peu de temps.
L'inconvénient a été, que cela tire dangereusement sur mon énergie personnes.
Au début, je m'effondrais rapidement épuisé, je devais dormir beaucoup.
Puis mon épaule droite, qui porte une malformation consécutive d'une opération chirurgicale, me posait problème, à cause des mouvements rapides et répétés.
Ensuite, comme je pouvais aider de plus en plus d'âmes errantes, ma tête en était véritablement glacée.
Aujourd'hui, avec l'entraînement, je peux faire un travail considérable, mais je dois boire beaucoup.
Il me semble que ce qui génère la transformation de ces âmes est que mes mains déchirent leur enveloppe de souffrance, mais je n'en suis pas certain.
J'ai remarqué ces derniers temps, que -chez moi- cela avait généralement un rapport avec une forte densité de présences, ou la nécessité de boire. Mais le soir du 13 avril dernier, je ne ressentais ni cette densité, ni soif. J'avais beau chercher, rien.
J'ai tenté de m'endormir, mais les troubles du rythme m'en empêchaient. A minuit, je me suis décidé à chercher à nouveau. J'ai alors trouvé "quelque chose", mais qui semblait résister à toutes mes tentatives de lui ouvrir l'au-delà.
J'ai enroulé cette "chose" autour de ma main gauche. Il me semblait bien qu'il s'agissait d'un dragon, et je m'étonnais donc de sa résistance à rejoindre l'au-delà.
Il se présentait comme le mal absolu, mais je lui ai expliqué que cela n'existait pas, que chaque personne est capable du pire comme du meilleur, sans avoir besoin de personne pour le justifier.
Je me suis rapidement rendu compte que sa présence glaçait mes mains, puis mes bras. J'ai essayé de dégager son enfant intérieur, mais j'ai pris conscience qu'il était trop englué dans une énergie lourde.
Alors je lui ai présenté la partie de mon corps la plus riche en énergie, mon plexus solaire, si proche de cette source d'énergie qu'est l'enfant intérieur. Il est rentré intégralement dans mon corps dont il a occupé l'entier volume. Je le sentais dans les moindres recoins, mais le fait de passer par cette zone l'avait largement chargé en énergie, et son froid glacial avait déjà disparu. Il ne me dérangeait absolument plus, et je me suis rapidement endormi.
Le lendemain, il n'y était plus, et mes capacités à aider un nombre important d'âmes errantes avaient augmentées.
A peut-près, parce que je peux aussi envoyer des âmes à ma gauche, et même sur mon visage, elles rejoignent aussi l'au-delà, mais dans cette zone, l'énergie est devenue différente.
Quand je fais cela, la montée de mon énergie s'accélère, et alimente la porte comme ceci :
Dans le même mouvement, mon enfant intérieur se met à rayonner plus fortement, et une bulle d'énergie fraîche vient transformer mon aura suivant une sphère qui gonfle progressivement. Il est arrivé que le processus s'emballe, et, l'énergie inondant mon environnement, libère toutes les âmes à proximité sans plus d'intervention de ma part.
Elles ont une énergie différente.
J'ai perçu de suite qu'il était bloqué par un lourd égrégore, mais je me suis rendu compte que, sans mon corps, j'étais en difficulté pour mon travail de passeur d'âmes.
Alors je l'ai pris sur moi, puis me suis réveillé, fortement entouré d'âmes à aider.
Elles n'en sont pas la cause, mais empêchent la guérison naturelle, tant qu'elles ne sont pas aidées elles-mêmes. De fait, quand j'aide une personne, je me retrouve avec un travail considérable.
Je pense en avoir compris la raison : pour ces âmes errantes, l'affection à soigner est la cause de leur décès, ou au moins associée à leurs souffrances et leur décès. Mais quand je les aide, elles vont alors associer le retour au paradis à cette affection aussi. Ainsi, ces affections ne sont plus le signe de la souffrance et de la mort. C'est un moyen de soigner le traumatisme sans repasser par une expérience nouvelle qui risque de leur prendre du temps.
Je n'avais pas réussi à la convaincre, mais mon ressenti me disait que cela viendrait (certainement de son guide, son grand-papa).
J'avais compté les traces, 32, et j'avais attendu. Puis j'avais été informé qu'elle s'en occupait.
Il y a quelques semaines, je me suis connecté par erreur de favori, sur ce site :
http://www.landspurg.com/html/fr/05.shtml
La personne sur la photo est le fondateur de l'association des Sourciers Géobiologues d'Europe, dont le siège est en Alsace. Je ne le connaissais pas personnellement, mais je savais par un ami thérapeute qu'il était malade.
Or, quand je m'étais connecté, j'avais senti une atmosphère inhabituellement lourde.
Samedi dernier, nous étions à la bourse internationale aux minéraux, chez moi (Sainte Marie aux Mines), et j'en ai profité pour rencontrer l'un des membres de l'association qui participe à un stand d'information sur la géobiologie. Je lui demande à propos du fondateur, et il me confirme son décès.
Préjugé, je pensais qu'un tel personnage devrait rejoindre l'au-delà sans difficulté.
Il faut se méfier des préjugés.
En fait, mon ressenti me conduit à le considérer dans l'errance. De fait, je vais le chercher, et je le trouve...
... pris dans un énorme égrégore.
Cet homme a généreusement harmonisé beaucoup de maison, mais n'était pas un passeur d'âmes. Or, quand il y a un trouble géobiologique, il y a souvent des esprits, que ce soit les défunts de la maison, qui restent enfermés dans leur souffrance en partie due à la maison malade, ou que ce soit des esprits attirés par l'énergie de la maison (parce qu'elle leur permet de se manifester).
Adolphe s'est ainsi progressivement entouré d'énormément d'âmes errantes dont il ne sentait pas la présence, parce qu'il n'y avait que la mémoire de leur passage, mais cela a certainement participé à le rendre malade, puis cela l'a retenu ici.
Donc je confirme, il est important de prendre soin de ceux que nous croisons, nous sommes tous responsables de l'errance des autres.
Les différentes Méthodes de Divinations
Les personnes dotées de ce don, font ainsi usage de cette qualité dans le but de venir en aide aux gens qui ont recours à ce type de voyance.
L’art divinatoire n’est pas un fait récent de société, mais plutôt remontant à plusieurs siècles et a toujours connu bien du succès.
Déjà à cette ère les personnes voulaient tout savoir sur les évènements à venir : naissance, victoire sur les combat de guerre, période disette, envahissement du clan ennemi, bref tout ce qui pouvait arriver dans un avenir proche et faire l’objet de retournement de situation ou encore de prévention : telle était la vie à cette époque.
Beaucoup de peuple ancien ont recourus aux arts divinatoires avec les moyens dont ils disposaient, on ne peut donc pas citer des habitants n’ayant eus nullement recours aux arts divinatoires sous une quelconque forme.
Connaissant de plus en plus d'avancées, l’art divinatoire est à l'heure d'aujourd’hui à la portée de toutes les personnes voulant ou désirant savoir les faits à venir.
- Obligatoirement du sel
- une plaque de cuisson, un réchaud ou encore un feu vif (la meilleure solution pour cette pratique divinatoire).
Première Méthode avec une source de chaleur, et expérimentation personnelle : Préchauffez bien la plaque ou alimenter un feu dans votre cheminée ou encore à l’extérieur. Prenez le sel de la main gauche, pensé à votre questionnement et le lancer sur la plaque brûlante, ensuite écouter tout simplement. Traditionnellement, on dit que si le sel crépite longtemps, le verdict sera négatif. Et si le bruit est léger, la réponse sera positive.
Deuxième méthode : Le lancer. La deuxième méthode est encore plus simple, mais plus ardu dans l’interprétation. Il vous suffira de la main gauche (ou comme vous préférez de la main droite) un peu de sel, et ensuite traduire selon votre mode de fonctionnement les divers tas de sel et les formes qu’ils en incombent.
La méthode consistait a confectionné du pain avec de la farine d’orge suivant un rituel spécifique, le pain est cuisiné sans levain et il utilise du froment concassé de l’orge à large épi.
Cette méthode fut largement utilisé par la justice européenne médiévale, il appelait ce rituel « l’épreuve de « bouchée maudite » nommé aussi « le morceau d’exécration » une incantation était site par l’évêque ou le prêtre au moment où il donnait le pain à manger, l’incantation était : « Puisse ce morceau de pain maudit causer des convulsions et ne trouver aucun passage si l’accusé est coupable, et permettre un retour à la nourriture saine s’il est innocent », si le présumé coupable pouvait manger le pain sans problème, celui-ci était déclaré innocent, si en revanche il était incapable d’avaler ou il s’étranglait avec, il était déclaré coupable.
Par exemple à Dodone, on interprétait le mouvement de certaines feuilles ou de clochettes sonores d'airain destinées à indiquer la direction du vent. Pour les peuples antiques, les vents qu'on prétendait d'origine divine servait à interpréter le mouvement de choses légères pour en tirer des présages. Une méthode divinatoire consiste à l'utilisation des vents pour déterminer la réponse à une question. Il s'agit de prendre un grand bol, et d'inscrire des réponses sur les petits morceaux de papier, en plaçant ceux-ci à l'envers; puis de laisser le vent rendre la réponse en retournant un ou quelques morceaux de papier.
Voir aussi Aéroscopie et Aéromancie. Une autre façon de pratiquer la divination par l'anémomancie peut se résumer sommairement ainsi :
• Si le vent dominant vient du Nord, ouvrez l'œil car on dit que la journée sera propice aux sentiments, aux affections, à l'amour ou à une rencontre.
• Si le vent dominant vient du Sud, c'est un présage avisant que vous serez confronté à quelques problèmes sur lesquels vous buterez, au cours de la journée.
• Si le vent dominant vient de l'Est, c'est un indice annonçant que la journée sera propice aux réflexions, à l'introspection et aux questions spirituelles.
• Si le vent dominant vient de l'Ouest, c'est un signe que la journée se passera dans une ambiance intéressante, agréable et productive.
On interprétait cette voyance avec les formes et les couleurs que le charbon pouvait avoir lorsqu’il chauffait. Le devin faisait aussi ses prédictions en se basant sur les signes qu’il trouvait sur la surface du charbon anthracite. Cette méthode fut utilisée pendant toute la période ou le charbon régnait dans les foyers en abondance, désormais, le charbon n’étant plus utilisé, cette voyance s’est éteinte avec le charbon.
Ou bien rencontrer au hasard un lièvre et un bouc était gage de chance imminente et ce, tout particulièrement si le lièvre tentait d'échapper en même temps à des chiens.
En revanche, rencontrer un lièvre en dehors d'une partie de chasse signifie qu'il vaut mieux rentrer à la maison parce qu'un danger vous guette, voir une chauve-souris, un âne ou un corbeau étaient de mauvaise augure.
Il en va de même de l'observation des pies, on disait "une pie, souci, deux pies, bonheur, trois pies, malheur" Les rencontres fortuites entre certains animaux étaient en effet porteuses de messages. Une même rencontre pouvait aussi s'interpréter différemment selon les cultures.
Aux Etats-Unis comme en France, rencontrer un chat noir porte malheur, alors que pour les Britanniques c'est au contraire un signe de bonheur et de chance. Rencontrer un médecin ou un pharmacien vous avisait de faire attention à votre santé. On pouvait encore la pratiquer en observant les fleurs. Il était d'usage d'effeuiller par exemple des marguerites afin de présumer des sentiments de ceux dont on souhaitait être aimé (ce type d'usage est du reste mis en scène dans le célèbre ouvrage de Goethe "Faust», dans la scène du jardin.
Le plus connu est le biscuit chinois qui contient des messages prophétiques. On l'appelle aussi, biscuit de la chance. Les biscuits chinois étaient tous formés originalement de 10 mots. Leur invention remonte aux 13 e et 14 e siècles où la Chine était occupée par les Mongols.
Autrefois, on cachait des messages secrets dans des gâteaux de lune. Ceux-ci concernaient la date d’un soulèvement populaire contre les envahisseurs. La transition des gâteaux aux biscuits de fortune actuels a été encouragée par les temps difficiles des ruées vers l’or et à cause de l’explosion ferroviaire en Californie. Les immigrants chinois échangeaient alors des messages positifs au festival de la lune au lieu des gâteaux et c’est ainsi que les biscuits de fortune ont commencé. L’une des premières industries a émergé dans la région de San Francisco. Les biscuits furent fabriqués à la main jusque dans les années 50…
Les anciens regardaient d'ailleurs comme un présage funeste les toiles d'araignées qui s'attachaient aux étendards et aux statues des dieux.
Néanmoins, dans la tradition populaire, une araignée qui court ou qui file promet de l'argent ; les uns prétendent que c'est de l'argent si on la voit le matin, et si on la voit le soir ça annonce une nouvelle.
D'autres citeront aussi ce proverbe-axiome: “Araignée du matin, petit chagrin; araignée de midi, petit profit; araignée du soir, petit espoir.”
Puis, l'on dit que dans le bon temps de la loterie, des femmes enfermaient le soir une araignée dans une botte, avec les quatre-vingt-dix numéros écrits sur de petits carrés de papier. L'araignée, en manœuvrant la nuit, retournait quelques-uns de ces papiers.
Ceux qui étaient retournés de la sorte, étaient regardés le lendemain matin comme numéros potentiellement gagnants. Les toiles d'araignées sont utiles, aussi: puisque l'on dit qu'appliquées sur une blessure, elles arrêtent le sang et empêchent que la plaie ne s'enflamme.
I L'Alphabet de Tripoli :
II Les Différents Nombres :
- Nombre d'expression
- Nombre actif (ou première clé)
- Nombre héréditaire (ou nombre d'hérédité)
- Nombre intime (ou nombre d'idéalité)
- Nombre de réalisation (ou nombre de structure)
- Nombre issu des initiales
- Nombre psychique
- Nombre d'évolution
III La Table Karmique :
La Table Karmique est en fait une manière de calculer les dominances et les faiblesses dans le caractère. Pour faire sa Table Karmique, on calcule le nombre de chiffres comptés dans notre synthèse du nom et du prénom. Cela se nomme Table Karmique car l'on pose le résultat ainsi:
- La première consiste à lancer l’arme contre un arbre. Pour émettre une prédiction, le devin interprète la trajectoire de la hache qui va se planter dans l’écorce. Il étudie également l’inclinaison du manche, lorsque l’arme s’est immobilisée. Ensuite, il observe attentivement la profondeur de l’entaille et surtout l’endroit de son impact dans l’arbre.
- La deuxième méthode consiste à faire rougir la hache sur un feu, dans le but de découvrir un trésor. On la pose de manière à ce que le tranchant soit bien perpendiculairement en l'air. On place la pierre d'agate sur le tranchant. Si elle s'y tient, c’est qu’il n'y a pas de trésor. Si en revanche, elle tombe, elle se met à rouler. On la replace ainsi trois fois et si elle roule toujours vers le même lieu, c'est qu'il y a un trésor à cet endroit-là. Si elle prend chaque fois une route différente, c’est qu’il faut chercher ailleurs.
- La troisième a pour but de découvrir des voleurs. On pose alors la hache à terre, le fer en bas et le bout du manche en l'air. On danse en rond tout autour, jusqu'à ce que le bout du manche s'ébranle et que la hache s'étende sur le sol. Le bout du manche indique alors la direction qu'il faut prendre pour aller à la recherche des voleurs
Elle vous permet de lire l'avenir grâce au marc de café. Le voyant ou la voyante observe les formes et les signes ou certains symboles. Grâce à ceux-ci, les présages nous indiquent les événements à venir.
Comment opérer? C’est assez simple : Pour commencer, il faut d'abord récupérer le marc qui a servi à confectionner votre café puis l'égoutter mais pas trop, car le marc doit garder une consistance liquide qui lui permet de couler et ainsi de créer des symboles. Vous verserez le marc de café dans un plat de préférence blanc mais cela n'est pas obligatoire, puis vous ferez tourner doucement celui-ci. Observez les formes ou les symboles qui apparaissent il n'est pas facile au début de vraiment discerner tous ces signes car l'expérience joue un grand rôle dans la cafédomancie. Venez découvrir l'interprétation des symboles les plus courants, apparaissant dans le marc de café. Aidez-vous de cette liste, pour interpréter vous-même les symboles obtenus dans votre marc de café, ce sont les signes les plus répandus dans la cafédomancie.
Abeille = le monde du professionnel
Araignée = création
Arbre = ascension
Balai = changements
Balance = tribunal jugement
Barque = voyage
Bâton = soutien extérieur
Botte = autorité
Bouche = vérité
Bouc = fécondité
Chapeau = pouvoir
Chaîne = Nouvelle relation ou renforcement
Chat = le monde de l'occulte
Chandelier = salut
Château = protection
Chaudron = agissement sur votre personne
Chauve-souris = bonheur
Cheminée = communication spirituelle
Cloche= chance
Cœur = Rencontre amoureuse
Diable = mal
Damier= conflit
Dauphin = régénération
Diamant = pureté dans une relation
Disque = danger
Échelle = ascension
Éclair = sexualité
Enclume = Remariage
Epée = militaire
Équerre = correction
Escalier = progression
Filet = complication
Flamme = purification
Fourche = choix difficile
Fourmi = activité industrieuse
Grenouille = résurrection
Hameçon = escroquerie
Harpe = Message imminent
Hutte = déménagement
Jarre = abondance
Labyrinthe = inconstance
Lanterne = immoralité
Lézard = sagesse
Licorne = pureté
Masque = dissimulation
Massue = pouvoir négatif
Mouche = persécution
Nœud = situation inextricable
Œil = Savoir
Oreille = obéissance
Os = fermeté
Paon = vanité
Papillon = légèreté préjudiciable
Peigne = ordre
Pendu = impuissance
Phallus = puissance génératrice
Pieuvre = mauvais esprits
Poisson = sexualité
Plume = clairvoyance dans la divination
Pyramide = accroissement
Rose = perfection
Scorpion = maléfice
Serpent = peur incontrôlée
Singe = maîtrise des événements
Spirale = érotisme
Taureau = puissance irrésistible
Trapèze = échec, inachèvement
Trèfle = gain rapide
Tresse = problème insurmontable
Trompette = mauvaise nouvelle
La pratique : Tout d’abord il faut savoir qu’il est prouvé que la fixation prolongée d’un objet lumineux provoque des manifestations insolites chez n’importe quelle personne. C’est ainsi que peuvent apparaître des images de toutes sortes qui ont plus ou moins des rapports avec des souvenirs imprimés dans notre subconscient. Maintenant si vous souhaitez expérimenter cette méthode divinatoire il y a quelques règles à respecter. Tout d’abord vous devrez vous isoler dans une pièce calme et éclairée uniquement par la lumière d’une bougie. Vous poserez le miroir de manière à ce qu’il reflète la lumière de cette bougie. Enfin vous devrez exprimer mentalement votre question puis ne plus penser à rien et fixer le point lumineux dans le miroir. Au bout de quelques secondes ou minutes, le miroir semble disparaître derrière une sorte de brume, pour laisser place à un « écran » sur lequel apparaîtra une image. La vision ne dure alors qu’une fraction de seconde. Vous devez donc porter la plus grande attention à votre interprétation car l’image peut aussi bien avoir un lien avec le passé qu’avec l’avenir. Quelques conseils concernant la pratique de la catoptromancie : N’oubliez jamais que le pouvoir de votre miroir magique vient avant tout de VOUS. Il est donc inutile de chercher à « améliorer » votre miroir à l’aide de rituels, cela ne servirait à rien. En revanche n’hésitez pas à faire brûler de l’encens (par exemple de la myrrhe qui favorise la concentration mentale) ou des plantes (la salvia divinorum mais avec prudence !) au cours de vos séances ce qui aura pour effet d’améliorer vos capacités et vos perceptions. Lorsque vous débutez votre séance, ne chercher pas votre reflet dans le miroir. Essayez d’aller plus loin, de poser votre regard au fond du miroir comme vous le feriez ave un bol rempli d’eau. Avec de la pratique, les images se transformeront en flash de plus en plus puissants. Au point que vous finirez par ne plus seulement les voir dans le miroir mais tout autour de vous, comme si vous y étiez. Votre miroir est un outil magique. Protégez-le du regard des autres.
La réponse sera positive pour la personne qui aura le plus gros morceau du bréchet dans sa main lorsqu'il sera brisé ! Ce n'est pas réellement une méthode de divination, toutefois vous pouvez la pratiquer vous-même au moment voulu pour trancher une question !
Cette méthode de tirage au sort, de loterie, est très commode et excellente en principe, puisqu'elle laisse au dieu une entière liberté dans son choix entre les signes convenus. La cléromancie est donc très ancienne. La divination par les dés nécessite trois dés. Cette pratique est quelque peu limitée, étant donné que c'est l'oracle lui-même qui détermine le message (c'est-à-dire que l'oracle ne répondra pas à une question spécifique). Utilisez votre intuition pour élargir les pronostics du dé. Pour procéder, déposez trois dés de la même taille soit dans une tasse ou entre vos mains. Brassez-les vigoureusement et permettez-leur de tomber sur un morceau de velours. Additionnez les chiffres qui apparaissent sur les faces supérieures des dés, puis déterminez votre sort d'après la liste qui suit :
3 : le plus petit nombre qui puisse apparaître. D'agréables surprises dans un avenir très proche.
4 : des situations désagréables quelconques peuvent se présenter.
5 : des plans porteront leurs fruits. Un vœu sera exaucé.
6 : une perte quelconque est prédite.
7 : des difficultés possibles en affaires, des problèmes d'argent, des commérages et ainsi de suite.
8 : attendez-vous à des critiques.
9 : mariage, unions.
10 : naissance, soit d'un enfant, soit d'un nouveau projet.
11 : une séparation, qui pourrait être temporaire.
12 : un message arrivera bientôt.
13 : chagrin.
14 : amitié, aide d'un nouvel ami.
15 : ne commencez pas de nouveaux projets pendant quelques jours.
16 : un voyage agréable.
17 : un changement dans les plans peut être bientôt nécessaire.
18 : succès, un vœu sera réalisé, c'est le meilleur nombre qui puisse apparaître.
Le principe est que la boule de cristal, de par sa pureté, absorbe les différentes sortes de lumières, ainsi que les formes, les couleurs et les mouvements à l’intérieur de celle-ci permettent de lire l’avenir. Son éclat « envoûte » ainsi la personne qui la contemple. Si celle-ci est assez sensible, elle sera très vite transportée dans un état propice à la voyance. Cependant, la cristallomancie n’est pas un art divinatoire facile, il faut un certain degré de concentration et une sensibilité accrue pour pouvoir la maîtriser correctement. La première civilisation à avoir utiliser les boules de cristal est la civilisation Gitane. La sorcière gitane, y lisait l’avenir le plus proche comme le plus lointain.
Mais en réalité la cristallomancie est l’art de lire dans les surfaces lisses et réfléchissantes, dont l’une des variantes est la catoptromancie, la divination par les miroirs, qui était déjà pratiquée par les magiciens perses de l’antiquité.
A l’origine, on utilisait l’eau : un étang ou une flaque. Il semble que les Perses de l’Antiquité furent les premiers à se servir d’un speculum, un objet réfléchissant pour prédire l’avenir. D’autres sources attribuent aux Druides Celtes cette pratique divinatoire, fréquemment utilisée en Bretagne il y a près de 2000 ans avant notre ère. Cet art de lire l’avenir dans une boule de cristal est devenu, au fil des siècles, le symbole par excellence du voyant, de la « Madame Irma » de toutes les légendes. Il faut tout d’abord savoir que la boule de cristal ne doit jamais entrer en contact avec la lumière du soleil. Il est donc préférable de la lui dérober en la dissimulant sous une draperie bleu nuit ou mauve violet. De même, il faut éviter que d’autres personnes que vous ne touche la boule. Dernier conseil : le mieux est de travailler avec la boule de cristal un vendredi aux alentours de minuit.
