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la corde d'argent

voici un site super intéressant, avec de nombreux articles entre autres celui-ci : 

 

 

3. La corde d’argent :

J’ai parlé, plus haut, de la corde d’argent. Nous venons de voir que celle-ci fait partie des douze constantes (réduites ici à cinq) dégagées par Jean Prieur. Les personnes expérimentant une décorporation, spontanée ou dans le cadre d’une NDE, ne signalent pas, pour la plupart, la présence de la corde d’argent. C’est ce constat qui a fait écrire à Ian Wilson qu’une « corde d’argent » entre le « corps spirituel » et le corps physique « est un aspect régulièrement rapporté par les faux médiums spiritualistes depuis au moins un siècle, mais n’a pas d’équivalent dans l’ensemble des témoignages de quasi-mort »... Or, rien n’autorise à qualifier de « faux médiums spiritualistes » les personnes ayant témoigné de l’existence de la corde d’argent, car de nombreuses sources (témoignages de certains « décorporés », etc.), que je ne détaille pas ici, convergent remarquablement pour attester l’existence de ce lien entre les corps physique et spirituel. Il faut évidemment se demander pourquoi la majorité des personnes expérimentant la décorporation ne perçoivent pas cette corde d’argent. Robert Monroe, par exemple, n’a que très rarement perçu ce lien. Mais il a pu se rendre compte de l’existence de celui-ci en cherchant à déterminer sa réalité ou non... Ce sujet est notamment développé dans : “Le processus de la transition et les premières phases de