Rituel : Déposez votre boule de cristal sur une table de bois. Regardez-la attentivement, recherchez son éclat, ne faites plus qu’un avec elle. Une fois cette observation faite, posez calmement et de façon intelligible votre question.
Par la suite, bougez vos mains aux alentours de la boule de cristal, observez les formes et les couleurs, il ne vous reste « plus qu’à » traduire. Dès que la vision sera terminée, n’oubliez pas de remercier votre boule de cristal.
Interprétations des Couleurs :
Le bleu : est un symbole de maturité et d’intelligence, il signifie également, une remise en cause spirituelle, ou une prise de conscience, la compréhension de quelque chose.
Le blanc : la réponse à votre question est positive, c’est donc un excellent présage.
Le vert : est le symbole de l’espoir, votre situation aura une conclusion avantageuse.
Le noir : est le symbole du chaos, la réponse à votre question est négative.
Interprétations des Animaux :
L’aigle : Il symbolise, le courage, la volonté, et le besoin de liberté.
L’araignée : Elle représente la déception amoureuse.
Le bœuf : La résistance à la dépression et à la douleur physique ou psychique.
Le chat : Il représente la sournoiserie et la trahison.
Le cheval : La fierté et l’égocentrisme.
Le serpent : Le danger mortel, et le désir de la chair.
Interprétations des Plantes :
L’arbre : Le soutien de la famille et la réussite dans le domaine professionnel.
Le bouquet de fleurs : Le plaisir à court terme.
Les fleurs : Le plaisir et le bonheur à long terme.
Le trèfle : Le gain aux jeux, et la réussite pécuniaire.
Interprétations des Objets :
L’assiette : Les gains aux jeux.
Le cercle : La naissance d’un enfant et l’union d’un couple.
Les chandeliers : Le soutien d’un ami, et les conseils avisés des parents.
Les croix : Douleurs physique et maladie grave.
La hache : L’accident et la chute.
Interprétations Le corps :
La bouche : Les ragots et les mauvaises rumeurs.
La jambe : Passion et amour sensuel.
La main : Passage à l’action et force de caractère.
Les yeux : Le dénouement d’un problème, la justice.
Alors, apprentis cristallomanciens, testez et livrez-nous vos premières impressions !!!!!
L'inconvénient de la crommyomancie est qu'il ne faut pas être pressé pour obtenir une réponse! On la réservera pour les questions divinatoires à long terme, car, les réponses peuvent prendre des semaines ou même des mois!
Voyons voir comment procéder, pour une question simple (oui ou non): se munir de deux oignons, puis inscrire à l'aide d'encre ces deux alternatives, ensuite les ranger dans un endroit sec, à partir de ce moment, armez-vous de patience. Car le premier à germer vous donnera la réponse. Pour d'autres questions, si les alternatives sont plus nombreuses, alors munissez-vous d'autant d'oignons que nécessaire.
- Un chien qui se couchait dans votre lit attirait sur vous la colère des dieux.
- Un chien qui se couchait sur une chaise était un signe de malheur.
- Des chiens qui aboyaient devant les portes étaient le présage de peste.
- Des chiens qui hurlaient dans les rues annonçaient l’arrivée de la famine.
- Un chien qui s’arrêtait devant vous annonçait un problème que vous alliez rencontrer dans vos projets.
- Un chien qui s’arrêtait à côté de vous vous conférait une protection divine.
- Un chien qui aboyait à un carrefour était le signe de l’arrivée d’ennemis.
Dans l’Antiquité, il existait une catégorie de devins, appelés les daphnéphages, qui avaient le front ceint d’une couronne de laurier, et qui mangeaient des feuilles avant de rendre leurs prédictions. Le fait de mâcher des feuilles inspirait, disait-on, le don de prophétie. C’était une méthode employée par les Pythies, les Sibylles et les prêtres d’Apollon. Le laurier, ainsi présent dans toutes les cérémonies, apparaissait comme le symbole de la divination.
La méthode de préparation : Initiée dans les années 1900 par la voyante Luce Vidi, l’encromancie exige que l’individu jette de l’encre sur une feuille de papier jusqu'à l’obtention d'une figure imaginaire. La tache résultant de cette action est représentative de l’avenir immédiat (à court terme) de l’individu.
Le rituel : Inscrire le prénom de l’individu sur une feuille de papier blanc. Inscrire une question sur la feuille. Projeter une goutte d'une encre violette sur la feuille et répéter ce geste 3, 7 ou 13 fois. Plier la feuille en 4 en pressant le papier, attendre quelques minutes puis ouvrir la feuille. Le dessin formé répond à la question posée par l’individu
L’interprétation de l’encromancie : Le haut de la feuille représente l’avenir de l’individu, le milieu de la feuille représente le présent et le bas de la feuille représente le passé. Il est entendu que les points positifs sont situés en haut de page tandis que les points négatifs sont observables en bas de page.
Les figures formées par les taches :
Ancre : En encromancie une tache d’encre en forme d’ancre est signe d’évasion, d’espoir ou de départ.
Anneaux : En encromancie une tache formant plusieurs anneaux distincts est signe d’union ou de rapprochement.
Arbre : En encromancie une tache d’encre en forme d’arbre est signe de force, il représente une personne solide.
Balance : En encromancie une tache en forme de balance est signe de retour à l’équilibre.
Chapeau : En encromancie une tache d’encre en forme de couvre-chef est signe de protection extérieure.
Dent : En encromancie une tache en forme de pointe (dent) indique l’abus.
Étoile : En encromancie une tache d’encre en forme d’étoile est un signe de protection et de réussite.
Flammes : En encromancie une tache en forme de flammes indique la passion parfois destructrice.
Lèvres : En encromancie une tache d’encre en forme de lèvres fait appel à une rencontre ou à l’amour.
Papillon : En encromancie une tache en forme de papillon indique l’instabilité et la liberté.
Parapluie : En encromancie une tache d’encre en forme de parapluie fait appel à la prudence.
Roue : En encromancie une tache en forme de roue indique la chance.
Triangle : En encromancie une tache d’encre en forme de triangle est signe de protection.
Pratique : L’un des procédés de la grammatomancie employés dans l’Antiquité (chez les Grecs) était le suivant : les diverses lettres de l’alphabet étaient dessinées sur le sol, en cercle, chacune derrière une poignée de grains. Un coq était lâché au milieu du cercle. Entamant tel ou tel tas de grains, l’animal « sacré » désignait la lettre qui devait être retenue par le grammatomancien pour constituer un mot apte à formuler la réponse à la question posée. Mais il arrivait aussi qu’un homme ou une femme vienne tournoyer dans le « cercle magique », jusqu’à la perte totale d’équilibre. La direction de la chute indiquait la lettre de l’alphabet à retenir. De nos jours, nul besoin de se mettre dans un état qui peut être assimilé à celui de la transe. Plutôt que de jouer aux derviches tourneurs, vous pouvez, tout simplement, faire comme les indications suivantes :
1. Découpez une ou plusieurs séries de lettres de l’alphabet et placez-les dans un chapeau.
2. En pensant fortement à la question posée, secouez le chapeau, puis retirez un minimum de 7 lettres, au hasard, les yeux fermés.
3. Alignez les lettres dans l’ordre du tirage et interprétez- les.
Plusieurs possibilités peuvent se présenter:
a. Les 7 lettres ne constituent pas un mot (par ex : TYBZPMR), ce qui vous oblige à recommencer autant de fois que nécessaire.
b. Les 7 lettres forment un ensemble qui, phonétiquement du moins, évoque une notion quelconque (par ex : SAWINRE = CHAVIRE).
c. 2 lettres ou plus parmi celles tirées constituent un mot (exemples : WRANONT ; PZORTIS).
d. Les 7 lettres proposent un mot tronqué (ex : PIYCOMBattre).
e. On peut lire une réponse clair (ex : VIENDRA).
Cette dernière éventualité se présente, malheureusement, très rarement.
Interprétation :
Exercice : Supposons que la question posée soit : « Vais-je me marier avant la fin de l’année? » Pour ne pas compliquer les choses, restons-en aux exemples que nous venons de citer. Si vous avez tiré les lettres T, Y, B, Z, P, M, R, remettez-les dans le chapeau et recommencer l’opération. Si vous lisez SAWINRE, vous pouvez déduire que votre projet de mariage va « chavirer ». Si s’alignent devant vos yeux les lettres W, R, A, N, O, N, T (ce cas peut se présenter si vous avez au moins 2 séries de lettres), vous pouvez voir dans les lettres N, O, N, une réponse négative. Si vous avez à interpréter les lettres P, I, Y, C, O, M, B, il vous est licite de compléter les 4 dernières (comb… attre) et de conclure que votre mariage pourra avoir lieu uniquement au prix d’un « combat acharné ». Si vous avez de la chance d’avoir réussi à tirer. V, I, E, N, D, R, A, tout devient plus simple, vous pouvez espérer que vos vœux seront exaucés.
Si le sel crépite longtemps et que le bruit est fort, la réponse est positive et si s est moins fort et peu de temps, négatif. On a pour mémoire que pour les anciens le sel était symbole d’amitié, d’ailleurs autour de la table les gens avaient pour coutume de s’en servir un après l’autre au début du repas, si une personne en renversait c’était signe de bagarre future .C’est ainsi que le fait de jeter du sel par-dessus l’épaule est maintenant important pour conjurer le sort. En temps ancien le sel était aussi un symbole de réconciliation entre dieu et les hommes.
A l'époque l'on considérait le foie comme un organe noble, siège des sentiments et des pensées par de nombreuses civilisations. Cet art divinatoire était pratiqué dans l'antiquité en Mésopotamie, puis chez les étrusques avant d'être pratiquée dans la Rome antique. Cette pratique divinatoire n'est plus d'actualité de nos jours.
Pour transférer votre énergie il suffit de ce concentré fortement en imaginant un rayon d'énergie qui sort de votre corps. Au bout d'un moment vous allez sentir une légère fatigue. Si vous continuez, vous allez vous fatiguer de plus en plus. Il est prudent de s'arrêter avant l'épuisement total car après vous risquez la mort. Avec de l'entrainement vous pourrez tenir plus longtemps et donner des formes plus complexe à l’eau. Au fil du temps vous pourrez voir différent phénomène dans l'eau (petite créature, paysage …). Vous pourrez même entendre l'eau vous parlé.
Une fois arriver à ce stade vous pourrez apprendre directement des élémentaires d'eau (Ondin). Votre puissance en sera considérablement augmenter. Car ils vous apprendront à utiliser l'essence de l’eau.
Aucun de ceux qui ont appris technique ne peuvent la divulgué car les élémentaires parlent directement dans l'esprit de la personne. Elle reçoit les donné mais ne les comprend pas. C'est avec de la pratique qu'elle comprend mais ne peut l’expliquer. Nous n'avons pas de réponse à ce phénomène. Certains disent que les Ondins modèle votre subconscient de manière que la personne ne se souvient de quasiment rien. D'autre affirme qu'on ne peut pas expliquer cette technique dans notre langue car aucun mot ne correspond de près ou de loin pour cette description.
Cette technique est très puissante. Maitrisé l'essence de l'eau ne signifie pas apprendre une autre méthode plus économique en énergie pour modelé l’eau. Maitrisé l'essence de l'eau c'est maitrisé sa nature au point de pouvoir créer rien qu'en y pensant de la glace ou de la vapeur. Aujourd'hui à cause de la loi des trois retours et de tous ceux qui prennent la magie pour de la rigolade 2 tsunami sur 3 sont d'origine magique. Mais à défaut de détruite elle peut purifier.
Chaque-fois que vous vous l’avez les mains, pensez intensivement que par cet acte vous ne vous dépouillez seulement des saletés du corps mais aussi de celles de votre psychisme. Pensez, par exemple, que vous vous débarrassez de vos échecs, de vos troubles, de vos mécontentements, vos maladies, que tout cela part avec l’eau. Lavez-vous si possible au robinet puisque l'eau sale s'écoule immédiatement pensez qu'avec celle-ci vos défauts disparaissent. Si vous disposez que d'une cuvette, videz-la aussitôt de l'eau usée afin que personne ne la touche. Vous pouvez aussi laisser mains un moment dans l'eau froide et vous concentrer sur le fait que grâce à cette attraction, issue de la nature magnétique du plan éthérique et agissant sur le psychisme, tous vos défauts sont ainsi drainés. Soyez fermement convaincu que vos échecs partent avec l’eau, cette dernière devant être immédiatement vidée. En très peu de temps, vous serez surpris du succès de cet exercice dont l'efficacité s'avère extraordinaire quand il est fait en été : on immerge dans une rivière tous corps à l'exception de la tête.
A l’inverse, cet exercice peut être aussi effectué pour acquérir une qualité. On imprègne ou magnétise l'eau en pensant à la qualité désirée et en étant intimement convaincu qu'en se lavant, la force passe dans corps astral et s'y établit. Celui qui dispose de suffisamment de temps peut unir les deux exercices : il se décharge d'abord de ses souillures (dans l'eau courante ou dans une cuvette, par exemple) puis il se lave dans une autre eau imprégnée d'une qualité. Dans ce cas, on utilise du savon pour le premier exercice.
Une autre possibilité digne d'attention est encore offerte au Mage : le bain magnétique des yeux. Dans de l'eau tiède ou mieux dans de l'eau chauffée la veille, le Mage plonge le matin son visage (dans une cuvette à moitié pleine) ouvre ses yeux dans l'eau. Il roule les yeux de tous côtés et répète cet exercice aussi sept fois. Avec la pratique, la brûlure initiale des yeux cesse. Si, par ailleurs, la vue est faible, il bénéfique d'ajouter à l'eau une légère décoction d'euphraise (herba euphrasia). Ces bains rendent les yeux plus résistants aux changements de température, ils diminuent les problèmes de la vue, ils fortifient par conséquent la faculté visuelle et donnent au regard clarté et brillance. Que l’on n’oublie pas de magnétiser l'eau utilisée à cet effet ou de l'imprégner de son souhait par la concentration. Les élèves avancés, qui s'exercent à la voyance, peuvent favoriser par ce moyen leurs dons.
Si quand on arrose l'encens, la fumée se dirige vers la droite, c’est que vous allez dominer votre adversaire. Mais à l’inverse, si la fumée se dirige vers la gauche, cela signifie que c’est votre adversaire qui va vous dominer.
Si quand on arrose l'encens, la fumée se dirige de manière égale dans toutes les directions, c’est que le combat va être mené à armes égales. Quand la fumée est regroupée, c’est un véritable succès, la personne va faire fortune où qu'elle aille. Si sur le haut de la fumée d'encens est dispersée, il y aura des pertes financières et des pertes de bétail dans la propriété de la personne. Quand le haut de la fumée est fendu en deux, c’est un signe fort de folie mentale. A noter que cet art divinatoire prédit tout, excepté tout ce qui touche au mariage et à la mort.
Quel jour de la semaine vos règles sont-elles commencées? Lundi, une nouvelle connaissance;
mardi, un cadeau;
mercredi, une inquiétude;
jeudi, une déclaration sentimentale (amour, amitié, etc);
vendredi, un moment de tristesse;
samedi, une solution à un problème;
dimanche, amitié.
Quel jour du mois vos règles sont-elles commencées?
1 - Vous vivrez dans le bonheur
2 - Vous serez dédaignée
3 - Dispute
4 - Joie et gaieté
5 - Tristesse venir
6 - Surprise amoureuse
7 - Amour non encore concrétisé
8 - Vous vivrez une grande joie
9 - Changement à prévoir
10 Amour vif, sans nuage
11 - Fidélité absolue
12 - Passion ardente
13 - Petite souffrance à venir
14 - Heureuses nouvelles
15 - Concrétisation de ce que vous attendez
16 - Éloignement
17 - Réception d'une mauvaise nouvelle
18 - Vous serez désirée
19 - Vous serez aimée sincèrement
20 - Vous aimerez
21 - Ennui passager à prévoir
22 - Mélancolie et soupçons
23 - Malchance ou mauvaise fortune
24 - Vous vivrez une contrariété
25 - Voyage à venir, prochainement
26 - Retour de la personne absente
27 - Réalisation de vos vœux ou de vos rêves
28 - On s'occupera particulièrement de vous
29 - Peines et larmes à prévoir
30 - Un événement inattendu survient
31 - Des personnes vous porteront intérêt
De combien de jour en AVANCE vos règles ont-elles commencé?
1 - Vous serez joyeuse et gaie
2 - Une nouvelle amitié se dessine
3 - Moments de tristesse
De combien de jour en RETARD vos règles ont-elles commencé?
1 - On pense beaucoup à vous
2 - Contrariété à venir
3- Quelqu'un vous aime plus que vous ne pensez.
En général, il existe quatre méthodes principales. La base est de faire fondre un peu de métal dans une cuillère ou autre (attention aux brûlures !) au-dessus d'une bougie et de se munir d'un bol d'eau froide à proximité. Le mieux est de se concentrer sur sa question pendant que le métal fond. Une fois le métal fondu :
• On le jette dans l'eau et on interprète le bruit et le sifflement qu'il fait en touchant l'eau.
• On le déverse goutte à goutte dans l'eau et on observe la forme finale que cela donne à la fin.
• On déverse le métal fondu sur un support bien humide et on observe la flaque ainsi obtenue.
• On le jette d'un coup dans l'eau et l'on interprète la forme que donne le morceau de métal une fois retiré du bol.
Dans un sens, cette technique se rapproche beaucoup de la ciromancie, qui consiste en la même opération, mais avec de la cire.
Un vol élevé, avec les ailes bien déployées était favorable, mais un vol bas avec des battements d’ailes irréguliers était mauvais signe. L’ornithomancie fut pratiquée par de nombreux peuples de l’antiquité : notamment chez les Iraniens, les Grecs et les Romains. Chez les Grecs, de grands devins de la mythologie comme Tirésias et Calchas ont pratiqué l’ornithomancie. Les oiseaux étaient souvent considérés comme les attributs des dieux comme l’aigle pour Zeus, ou la chouette pour Athéna. Les Romains nourrissaient de grands intérêts pour l’ornithomancie. En effet Remus et Romulus firent appel à cet art afin de déterminer qui gouvernera la future Rome. Les Romains avaient mis en place une technique d'étude des oiseaux qui pouvait être utilisée en dehors des sanctuaires. Ils construisaient alors un temple virtuel duquel les observations étaient faites Chez les peuples scandinaves, c’est le corbeau qui était l’oiseau des présages. Le dieu Odin possédait deux corbeaux Hugin (la pensée) et Munin (la mémoire). Chez les Germains, c’est l’apparition ou l’absence des oiseaux qui confirmait le sortilège.
Les accessoires de radiesthésie les plus utilisées sont : le pendule (masse pesante quelconque mais symétrique suspendue à un fil souple) cet objet est parfois creux de façon à pouvoir y placer des « témoins » (voir ci-dessous). Le pendule du Professeur Tournesol détient une réputation célèbre, il indique toujours l'ouest. La baguette, est constituée de deux branches en matière flexible d'environ trente centimètres de long, reliées à une extrémité. Elle sert le plus souvent à la recherche de sources, mais peut tout aussi bien servir en matière de radiesthésie médicale. L’antenne de Lecher ; elle est inspirée de la découverte d'Ernst Lecher (les « fils de Lecher ») et a l'avantage, non seulement de pouvoir tester (réception), Mais aussi d'émettre ; les témoins servent de support psychique, mais ils n'ont rien d'indispensable. Ils peuvent aider à mobiliser les connaissances relatives à l'objet de la recherche.
Déroulement d’une séance de scapulomancie : Autrefois, les demandes de divination portaient essentiellement sur la famille royale à propos d’une naissance, d’une union, d’une disparition ou de rituels sacrés à faire. Jadis, la scapulomancie était utilisée pour d’autres requêtes. Nécessitant des os plats prélevés chez les animaux, la scapulomancie exige qu’une bête soit tuée. Bien nettoyée, débarrassée de bouts de peau et de sang, l’omoplate ou le plastron de tortue est mis au contact du feu, au niveau de sa face interne. Le devin y aura préalablement marqué la date de la divination, son nom et l’interrogation soumise à la divination. Le contact de la chaleur aura pour effet de faire apparaître des fissures sur le support osseux, des fêlures que le devin étudiera afin d’obtenir des réponses à sa requête. Les résultats de ces interprétations seront par la suite gravés sur la face externe de la carapace.
Pour nos temps modernes, l'on procède différemment. Quelques amusantes méthodes de divination via la scatomancie sur le site de Adula. Ainsi, les prédictions divinatoires de vos défécations sont basées sur vos premières selles de ce jour. Toutefois si vous ne produisez pas d'excréments avant l'heure du midi, il est impossible de faire des lectures pour aujourd'hui; et dans ce cas, il est proposé de consommer plus de son et de fibres.
Voici donc un petit guide d'étude fécale, quant à la couleur de vos selles:
• Selles noires ou brun foncé - indique que vous devez prendre des décisions rapides aujourd'hui.
• Selles brunes - indique que vous n'aurez pas de réelles surprises aujourd'hui.
• Selles beiges - indique prudence.
• Selles vertes - indique turbulences à venir.
• Selles rouges - indique que vous avez du sang dans vos selles.
• Selles bleues - indique que quelque chose est erroné.
Les arcanes mineurs (56 au total) s'apparentent au jeu de 52 cartes classiques de la cartomancie avec la correspondance : Cœurs = Coupes, Carreaux = Bâtons, Trèfles = Deniers, Piques = Épées. On y trouve en plus dans chaque famille le Cavalier. Les cartes « Roi, Reine, Cavalier, Valet » forment les Honneurs, quant aux cartes de 1 à 10, ce sont les Numéraires dont l'interprétation divinatoire est fortement inspirée de la numérologie. Hautement symboliques, tout l’art du taromancien réside dans l’interprétation des arcanes. Il les identifie, les relie entre eux et leur donne une signification par rapport à leurs positions dans le tirage, à la question posée et à la situation du consultant. La taromancie, de même que la cartomancie, sont parmi les arts divinatoires les plus communément utilisés.
Au moment de la mort
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Au moment de la mort
La mort est un passage, au moment de la mort, l'âme change de plan vibratoire. La mort n'est pas synonyme de néant, mais de changement d'état ou séparation de l'âme d'avec le corps physique.
Ceci est une vérité indiscutable pour nous médiums et pour toux ceux qui ont vu l'âme de leurs proches et se taisent par peur du ridicule.
Voici un résumé de nos propres expériences et ce qui nous a été dit par nos guides, en vision, écriture automatique ou incorporation.
A l'approche de la mort, les champs auriques, qui sont au au nombre de sept personnels ainsi que les énergies du corps, se mélangent, et mélangent leurs couleurs, se déstructurent et tourbillonnent au niveau du chakra du coeur.
au moment de la mort, ce tourbillonnement énergétique constitue un cône lumineux énergétique au niveau du chakra du coeur, par lequel sort l'âme. Certains dans des expériences de NDE, l'ont vu comme un tunnel.
Au moment du passage, la dernière chose qui reste "activée" est le cerveau, et dans le cas d'une NDE et d'un retour dans le corps, la première chose qui est activée par la conscience c'est le cerveau aussi d'où la sensation de sortir et de rentrer dans son corps par la tête, alors que le regroupement des énergies qui constituent l'âme, elles, sortent par le chakra du coeur.
L'esprit est pour nos guides la résultante de ce que notre âme a fait passer à travers notre cerveau au corps. Ainsi l'âme n'est pas toujours l'esprit. Il est la partie filtrée de nôtre âme par le cerveau et notre corps qui emmagasinent nombre d'expériences qu'il retourne à l'âme.
Le cerveau serait un sas d'échanges entre l'âme qui impulse ce qu'elle est, sait et souhaite par le biais d'impulsions électriques au corps, et le cerveau qui retournent à l'âme sous formes d'impulsions énergies ce qu'il a vécu. au moment de la mort physique, l'âme conserve en mémoire toutes ces expériences que lui a retourné le cerveau et qui l'ont enrichies.
L'âme a une conscience totale de ce qu'elle est, a vécu (y compris dans d'autres vies), et doit accomplir. L'esprit et le corps en ont une vision réduite et parfois fausse.
Mais malgré tout, notre corps et notre cerveau sont guidés par notre âme. Il arrive que le vécu présent qu'emmagasine le cerveau soit plus puissant que ce que l'âme aimerait insuffler au corps, d'où toutes sortes de mal-êtres, de pertes de repères, et de mauvais choix. Une NDE et une petite virée au pays des âmes parfois remet le cerveau à sa place.
Vous remarquerez que les enfants, moins sujets à la raison raisonnante, à la main mise du cerveau, se souviennent beaucoup plus facilement de leurs vies passées.
Pour en revenir au moment de la mort, c'est par ce cône lumineux, énergétique, que l'âme du défunt se dirige et c'est par là aussi que les entités déjà dans l'autre monde (des guides de lumière, son guide, ses proches et ceux qui ont eu un lien affectif avec lui) viennent le chercher, ou lui barrer la frontière si il est amené à revenir dans son corps.
Si il est vrai que le mourant se remémorre sa vie, les pensées qui sont les siennes à cet instant n'influencent pas sa vie dans l'au-delà ni sa sa prochaine réincarnation comme le pensent les Bouddhistes.
C'est sa vie globale qui détermine son karma et non les pensées à l'instant de la mort comme le suggère les Bouddhistes.
Alors qu'est ce que cette âme qui ne se meurt pas, qu'est-ce qui monte ?
Comme nous le soulignons également dans le dossier magnétisme, l'âme est la résultante énergétique de la somme de nos pensées, émotions et résultantes de vécu, d'expériences au cours de nos vies.
Une pensée, une émotion est de l'énergie et toutes s'inscrivent vibratoirement dans vos champs auriques et c'est la somme de ces pensées-émotions-persona sous forme d'énergie qui elle survit à la mort et que l'on apelle l'âme.
Ainsi le siège des émotions c'est l'âme et non le cerveau. Le cerveau lui décode et impulse les informations au corps. Ainsi un cerveau détérioré pourrait ne plus renvoyer au corps émotions et sentiments, mais l'âme elle délivrée de ce cerveau défectueux les retrouverait toutes.
Ou va t-elle une fois accueillie par les entités ?
Dans une sorte de plan d'accueuil ou les âmes fraîchement arrivées restent de 40 jours à 6 mois selon leur capacité à accepter leur nouvel état de conscience, à mener une réflexion constructive sur leur vie juste finie, sur leur parcours qui s'inscrit sur plusieurs vies.
Bien évidemment elles sont entourées par d'autres âmes plus expérimentées et missionnées dans ce sens. Ensuite elles sont accueillies selon leurs mérites dans le niveau qui leur correspond : nous le verrons dans le chapitre prochain. (l'au-delà)
Toutes rejoignent-elles leur niveau ?
Non, dans certains cas, les âmes de personnes suicidées ou arrachées à la vie brutalement peuvent jusqu'à ce que l'on viennent les délivrer, rester attachées à un plan vibratoire terrestre par le remords ou l'incompréhension.
En cas d'une mort brutale, certaines âmes ne se ressentent pas mortes (et elle ont raison), mais ne se rendent pas compte qu'elles ont quitté le plan de vie terrestre.
Elles peuvent voir ce qui se passent sur terre, se trouvent à côté des vivants, essayent de leur parler.... et n'obtiennent rien... se retrouvent dans le désarroi et l'obsession...
Faire appel à la lumière pour se délivrer est parfois ce qu'attendent les guides de lumière pour venir les chercher.. alors que d'autres sont accueillies de suite.
Ne me demandez pas pourquoi, seules les hautes entités spirituelles en détiennent la raison. Parfois au détour d'une conversation avec nos guides, ils nous arrivent d'entrevoir une parcelle d'explication.
Sachez cependant que l'errance n'est pas forcément une punition, et toutes les âmes dites errantes ne sont pas toutes mauvaises.
En ce qui concerne le suicide, nos guides ne l'aprécient guère car il est pour eux un moyen de fuir ce que l'on a à vivre, même si cela est des plus tragiques. Ce vécu est souvent leçon, renforcement de l'âme et est obligatoire pour monter de niveau.
Dans certains cas, l'âme est tout de même acceptée dans son niveau après avoir reçue des explications sur la non-acceptation du suicide, il s'agit souvent de suicide faisant suite à des agressions barbares, viols horribles etc..., qui ne faisaient pas partie à l'origine du karma de la personne qui s'est suicidée.
Pour se libérer les âmes errantes doivent à la fois chercher la lumière et être aidées à y être propulsées.
Mais le phénomène de la libération est complexe, car les guides de lumière ne peuvent libérer une entité sans qu'il y ait eu une demande de faite par un vivant, un proche ou quelqu'un qui lui porte une affection ou qui s'y intéresse.
Mais encore faut-il connaitre l'état d'errance de la personne, faire une demande et pouvoir communiquer avec les guides. Ainsi les prières aux défunts (ou groupe de prières) après un décès surtout brutal est donc d'un grand intérêt quelque soit la religion que l'on pratique.
C'est entre autre une des missions des médiums sur terre qui peuvent alors coopérer avec le monde de lumière dans ce but quand des cas viennent à leur connaissance.
Certains suicidés ou assassinés peuvent rester en errance une éternité si personne ne vient les libérer ou demander à les libérer, ou si telle est la volonté du neuvième.
Que font-elles ? Souvent elles restent prostrées et revivent leur mort sur les lieux de l'assassinat ou du suicide, ou tente de communiquer avec leurs proches ou les personnes qui vivent sur ces mêmes lieux.
En fonction de leur degré de compassion ces âmes peuvent chercher à les tourmenter ou juste communiquer leur infortune dans l'espoir d'être aidées, de se libérer ou de comprendre.
Et les assassins, les mauvaises personnes ? Sont-elles punies ?
A moins qu'elles-mêmes n'aient finies tragiquement, une fois passé le stade de la phase d'accueil, et selon la nature de leurs dérives, elles seront rééduquées plus ou moins longtemps afin de rejoindre leur niveau (1 ou 2) ou ils vont tenter d'amorcer une évolution, pour la vie suivante.
Par curiosité, il nous est arrivé de poser la question sur la durée maximale de cette rééducation : il nous a été répondu un peu plus d'un demi millénaire.
Bien évidemment toutes les âmes n'ont pas besoin d'une telle rééducation. Tous les meurtriers ne sont pas psychopathes, et peut-être vais-je choquer profondément, ni mauvais.
Il s'agit simplement parfois d'une circonstance particulière qui les a fait basculer. Dans un autre temps, autre lieu, ces âmes là auraient pu peut-être, continuer à être Monsieur et Madame tout le monde.
La rééducation dispensée à ces âmes, pour un même meurtre, ou une même dérive n'est pas la même selon l'intention attachée au crime. La durée de cette rééducation dépend d'ailleurs bien souvent de l'âme elle-même. Un manque de contrôle ne se rééduque pas de la même manière qu'une méchanceté gratuite.
Par rééducation il faut entendre compréhension de ce qu'elles ont ont fait subir aux autres en subissant elle-même au plus profond de leur âme (on ne peut dire mieux) souffrance, chagrin et douleur, jusqu'à ce qu'elle ressentent en elles compassion et véritable compréhension.
C'est le travail de guides de lumière (elles aussi ont été autrefois des êtres humains vivant sur terre) et qui aujourd'hui ont accompli tout le chemin et non plus besoin de réincarnation.
Certains consultants m'ont demandé alors pourquoi l'humanité mettait tant de temps à devenir bonne ?
Quand l'âme est plongée dans un environnement de lumière et d'amour il est assez facile de bien se conduire. De retour sur terre, et parachutée dans un monde loin d'être parfait et ayant oublié ce à quoi elle était destinée (amour et compassion), il lui est beaucoup plus difficile de choisir cette voie.
Le parcours d'une âme ne vaut que par ses libres choix. L'obliger ou la programmer à l'amour n'aurait aucun sens.
D'après nos guides, nous co-créons avec Dieu un monde appelé à la perfection de l'amour. Cette création doit être consciente et choisie. Ainsi nous évoluons tous de vie en vie afin d'atteindre ce but.
Le créer dès le début n'aurait pas eu la même valeur pour ceux qui le vivront. Ce sentiment vous le connaissez. C'est celui de la fierté après avoir atteint un objectif qui n'était pas si simple à atteindre. Une fois atteint, vous avez vraiment l'impression de l'avoir mérité. Ce bonheur vous l'avez gagné et ce sentiment est encore bien plus précieux que le bonheur lui-même.
On respecte très souvent bien plus ce pourquoi on s'est battu, ce pourquoi on a sué sang et eau car on en connait la valeur.
By Angélique Deprets
Au moment de la mort - l'instant de la mort - le passage de la vie à la mort
la mort expliquée par l'au-delà
La mort expliquée par l’au-delà
Il y a parmi nous et au-dessus de nos têtes toute une hiérarchie invisible d’êtres vivants et d’âmes qui vivent dans des au-delàs et comme nous, sur des planètes totalement invisibles à nos yeux. On appelle cela les dimensions, la terre a 10 dimensions, nous sommes dans la 3ème et au-dessus de nous, il y a les autres. La 4ème dimension est notre au-delà, la 5ème est une planète d’où venait le Christ et d’où viennent les grands magiciens de ce siècle, la 6ème est l’au-delà de la 5ème, la 7ème est une planète, la 8ème est l’au-delà de la 7ème, la 9ème est la dernière planète où nous irons avant d’aller dans la 10ème dimension qui est la dernière dimension avant la fin de vie des âmes. Avant cette vie, vous avez eu des milliers de vies (minérale, aquatique, végétale, animale puis humaine) et après celle-ci vous aurez encore des vies humaines à faire pour évoluer spirituellement. Vous êtes la somme de toutes ces vies qui constituent votre personnalité actuelle. Ainsi va la vie dans sa conception miraculeuse et divine.
Si nous acceptons les cycles de la vie et de la mort nous vivons sereinement et avec sagesse et raison notre vieillesse. A l’approche de la mort (passage de cette vie à celle dans l’au-delà) qui dure plus ou moins une heure, notre âme (fluide d’énergie) qui siégeait dans l’hypothalamus dans notre cerveau, sort par le fameux tunnel (qui est le chemin pour sortir du cerveau) et la fontanelle (petit trou qu’ont les bébés au dessus du crâne), et la lumière que l’on voit ensuite c’est la lumière de l’au-delà. Le bilan de sa vie se fait avant la sortie de l’âme, on sait alors si on a eu une vie positive ou pas, puis vient l’illumination, état grandiose de sublimation totale de la vie, pour nous montrer comment nous devions VOIR la vie! Une fois sorti de son corps, on retrouve avec une joie immense les personnes que l’on aimait ou aimées de tous temps, pensez bien à cette joie au moment de partir. Vous pourrez aussi revoir vos animaux chéris.
Quand on sent que c’est la fin, il faut si possible être dans une grande paix et confiance, faire la paix avec tout le monde et en nous, pardonner, aller dans la paix divine, c’est très important. L’au-delà est un état invisible car vibratoirement plus élevé. Nous y restons près de ceux que l’on aime, que l’on continue de voir comme avant et d’ entendre. Nous sommes juste invisibles, plus jeunes et toujours là, bien vivants. Ceci est la vérité.
Une âme de lumière m’a dit:
« Quand on meurt, on quitte son corps, on le voit, et on est heureux de voir qu’on vit encore, on retrouve ensuite les personnes qu’on a aimé. Puis on vous voit et on vous entend tels que vous êtes réellement, comme vous vous voyez et entendez vous-mêmes. Nous sommes des corps de lumière qui tournons comme des toupies, et qui nous déplaçons à la vitesse de la lumière. Nous avons le don d’ubiquité c’est-à-dire que nous pouvons voir intérieurement plusieurs êtres à la fois. C’est vraiment beau cette continuité.»
Les âmes n’ont pas de nom sauf le vôtre, de code, ou de numéro c’est la télépathie qui donne immédiatement le contact intérieur avec une autre personne, ou un animal… Ils se parlent en télépathie. Nous avons tous cette télépathie en nous mais les téléphones portables et autres font que nous ne savons plus l’utiliser.
Explication sur la mort, par un être de lumière de la 5ème dimension: Jaol
« Avant de mourir et quand c’est possible, il faut se laisser aller dans une grande paix, ne rien retenir, ainsi le passage se fait plus facilement. Soyez rassuré(e) la vie continue, vous allez retrouvez tous ceux que vous aimiez et vous restez sur terre près des vôtres. C’est une certitude qui vous fera plaisir.
Il faut savoir que nous avons tous un double énergétique de nous-même (notre âme supérieure), dans l’au-delà. Ce double a la même apparence jeune que nous avions dans notre jeunesse (17-30 ans) dans sa force la plus belle . Ce double a un esprit qui sait tout et qui est plus conscient que nous. Ce double est un corps de particules extrêmement fines, très fluides.
Quand on naît, l’âme de ce double se projette énergétiquement dans les particules de matière pour concrétiser notre corps. Nous sommes une projection d’énergie de notre âme supérieure(ou conscience). Cette projection se fait par électro-aimantation.
Quand on meurt, on réintègre ce double qui rajeunit notre corps 3 ou 4 jours après. Quand notre corps s’use ou que nous n’avons plus du tout de volonté (car il faut de la volonté pour vivre), et bien nous mourrons. A ce moment là, on quitte notre corps et on le voit et on voit aussi tout autour de soi comme avant de mourir, et notre famille qui nous accueille dans l’au-delà. On voit le visible et l’invisible.
L’illumination
Le passage entre les deux vies (le visible et l’invisible et de notre corps de matière à notre double) se fait d’abord par le passage « du tunnel », le fameux tunnel des NDE, qui aboutit à une lumière intense et pleine d’amour, qui est en fait, l’illumination, un état intérieur nimbé de sainteté et d’une grande beauté. Nous vivons un encensement total, on partage et ressent la vie la plus intime des fleurs, des animaux, des humains, etc.. Dans l’émerveillement et le respect. C’est sublime à vivre. Cette illumination totale dure pendant un certain temps et peut donner la sensation d’être longue pour certains mais elle est très breve. Puis nous intégrons notre double.
Quand nous sommes dans l’au-delà, nous entendons toujours les voix des grands de la 5ème dimension que nous ne voyons jamais et qui nous guident, et vivons un encensement total, on partage et ressent la vie la plus intime des fleurs, des animaux, des humains, etc.. Dans l’émerveillement et le respect. C’est sublime à vivre.
La sortie du corps par la fontanelle
L’âme sort de la fontanelle dans un craquement plus ou moins fort. On voit ensuite après l’illumination, notre corps « mort », et on voit et entend tout, comme avant. On se pose plein de questions car on ne se rend pas bien compte de ce qu’il nous arrive. pour certains, c’est vécu comme un rêve ou un cauchemar (Lire: Mes conversations avec l’au-delà). Plein d’âmes assistent à leur funérailles.
L’accueil de notre famille de l’au-delà
Notre famille céleste nous accueille pleine d’amour et nous conseille, il faut écouter les voix qu’on entend!! Souvenez-vous d’écouter leurs conseils. Mais surtout on peut rester près de ceux qu’on vient de quitter ensuite. Quel bonheur de retrouver ses parents ou enfants décédés, c’est une joie incensée!!.
Le changement d’aspect physique
On change d’apparence physique quand nous réintégrons notre double par électro-aimantation, nous retrouverons alors l’aspect physique de la plus forte période de notre vie, entre 18 et 30 ans en général. Et si nous mourrons très jeune, et bien nous reprendrons l’aspect physique de notre vie d’avant celle-ci. L’âme est une condensation d’énergie. On a toujours un cerveau et un coeur mais subtils. Quel bonheur pour les alzheimers de retrouver la mémoire, les aveugles de voir, les sourds d’entendre, les paralysés de bouger, les handicapés de marcher, les vieux de retrouver leur 20 ans!!!! C’est prodigieux!
L’aide aux nouveaux arrivés
Restera à nous donner l’énergie nécessaire pour être bien, une nième fois, dans cette nouvelle dimension, la 4ème, d’où l’importance des prières et du soutien d’amour, de respect et de tendresse des incarnés restés en 3ème dimension. Des êtres connus dans nos vies antérieures ou des parents et amis viennent vers nous pour nous rassurer et nous expliquer ce qui se passe et nous dire d’être volontaire pour être lumineux, sinon on sera déphasé. On fait alors un effort et on décide d’accepter ce nouvel état. On est alors conseillé sur sa vie, on nous dit là tu aurais pu faire ceci ou cela car chaque seconde de notre existence est enregistrée, sans jugement ni culpabilité!!! On nous montre toutes les forces négatives et positives de notre vie. Sachant qu’il vous sera demandé, ce que vous avez fait pour les autres.
Vous pouvez rester très très longtemps dans l’au-delà si vous ne souhaitez plus vous réincarner, vous évoluerez quand même. Une demi-heure chez nous équivaut à 3 jours chez eux. Vous voyez comme ça peut être long, mais rassurez-vous, dans l’au-delà on ne vit que dans le présent.
L’engagement à faire le bien en devenant guide
Si on a pas réussi comme on le devait, notre vie humaine, alors on va agir positivement sur ce nouveau plan, en essayant de faire quelque chose de bien pour les autres. C’est par exemple, le rôle des guides ange gardien qui nous suivent tous les jours!. Dès que le choix est fait de guider quelqu’un, on leur recommande alors une personne incarnée de mêmes ondes qu’eux, et leur travail consistera à l’aider dans sa mission terrestre. Il fait d’abord un essai, il regarde vivre la personne incarnée et quand elle manque d’énergie, il lui envoie de l’énergie simplement en la regardant, cela se fait naturellement.
L’au-delà
L’au-delà qui est un état, pas une planète, est avec nous, à notre niveau. C’est là que nous allons quand nous mourrons. Nous serons alors dans un des 3 états possibles:
Le bas astral est un état intérieur de l’âme concernant les gens qui ont un mental difficile et qui font du mal.
Le moyen astral est un état intérieur de l’âme, plus pur et plus évolué.
Et l’astral supérieur est l’état intérieur des âmes très lumineuses et pures.
Le but étant d’évoluer suffisament pour passer à l’état de l’astral supérieur. On peut alors voir notre monde comme un monde merveilleux si l’on est soi-même très lumineux. L’au-delà est un état où il y a toujours une lumière qui ne fait pas d’ombre, appelée soleil vrai, le noir n’existe pas. ll faut absolument être en paix au moment de mourir, et essayer de ne pas avoir peur de mourir car en fait, ce n’est rien. Après on garde notre nature et notre caractère. Dans l’au-delà il y a des joyeux comme des moroses, des intelligents et des ignorants, des lumineux et des très ténébreux… comme ici!. Mais nous ne voyons que les êtres que nous avons aimé si nous le souhaitons. Ils sont des milliards dans l’au-delà, y compris les animaux, les arbres, les plantes etc… alors heureusement qu’on ne les voit pas tous, et puis on reste en général dans l’endroit qu’on a quitté, près de ceux que l’on a aimé. Il peut y avoir dans une même maison 2 ex maris d’une femme qui sont avec elle, sans qu’ils se voient.
Le karma
Il faut penser aux répercussions suite à nos actions. C’est une loi universelle qui dit: Tu es responsable de tes actes en raison de la loi de cause à effet ou karma. La vie est un combat qui nécessite de la bonne volonté, du courage, de la détermination à vouloir être bien en soi, d’avoir le désir de bien faire et d’aider les autres. Il faut accompagner sa vie et la redresser chaque jour dans le sens positif. Sinon, on le paye dans les vies futures.
Un autre témoignage
« Même quand on meurt par accident, c’est que notre programme a été rempli et qu’on ne peut aller plus loin. La mort n’est pas prédestinée, elle peut être douce ou tragique, tout dépend de la personne. C’est une question de force intérieure et de souffrance individuelle. Si vous êtes dans une grande sérénité intérieure, confiant dans la vie de l’au-delà, les forces vitales se défont tout doucement et vous partirez simplement comme si vous sortiez d’un gant. De l’autre côté nous nous retrouvons à l’intérieur d’une forme (le fameux double) qui ressemble à celle que nous avions sur terre et tout à coup nous voyons des êtres venir vers nous. Ils nous montrent tout ce qu’il y a de grand, de beau, et de merveilleux sur la Terre. Soudain, nous voyons avec un regard totalement différent et nous nous sentons ridicules d’avoir vécu notre vie d’homme petitement, enfermés dans notre égo, concentrés sur nos petites histoires terrestres personnelles. Tout devient immense! splendide! spirituel! J’ai du mal à trouver les mots pour vous l’expliquer. De l’autre côté, où résident les bons et les mauvais comme nous, l’obscurité n’existe pas, c’est au contraire la grande lumière!. On voit très clairement et il n’y a plus l’ombre d’une difficulté. Nous sommes, quand nous sommes des âmes lumineuses, dans la joie et le bonheur et nous apprenons et voyageons. N’ayez pas peur! Nous ressentons juste une petite détresse lorsque nous voyons le désespoir de ceux que nous quittons. Nous avons envie de rester avec eux. Nous voulons communiquer avec eux mais ils n’entendent pas ce qui est dur à vivre souvent. Sinon, nous sommes dans une grande fête intérieure, tout est clair, parfait. Nous devenons comme un faisceau lumineux ardent, conscient des forces de la vie autour de nous mais nous n’y participons plus. Les êtres que nous accueillons sont immédiatement dans la Lumière. Quand nous sortons du corps, nous échappons au phénomène d’attraction et de répulsion terrestre. Notre corps est devenu spirituel et ce n’est plus du tout pareil. Ce qui est difficile dans la vie terrestre c’est de faire mouvoir la matière. Si vous quittez la terre avec un mental lumineux et paisible, vous vivrez les premiers mois de votre arrivée dans le bonheur, si vous êtes défaits intérieurement ou traumatisés ce sera plus dur et plus long avant de vous en remettre. (voir témoignage d’Anne Franck). Le moment le plus difficile est celui où nous sortons de notre tête, instant que nous vivons comme un arrachement, mais une fois libéré on est heureux!. Soyez calme et tranquille. Si l’on meurt dans des tragédies, on remonte vers Dieu avec des petits noeuds, et quand on repart sur la Terre, à la naissance suivante, on retrouve le même bilan intérieur noué car on revient toujours avec les références bonnes ou mauvaises de notre dernière vie. Ceux qui partent dans la sérénité renaissent, au contraire comme une fleur!. Les êtres peu évolués ne cherchent pas à s’élever intérieurement et stationnent près de leur corps. Nous essayons de leur parler mais comme ils sont terriblement attachés à ce qu’ils viennent de perdre, ils n’arrivent pas à libérer leur esprit. Ceci est une phase momentanée. A l’instant où l’être humain sort de son corps, son cerveau se met à bouillonner, le film de son passé défile avec tout ce qui lui est arrivé sur Terre, toutes les émotions qu’il a eues, aussi est-il parfois sens dessus-dessous. S’il a été limpide tout se passe paisiblement. Sinon, la personne prend tout à coup conscience de ce désordre, essaye de se rassurer, en s’apercevant qu’elle a fait plus ou moins n’importe quoi. Les forces de la personne luttent au milieu d’informations qui sont relancées et qui ne trouvent pas le repos (le fameux tunnel). Il faut un certain ensuite pour que la personne trouve la paix. Ma mère a mis 9 ans, 9 ans de repos et yalla! Elle est repartie de manière magnifique! 3 jours chez nous équivaut à peu près à 15 jours chez eux.
En partant, dites: « Merci mon Dieu, reprends-moi. » Détendez-vous si vous le pouvez et laissez vous accueillir par votre famille céleste, aider et guider par les voix que vous entendrez en allant vers la lumière.
On dit: « Il ne faut pas déranger les morts » C’est archi faux, les forces données par nos amis ou famille sont pour nous, un grand bonheur! C’est une absurdité de penser que le contact nous dérange, au contraire, il nous donne de la joie! de la force! de la vitalité! Nous nous rechargeons grâce à vous!!. »
Ce que nous devons faire quand nous « perdons » quelqu’un
Ce qu’il ne faut pas faire c’est d’essayer de les ressentir car ça pompe leur énergie qu’on les tire à nous. Juste penser à eux, leur dire qu’on les aime et partager nos joies avec eux. Notre chagrin les rend malheureux et les épuise.
Faire un bon départ
Quelle que soit la vie qu’il a mené, quelles que soient ses erreurs, quand arrive le moment de quitter la terre, chacun peut au moins s’efforcer de partir dans un esprit de paix, d’harmonie, de réconciliation avec tous les êtres, et particulièrement avec Dieu. Dans la religion chrétienne, c’est le sens de l’extrême-onction.
L’extrême-onction, ce sacrement que le prêtre administre au mourant, est fondée sur un vrai savoir : l’état intérieur dans lequel un être humain vit ses derniers moments détermine la voie qu’il va suivre dans l’autre monde, et il joue aussi un rôle important pour sa prochaine incarnation, donc pour son avenir lointain. Ce sacrement est seulement une possibilité qui lui est donnée de quitter la terre dans les meilleures conditions, mais comme tous les sacrements il n’est pas indispensable en tant que rite. Il est destiné à aider ceux qui le reçoivent, mais chacun peut vivre ses derniers instants dans la lumière sans avoir reçu ce sacrement.
« Ce qui aide véritablement un être humain qui quitte la terre pour l’autre monde, ce sont les vertus qu’il a pratiquées pendant son existence. Alors, sachez-le, si vous avez vécu en harmonie avec l’Esprit cosmique, avec les lois de toute la nature vivante, quoi que l’on fasse de votre corps après la mort, et quoi qu’il arrive à ce corps, une lumière vous accompagnera parmi les ombres de l’au-delà. » Mickael Aïvanhov
Les p’tits signes de l’au-delà
Le saviez- vous?
Les âmes qui partent deviennent plus lumineuses et plus performantes ensuite, certaines ont alors des pouvoirs comme celui de se manifester par des frissons, de la chaleur, ou en ordonnant à des petits oiseaux de venir régulièrement sous nos fenêtres, ou encore ils peuvent nous envoyer un sillage parfumé. C’est le cas de Sainte Rita qui embauma tout le monastère d’un parfum de rose, à sa mort, pour exprimer toute sa bonté.
Ma mère me fait un léger gratouillis dans les cheveux côté droit pour me manifester sa présence, grand-père lui c’est sur le sommet de la tête. Vous pouvez demander à ceux que vous aimez dans l’au-delà de vous montrer par un signe distinctif leur présence. Il y a aussi des ouvrages à lire sur les nombreux signes de l’au-delà.
Il y a assurément, pour les plus lumineux d’entre nous, de belles surprises qui nous attendent dans l’au delà!.
N.D.E et E.M.I, témoignage
J’étais très jeune, seize ans environ quand j’ai été terrassée par une immense frayeur alors que j’étais en voiture : un accident allait se produire et j’allais en mourir : la voiture allait passer sous un camion.
Ce fut une aspiration irrésistible dans un tunnel vers une lumière comme on n’en a jamais vu, ni même pu imaginer. Pendant ce passage, j’ai vu se dérouler tout le film de ma vie, en image mais aussi émotionnellement, avec mon être tout entier, si l’on peut dire corps et âme. Je n’ai vu et ressenti que les moments d’amour et de bonheur, comme si les difficultés ou les souffrances n’étaient pas prises en compte, un amour inconditionnel. Au bout du tunnel resplendissait un Être de lumière d’une blancheur éclatante ; pour moi, élevée dans la religion chrétienne, j’ai pensé au Christ. J’étais dans un état de totale béatitude, submergée d’amour, de bonheur, de paix, de douceur, il n’y a pas de mots qui puissent le définir…
Puis brusquement ce fut le chemin inverse, le tunnel dans l’autre sens, la même aspiration irrésistible, la réincorporation et la grande déception de me retrouver au point de départ, dans la voiture. À ma grande stupeur, l’accident ne s’était pas produit et je n’ai toujours pas compris comment j’avais pu y échapper, une amnésie totale du monde matériel, je ne me suis jamais souvenu comment cet accident avait été évité. J’ai été tellement choquée que je suis restée environ dix minutes, sans pouvoir prononcer une parole, les jambes vraiment coupées, avec l’angoisse même de rester muette et paralysée. J’ai été très soulagée lorsque j’ai retrouvé mes facultés, mais mon cœur a continué vraiment à tambouriner un long moment.
Je pense que cela a été un “ flash ” d’une extrême rapidité, de quelques secondes au plus, mais d’une telle densité et intensité que ce que j’ai vécu me semble vraiment indicible et que je pourrais en parler indéfiniment pour essayer d’en exprimer tout mon ressenti. Il me semble même que de tenter de décrire cette expérience risque même d’en amenuiser le merveilleux, car les mots ne suffisent pas.
J’ai été véritablement marquée et, depuis, je n’ai jamais douté de la survivance d’un état de conscience après la mort. Cependant ce n’est que plusieurs dizaines d’années après que j’ai appris ce qu’était une NDE, lorsque je fus accompagnante en soins palliatifs, où j’ai pris connaissance des œuvres d’ Elisabeth Kübler Ross, de Raymond Moody, de Patrice van Eersel, du Père Brune et bien d’autres encore. J’ai appris alors, que c’était ce que j’avais réellement vécu.
Jamais je n’ai eu quelque angoisse par rapport à cette expérience, je n’ai jamais ressenti le besoin d’en parler; Cependant elle m’a beaucoup interpellée et je pense qu’elle m’a donné un chemin de vie.
J’ai été confrontée tout au long de ma vie au monde médical : J’ai fait partie d’une équipe médicale en tant que kinésithérapeute dans les hôpitaux. Par la maladie, j’ai eu l’expérience des soins de réanimation.
Cette remarque est juste pour exprimer que l’état de coma, et les effets de la morphine s’ils donnent des effets « spéciaux » Une NDE n’a rien à voir avec une hallucination, j’ai bien été au ciel avec des nuages roses et bleus, des petits anges et un grand bien être, mais ce n’est aucunement comparable.
Ces dernières années, j’étais accompagnante de malades en soins palliatifs. Je m’occupe actuellement d’enfants cancéreux et leucémiques. Ces diverses expériences m’ont confrontée à la souffrance, la mort et m’ont interpellée sur l’après mort.
J’ai constaté que comme une EMI une agonie était propre à chacun. Chaque agonie est unique et garde son mystère et je restais très interpellée par rapport à ce qui pouvait se passer dans le cerveau, de l’état de conscience, de la limite réelle entre la vie et la mort.
Il faut noter que de telles expériences ne sont pas toujours vécues généralement lors d’arrêts cardiaques et de comas ou de mort imminente. Certaines personnes les ont expérimentées simplement après un état de choc au cours d’un accident, une immense peur comme cela s’est produit pour moi, un lâcher prise lorsqu’on a eu la certitude de se noyer ou tout simplement au cours d’une promenade tranquille dans un parc, à la terrasse d’un café, ou encore comme le raconte Erik Pigani, grand pianiste classique lors d’un concert qu’il donnait. Ce dernier explique comment pendant qu’il jouait au piano, il était sorti de son corps, était passé dans la lumière et avait fait une expérience d’illumination magnifique. Lorsqu’il était revenu dans son corps, il avait terminé son morceau, mais il n’avait plus le souvenir de l’avoir joué ; il a été constaté que la qualité de l’interprétation avait été supérieure.
Les chercheurs comparent souvent ces expériences à des hallucinations produites par un traitement pharmacologique ou différentes drogues.
J’ai été moi-même en réanimation plusieurs semaines et si j’ai vécu des phénomènes paranormaux, il n’y avait aucune mesure avec un ressenti de NDE.
J’ai reçu une forte dose de « morphine » et effectivement je me suis retrouvée au-dessus de mon corps dans un état de bien-être total, entourée de lumière et d’anges emplis d’amour et de bonté, mais il n’y avait absolument pas cette sensation que tous les témoins affirment être « indicible » ou « ineffable », qui marque pour le restant de ses jours.
Le suicide
Il est formellement interdit de se suicider.
Les gens qui se suicident arrivent presque toujours dans l’au-delà complètement défaits et il leur faut des mois, voir des années à s’en remettre.
Les envies suicidaires sont très souvent d’origine karmique, les mémoires de suicides ou de traumatismes de vies antérieures remontent à la surface dans des périodes critiques de l’existence et redonnent à la personne ce même désir ou le bouleversent complètement. Parfois les karmas sont tellements lourds (assassinats et ou suicides et ou viols et ou rejets et ou abandons dans plusieurs vies antérieures) que c’est très difficile à soigner. Mais en général les dépressions conduisant au suicide sont soignables à condition que la personne participe avec volonté pour s’en sortir.
Les pratiques hospitalières pour traiter les grosses dépressions sont désastreuses, les électrochocs lésent les neurones et affectent la mémoire, rendant alzheimer certains sujets. Il ne faut jamais en faire, c’est une catastrophe pour le cerveau. Les médicaments rendent les gens végétatifs incapable de volonté et de décision sur leur triste sort, ils se retrouvent à la merci d’une équipe de soignant ignorant que le mal des patients est karmique et que ce n’est qu’un magnétiseur qui peut les soulager et non des somnifères ou des anti-dépresseurs.
Pour éviter d’en arriver là, il faudrait procéder à un nettoyage karmique dès la naissance ou dès les symptômes alertants, et consulter un magnétiseur comme moi qui soigne les dépressions par le magnétisme.
Comprenez que l’origine du mal vient de nos vies antérieures, assistez toujours les personnes en détresse, rassurez-les en leur disant que ce sont des mémoires antérieures qui remontent, qu’il ne faut pas se focaliser dessus mais au contraire, ne pas y penser, être volontaire pour s’en sortir en se faisant aider, par un magnétiseur, une sophrologue, un kinésiologue, une psychologue etc…mais évitez l’hospitalisation.
Qu’est-ce qu’on fera quand on sera mort? bonne question n’est-ce pas?
Comme la mort n’est qu’un passage vers une autre vie, on a donc encore beaucoup de choses à vivre. Mon ange gardien (qui n’a pas d’ailes bien sûr) m’a dit ceci à ce sujet:
« Cela dépend de chaque individualité et de son évolution passée. Suivant cela, après notre mort et quand on a un esprit clair, on voit immédiatement sa famille restée sur Terre ou les êtres chers des derniers moments. On sonde alors souvent le jour de notre enterrement, l’esprit de ces personnes pour savoir si elles nous ont aimé autant qu’on les a aimé. Selon la réponse, et si on est assez fort, on va se demander si on peut aider une personne qui nous était chère, et si on peut l’aider on restera près d’elle pour le faire, mais si on s’aperçoit qu’elle ne nous aimait pas et bien on peut décider de la quitter définitivement. On peut ignorer les choses et les êtres qui ne nous intéressent pas. On retrouve aussi les gens que l’on a aimé dans cette vie et dans d’autres, dans l’au-delà et quand on est rassuré dans ce nouvel espace, on se demande alors ce qu’on va bien pouvoir y faire. Et là, tout d’un coup, les choses s’ouvrent et il nous arrive un flot d’idées!!!. Suivant ses propres aptitudes, joies et intérêts on fait ses choix. Puis ensuite, on s’installe dans ces références en essayant de les prendre de A à Z. On commence donc à s’initier en cherchant parmi les humains, les personnes qui ont ces aptitudes communes. Par exemple, si on souhaite devenir chirurgien et bien nous irons observer un chirurgien et apprendre le métier de cette façon. On se dit alors: »Est-ce que je suis capable de faire ça dans ma prochaine incarnation? ». Certains étudient plusieurs disciplines à fond. D’autres restent près de leur famille car c’est toujours ce qui réchauffe l’âme. La plupart du temps on essaye d’aider les êtres chers en leur donnant des motivations et de l’énergie.
On a aussi des merveilles à découvrir car à chaque instant, notre regard sait apprécier la vie parce qu’on la ressent pleinement. On a l’impression que notre énergie explose de bonheur dans un gloria avec la plus petite chose regardée. On a l’impression d’être le frère de cette chose ou de cet être, de partager son ressenti, son être.
On voit vivre les humains et quand quelque chose ne nous plaît pas on part immédiatement vers autre chose sachant qu’on se déplace à la vitesse de la lumière.
On peut aussi faire les voyages que l’on veut sans se déplacer, on en a la vision grandeur nature.
On est toujours dans la lumière, le noir n’existe pas mais les âmes en souffrance sont dans une sorte de brume.
On peut plaisanter et discuter télépathiquement avec nos bons amis et les gens qu’on a aimé. On peut se reposer. Mais il y a des codes et des engagements à respecter quotidiennement pour l’évolution de l’âme.
Un autre côté positif de l’au-delà, c’est qu’on est au courant de tout immédiatement. Et si on pose une question on a immédiatement la réponse qui vient des grands de 5ème dimension qu’on entend mais qu’on ne voit pas.
Pour les êtres de l’au-delà tout est positif, ils savent que tout est important et que rien n’est négatif.
Le temps est très différent, plus long et plus tranquille. On a le temps de faire tout ce que l’on souhaite, calmement et on ne vit que dans le présent c’est pour cela qu’ils ont du mal à se remémorer certains souvenirs. Ils sont obligés d’aller voir dans les annales akashiques pour nous répondre
On a un corps qui a l’apparence de celui des incarnés car dans l’au-delà il y a de la matière mais elle est tellement subtile et la vibration tellement! tellement plus élevée qu’on a une apparence recomposée d’après l’âge dans lequel on était le plus fort dans sa dernière vie. Environ 20-30 ans.
Pour être bien dans l’au-delà, il faut arriver en paix, et être ensuite volontaire pour y vivre tout ce qui est possible d’y vivre, il faut être dans un bon état d’esprit, ce n’est malheureusement pas le cas pour tout le monde. «
Nous venons ici de parler d’un départ normal dans l’au-delà mais il faut savoir que les âmes traumatisées comme celles qui ont vécu des tsunamis, tremblements de terre, les camps de concentration ou une mort tragique arrivent dans l’au-delà tellement choquées, terrifiées et traumatisées qu’il est dans cet état, impossible de les aider. Par contre, on leur envoie des forces pour que leur temps de souffrance leur paraisse un peu moins long. Elles peuvent rester ainsi, en détresse des mois voir des années. Mais dès qu’elles tapent du pied pour repartir en avant, alors là, on peut les aider et elles vont mieux. Sinon, elles ont l’impression de vivre un cauchemar sans fin. Et les âmes aidantes de l’au-delà doivent conserver leur énergie c’est pour cela qu’elles désertent ces âmes en souffrance extrême au moment des drames, parce qu’elles leur pomperaient toute leur énergie.
Une âme choquée ne peut pas être aidée, il faut qu’elle s’apaise pour recevoir. Toutes les âmes interrogées disent la même chose.
« Comme vous j’ai eu peur d’elle, j’ai douté, mais là je ne doute plus du tout!! Après plusieurs années de conversations avec les belles et aimantes âmes de l’au-delà, je sais maintenant que mourir n’est qu’un petit passage vers la 4ème dimension, globalement plus douce et plus belle et spirituelle que la nôtre. Si je peux vous communiquer à travers ce blog tous mes enseignements, toute ma connaissance, pour parvenir à vous rassurer, à vous enlever tout doute et peur, alors j’aurais accompli un merveilleux travail. » Chanelle
Il est grand temps d’apprendre à mourir, à l’aube de l’ère spirituelle du Verseau.
Besoin d’aide? Contactez-moi : contact@lacompassion.net puis voir les soins de Chanelle à travers le monde
SENTIR UNE PRÉSENCE : LES ESPRITS SONT-ILS PARMI NOUS ?
SENTIR UNE PRÉSENCE : LES ESPRITS SONT-ILS PARMI NOUS ?
Les esprits sont-ils parmi nous ? Ne vous est-il jamais arrivé de ressentir un coup de froid soudain, sans raison apparente ? N'avez-vous jamais entendu un bruit qui ne correspondait à rien de ce que vous connaissiez, ou qui ne devait pas se produire à ce moment là ? Les esprits sont souvent à nos côtés, voici quelques signes de leur présence.
LES CHANGEMENTS DE TEMPÉRATURE,
LES SENSATIONS CORPORELLES
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ABONNEZ ICISentir une présence peut passer par des changements de température soudains, alors que rien ne le justifie. Une vague de froid vous traverse tout à coup, alors qu'il ne fait pas particulièrement froid ? Ou au contraire, vous sentez comme une bouffée de chaleur, alors que la température n'a pas monté ? Pas de doutes, il s'agit de la présence d'un esprit.
Il se peut également que vous ressentiez un grand frisson vous parcourir, sans ressentir particulièrement de changement de température. Le frisson vous traverse, de la tête au pied, tous vos poils se hérissent, comme si vous aviez la chair de poule. Il se peut également que vous ressentiez un courant d'air, alors qu'aucune fenêtre n'est ouverte.
LES SENSATIONS QUE QUELQU'UN
NOUS TOUCHE
Sentir une présence peut également passer par la sensation que quelqu'un vient nous caresser, sur différentes parties du corps, ou simplement nous toucher. Cette sensation peut être très effrayante, comme elle peut être apaisante.
LES SENSATIONS VISUELLES ET DE
RESSENTIS
Certaines personnes sentent la présence des esprits grâce à la vue : il se peut que les esprits se manifestent sur l'écran mental (nous voyons les esprits grâce à notre âme), c'est-à-dire en fermant les yeux. D'autres personnes, notamment des médiums avec une grande capacité de ressentis, parviennent à les voir les yeux ouverts, sous forme de sensations visuelles floues, ou bien d'apparition d'une énergie ou de l'aura de quelqu'un (couleur).
VOUS NE SENTEZ PAS LA PAIX ET L'ÉNERGIE QUE VOUS SOUHAITEZ ?
LES MANIFESTATIONS SONORES
Sentir une présence peut aussi se manifester par des sons, du bruit. Il est difficile de dresser une liste, car il peut s'agir de bruits très différents, aussi bien des bruits courants (un bruit de pas ou un bruit de casserole par exemple) ; mais parfois ce sont des bruits effrayants : des coups, de plus en plus fort, des cris.
Parfois, les esprits se manifestent en faisant fonctionner nos objets de la vie courante : la télévision qui s'allume toute seule, le four qui se met à sonner, le téléphone qui émet un « bip » alors que vous n'avez reçu ni message ni appel...
Il arrive parfois que, lorsque le silence se fait autour de vous, vous perceviez une discussion, des voix, qui ne viennent de nulle part. Dans la rue, vous pouvez vous retourner parce que vous avez entendu votre nom, alors que personne ne vous a appelé.
LA CATOPTROMANCIE : LA DIVINATION PAR LE MIROIR
http://www.journaldelavoyance.com/art-divinatoire/la-catoptromancie-divination-par-le-miroir
La catoptromancie : la divination par le miroir
La catoptromancie est une méthode de voyance qui permet, par le biais d’un miroir, de percevoir des images concernant le passé, le présent, ou le futur.
Cette mancie, qui fait appel à la puissance du subconscient et dont le support est un objet magique au symbole fort (le miroir), doit être pratiquée avec précaution. Cette méthode de divination qui permet de répondre à certaines questions amoureuses notamment est parfois appelée la cataptromancie ou la captromancie.
Un pouvoir millénaire
Issue de l’hydromancie, divination qui utilise la surface réfléchissante de l’élément eau pour délivrer des présages, la catoptromancie est une méthode qui existe depuis l’Antiquité. Elle est née en Mésopotamie et en Chaldée avec l’apparition des premiers miroirs fabriqués en métal poli (bronze, cuivre, argent ou or) dont se servaient les mages pour délivrer des prédictions.
Censé être habité par les esprits de défunts qui s’attachent à guider les vivants, le miroir devient l’objet magique par excellence. Elément omniprésent durant les rites mortuaires chamaniques, il va s’avérer être aussi un moyen de lire l’avenir pour les enfants Romains auxquels on confère, malgré leur jeune âge, le pouvoir d’interpréter des présages.
Grands utilisateurs de la divination par l’eau, les Grecs vont associer la catoptromancie avec l’hydromancie, en prenant soin d’attacher une cordelette au miroir avant de le plonger dans le bassin d’une fontaine dans le but d’y voir apparaître une image reflétant l’état de santé du consultant. Ce rituel de divination est évoqué dans une œuvre de Pausanias, écrivain Grec du IIe siècle.
Taxée au Moyen-âge de pratique liée à la sorcellerie, la catoptromancie accuse une perte d’intérêt général dans cette époque troublée par l’hérésie.
La Renaissance marque un regain d’activité considérable pour la divination par le miroir, dont Catherine de Médicis (1519-1589) fut une fervente utilisatrice.
Un objet magique
La catoptromancie et sa faculté à projeter la vision du consultant dans une dimension « parallèle » est souvent évoquée dans divers contes et légendes : il y est fait mention dans le célèbre film d’animation de Walt Disney « Blanche Neige »; elle apparaît également dans une ancienne tradition Anglo-saxonne qui assure à toute jeune fille se regardant dans un miroir en tenant une bougie à la main le soir d’Halloween, de voir l’image furtive de son futur époux s’y refléter.
Mais d’autres légendes au parfum de soufre rappellent que la catoptromancie n’est pas une divination qui se pratique à la légère, telle celle de « Bloody Mary », sorcière du folklore occidental surnommée « la vierge sanglante » qui apparaît à quiconque invoque son nom devant un miroir.
Le miroir de l’âme
Il est important de garder toujours à l’esprit qu’une séance de catoptromancie peut se révéler dangereuse pour tout individu qui n’est pas suffisamment armé émotionnellement et psychiquement. En effet, fixer durant de longues minutes un objet lumineux (en l’occurrence un miroir éclairé par une bougie) est susceptible de provoquer des hallucinations.
Déroulement d’une séance de catoptromancie
Une séance de catoptromancie doit se dérouler dans une ambiance calme, propice à la concentration du consultant.
Le type de miroir choisi importe peu, le principal étant qu’il puisse être positionné de façon à refléter la lumière de la bougie, qui va être posée sur un meuble stable pour plus de sécurité. Il est par contre primordial que ce miroir soit réservé uniquement aux séances de Catoptromancie. Il faut le couvrir d’un drap ou le cacher dans un placard dès la séance terminée, afin qu’aucun visage autre que celui du consultant ne puisse s’y mirer.
Le point lumineux dégagé par la bougie va être fixé à travers le miroir. Le consultant va poser sa question mentalement, sans cesser de regarder cet halo de lumière. Progressivement, une brume va envelopper le reflet de son visage et une vision va alors lui apparaître. Il lui faut être très attentif à cette image qui ne sera visible qu’une fraction de seconde avant de s’éteindre.
C’est au consultant de faire l’analyse de sa vision, qui peut être liée à un événement de son passé, de son présent, ou bien refléter un élément de son futur.
Encore utilisée de nos jours dans l’Afrique Subsaharienne, la catoptromancie est un art divinatoire qui demande une grande implication personnelle du consultant dans l’interprétation des images perçues.
Article écrit par Gwenaelle Tourrayles scientifiques ont découvert que l'âme ne meurt pas, elle est renvoyée à l'univers
Selon deux éminents scientifiques, le cerveau humain serait un « ordinateur biologique » et la conscience des humains un programme dirigé par l’ordinateur quantique situé à l’intérieur du cerveau qui continue d’exister après la mort.
Comme les experts l’expliquent; « Après que les gens meurent, leur âme revient à l’univers, et elle ne meurt pas. »
Le débat sur l’existence de l’âme et si elle est immortelle ou meurt avec la personne est une histoire sans fin qui pendant des siècles a occupé le temps des grands penseurs de l’ histoire universelle. Sa nature mystérieuse continue de fasciner les différents domaines de la science, mais maintenant un groupe de chercheurs aurait découvert une nouvelle vérité à ce sujet: « l’ âme ne meurt pas; elle retourne à l’univers .
Depuis 1996, le Dr Stuart Hameroff, un physicien américain émérite du Département d’anesthésiologie et de psychologie, et Sir Roger Penrose, physicien mathématique à l’Université d’Oxford, ont travaillé sur une théorie quantique de la conscience dans laquelle ils affirment que l’âme est maintenue dans des micro-tubules des cellules du cerveau.
Leur théorie provocatrice affirme que l’âme humaine est contenue par les cellules du cerveau dans les structures à l’intérieur appelées micro-tubules.
Les deux chercheurs pensent que le cerveau humain est en fait un ordinateur biologique et la conscience de l’être humain est un programme géré par l’ordinateur quantique à l’intérieur du cerveau qui continue d’exister même après notre mort.
En outre, les deux scientifiques affirment que ce que les humains perçoivent comme la «conscience» est en fait le résultat de la «gravité quantique» des effets situés dans les soi-disant «microtubules». Ce processus est nommé par les deux scientifiques «Orchestrated Objective Reduction» (Orch- OU).
La théorie indique que lorsque les gens entrent dans une phase connue sous le nom de «mort clinique», les microtubules situés dans le cerveau perdent leur état quantique, mais gardent l’information qu’ils contiennent. En d’autres termes – comme les experts l’expliquent, après la mort d’un individu, leur âme retourne à l’univers, et elle ne meurt pas ».
Tandis qu’il s’adressait à la chaine Science Channel dans le documentaire Wormhole, le Dr Hameroff a déclaré:
«Disons que quand le cœur cesse de battre, le sang cesse de couler; Les microtubules perdent leur état quantique. L’information quantique au sein des microtubules n’est pas détruite, elle ne peut pas être détruite, et elle se contente d’être répartie et de se dissiper dans l’univers en général. Si le patient est ressuscité, réanimé, cette information quantique peut retourner dans les microtubules et le patient dit «J’ai eu une expérience de mort imminente.» S’ils ne sont pas réanimés, et que le patient meurt, il est possible que cette information quantique puisse exister en dehors du corps physique, et cela peut-être indéfiniment, comme une âme.
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/scientifiques-ame-ne-meurt-pas-univers.html
Selon la théorie de ces deux scientifiques, l’âmes humaine n’est pas mieux que des «interactions» de neurones dans notre cerveau et pourrait avoir été totalement créée depuis le commencement de cette création.
Source âme ne meurt pas : www.quantumconsciousness.org / www.theatlantic.com
les guérisons inexpliquées
http://www.doublecause.net/pdf/Nexus_Guerisons.pdf
22 NEXUS 66
janvier -février 2010
LQuand
es guérisons inexpliquées ne surviennent pas seu- lement dans un contexte religieux, encore qu’il s’agisse souvent d’un contexte « spirituel ». Robert Tocquet, dans Les Mystères du surnaturel, expli- que que les guérisons « paranormales » semblent résulter d’actions psychoso- matiques, mais il cite une enquête de 1954 de la British Medical Association qui conclut en faveur d’une action des « guérisseurs spirituels », « dans certains cas ». Il est vrai que le corps est capable d’autoguérison, jusqu’à des cas spec- taculaires de rémission spontanée du cancer par exemple. Dans Les guérisons miraculeuses, Pierre Lunel raconte le cas d’un malade à qui l’on avait enlevé les deux tiers de l’estomac atteint d’une tumeur grosse comme le poing avec métastases au foie. Ce malade a guéri, faisant mentir les statis- tiques, mais surtout, il n’avait plus aucune trace de son cancer quand on l’a réopéré douze ans plus tard pour retirer la vésicule biliaire. Le National Cancer Institute américain a recensé envi- ron 550 cas de ce genre dans le monde. Certaines « survies extra- ordinaires » concernent des pronostics qui étaient jugés fatals dans 100 % des cas, comme le cancer du pancréas. Lunel note que les malades ont souvent guéri après un événement, qui peut être une infection virale, une opération, ou même un choc émo- tionnel. Certains patients qui ont été « ouverts » puis « refermés » sans intervention du chirurgien, ont guéri en attribuant cette
guérison à l’opération.
La « maman miracle »
Dans quelque contexte qu’elles surviennent, les guérisons inex- plicables ont sans doute des points communs, estiment les auteurs du collectif Les guérisons inexpliquées sont-elles miraculeu- ses ? (L’Atelier, 2009). Dirigé par Pierre Calvet, docteur en méde- cine, le livre est co-signé par un pasteur protestant, un philoso- phe, un ancien chirurgien et encore deux autres médecins. Oui, le psychisme joue un rôle, tout comme l’e et placebo (lire p. 28), mais il serait temps de considérer « l’impact d’énergies non encore élucidées et la part à donner à l’inexplicable », annonce l’ouvrage, qui entend briser le dialogue de sourds entre « l’inexpliqué » et « le miraculeux ».
On nous a récemment narré le « miracle de Cincinnati », qui a fait
la médecine s’incline
les gros titres outre-Atlantique. Lori Smith, une jeune fem- me de 38 ans, est soudain prise de violents maux de tête quinze minutes après son quatrième accouchement. Elle fait une « coagulation intravasculaire disséminée », convulse, et sombre dans un coma profond avant de faire deux arrêts cardiaques récupérés après 49 minutes de réanimation. Au bout de treize jours de coma, les médecins envisagent de la « débrancher » compte tenu de son activité cérébrale et ainsi que la loi de l’Ohio les y autorise. Le mari se rend auprès de son épouse accompagné de leurs trois enfants de 6, 8 et 12 ans pour lui faire leurs adieux. « Maman, si tu nous aimes et que tu nous entends, ouvre les yeux ! » lui dit la petite Megan, 8 ans. Et là, l’incroyable se produit : Lori ouvre
les yeux. En quelques heures elle fait des progrès fulgurants, et la voilà capable de parler au bout de trois jours. Quelques semaines plus tard, elle sort de l’hôpital et déclare : « Je ne suis ici que grâce à l’aide de ma famille et aux prières que j’ai re- çues ». Pour son mari, aucun doute : « Dieu a fait
un miracle », d’autant qu’un groupe de prière de 70 personnes s’était constitué. D’ailleurs la presse américaine l’a appelée « la maman mi- racle ». Rappelons que l’e cacité de la prière sur la guérison a été mise en évidence par plusieurs études scienti ques*.
Canaux d’énergie
Alors, énergie vitale, amour, foi? Est-ce la même chose ? À en croire les guéris- seurs de nos villes et nos villages, oui. Car si le retour de Lori est bien sur- venu dans un contexte religieux, ils sont nombreux parmi les guérisseurs- magnétiseurs à se dire simples « ca- naux » d’une énergie ou d’une volonté qui guérit à travers eux. « Ne me remerciez pas, remerciez Dieu ! » a coutume de dire Emmanuel Marcos, qui témoigne dans
le documentaire de Jean-Yves Bilien, Les guérisseurs, la foi et la science. La dé- couverte du don tient d’ailleurs parfois du miraculeux. Emmanuel Marcos ra- conte qu’il a entendu une voix lui parler dans la nuit du 15 août 1984. Au matin, il va voir sa voisine, 87 ans, paralysée des jambes depuis 25 ans. Il impose ses mains, ressent à la tête une douleur ter- rible qui disparaît ensuite. Quelques mi- nutes plus tard, la voilà qui marche sans boiter. « J’en ai pleuré pendant cinq ans », con e M. Marcos. Son confrère Pierre Bévelot explique : « Quand je travaille je dis “on” : moi et celui qui me guide la main et qui guérit. En 1970, j’ai été appelé pour donner
mon sang à un jeune homme atteint d’une leucémie doublée d’une septicémie. Il était dans le coma, mais j’ai voulu le voir avant. Il s’est réveillé de son coma et je lui ai dit de tenir le coup. Huit jours après il sortait de l’hôpital guéri. C’est lui qui m’a parlé de magnétisme, je ne savais pas ce que c’était. » Le guérisseur qui guérit sans le savoir en donnant son sang, uide vital par excellence...
Barreur de feu
Aujourd’hui, ils sont nombreux à intervenir dans les hôpi- taux et cliniques, à la demande même des médecins. « Un homme est arrivé brûlé au deuxième degré sur plus de 80 % de la surface du corps, raconte le Dr Françoise Niertaven, chef d’un service d’urgences. Or, il n’avait absolument aucune douleur. Une in rmière m’a dit : c’est normal, il a fait appel à un barreur de feu. » Elle poursuit : « Une autre fois, j’ai envoyé une patiente au service des grands brûlés, à Lyon. Ils m’ont demandé ce que je lui avais fait avant, car elle était guérie au bout d’une semaine alors qu’ils pensaient la garder trois mois. » Mais le plus spectaculaire, explique-t- elle, « c’est les enfants qui pleurent dans les bras de leurs parents. On appelle le barreur de feu au téléphone, parfois sans le dire aux parents, et on entend l’enfant qui s’arrête de pleurer. Il ne pleure plus pendant les pansements, donc for-
cément, il s’est passé quelque chose. »
Dépassée, la médecine?
Vierge noire de l’église de Thuret (Auvergne).
« Aux États-Unis, l’énergéticien accom- pagne l’anesthésiste pendant l’opéra- tion d’un patient », explique Jean-Luc Bartoli, magnétiseur. Nous avons à apprendre du pragmatisme amé- ricain, car cette pratique reste of- ciellement illégale en France. Quelques scienti ques se sont pen- chés sur l’action des guérisseurs, et proposent une théorie assez sédui- sante. Les mains des guérisseurs émettraient des ondes de 7,8 Hz, tout comme les ondes cérébrales en état de relaxation. Celles-ci seraient reçues par le cerveau du patient, au niveau de la glande pinéale, ce qui remettrait l’organisme « en cohéren- ce » avec l’environnement, car cette fréquence n’est autre que celle du champ magnétique terrestre, ap- pelée résonance de Schuman. Plus simplement, un guérisseur évoque- ra son « secret » ou « les prières »... ●
*www.passeportsante.net, rubrique Appro- ches complémentaires/thérapies/prière.
.LCes lieux qui soignent es édi ces religieux, tout comme les temples païens, seraient orientés en
fonction des in uences cosmo-telluriques. Spécialiste en géobiologie, Jacques
Bonvin a publié plusieurs ouvrages sur la question. Dans un ouvrage en préparation, il raconte l’histoire de l’église de Thuret, en Auvergne. Seule église de toute la chrétienté consacrée pour la guérison des cancers, elle est toujours le théâtre de guérisons,
dont témoignent de nombreux ex-votos,
mais il s’agit aussi et avant tout d’élévation spirituelle. Selon l’auteur Gilles Gandy, certains lieux sacrés sont « pollués » par les pensées liées au pouvoir, au dogme, etc. Il existe en revanche « quantité de lieux sacrés méconnus ou inutilisés car un peu éloignés des routes, explique-t-il. Par exemple, la plupart des pierres dites “du diable”, “à sacri ce”, “de l’enfer”... sont en fait de magni ques lieux de guérison ». Attention!
« Protégés par des auras très fortes, ils interdisent à toute personne d’approcher sans conscience, ce qui leur a valu au cours des siècles leur réputation sulfureuse. »
NEXUS 66
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janvier -février 2010
Le Curé d’Ars,
le saint guérisseur
Jean-Marie Baptiste Vianney (1786 -1859), curé du village d’Ars (Ain), est proclamé « saint » en 1925 et « patron de tous les cu- rés de l’univers » en 1929. Il voit les saints, converse avec les anges gardiens et connaît les péchés de chacun. Au cours de sa
vie, il entre plusieurs fois en lévitation et après sa mort, son corps s’avérera in- corruptible.
Arrivé en Ars en1818, il fonde rapidement une école pour lles, devenue orphelinat, et
prend soin des plus
pauvres. Au propre
comme au figuré,
il donne tout à ses
paroissiens – au
départ deux cents
paysans – et passe,
à la n de sa vie, jusqu’à seize heures par jour à confesser. Il meurt d’ailleurs d’épuisement à 73 ans. Le Père Philippe Caratgé souligne lors du colloque d’Ars 2009 (citant Alfred Monnin, 1864) qu’il s’agit avant tout pour le curé d’Ars « de guérir les plaies de l’âme ». « Quand on est tombé dans un gros péché, disait-il, il faut avoir recours au médecin, qui est le prêtre, et aux remèdes, qui sont les sacrements. » Dès lors, on a souvent comparé l’église d’Ars à un hôpital, « le grand hôpital des âmes », comme l’a écrit Monnin. Et aussi : « Il savait l’endroit du cœur où il fallait frapper ; et le trait manquait rarement son but... Ce que d’autres n’auraient pu par de longs discours, il l’opé- rait d’un seul mot. » Il guérit l’âme qui elle- même guérit le corps. Mais certains parois- siens se comportent avec leur âme, dès la sortie du confessionnal, comme un malade guérit qui se planterait un couteau dans le ventre ! Sur la maladie, il démontre que l’amour divin est indissociable du respect du libre arbitre : « On ne doit pas enlever la croix à des épaules qui savent si bien la porter. » Mais si la sou rance résulte d’une forme de « négativité », il encourage le pénitent à s’ouvrir à la miséricorde divine.
24 NEXUS 66
janvier -février 2010
Capables de prodiges, guérisons et prophéties, les thaumaturges se sont révélés dans le cadre de l’Église, comme le curé d’Ars et Padre Pio, mais aussi en marge
de celle-ci, comme Bruno Groening
en Allemagne ou Maître Philippe
de Lyon en France. Portraits.
Bruno Groening,
le « Dr Miracle »
Né en Pologne, Bruno Groening (1906 – 1959) constate très jeune qu’il in uence positivement les êtres autour de lui. Il exerce divers métiers manuels puis, en 1949, il devient célèbre pour guérir des centaines de personnes de graves maladies lors de dis-
cours publics.
Le « Dr Miracle » se réfère à
«une puissante force venant du cosmos », et compare Dieu à une inépuisable source d’énergie vita- le, un « courant guérisseur ». L’homme est un récipient qui doit se remplir de cette force, en se «branchant» au moins deux fois par jour. La maladie est la conséquence matérielle
Nés pour guérir
Maître Philippe de Lyon, le « chien du berger »
« Je suis le plus petit, c’est pourquoi de grandes choses peuvent se faire par moi, mais je n’ai pas de mérite », disait celui qui réalisait des prodiges quotidiens à l’école de ma- gnétisme de Lyon. Nizier Anthelme Phi- lippe (1849-1905) est petit, « fort » et large d’épaules. La force vitale n’est pas pour lui un courant, mais une Lumière qui représen- te l’union du « Aimez-vous les uns les autres ». Il en découvre les pouvoirs dès l’âge de 7 ans. Au collège, il annonce la guerre de 1870 et prédit le
réchau ement climatique !
Il entame des études de médecine, mais se fait renvoyer de l’hôpital pour avoir guéri un homme à qui l’on devait couper la jambe. « Lorsqu’on a besoin de quelque chose d’utile, il n’y a ja- mais lieu de s’inquiéter, disait-il, le Ciel nous le donne ». Peut-être une bonne dé nition des synchronicités (lire p. 31). On raconte qu’il faisait aussi gronder le ciel à volonté, se calmer la mer, et s’évanouir les sceptiques. Une sorte de miracle ambulant doué d’ubiquité, ne dormant quasiment pas, et qui, au tournant du siècle, se lie avec des ducs russes, puis le Tsar Nicolas. Celui- ci tente de lui obtenir un diplôme de docteur en France. Il en obtient nalement un de l’université du Wisconsin, dans des conditions « paranormales », puisqu’il n’a pas quitté Lyon... Il est reçu par les Francs-Maçons comme un maître. Il met également au point quelques médicaments et divers appareils de physi- que. Son cœur malade lâche en août 1905, à l’âge de 56 ans. Médecin, soldat, ou « chien du berger », il se disait catholique, mais ses rapports avec l’Église sont restés distants. Il condam- nait l’occultisme et le spiritisme, et considérait l’Évangile com- me le véritable enseignement.
de « l’écart » entre Dieu et l’homme, via l’accumulation d’énergie néga- tive. « Dieu est le plus grand médecin », dit-il. Il invite cependant chacun à ne pas croire aveuglément ses propos, mais à faire l’expérience en soi-même et ressentir le courant guérisseur. À l’époque, son cas défraye la chroni- que et e raie les sceptiques. Un immense débat s’empare de l’Allemagne, et des con rmations médicales sont apportées. Il déchaîne les passions et s’attire les foudres à la fois de médecins in uents, d’ecclésiastes, de juristes et même d’anciens collaborateurs.
À la mort de Bruno Groening à Paris en 1959, son procès culmine, et le ju- gement ne sera jamais prononcé. Comme ses illustres semblables, il conti- nuerait à guérir après sa mort. Un médecin sceptique, Gerhard Blaettner, a été récemment convaincu lorsque sa femme - après plusieurs de ses patients - a brutalement guéri de polyarthrite rhumatoïde, suite à l’étude des enseignements de Groening. Lui et ses confrères ont étudié et validé plus de deux cents cas de guérisons liés aux enseignements, dont des migraines, névralgies sévères, paralysies après accident vasculaire, toxicomanies...
Padre Pio,
une vie de prodiges
La jeunesse de Francesco Forgione (1887- 1968) à Pietrelcina, Italie, est déjà tournée vers Dieu. Il voit le Christ, il a des extases à 15 ans. Il entre au couvent des Capucins de Morcone en 1902 et prend le nom de Pie (Pio). Il se passe de nourriture pendant plu- sieurs jours, pour seulement communier, et commence à « recevoir » les stigmates dès 1911. Le Vatican le fait examiner après qu’il ait manifesté les stigmates et une transver- bération, soit un « transpercement spirituel du cœur par un trait en ammé », qui provo- que un réel saignement du cœur (comme Sainte Thérèse d’Avilla). Un bébé est guéri sous ses yeux dans son église, suite à l’invo- cation de Marie. Il guérit une jeune femme de 24 ans d’un bras handicapé: l’os et le cartilage sont reconstitués. La guérison est précédée d’e uves de parfum, jonquilles et roses...
Ces fragrances seront parfois perçues à des distances considérables du Padre Pio. En écho au curé d’Ars, les guérisons du corps visent celles du cœur. Il est examiné par des médecins, mais déclaré sain (et il sera déclaré « Saint » par Jean-Paul II en 2002). Des cas de bilocation sont signalés, aux- quels s’ajoutent des constatations d’hyper- thermie, d’inédie (privation de nourriture et boisson plus de deux mois), et même des rumeurs de lévitation. Dans les an- nées 1950, le scandale nancier qui touche l’Église catholique l’amène à être relevé de ses vœux de pauvreté pour gérer les fonds de ses dèles, qui ne sont pas sans attirer moult convoitises. À partir des années 60, le « commerce » autour du Padre devient tel que l’Église limite ses apparitions pu- bliques, et ren oue ses caisses au passage. Lors de ses funérailles, il apparaît à la foule sur toutes les vitres de la façade du couvent de Sainte-Marie des Grâces.
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Du chapelet
Aujourd’hui, les Lneurosciences
De nombreuses études ont constaté les e ets béné ques sur la santé de pratiques spirituelles, ou simplement de
la relaxation.
vont plus loin en identi ant ce qui se passe réellement dans le cerveau.
’interface esprit/cerveau conserve l’essentiel de son mystère. C’est le « problème di cile » de la conscience, identi é par le philosophe australien David Chalmers. Perspective matérialiste ou pas, la façon dont les deux entités interagissent reste incomprise. Ce qui est certain, pour le neuropsychologue québécois Mario Beau- regard, c’est que « dans l’e et placebo comme dans les théra- pies cognitives, les croyances de la personne modi ent la réponse du cerveau. Or, si l’esprit était quelque chose d’impuissant, on ne pourrait pas observer ces résultats. » Par exemple, une per- sonne atteinte de phobie ou de TOC (trouble obsessionnel compulsif) va être capable, grâce à une thérapie compor- tementale, de « reprogrammer » son cerveau en mobilisant son attention. De nouvelles pensées vont se substituer aux pensées intrusives ou phobiques, et un nouveau circuit neuronal va remplacer le circuit pathologique, comme on l’observe ensuite en imagerie cérébrale. Pour Mario Beau- regard, « l’interprétation la plus simple est de considérer que ce qui se passe au niveau psychique a une in uence au niveau neu-
robiologique. »
Prière « à l’insu de son plein gré »
Ces observations viennent confirrmer une quantité impressionnante d’études mettant en évidence que des activités telles que la méditation, la relaxation, la prière, etc., sont
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béné ques à la santé et favorisent la guérison. Edward Larson a e ectué, dans son livre The Faith factor, une revue détaillée de 158 études médicales portant sur l’e et de la religion ou de la spiritualité sur la santé, dont 77 % faisaient état d’un bilan clinique positif. Une autre étude portant sur 400 personnes âgées de plus de 64 ans a montré que des ac- tivités de nature spirituelle étaient associées à un meilleur taux de survie. À l’inverse, on a montré qu’une relation con ictuelle avec « la religion » augmentait le risque de dé- cès chez des patients malades et âgés. Le lien de causalité n’est peut-être pas si évident et il ne s’agit pas de donner des gages dé nitifs aux croyants. Ce ne sont pas les croyan- ces elles-mêmes qui sont béné ques, puisque di érentes pratiques religieuses donnent des résultats semblables, mais bien les états mentaux qui en découlent.
D’autres études ont été plus controversées, car elles por- taient sur la « prière d’intercession », qui consiste à prier pour la guérison de quelqu’un d’autre, parfois à son insu. Une étude portant sur 1800 patients opérés du cœur n’a pas montré que les prières orientées vers leur guérison avaient un e et quelconque. Pire, ceux qui savaient que l’on priait pour eux se sentaient encore plus mal que les autres ! Pour- tant, William Harris avait montré en 1999 que « la prière d’intercession, complémentaire, à distance, en aveugle, produit une amélioration mesurable des indicateurs médicaux chez les pa-
au scanner
Ce ne sont pas les croyances elles-mêmes qui sont béné ques, puisque différentes pratiques religieuses donnent
des résultats semblables, mais bien les états mentaux qui en découlent.
tients gravement malades ». Et d’autres études l’ont con rmé, mais dans le cas des opérés du cœur, il a été avancé que ceux qui savaient que l’on priait pour eux pouvaient s’en ef- frayer en se pensant réellement à l’article de la mort. C’est ce qu’on appelle un e et nocebo, contraire au placebo.
Éveil accéléré
Une étape supplémentaire est franchie avec les études qui montrent que l’éveil induit par une forme de bénédic- tion produit des modi cations dans le cerveau. Le cher- cheur allemand Christian Opitz s’est penché sur le cas de la « bénédiction d’unité » appelée deeksha, telle qu’elle est pratiquée par Sri Bhagavan au sein de la Golden Age Foundation, en Inde. Selon ce dernier, l’éveil peut être transmis comme une grâce, et se réaliser en quelques se- maines. Opitz a étudié les scans cérébraux de personnes à di érents stades d’éveil et observé qu’ils présentaient des caractéristiques communes : baisse d’activité dans les lobes pariétaux, liés au sentiment de soi et à l’orientation dans l’espace ; et hausse d’activité dans les lobes frontaux, principalement le gauche, lié au sentiment de bonheur et de bien-être. Ceci con rme selon lui un processus d’éveil en marche, comme si le deeksha installait en premier lieu le « câblage » neuronal, puis que l’expérience subjective de la personne se transformait peu à peu. Opitz en déduit
également que l’expérience mystique « sauvage » peut être déstabilisatrice et pathologique précisément parce que le cerveau n’est pas prêt pour l’intégrer. Chez des disciples indiens de Sri Bhagavan et Amma, Opitz a observé que la zone appelée « septum pellucidum », associée à l’humeur et la joie, était « énorme », alors qu’elle est sous-active chez la plupart des gens et très réduite chez les dépressifs. Au niveau hormonal, il note également l’augmentation de la production d’ocytocine, l’hormone de l’amour et de la con ance. Sri Bhagavan insiste sur la nécessité d’avoir des relations sociales et personnelles harmonieuses, où l’on rejoint Maître Philippe et les « pensées justes » qui devaient accompagner ses soins (lire p. 24).
Nouveau cerveau
Le chercheur danois Erik Ho mann a étudié les tracés EEG (électroencéphalogramme) de douze personnes partici- pant à un « séminaire d’éveil » en Inde. Il constate d’abord « une forte tendance des deux hémisphères à fonctionner de fa- çon plus symétrique ». Ensuite, il observe une augmentation des ondes cérébrales gamma dans les lobes frontaux, qu’il traduit par une activation du « nouveau cerveau », indispen- sable au processus d’éveil et à l’état d’unité. En e et, de telles ondes gamma ont été observées par Richard David- son chez des méditants bouddhistes zen expérimentés. Selon Mario Beauregard, ces ondes gamma seraient toute- fois liées à l’e ort d’attention qui est requis dans ces for- mes de méditation. En revanche, il a lui aussi observé que certaines personnes ayant vécu une expérience de mort imminente (NDE) conservaient également une trace dans le cerveau. D’ailleurs, plusieurs cas de guérisons spectacu- laires ont été constatés après une telle expérience. Ainsi, le mystère demeure, mais le potentiel de la conscience semble illimité. ●
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Placebo : l’inconscient guérisseur
Du latin « je
plairai », l’e et jplacebo renvoie
aux ressources extraordinaires de notre conscience dans le processus de guérison.
anis Schonfeld est une architecte d’intérieur âgée de 46 ans et vivant en Californie. Elle est au bord du suicide quand elle trouve assez de courage pour s’enrôler dans une étude clinique sur la dépression. Après quelques examens préliminaires, elle est im- patiente d’essayer ces nouvelles pilules si promet- teuses. Et les promesses sont tenues : sa vie est repar- tie sur de bons rails, même si les e ets secondaires pénibles comme la nausée sont bien présents, mais son in rmière l’a prévenue. À sa dernière visite à l’hôpital, le médecin lui annonce qu’elle est guérie de sa dépression, une authentique guérison. Toute- fois, elle fait partie du groupe contrôle de l’étude, celui qui a pris un placebo, autrement dit une pilule sucrée sans aucun e et pharmacologique. « Le seul médicament qu’elle avait reçu était une substance im- matérielle et immortelle : l’espoir », écrit le neuropsy- chologue Mario Beauregard qui relate cette histoire dans son livre Du Cerveau à Dieu. « Dans l’e et placebo, les croyances de l’individu et ses attentes au niveau du traitement semblent in uencer l’activité du cerveau dans la durée, explique-t-il. On a donc une causalité qui s’exerce du mental au cérébral. » Et Mario Beauregard de citer une étude de l’université de Colombie bri- tannique à Vancouver avec des patients atteints de la maladie de Parkinson (dans laquelle un groupe de neurones cesse de produire de la dopamine) : « Les patients qui croyaient le plus à l’e cacité du traitement, soi-disant révolutionnaire, sont ceux dont le cerveau a produit le plus de dopamine, en quantité comparable avec des individus sains, alors même que leurs cellules à dopa- mine étaient détruites à 80 %. Il y a donc un lien entre ce qui est vécu au niveau mental et l’e et neurobiologique subséquent. »
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L’effet blouse blanche
Tous les médicaments sont testés
« versus placebo » pour démontrer que
leur e et est supérieur, ce qui ne s’ob-
serve souvent qu’à la marge, comme
avec les antidépresseurs. Le simple fait
de voir un médecin en blouse blanche
produit un e et placebo, qui peut être
aussi négatif (on parle alors d’e et no-
cebo). Le Dr Bernard Thouvenin explique
dans Les Voies de la Guérison que « pratique-
ment tous les symptômes de toutes les maladies
peuvent réagir au placebo étudié en double aveugle,
même le diabète, l’angine de poitrine (angor, sou ran-
ce du cœur) et le cancer. La douleur est particulièrement
“placebo sensible”, même les douleurs cancéreuses, peut-
être en raison de la libération d’origine psychique des endo- morphines. » Selon Mario Beauregard, l’e et placebo ne doit pas être confondu avec les processus naturels de guérison : « Il repose spéci quement sur la croyance et la conviction men- tale qu’un remède particulier sera e cace. » Mais ce qu’il met en jeu, ce qu’il mobilise, relève bien d’une extraordinaire capacité d’autoguérison. Parmi les cas les plus spectaculai- res, Mario Beauregard cite celui d’une personne invalide en raison d’atroces douleurs aux genoux, qui se retrouve guérie après une intervention chirurgicale « simulée ». On a pratiqué trois petites incisions au niveau du genou, immé- diatement recousues... Lève-toi et marche !
Les sceptiques ont beau jeu d’attribuer à l’e et placebo toutes les guérisons inexpliquées, mais le problème est seu- lement déplacé, car encore faut-il comprendre comment il fonctionne et la réalité qu’il recouvre. ●
Vers une psycho-spiritualité?
Énergie vitale, S expérience
transpersonnelle, chamanisme...
De plus en plus de psys
ouvrent leur cabinet à
ous l’in uence du nombre croissant d’études qui démon- trent l’e cacité de pratiques comme la relaxation, la méditation ou la prière sur la santé, le regard de la médecine et de la psychologie a commencé à changer en Occident. Certes, les positions des sociétés savantes ou instances scienti- ques, frappées d’inertie, n’évoluent qu’à la marge. Mais les pratiques des thérapeutes et leur conception de la maladie sont en pleine révolution. « Le rationnel a du bon, mais il peut être destructeur, estime Alain Perreve-Genet, cardiologue et psychiatre. Molière l’avait bien compris. Les médecins ne savent pas dire “je ne sais pas”, alors ils nomment les choses même quand ils ne compren- nent pas. » Ainsi, l’adjectif « psychosomatique » renvoie à une totale ignorance des causes, plutôt qu’à un savoir objectif. De même, on nomme « e et placebo » le fantastique potentiel d’autoguérison dont chacun est porteur, sans avoir la
moindre idée des mécanismes en jeu.
Conspiration du silence
« Quand on discute avec des scienti ques en privé, il y a beaucoup plus d’ouverture qu’on pourrait le croire, observe le neuropsychologue Mario Beauregard. Mais ils disent : nous devons penser à notre carrière, à nos crédits de recherche, etc. Il y a une sorte de conspira- tion du silence, qui est aussi une réaction de peur. » C’est donc du terrain que viennent les évolutions en cours, des thérapeutes eux-mêmes, mais aussi et surtout du public qui exerce une pression croissante pour que l’on prenne en compte non seulement le corps de l’individu, mais également les dimensions émotionnelle et spirituelle de son existence. En témoigne le succès de l’association Inrees1 fondée par le journaliste Stéphane Allix, et qui vient de publier un Manuel clinique des expériences extraordinai- res à l’usage des thérapeutes mais aussi des curieux et passionnés. Contributrice de
l’ouvrage, la psychologue Isabelle de Kochko observe le basculement engagé : « Ce qui m’étonne toujours quand on parle de l’extraordinaire est la précipitation super - cielle à trouver des explications dites rationnelles qui sont parfois bien tirées par les cheveux, même dans les milieux psy qui devraient être plus ouverts. » Quand on ne comprend pas, on dit trop facilement que « ce n’est pas possible » ou que « ça n’existe pas », ajoute-t-elle. Mais elle juge « tout aussi étonnantes » les réac- tions plutôt con dentielles de professionnels de santé qui parlent de dons qu’eux-mêmes possèdent : voyance, prémonition, magnétisme... « Comme il y a quelques années avec l’hypnose, les jeunes psychologues chercheurs qui briguent
des postes universitaires ne doivent pas trop se compromettre », relève-t-elle.
l’inexpliqué.
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Notes
1. Institut de recherche sur les expériences extraordinaires
2. Eye Movement Desensitization & Reprocessing (Intégration neuro- émotionnelle par les mouvements oculaires)
3. Bien réel le Surnaturel, et pourtant... (Avec Marc Menant, Alphée 2009)
Paradoxe
Thierry Janssen, ex-
chirurgien devenu
psychothérapeute, a
lui-même parcouru le
chemin qui mène d’une
médecine mécanisée,
quasi déshumanisée, à
une approche globale,
holistique, de la per-
sonne et de son trou-
ble. « La guérison est un
concept qui permet de
faire le lien entre le corps
et l’esprit, explique-t-il.
Dans les cultures asia-
tiques, qui n’ont jamais
séparé le corps et l’esprit,
l’énergie est au centre
des systèmes de guéri-
son : Prana en Inde, Qi en
Chine, Ki au Japon, etc. »
Le paradoxe est que la science, la médecine elle-même, ne croit pas à l’énergie vitale, comme le constate fort juste- ment le biologiste canadien Bernard Grad. Nous passons en n de la biochimie à la biophysique, avec une prise en compte graduelle de la notion d’énergie (voir NExUs n° 65). En référence aux rois thaumaturges (« Le Roi te touche, Dieu te guérit »), Thierry Janssen note qu’en Occident « beaucoup de guérisseurs ont un mythe personnel. Ils insistent sur un par- cours initiatique, passé par la sou rance et au bout duquel il y a comme une révélation extérieure, qui leur donne une connexion, une légitimité. » Au nal, ils se disent « connectés à plus grand qu’eux, à ce mystère de la vie que beaucoup appellent Dieu. »
Traumatismes effacés
Psychiatre, neurologue et lui aussi auteur à succès, David Servan-Schreiber a rencontré le prodigieux au détour du virage intellectuel qui fut le sien. Parmi les méthodes qu’il présente dans son livre Guérir, l’EMDR2 est véritablement spectaculaire, et encore plus incompréhensible pour la science que tous les concepts d’énergie vitale. Comment en e et les mouvements oculaires rapides (comme dans le sommeil du rêve), associés au rappel d’un souvenir trauma- tisant, peuvent-ils faire disparaître les (graves) symptômes liés à ce traumatisme? Victimes d’attentats, de viols, té- moins de scènes de massacre..., ils ont perdu le sommeil et la sérénité depuis des années. Et voilà que quelques séances d’EMDR e acent littéralement toutes les composantes psy- cho-émotionnelles associées au traumatisme pour ne lais- ser que le souvenir lui-même...
Dans le domaine de la maladie mentale, on gravit encore une marche vers l’inconnu. « Freud a découvert l’inconscient en étudiant l’hystérie », rappelle le psychiatre Serge Tribolet, qui a le sens de la formule: le «fou» n’a pas une case en
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Pour Olivier Chambon, psychiatre,
les expériences de type chamanique, présentent
des « propriétés thérapeutiques originales ».
moins, mais une case en plus ! « À qui sait entendre, le délire dit beaucoup, écrit-il dans son dernier livre3. Réduire la folie à la maladie mentale est une grave erreur en même temps qu’une faute éthique ! La folie n’est pas l’expression d’une carence, mais la manifestation d’une capacité supérieure, capacité à dépasser le mur de la connaissance rationnelle pour accéder à un savoir com- parable à celui que pouvait transmettre la pythie (oracle grec). »
Expériences chamaniques
Parmi les vécus autrefois systématiquement asso- ciés à la folie, les expériences transpersonnelles sont aujourd’hui vues d’un autre œil. « Après Freud et Jung, on a découvert que l’inconscient humain est beaucoup plus vaste qu’on le croyait, souligne Mario Beauregard. L’esprit hu- main et la notion de soi peuvent varier énormément, au-delà du temps et de l’espace, jusqu’à des expériences d’identi ca- tion avec tout l’univers, de conscience cosmique. »
La psychologie transpersonnelle est aujourd’hui un qua- trième courant reconnu de la psychologie aux États-Unis. Olivier Chambon, autre psychiatre formé à l’EMDR, s’in- téresse désormais aux expériences de type chamanique, qui présentent à ses yeux des « possibilités insoupçonnées », autant que des « propriétés thérapeutiques originales ». Ainsi, les voies d’exploration ne manquent pas pour tenter de comprendre un peu mieux un être humain décidément multidimensionnel. ●
Synchronicités :
petits miracles au quotidien
Les coïncidences fascinent les hommes depuis l’Antiquité, mais elles n’ont pris le nom desynchronicités – lorsqu’elles sont hau-
tement signifantes –, que suite aux travaux de Carl G. Jung avec le physicien
Wolfgang Pauli. L’épisode qui a mené
le grand psychologue suisse sur la piste
des synchronicités est connu : une pa-
tiente lui rapporte un rêve dans lequel
elle reçoit en cadeau un scarabée d’or.
Jung entend alors un léger choc contre
sa fenêtre; il ouvre et recueille dans
sa main un scarabée (cétoine) doré. Il
précise dans synchronicité et Paracelsica
qu’un tel événement ne s’était jamais
présenté à lui avant, ni ne s’est repro-
duit ensuite. Précisément ! pointent les
sceptiques : Jung attribue du sens à ce
qui n’est qu’une coïncidence, entière-
ment due au hasard. Qui n’a fait l’ex-
périence de s’intéresser aux synchro-
nicités et d’en voir soudain partout ?
C’est donc bien que l’on projette du sens sur ce qui n’en a pas. Autrement
dit, c’est de la « pensée magique » ou du « délire d’interpréta- tion ». À moins que le monde se mette réellement à « faire sens » quand on le regarde autrement. Certaines synchro- nicités peuvent en e et relever d’une forme de « miracle », lorsqu’elles permettent par exemple de débloquer une si- tuation, de répondre à une question fondamentale, ou d’in- diquer un chemin à suivre
« Concomitance d’événements reliés par le sens et non par la cause. » Derrière la dé nition austère, se cache un phénomène lumineux que nous avons tous expérimenté.
Anges encyclopédiques
J’ai personnellement trouvé dans une foire aux livres d’occasion un ouvrage auquel j’avais pensé le matin même, tout en ayant oublié le titre. N’y pen- sant plus l’après-midi, je suis allé di- rectement au fond de la salle et ce livre est le premier que j’ai sorti d’un car- ton. L’écrivain Arthur Koestler parlait d’« anges encyclopédiques » à propos de ces aides inattendues qui nous mettent entre les mains l’information livresque que l’on recherche. Ainsi, un livre tom- be parfois ouvert à la bonne page! De façon générale, beaucoup voient l’in- tervention de leur « ange gardien » ou de leur « guide » dans ces coïncidences signi antes.
Auteur de plusieurs ouvrages sur le su- jet, Jean Moisset donne des exemples pour distinguer coïncidence, sérialité et synchronicité. Au cours de vos va- cances, vous rencontrez un ami : c’est une coïncidence. En plus de cet ami, vous rencontrez deux autres connais-
sances pendant votre séjour: c’est la sérialité. Mais, vous rendant sur votre lieu de vacances à Arcachon, vous voyez une a che des Antilles qui vous fait penser à des amis par- tis vivre à la Martinique et dont vous êtes sans nouvelles depuis quinze ans. Arrivés sur place, vos voisins immé- diats sont ces mêmes amis : synchronicité. Autre exemple, d’avant l’ère des téléphones portables : vous passez devant
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une cabine téléphonique et le téléphone sonne. Vous décrochez et avez au bout du l un
ami qui cherchait à vous joindre mais s’est trompé de numéro!
« Tout me parle »
Il faut tout de
même prendre
garde à ne pas
voir des signes là
où il n’y en a pas.
L’écrivain Michel
Cazenave a ainsi
proposé que la syn-
chronicité soit à l’ori-
gine de la somatisation,
c’est-à-dire la « symbiose »
corps-esprit qui fait que nous
tombons malades apparemment
sans cause. Dans son livre Ce qui est
caché aux sages et aux intelligents, Thierry Salmeron met en garde contre les faux signes, produits du mental, et les vrais qui sont le ré- sultat d’une présence consciente. Il cite les propos d’un grand chef indien : « Tout ce qui passe près de moi, me parle ». « Vous êtes guidés vers le meilleur pour vous, par des signes acces- sibles à vos sens », ajoute-t-il. Mais il va très (trop ?) loin en expliquant que le libre arbitre est néfaste, puisqu’il nous donne des choix permanents alors qu’il su rait de suivre des signes qui nous sont « destinés ». Le libre arbi- tre serait ainsi à l’origine de la chute d’Adam et Ève.
Lâcher-prise et intuition
Le psychologue Jean-François Vézina, qui a
publié Les Hasards nécessaires (Éditions L’Hom-
me 2002), estime avec Michel Cazenave que
« les synchronicités se produisent plus fréquem-
ment en période de tension psychique, alors que la
forme symbolique habituelle du rêve n’a pas réussi
à se faire entendre. » Il ajoute : « La synchronicité vue sous cet angle n’est pas nécessairement “un cadeau magique” comme elle est parfois décrite dans le langage populaire. Encore que la souf- france peut être perçue comme une grâce. Je suis toujours amusé lorsque je lis dans un livre ou un article cette phrase : “Provoquez la synchronicité dans vos vies !” En réalité, la synchronicité échap- pe au contrôle du moi. On ne peut que se rendre disponible aux messages de l’inconscient qui empruntent cette voie. »
Être disponible aux messages de l’inconscient, cela revient à développer son intuition, peut-être en « lâchant prise ». La
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« lueur vacillante de notre intuition», comme l’appelle Jean-François Vézina, peut nous permettre de recon- naître des processus symboliques qui se déploient sous la forme de motifs, de « pentes qui nous attirent et nous conduisent imperceptiblement vers telle person- ne, tel travail, tel auteur ou encore tel pays. » L’identi ca- tion de ces processus et motifs est un apport majeur de Jung, selon
J.-F. Vézina.
Lien quantique
Mais Jung y voyait plus encore qu’un cheminement. Les synchronicités ma- nifestaient selon lui l’unité du monde, l’Unus Mundus, à travers des relations « acausales » (sans relations de cause à e et) dont il voyait un écho certain dans les propriétés déroutan- tes de la physique quantique. C’est pourquoi il a travaillé sur le sujet avec Wolfgang Pauli, prix Nobel de physique en 1945. On sait en e et aujourd’hui de façon certaine que des particu- les élémentaires ayant interagi – par exemple des photons - restent connectées via un lien mystérieux et acausal. Toute mesure sur l’une des particules modi e instantanément l’état de l’autre, mais sans transfert d’information. Il n’y a pas de « communication » entre elles, mais la physique contemporaine est obligée d’accepter qu’elles forment un seul et même système phy- sique, non local, même si elles se trouvent éloi- gnées de plusieurs milliards d’années-lumière
l’une de l’autre.
L’aspect initiatique des synchronicités a été mis en exergue dans des romans tels que La
Prophétie des Andes (James Red eld) ou L’Alchimiste (Paulo Coelho). Être davantage à l’écoute, plus conscient, plus pré- sent au monde, voilà qui ne saurait nuire. La coïncidence renvoie au hasard, mais le hasard, comme le miracle, n’est qu’une question de point de vue. Souvenons-nous que l’idéogramme chinois qui traduit le mot « hasard » désigne en fait la notion d’appariement, de couplage. Ainsi le Yi Jing (Livre des Transformations) reposait tout entier selon Jung sur un « principe synchronistique », qui fut sa première proposition de l’idée même de synchronicité. ●
Selon Jung,
les synchronicités manifestaient l’unité du monde, l’Unus Mundus,
à travers
des relations
« acausales » dont il voyait un écho certain dans les propriétés déroutantes
de la physique quantique.
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Thierry Salmeron* : « La vie donne tout, c’est ça le miracle »
NEXUS: Considérez-vous une synchronicité comme un miracle? Thierry Salmeron: La réponse passe obligatoirement par cette question essentielle: « Qu’est-on venu faire sur cette terre? » Lors d’une NDE, j’ai vu ce que nous étions réellement, le terme le plus approprié serait: des êtres de lumière. Nous sommes venus jouer dans le jeu de la vie avec ce corps (une sorte de scaphandre) qui nous permet d’expérimenter. Et ça, c’est déjà un miracle. Nous rentrerons chez nous à notre mort. Pour le jeu, nous avons oublié qui nous sommes.
L’utilité d’un miracle, comme par exemple se nourrir de lumière, est discutable puisque nous sommes venus ici-bas pour expérimenter la matière. Je préfère donc manger une tarti ette que de la lumière. Dans cet oubli de ce que nous sommes, nous avons le pouvoir de créer. Nous sommes des créateurs. Nous pouvons donc mettre derrière chaque miracle une construction personnelle ou collective. Tout en sachant que nous sommes capables de tout puisque notre corps sur terre est relié à ce que nous sommes réellement et qui dépasse totalement notre compréhension humaine.
Nous n’avons pas de mission, mais nous recevons un enseignement quotidien ici-bas, car nous sommes à l’école de la vie. Ça, c’est le miracle de la vie. Et il supplante aisément n’importe quel autre miracle.
Dans vos ouvrages, vous distinguez les « vraies » synchronicités des fausses, créées par le mental. Pouvez-vous expliquer?
Je ne dis pas synchronicité, mais signe de la vie qui n’est qu’une pièce de puzzle. La vie en action est un miracle.
Il n’y a pas de bons ou de mauvais signes de la vie. Le signe est neutre. Nous rentrons dans l’erreur à partir du moment où nous voulons donner une explication à ce que vous appelez une synchronicité. À partir du moment où l’intellect limité (et pour beaucoup, malade) veut expliquer la magie d’un signe de
la vie, c’est la dérive, et nous en faisons quelque chose de préjudiciable.
Vous avez vécu une NDE. Considérez-vous cela comme un miracle?
Une NDE n’est pas un miracle. À l’instar d’une maladie grave, cancer ou autre, c’est une expérience forte faite pour les bourricots, pour les derniers de la classe à l’école de la vie. Pour moi, à l’époque, j’étais très jeune et ça a été un réveil. J’en ai ramené des devoirs à la maison. Expliquer aux gens
la vigilance, la conscience pour qu’ils se sortent de leurs histoires à dormir debout qui leur font oublier le pourquoi
de leur venue sur terre: expérimenter et transcender. D’où le passage obligé: la vigilance pour collecter, la conscience pour avancer. Lors de la NDE, des êtres de lumière (comme vous et moi) m’ont demandé de rendre les gens conscients.
En montrant l’exemple, déjà. En écrivant, en parlant.
Quel rôle joue la vigilance dans la perception des signes de lavie?
La vigilance est l’observation neutre de ce qui sort de l’ordinaire. Il y a les signes directs, voire grossiers: vous vous demandez s’il est judicieux de prendre la voiture ce soir alors que nous sommes en vigilance orange à cause des pluies; vous en faites part à un ami et un camion de pompiers passe à côté de vous, sirène hurlante. Vous pouvez quand même tenter l’expérience, pour ma part, la vie me parle, j’écoute, je n’ai pas de temps à perdre en expériences traumatisantes.
Il y a les signes indirects, comme un verre qui tombe et casse,
tout ce qui sort de l’ordinaire et qui représente une pièce de puzzle, car pris séparément, il ne mène à rien. Et pourtant, beaucoup se tricotent une histoire avec rien.
Il y a des signes tout au long de la journée et le jeu de la vie consiste à les collecter sans chercher à comprendre. Beaucoup ne verront pas un verre qui tombe et casse, certains le verront et d’autres en prendront conscience. Dans ce cas, c’est qu’on l’a mis en lumière comme quelque chose sortant de l’ordinaire. Ceci est important car, alors, il s’enregistre de lui-même dans notre fabuleux cerveau. Le cerveau stocke cette pièce qu’il associe aux autres pièces du même puzzle. Tout à coup, c’est la prise de conscience. Le fameux Eurêka! Sans qu’il n’y ait aucune intervention volontaire de notre part. La prise de conscience n’est pas prévisible, car elle ne dépend pas d’une ré exion intellectuelle. Une évidence apparaît qui ne souffre d’aucune contradiction. Le problème, si c’en est un, c’est que si vous devez expliquer intellectuellement ce que vous avez trouvé, les mots
Il y a des signes tout au long de la journée et le jeu de la vie consiste à les collecter sans chercher
à comprendre.
ne pourront traduire cette vérité.
Alors que faire de ces signes de la vie ?
Dès qu’il y a cette prise de conscience, une expérience suit qui va valider
votre trouvaille. N’oubliez pas que
nous sommes venus pour cela : expérimenter dans la matière. Il n’y a que l’expérimentation qui s’inscrit dans nos cellules. L’intellect n’imprime rien.
Ce que je viens de vous dire est formidable pour une personne consciente. Et banal, voire décevant pour une personne inconsciente. La personne inconsciente s’ennuie dans la vie car elle ne sait pas qu’elle est à l’école de la vie. Pour elle, tout est banal et elle a besoin de miracles spectaculaires. Ces miracles ne lui servent à rien dans ce qu’elle a à faire ici-bas. La personne consciente va collecter quotidiennement ces pièces de puzzle utiles puisqu’elles
lui apportent des réponses et des directions pour ce qu’elle a à faire ici-bas. Vous voulez du fantastique? La collecte quotidienne des informations et la prise de conscience n’ont pas encore été découvertes par les scienti ques. Ça le sera dans quelques années après que des cobayes humains auront été bardés d’électrodes.
Vous l’avez en prime time.
Selon vous, qu’est-ce qui se joue lorsqu’un grand thaumaturge comme Padre Pio produit un miracle ?
Padre Pio nous montre la puissance de la pensée. La puissance de la foi. Il aurait juste fallu y rajouter la
conscience qui fait défaut à la religion. J’ai assisté à de nombreux miracles. J’ai vu des cancers guérir dans la
journée, des gens pointer leur doigt sur quelqu’un et leur faire une marque indélébile, etc.
Padre Pio s’est créé des stigmates. Ceux de sa croyance.
Si vous avez du temps à perdre, créez-vous des trous où vous
voulez, je peux vous assurer que vous en êtes capable.
Pour ma part, je me contente de ceux que la vie m’a donnés...
Peu de temps avant cet article, j’ai vécu des expériences et collecté des informations dont je ne savais quoi faire. Les questions
de NEXUS sont arrivées, elles collaient aux réponses que j’avais collectées. La vie donne tout, c’est ça le miracle. ●
Propos recueillis par Sylvie Gojard
*Auteur de plusieurs ouvrages sur la vigilance, dont Ce qui est caché aux sages et aux intelligents (voir boutique p. 110).
comment mieux vivre un décès
Mieux vivre le décès de ceux qu’on aime
Quand un être cher (humain ou animal)nous quitte, c’est toujours très douloureux. Les liens tissés au fil de la vie sont si forts qu’il y a une grosse perte d’énergie pendants ces moments-là.
Cependant, s’ouvrir, croire en l’au-delà, savoir ce qui se passe APRES aide grandement.
En fait ceux qui partent, partent juste dans le monde invisible qui est avec nous et non pas au ciel. Dès qu’ils cessent de respirer, leur âme sort par le petit trou qu’ont les bébés à la naissance appelé: fontanelle. Ils voient leur vie défilée et bien souvent ils ont l’impression qu’ils n’ont pas fait grand chose sur terre, qu’ils n’ont pas été utiles etc… Ils entendent les voix des guides de la 5ème dimension qui les guident et leur famille céleste, c’est à dire toutes les personnes qu’ils ont aimé et apprécié plusieurs vies durant, sont là pour les accueillir avec joie et amour. Et il y a parmi eux, notamment pour les enfants ou veufs et veuves, l’âme des parents ou de l’époux et épouse. Ces âmes sont un lien très fort qui fait grand bien à celui qui est parti et lui permettent d’atténuer ses peines. Il est donc moins en souffrance que les incarnés qu’il a quitté. Il a alors comme toujours mais plus nettement un lien avec les âmes de l’au-delà de ceux qu’il a aimé et un lien avec ceux restés dans la matière. Sachant que ces âmes ont l’aspect physique de leur vie d’avant jusqu’à ce que leur personnalité soit construite sur terre, après elles nous ressemblent quand nous étions jeunes (17-30 ans) Mais dans l’au-delà, on sait de suite à qui on a à faire, même si c’est une très lointaine connaissance.
Cela se passe ainsi dans le meilleur des cas, car ce n’est pas ainsi pour tout le monde, les traumatisés, les perturbés, les athés purs et durs, les gros matérialistes, les suicidés, les tueurs ont plus de difficultés quand ils arrivent dans l’au-delà.
Puis ils vivent l’instant de l’illumination qui est un état de grâce et de grande beauté, divin. Cela pour leur montrer la vie sacrée et suprême dans ce qu’elle a de plus pur et de plus beau, c’est un émerveillement extraordinaire.
Certains peuvent demander à être purifiés de leurs fautes dans l’au-delà.
Par la suite, la personne va changer d’aspect physique, elle retrouvera l’apparence de sa jeunesse entre 18 et 30 ans environ.
Dans l’au-delà nous avons tous, la partie supérieure de notre âme, appelée soi-supérieur qui nous attend, cette partie de notre âme, très active par ailleurs, a l’apparence de notre jeunesse de la vie avant celle-ci. A notre mort, elle prend l’aspect de la jeunesse de notre vie actuelle. C’est pour cela que la majorité d’entre nous a toujours l’impression d’avoir 20 ans même si elle en a 70! C’est l’âge de notre âme.
Le jour des funérailles, les désincarné(és) sont là, souvent aux côtés de leur époux(se) ou parents, ils assistent à leur cérémonie et regardent dans le cerveau des gens, ceux qui les ont vraiment aimé et apprécié.
Ce qui est sûr c’est qu’il n’y a personne dans les cimetières, ils sont toujours avec nous sauf les âmes errantes. Les cimetières sont comparables à des casses automobile, où l’on dépose notre véhicule terrestre quand il ne marche plus.
Etre incinéré, ou inhumé n’a aucune importance, le corps est vide, dépourvu de vie et de sensations!.
Le plus dur à vivre pour ceux qui deviennent invisibles, c’est quand on les oublie, c’est de nous parler par télépathie bien sûr, de nous toucher et qu’on ne les entende pas, ni ne les sente. Alors parlez-leur, dites-leur que vous savez qu’ils sont là et que vous les aimez, ce sera énorme pour eux. Vous imaginez le nombre de gens parti et auxquels on ne pense plus parce qu’on croit qu’ils ont disparu pour toujours!?. Et la peine et la grande déception pour les désincarnés qui continuent de vivre à leurs côtés?.
Pour aider ceux qui partent, de manière efficace, ceux qui font ce terrible passage de quelques minutes dans l’au-delà, si effrayant et douloureux mais qui d’après Salvadore Dali est enfantin, il faut être en paix, dans un grand respect pour leur vie écoulée et une grande tendresse. Il faut savoir que notre chagrin, notre peine profonde, leur fait aussi du mal et pompe leur énergie (l’âme est 100% énergie), en fait ça ne les aide pas à bien s’adapter à leur nouvelle dimension. Il faut donc, être le plus en paix possible, leur témoigner notre tendresse et notre amour car ils nous entendent et ils nous voient exactement comme nous le faisons.
Prier le « notre Père » ou » je vous salue Marie » apaise.
Et puis des semaines plus tard, pour leur plus grand bonheur, il faudra partager toutes joies, et la grâce d’exister, toujours dans une grande tendresse. Notre bonheur leur fait le plus grand bien!. Mais il faut savoir que les désincarnés ne vivent que dans le présent, inutile de leur demander si ils se souviennent de ceci ou de cela à travers un médium.
Essayer de les ressentir, les tire en arrière, pompe leur énergie, il ne faut pas le faire.
Ensuite dans votre quotidien, soyez convaincus avec certitude, qu’ils sont (humains et animaux) avec vous jusqu’à la fin de votre vie et qu’ils vous accueilleront avec tant d’autres, quand vous serez de retour à la maison du Père. Accepter leur départ, passer à autre chose et avoir la certitude que la vie peut encore être belle est le mieux de tout.
Chaque fois que vous pensez à eux (humains et animaux), comme vous êtes reliés pour toujours, ils le savent instantanément et viennent à vous s’ils sont occupés ailleurs, à la vitesse de la lumière, si vous les appelez et que vous souhaitez leur parler. S’ils se réincarnent avant votre retour, la partie supérieure de l’âme qui reste dans l’au-delà et qui est reliée au cosmos et à la connaissance universelle, captera toujours vos pensées et vos appels. Vous pouvez donc, communiquer avec la partie supérieure de l’âme de la personne que vous aimez et que vous avez « perdu ».
Quelques semaines après le départ pour la maison du Père, lumière de la lumière, vous pouvez avoir des petits signes de la part de la personne que vous aimez: un oiseau qui vient souvent, une lampe qui s’éteint et qui s’allume, des chatouillis dans les cheveux, un rêve où cette personne vous parle, des frissons… Il y en a plein!!!!!!!!! Tout dépend de votre degré de réceptivité.
Je communique avec les vivants de l’au-delà depuis des années, je sais maintenant comment ça se passe. Je suis heureuse de partager cette vérité concernant la vie après la vie! Il est temps de vivre la mort autrement!!!.
Voici un joli message de départ éclairé, d’une indienne inconnue
»Quand je ne serai plus là, relâchez-moi. Laissez-moi partir. J’ai tellement de choses à faire et à voir. Ne pleurez pas en pensant à moi.
Soyez reconnaissants pour les belles années que nous avons partagées.
Je vous remercie de l’amour que vous m’avez chacun démontré. Maintenant, il est temps de voyager seule.
Depuis mon départ, vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous serons séparés pour quelque temps. Laissez les souvenirs apaiser votre douleur.
Je ne suis pas loin et la vie continue… Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai.
Même si vous ne pouvez pas me voir ou me toucher, je serai là. Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement la douceur de l’amour que j’apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir, je serai là pour vous accueillir ».
Besoin d’aide? Contactez-moi : contact@lacompassion.net puis voir les soins de Chanelle à travers le monde
Cet article a été publié le 9 août, 2012 à 0 h 12 min et est catégorisé sous Comment mieux vivre un décès
la mort expliquée par l'au-delà
http://sophir.unblog.fr/2012/08/11/la-mort-expliquee-par-lau-dela
La mort expliquée par l’au-delà
Il y a parmi nous et au-dessus de nos têtes toute une hiérarchie invisible d’êtres vivants et d’âmes qui vivent dans des au-delàs et comme nous, sur des planètes totalement invisibles à nos yeux. On appelle cela les dimensions, la terre a 10 dimensions, nous sommes dans la 3ème et au-dessus de nous, il y a les autres. La 4ème dimension est notre au-delà, la 5ème est une planète d’où venait le Christ et d’où viennent les grands magiciens de ce siècle, la 6ème est l’au-delà de la 5ème, la 7ème est une planète, la 8ème est l’au-delà de la 7ème, la 9ème est la dernière planète où nous irons avant d’aller dans la 10ème dimension qui est la dernière dimension avant la fin de vie des âmes. Avant cette vie, vous avez eu des milliers de vies (minérale, aquatique, végétale, animale puis humaine) et après celle-ci vous aurez encore des vies humaines à faire pour évoluer spirituellement. Vous êtes la somme de toutes ces vies qui constituent votre personnalité actuelle. Ainsi va la vie dans sa conception miraculeuse et divine.
Si nous acceptons les cycles de la vie et de la mort nous vivons sereinement et avec sagesse et raison notre vieillesse. A l’approche de la mort (passage de cette vie à celle dans l’au-delà) qui dure plus ou moins une heure, notre âme (fluide d’énergie) qui siégeait dans l’hypothalamus dans notre cerveau, sort par le fameux tunnel (qui est le chemin pour sortir du cerveau) et la fontanelle (petit trou qu’ont les bébés au dessus du crâne), et la lumière que l’on voit ensuite c’est la lumière de l’au-delà. Le bilan de sa vie se fait avant la sortie de l’âme, on sait alors si on a eu une vie positive ou pas, puis vient l’illumination, état grandiose de sublimation totale de la vie, pour nous montrer comment nous devions VOIR la vie! Une fois sorti de son corps, on retrouve avec une joie immense les personnes que l’on aimait ou aimées de tous temps, pensez bien à cette joie au moment de partir. Vous pourrez aussi revoir vos animaux chéris.
Quand on sent que c’est la fin, il faut si possible être dans une grande paix et confiance, faire la paix avec tout le monde et en nous, pardonner, aller dans la paix divine, c’est très important. L’au-delà est un état invisible car vibratoirement plus élevé. Nous y restons près de ceux que l’on aime, que l’on continue de voir comme avant et d’ entendre. Nous sommes juste invisibles, plus jeunes et toujours là, bien vivants. Ceci est la vérité.
Une âme de lumière m’a dit:
« Quand on meurt, on quitte son corps, on le voit, et on est heureux de voir qu’on vit encore, on retrouve ensuite les personnes qu’on a aimé. Puis on vous voit et on vous entend tels que vous êtes réellement, comme vous vous voyez et entendez vous-mêmes. Nous sommes des corps de lumière qui tournons comme des toupies, et qui nous déplaçons à la vitesse de la lumière. Nous avons le don d’ubiquité c’est-à-dire que nous pouvons voir intérieurement plusieurs êtres à la fois. C’est vraiment beau cette continuité.»
Les âmes n’ont pas de nom sauf le vôtre, de code, ou de numéro c’est la télépathie qui donne immédiatement le contact intérieur avec une autre personne, ou un animal… Ils se parlent en télépathie. Nous avons tous cette télépathie en nous mais les téléphones portables et autres font que nous ne savons plus l’utiliser.
Explication sur la mort, par un être de lumière de la 5ème dimension: Jaol
« Avant de mourir et quand c’est possible, il faut se laisser aller dans une grande paix, ne rien retenir, ainsi le passage se fait plus facilement. Soyez rassuré(e) la vie continue, vous allez retrouvez tous ceux que vous aimiez et vous restez sur terre près des vôtres. C’est une certitude qui vous fera plaisir.
Il faut savoir que nous avons tous un double énergétique de nous-même (notre âme supérieure), dans l’au-delà. Ce double a la même apparence jeune que nous avions dans notre jeunesse (17-30 ans) dans sa force la plus belle . Ce double a un esprit qui sait tout et qui est plus conscient que nous. Ce double est un corps de particules extrêmement fines, très fluides.
Quand on naît, l’âme de ce double se projette énergétiquement dans les particules de matière pour concrétiser notre corps. Nous sommes une projection d’énergie de notre âme supérieure(ou conscience). Cette projection se fait par électro-aimantation.
Quand on meurt, on réintègre ce double qui rajeunit notre corps 3 ou 4 jours après. Quand notre corps s’use ou que nous n’avons plus du tout de volonté (car il faut de la volonté pour vivre), et bien nous mourrons. A ce moment là, on quitte notre corps et on le voit et on voit aussi tout autour de soi comme avant de mourir, et notre famille qui nous accueille dans l’au-delà. On voit le visible et l’invisible.
L’illumination
Le passage entre les deux vies (le visible et l’invisible et de notre corps de matière à notre double) se fait d’abord par le passage « du tunnel », le fameux tunnel des NDE, qui aboutit à une lumière intense et pleine d’amour, qui est en fait, l’illumination, un état intérieur nimbé de sainteté et d’une grande beauté. Nous vivons un encensement total, on partage et ressent la vie la plus intime des fleurs, des animaux, des humains, etc.. Dans l’émerveillement et le respect. C’est sublime à vivre. Cette illumination totale dure pendant un certain temps et peut donner la sensation d’être longue pour certains mais elle est très breve. Puis nous intégrons notre double.
Quand nous sommes dans l’au-delà, nous entendons toujours les voix des grands de la 5ème dimension que nous ne voyons jamais et qui nous guident, et vivons un encensement total, on partage et ressent la vie la plus intime des fleurs, des animaux, des humains, etc.. Dans l’émerveillement et le respect. C’est sublime à vivre.
La sortie du corps par la fontanelle
L’âme sort de la fontanelle dans un craquement plus ou moins fort. On voit ensuite après l’illumination, notre corps « mort », et on voit et entend tout, comme avant. On se pose plein de questions car on ne se rend pas bien compte de ce qu’il nous arrive. pour certains, c’est vécu comme un rêve ou un cauchemar (Lire: Mes conversations avec l’au-delà). Plein d’âmes assistent à leur funérailles.
L’accueil de notre famille de l’au-delà
Notre famille céleste nous accueille pleine d’amour et nous conseille, il faut écouter les voix qu’on entend!! Souvenez-vous d’écouter leurs conseils. Mais surtout on peut rester près de ceux qu’on vient de quitter ensuite. Quel bonheur de retrouver ses parents ou enfants décédés, c’est une joie incensée!!.
Le changement d’aspect physique
On change d’apparence physique quand nous réintégrons notre double par électro-aimantation, nous retrouverons alors l’aspect physique de la plus forte période de notre vie, entre 18 et 30 ans en général. Et si nous mourrons très jeune, et bien nous reprendrons l’aspect physique de notre vie d’avant celle-ci. L’âme est une condensation d’énergie. On a toujours un cerveau et un coeur mais subtils. Quel bonheur pour les alzheimers de retrouver la mémoire, les aveugles de voir, les sourds d’entendre, les paralysés de bouger, les handicapés de marcher, les vieux de retrouver leur 20 ans!!!! C’est prodigieux!
L’aide aux nouveaux arrivés
Restera à nous donner l’énergie nécessaire pour être bien, une nième fois, dans cette nouvelle dimension, la 4ème, d’où l’importance des prières et du soutien d’amour, de respect et de tendresse des incarnés restés en 3ème dimension. Des êtres connus dans nos vies antérieures ou des parents et amis viennent vers nous pour nous rassurer et nous expliquer ce qui se passe et nous dire d’être volontaire pour être lumineux, sinon on sera déphasé. On fait alors un effort et on décide d’accepter ce nouvel état. On est alors conseillé sur sa vie, on nous dit là tu aurais pu faire ceci ou cela car chaque seconde de notre existence est enregistrée, sans jugement ni culpabilité!!! On nous montre toutes les forces négatives et positives de notre vie. Sachant qu’il vous sera demandé, ce que vous avez fait pour les autres.
Vous pouvez rester très très longtemps dans l’au-delà si vous ne souhaitez plus vous réincarner, vous évoluerez quand même. Une demi-heure chez nous équivaut à 3 jours chez eux. Vous voyez comme ça peut être long, mais rassurez-vous, dans l’au-delà on ne vit que dans le présent.
L’engagement à faire le bien en devenant guide
Si on a pas réussi comme on le devait, notre vie humaine, alors on va agir positivement sur ce nouveau plan, en essayant de faire quelque chose de bien pour les autres. C’est par exemple, le rôle des guides ange gardien qui nous suivent tous les jours!. Dès que le choix est fait de guider quelqu’un, on leur recommande alors une personne incarnée de mêmes ondes qu’eux, et leur travail consistera à l’aider dans sa mission terrestre. Il fait d’abord un essai, il regarde vivre la personne incarnée et quand elle manque d’énergie, il lui envoie de l’énergie simplement en la regardant, cela se fait naturellement.
L’au-delà
L’au-delà qui est un état, pas une planète, est avec nous, à notre niveau. C’est là que nous allons quand nous mourrons. Nous serons alors dans un des 3 états possibles:
Le bas astral est un état intérieur de l’âme concernant les gens qui ont un mental difficile et qui font du mal.
Le moyen astral est un état intérieur de l’âme, plus pur et plus évolué.
Et l’astral supérieur est l’état intérieur des âmes très lumineuses et pures.
Le but étant d’évoluer suffisament pour passer à l’état de l’astral supérieur. On peut alors voir notre monde comme un monde merveilleux si l’on est soi-même très lumineux. L’au-delà est un état où il y a toujours une lumière qui ne fait pas d’ombre, appelée soleil vrai, le noir n’existe pas. ll faut absolument être en paix au moment de mourir, et essayer de ne pas avoir peur de mourir car en fait, ce n’est rien. Après on garde notre nature et notre caractère. Dans l’au-delà il y a des joyeux comme des moroses, des intelligents et des ignorants, des lumineux et des très ténébreux… comme ici!. Mais nous ne voyons que les êtres que nous avons aimé si nous le souhaitons. Ils sont des milliards dans l’au-delà, y compris les animaux, les arbres, les plantes etc… alors heureusement qu’on ne les voit pas tous, et puis on reste en général dans l’endroit qu’on a quitté, près de ceux que l’on a aimé. Il peut y avoir dans une même maison 2 ex maris d’une femme qui sont avec elle, sans qu’ils se voient.
Le karma
Il faut penser aux répercussions suite à nos actions. C’est une loi universelle qui dit: Tu es responsable de tes actes en raison de la loi de cause à effet ou karma. La vie est un combat qui nécessite de la bonne volonté, du courage, de la détermination à vouloir être bien en soi, d’avoir le désir de bien faire et d’aider les autres. Il faut accompagner sa vie et la redresser chaque jour dans le sens positif. Sinon, on le paye dans les vies futures.
Un autre témoignage
« Même quand on meurt par accident, c’est que notre programme a été rempli et qu’on ne peut aller plus loin. La mort n’est pas prédestinée, elle peut être douce ou tragique, tout dépend de la personne. C’est une question de force intérieure et de souffrance individuelle. Si vous êtes dans une grande sérénité intérieure, confiant dans la vie de l’au-delà, les forces vitales se défont tout doucement et vous partirez simplement comme si vous sortiez d’un gant. De l’autre côté nous nous retrouvons à l’intérieur d’une forme (le fameux double) qui ressemble à celle que nous avions sur terre et tout à coup nous voyons des êtres venir vers nous. Ils nous montrent tout ce qu’il y a de grand, de beau, et de merveilleux sur la Terre. Soudain, nous voyons avec un regard totalement différent et nous nous sentons ridicules d’avoir vécu notre vie d’homme petitement, enfermés dans notre égo, concentrés sur nos petites histoires terrestres personnelles. Tout devient immense! splendide! spirituel! J’ai du mal à trouver les mots pour vous l’expliquer. De l’autre côté, où résident les bons et les mauvais comme nous, l’obscurité n’existe pas, c’est au contraire la grande lumière!. On voit très clairement et il n’y a plus l’ombre d’une difficulté. Nous sommes, quand nous sommes des âmes lumineuses, dans la joie et le bonheur et nous apprenons et voyageons. N’ayez pas peur! Nous ressentons juste une petite détresse lorsque nous voyons le désespoir de ceux que nous quittons. Nous avons envie de rester avec eux. Nous voulons communiquer avec eux mais ils n’entendent pas ce qui est dur à vivre souvent. Sinon, nous sommes dans une grande fête intérieure, tout est clair, parfait. Nous devenons comme un faisceau lumineux ardent, conscient des forces de la vie autour de nous mais nous n’y participons plus. Les êtres que nous accueillons sont immédiatement dans la Lumière. Quand nous sortons du corps, nous échappons au phénomène d’attraction et de répulsion terrestre. Notre corps est devenu spirituel et ce n’est plus du tout pareil. Ce qui est difficile dans la vie terrestre c’est de faire mouvoir la matière. Si vous quittez la terre avec un mental lumineux et paisible, vous vivrez les premiers mois de votre arrivée dans le bonheur, si vous êtes défaits intérieurement ou traumatisés ce sera plus dur et plus long avant de vous en remettre. (voir témoignage d’Anne Franck). Le moment le plus difficile est celui où nous sortons de notre tête, instant que nous vivons comme un arrachement, mais une fois libéré on est heureux!. Soyez calme et tranquille. Si l’on meurt dans des tragédies, on remonte vers Dieu avec des petits noeuds, et quand on repart sur la Terre, à la naissance suivante, on retrouve le même bilan intérieur noué car on revient toujours avec les références bonnes ou mauvaises de notre dernière vie. Ceux qui partent dans la sérénité renaissent, au contraire comme une fleur!. Les êtres peu évolués ne cherchent pas à s’élever intérieurement et stationnent près de leur corps. Nous essayons de leur parler mais comme ils sont terriblement attachés à ce qu’ils viennent de perdre, ils n’arrivent pas à libérer leur esprit. Ceci est une phase momentanée. A l’instant où l’être humain sort de son corps, son cerveau se met à bouillonner, le film de son passé défile avec tout ce qui lui est arrivé sur Terre, toutes les émotions qu’il a eues, aussi est-il parfois sens dessus-dessous. S’il a été limpide tout se passe paisiblement. Sinon, la personne prend tout à coup conscience de ce désordre, essaye de se rassurer, en s’apercevant qu’elle a fait plus ou moins n’importe quoi. Les forces de la personne luttent au milieu d’informations qui sont relancées et qui ne trouvent pas le repos (le fameux tunnel). Il faut un certain ensuite pour que la personne trouve la paix. Ma mère a mis 9 ans, 9 ans de repos et yalla! Elle est repartie de manière magnifique! 3 jours chez nous équivaut à peu près à 15 jours chez eux.
En partant, dites: « Merci mon Dieu, reprends-moi. » Détendez-vous si vous le pouvez et laissez vous accueillir par votre famille céleste, aider et guider par les voix que vous entendrez en allant vers la lumière.
On dit: « Il ne faut pas déranger les morts » C’est archi faux, les forces données par nos amis ou famille sont pour nous, un grand bonheur! C’est une absurdité de penser que le contact nous dérange, au contraire, il nous donne de la joie! de la force! de la vitalité! Nous nous rechargeons grâce à vous!!. »
Ce que nous devons faire quand nous « perdons » quelqu’un
Ce qu’il ne faut pas faire c’est d’essayer de les ressentir car ça pompe leur énergie qu’on les tire à nous. Juste penser à eux, leur dire qu’on les aime et partager nos joies avec eux. Notre chagrin les rend malheureux et les épuise.
Faire un bon départ
Quelle que soit la vie qu’il a mené, quelles que soient ses erreurs, quand arrive le moment de quitter la terre, chacun peut au moins s’efforcer de partir dans un esprit de paix, d’harmonie, de réconciliation avec tous les êtres, et particulièrement avec Dieu. Dans la religion chrétienne, c’est le sens de l’extrême-onction.
L’extrême-onction, ce sacrement que le prêtre administre au mourant, est fondée sur un vrai savoir : l’état intérieur dans lequel un être humain vit ses derniers moments détermine la voie qu’il va suivre dans l’autre monde, et il joue aussi un rôle important pour sa prochaine incarnation, donc pour son avenir lointain. Ce sacrement est seulement une possibilité qui lui est donnée de quitter la terre dans les meilleures conditions, mais comme tous les sacrements il n’est pas indispensable en tant que rite. Il est destiné à aider ceux qui le reçoivent, mais chacun peut vivre ses derniers instants dans la lumière sans avoir reçu ce sacrement.
« Ce qui aide véritablement un être humain qui quitte la terre pour l’autre monde, ce sont les vertus qu’il a pratiquées pendant son existence. Alors, sachez-le, si vous avez vécu en harmonie avec l’Esprit cosmique, avec les lois de toute la nature vivante, quoi que l’on fasse de votre corps après la mort, et quoi qu’il arrive à ce corps, une lumière vous accompagnera parmi les ombres de l’au-delà. » Mickael Aïvanhov
Les p’tits signes de l’au-delà
Le saviez- vous?
Les âmes qui partent deviennent plus lumineuses et plus performantes ensuite, certaines ont alors des pouvoirs comme celui de se manifester par des frissons, de la chaleur, ou en ordonnant à des petits oiseaux de venir régulièrement sous nos fenêtres, ou encore ils peuvent nous envoyer un sillage parfumé. C’est le cas de Sainte Rita qui embauma tout le monastère d’un parfum de rose, à sa mort, pour exprimer toute sa bonté.
Ma mère me fait un léger gratouillis dans les cheveux côté droit pour me manifester sa présence, grand-père lui c’est sur le sommet de la tête. Vous pouvez demander à ceux que vous aimez dans l’au-delà de vous montrer par un signe distinctif leur présence. Il y a aussi des ouvrages à lire sur les nombreux signes de l’au-delà.
Il y a assurément, pour les plus lumineux d’entre nous, de belles surprises qui nous attendent dans l’au delà!.
N.D.E et E.M.I, témoignage
J’étais très jeune, seize ans environ quand j’ai été terrassée par une immense frayeur alors que j’étais en voiture : un accident allait se produire et j’allais en mourir : la voiture allait passer sous un camion.
Ce fut une aspiration irrésistible dans un tunnel vers une lumière comme on n’en a jamais vu, ni même pu imaginer. Pendant ce passage, j’ai vu se dérouler tout le film de ma vie, en image mais aussi émotionnellement, avec mon être tout entier, si l’on peut dire corps et âme. Je n’ai vu et ressenti que les moments d’amour et de bonheur, comme si les difficultés ou les souffrances n’étaient pas prises en compte, un amour inconditionnel. Au bout du tunnel resplendissait un Être de lumière d’une blancheur éclatante ; pour moi, élevée dans la religion chrétienne, j’ai pensé au Christ. J’étais dans un état de totale béatitude, submergée d’amour, de bonheur, de paix, de douceur, il n’y a pas de mots qui puissent le définir…
Puis brusquement ce fut le chemin inverse, le tunnel dans l’autre sens, la même aspiration irrésistible, la réincorporation et la grande déception de me retrouver au point de départ, dans la voiture. À ma grande stupeur, l’accident ne s’était pas produit et je n’ai toujours pas compris comment j’avais pu y échapper, une amnésie totale du monde matériel, je ne me suis jamais souvenu comment cet accident avait été évité. J’ai été tellement choquée que je suis restée environ dix minutes, sans pouvoir prononcer une parole, les jambes vraiment coupées, avec l’angoisse même de rester muette et paralysée. J’ai été très soulagée lorsque j’ai retrouvé mes facultés, mais mon cœur a continué vraiment à tambouriner un long moment.
Je pense que cela a été un “ flash ” d’une extrême rapidité, de quelques secondes au plus, mais d’une telle densité et intensité que ce que j’ai vécu me semble vraiment indicible et que je pourrais en parler indéfiniment pour essayer d’en exprimer tout mon ressenti. Il me semble même que de tenter de décrire cette expérience risque même d’en amenuiser le merveilleux, car les mots ne suffisent pas.
J’ai été véritablement marquée et, depuis, je n’ai jamais douté de la survivance d’un état de conscience après la mort. Cependant ce n’est que plusieurs dizaines d’années après que j’ai appris ce qu’était une NDE, lorsque je fus accompagnante en soins palliatifs, où j’ai pris connaissance des œuvres d’ Elisabeth Kübler Ross, de Raymond Moody, de Patrice van Eersel, du Père Brune et bien d’autres encore. J’ai appris alors, que c’était ce que j’avais réellement vécu.
Jamais je n’ai eu quelque angoisse par rapport à cette expérience, je n’ai jamais ressenti le besoin d’en parler; Cependant elle m’a beaucoup interpellée et je pense qu’elle m’a donné un chemin de vie.
J’ai été confrontée tout au long de ma vie au monde médical : J’ai fait partie d’une équipe médicale en tant que kinésithérapeute dans les hôpitaux. Par la maladie, j’ai eu l’expérience des soins de réanimation.
Cette remarque est juste pour exprimer que l’état de coma, et les effets de la morphine s’ils donnent des effets « spéciaux » Une NDE n’a rien à voir avec une hallucination, j’ai bien été au ciel avec des nuages roses et bleus, des petits anges et un grand bien être, mais ce n’est aucunement comparable.
Ces dernières années, j’étais accompagnante de malades en soins palliatifs. Je m’occupe actuellement d’enfants cancéreux et leucémiques. Ces diverses expériences m’ont confrontée à la souffrance, la mort et m’ont interpellée sur l’après mort.
J’ai constaté que comme une EMI une agonie était propre à chacun. Chaque agonie est unique et garde son mystère et je restais très interpellée par rapport à ce qui pouvait se passer dans le cerveau, de l’état de conscience, de la limite réelle entre la vie et la mort.
Il faut noter que de telles expériences ne sont pas toujours vécues généralement lors d’arrêts cardiaques et de comas ou de mort imminente. Certaines personnes les ont expérimentées simplement après un état de choc au cours d’un accident, une immense peur comme cela s’est produit pour moi, un lâcher prise lorsqu’on a eu la certitude de se noyer ou tout simplement au cours d’une promenade tranquille dans un parc, à la terrasse d’un café, ou encore comme le raconte Erik Pigani, grand pianiste classique lors d’un concert qu’il donnait. Ce dernier explique comment pendant qu’il jouait au piano, il était sorti de son corps, était passé dans la lumière et avait fait une expérience d’illumination magnifique. Lorsqu’il était revenu dans son corps, il avait terminé son morceau, mais il n’avait plus le souvenir de l’avoir joué ; il a été constaté que la qualité de l’interprétation avait été supérieure.
Les chercheurs comparent souvent ces expériences à des hallucinations produites par un traitement pharmacologique ou différentes drogues.
J’ai été moi-même en réanimation plusieurs semaines et si j’ai vécu des phénomènes paranormaux, il n’y avait aucune mesure avec un ressenti de NDE.
J’ai reçu une forte dose de « morphine » et effectivement je me suis retrouvée au-dessus de mon corps dans un état de bien-être total, entourée de lumière et d’anges emplis d’amour et de bonté, mais il n’y avait absolument pas cette sensation que tous les témoins affirment être « indicible » ou « ineffable », qui marque pour le restant de ses jours.
Le suicide
Il est formellement interdit de se suicider.
Les gens qui se suicident arrivent presque toujours dans l’au-delà complètement défaits et il leur faut des mois, voir des années à s’en remettre.
Les envies suicidaires sont très souvent d’origine karmique, les mémoires de suicides ou de traumatismes de vies antérieures remontent à la surface dans des périodes critiques de l’existence et redonnent à la personne ce même désir ou le bouleversent complètement. Parfois les karmas sont tellements lourds (assassinats et ou suicides et ou viols et ou rejets et ou abandons dans plusieurs vies antérieures) que c’est très difficile à soigner. Mais en général les dépressions conduisant au suicide sont soignables à condition que la personne participe avec volonté pour s’en sortir.
Les pratiques hospitalières pour traiter les grosses dépressions sont désastreuses, les électrochocs lésent les neurones et affectent la mémoire, rendant alzheimer certains sujets. Il ne faut jamais en faire, c’est une catastrophe pour le cerveau. Les médicaments rendent les gens végétatifs incapable de volonté et de décision sur leur triste sort, ils se retrouvent à la merci d’une équipe de soignant ignorant que le mal des patients est karmique et que ce n’est qu’un magnétiseur qui peut les soulager et non des somnifères ou des anti-dépresseurs.
Pour éviter d’en arriver là, il faudrait procéder à un nettoyage karmique dès la naissance ou dès les symptômes alertants, et consulter un magnétiseur comme moi qui soigne les dépressions par le magnétisme.
Comprenez que l’origine du mal vient de nos vies antérieures, assistez toujours les personnes en détresse, rassurez-les en leur disant que ce sont des mémoires antérieures qui remontent, qu’il ne faut pas se focaliser dessus mais au contraire, ne pas y penser, être volontaire pour s’en sortir en se faisant aider, par un magnétiseur, une sophrologue, un kinésiologue, une psychologue etc…mais évitez l’hospitalisation.
Qu’est-ce qu’on fera quand on sera mort? bonne question n’est-ce pas?
Comme la mort n’est qu’un passage vers une autre vie, on a donc encore beaucoup de choses à vivre. Mon ange gardien (qui n’a pas d’ailes bien sûr) m’a dit ceci à ce sujet:
« Cela dépend de chaque individualité et de son évolution passée. Suivant cela, après notre mort et quand on a un esprit clair, on voit immédiatement sa famille restée sur Terre ou les êtres chers des derniers moments. On sonde alors souvent le jour de notre enterrement, l’esprit de ces personnes pour savoir si elles nous ont aimé autant qu’on les a aimé. Selon la réponse, et si on est assez fort, on va se demander si on peut aider une personne qui nous était chère, et si on peut l’aider on restera près d’elle pour le faire, mais si on s’aperçoit qu’elle ne nous aimait pas et bien on peut décider de la quitter définitivement. On peut ignorer les choses et les êtres qui ne nous intéressent pas. On retrouve aussi les gens que l’on a aimé dans cette vie et dans d’autres, dans l’au-delà et quand on est rassuré dans ce nouvel espace, on se demande alors ce qu’on va bien pouvoir y faire. Et là, tout d’un coup, les choses s’ouvrent et il nous arrive un flot d’idées!!!. Suivant ses propres aptitudes, joies et intérêts on fait ses choix. Puis ensuite, on s’installe dans ces références en essayant de les prendre de A à Z. On commence donc à s’initier en cherchant parmi les humains, les personnes qui ont ces aptitudes communes. Par exemple, si on souhaite devenir chirurgien et bien nous irons observer un chirurgien et apprendre le métier de cette façon. On se dit alors: »Est-ce que je suis capable de faire ça dans ma prochaine incarnation? ». Certains étudient plusieurs disciplines à fond. D’autres restent près de leur famille car c’est toujours ce qui réchauffe l’âme. La plupart du temps on essaye d’aider les êtres chers en leur donnant des motivations et de l’énergie.
On a aussi des merveilles à découvrir car à chaque instant, notre regard sait apprécier la vie parce qu’on la ressent pleinement. On a l’impression que notre énergie explose de bonheur dans un gloria avec la plus petite chose regardée. On a l’impression d’être le frère de cette chose ou de cet être, de partager son ressenti, son être.
On voit vivre les humains et quand quelque chose ne nous plaît pas on part immédiatement vers autre chose sachant qu’on se déplace à la vitesse de la lumière.
On peut aussi faire les voyages que l’on veut sans se déplacer, on en a la vision grandeur nature.
On est toujours dans la lumière, le noir n’existe pas mais les âmes en souffrance sont dans une sorte de brume.
On peut plaisanter et discuter télépathiquement avec nos bons amis et les gens qu’on a aimé. On peut se reposer. Mais il y a des codes et des engagements à respecter quotidiennement pour l’évolution de l’âme.
Un autre côté positif de l’au-delà, c’est qu’on est au courant de tout immédiatement. Et si on pose une question on a immédiatement la réponse qui vient des grands de 5ème dimension qu’on entend mais qu’on ne voit pas.
Pour les êtres de l’au-delà tout est positif, ils savent que tout est important et que rien n’est négatif.
Le temps est très différent, plus long et plus tranquille. On a le temps de faire tout ce que l’on souhaite, calmement et on ne vit que dans le présent c’est pour cela qu’ils ont du mal à se remémorer certains souvenirs. Ils sont obligés d’aller voir dans les annales akashiques pour nous répondre
On a un corps qui a l’apparence de celui des incarnés car dans l’au-delà il y a de la matière mais elle est tellement subtile et la vibration tellement! tellement plus élevée qu’on a une apparence recomposée d’après l’âge dans lequel on était le plus fort dans sa dernière vie. Environ 20-30 ans.
Pour être bien dans l’au-delà, il faut arriver en paix, et être ensuite volontaire pour y vivre tout ce qui est possible d’y vivre, il faut être dans un bon état d’esprit, ce n’est malheureusement pas le cas pour tout le monde. «
Nous venons ici de parler d’un départ normal dans l’au-delà mais il faut savoir que les âmes traumatisées comme celles qui ont vécu des tsunamis, tremblements de terre, les camps de concentration ou une mort tragique arrivent dans l’au-delà tellement choquées, terrifiées et traumatisées qu’il est dans cet état, impossible de les aider. Par contre, on leur envoie des forces pour que leur temps de souffrance leur paraisse un peu moins long. Elles peuvent rester ainsi, en détresse des mois voir des années. Mais dès qu’elles tapent du pied pour repartir en avant, alors là, on peut les aider et elles vont mieux. Sinon, elles ont l’impression de vivre un cauchemar sans fin. Et les âmes aidantes de l’au-delà doivent conserver leur énergie c’est pour cela qu’elles désertent ces âmes en souffrance extrême au moment des drames, parce qu’elles leur pomperaient toute leur énergie.
Une âme choquée ne peut pas être aidée, il faut qu’elle s’apaise pour recevoir. Toutes les âmes interrogées disent la même chose.
« Comme vous j’ai eu peur d’elle, j’ai douté, mais là je ne doute plus du tout!! Après plusieurs années de conversations avec les belles et aimantes âmes de l’au-delà, je sais maintenant que mourir n’est qu’un petit passage vers la 4ème dimension, globalement plus douce et plus belle et spirituelle que la nôtre. Si je peux vous communiquer à travers ce blog tous mes enseignements, toute ma connaissance, pour parvenir à vous rassurer, à vous enlever tout doute et peur, alors j’aurais accompli un merveilleux travail. » Chanelle
Il est grand temps d’apprendre à mourir, à l’aube de l’ère spirituelle du Verseau.
Besoin d’aide? Contactez-moi : contact@lacompassion.net puis voir les soins de Chanelle à travers le monde
Cet article a été publié le 11 août, 2012 à 22 h 40 min et est catégorisé sous La mort expliquée par l'au-delà.
les schèmes
pas beaucoup d'articles sur ce sujet :
voici un extrait de Frantz Bardon que vous pouvez lire en entier sur cette page :
http://users.skynet.be/Aranan/download/livres/LCVIM.pdf
voici un extrait de Frantz Bardon que vous pouvez lire en entier sur cette page :
http://users.skynet.be/Aranan/download/livres/LCVIM.pdf
et aussi :
Qu'es ce qu'un schème?
Les larves se situent sur un plan astral (émotionnel), les schèmes sur un plan mental (pensées).
Si l'un se forme sous l'influence de l'émotion répétée, l'autre sous l'influence d'une pensée, ou d'une structuration mentale répétée.
Exemple : je pense tous les jours que je suis une personne positive, avec des pensées positives, j'induis d'une part la structuration mentale, d'autre part à terme je peux produire un schème qui m'incite dans un auto-renouvellement de mes pensées à cet objectif (le pendant négatif est bien entendu possible).
C'est à la fois une forme de cristallisation de notre personnalité, qui par extension peut se développer en part de soi, sur le plan de la psyché et du corps mental. Ces schèmes peuvent être des forces, comme ils peuvent tout à fait se retourner contre nous-même.
Quand un schème devient négatif?
L'un des exemples les plus illustratifs : "les fameuses parts sombres de nous-même".
Je ne traite pas ici de l'inconscient ici, chaque personne a différentes facettes dans sa personnalité, et il peut arriver que dans une dichotomie majeure entre ce qu'il veut être et ce que certaines parts de lui sont entraine une forme de cission qui engendre le schème.
Ainsi la part non-voulue de l'être se retourne contre la personne, pouvant aller jusqu'à se détacher (donne une impression de fracture sur le corps mental, ou d'ajout sur celui-ci) et engendrer des attaques, sur le plan de la pensée chez la personne concernée.
-> pensées répétées, en incohérence avec la façon dont la personne se perçoit, pouvant engendrer des états dépressifs, incapacité à sortir d'un schéma mental, fracturation psychique.
Attention : cela ne justifie pas l'absence de prise en charge médicale (physique, psychiatrique, psychologique). Ces manifestations sont généralistes et pas forcément induites par un schème. D'un problème psychiatrique peut découler un schème, ce n'est pas l'évacuation de celui-ci qui soignera la personne.
Le schème : "masque" énergétique :
Poussé au paroxysme, le schème peut induire en erreur la perception que l'on a d'autrui.
(Attention, le schème ne doit pas être confondu avec d'autres effets énergétiques pouvant engendrer le même résultat)
Pour prendre l'exemple le plus basique, quand une personne a une part d'elle-même "obscure" (au sens de capacité à volontairement engendrer le chaos pour le plaisir du chaos) qui se retourne contre elle-même, les énergies générées peuvent créer comme un "masque" sur celle-ci donnant la sensation de rencontrer une personne "démoniaque", un "démon incarné", le "mal manifesté". Alors qu'en réalité, c'est une personne douce, normale, sans aucun souci, et qui n'accepte juste pas cette part d'elle-même.
Il est ainsi perçu comme un "masque" qui se superpose à la perception globale de l'être. Et pour les personnes douées dans la capacité à se cacher, ou à ne présenter qu'un aspect d'eux, le schème est ainsi un atout.
La nuance avec la larve, c'est que le schème rejoint un quasi statut d'égrégore/élémental, au sens où il peut être nourri des projections des autres, quand le schème nous échappe.
Exemple : je projette volontairement qu'un seul aspect de ma personnalité dans l'administration de ce forum. Les gens projettent des éléments annexes et me cataloguent à partir de ce qu'ils perçoivent, ils nourissent ce schème, qui pour autant ne me défini pas, créant ainsi un intermédiaire entre mes énergies mentales et eux. Le "masque" m'échappe, et ce que je suis n'est plus défini par les énergies du schème associé à mon pseudo.
Donc oui, le schème peut être une problématique perverse de la perception médiumnique, autant que du rapport personnel à son acceptation. L'introspection est ainsi toujours à écrire en gros, gras, sur votre frigidaire.
Il est néanmoins moins facilement perçu que la larve, parce que les énergies du plan mental sont moins évidentes dans un développement naturel de la médiumnité.
Se débarrasser d'un schème?
Tout comme pour celle-ci, certaines personnes ont plus de facilité à produire des schèmes, ou peuvent être dans des moments de leur vie où par des fragilités ils peuvent y être plus prédisposés (deuil, dépression, choc...). Il est important de ne pas juger du schème en soi, mais de le prendre en considération dans un contexte.
Il peut aussi être imbriqué avec une problématique de larve (et c'est la plupart du temps le cas) et donc ne doit pas être traité de façon seule, tous ses aspects sont à considérer.
Il recquiert bien entendu que la personne travaille sur son acceptation, sur sa compréhension de soi, pour que le schème ne se reproduise pas, une fois dégagé ou retiré.
En terme technique, c'est comme la larve, mais à travailler sur un plan mental (une bonne connaissance de ce type d'énergies est ainsi un atout) :
Entre en considération :
- le rituel de renvoi à la terre (de façon quotidienne)
- la purification (par décharge) (pour un besoin spécifique, idéalement répété)
- le dégagement (par vous-même ou par autrui)
Mais :
- si la source du schème est toujours entretenue, autant dire que toute la purification du monde ne sera qu'une éternelle partie de cache-cache. Outre le ménage, la prise de conscience du mécanisme de formation est nécessaire pour ne pas que se reproduise sa formation.
Bien à vous, Hagel
pour le rituel ou purification : cliquez sur le lien
http://equinox.over-blog.net/2014/10/les-schemes.html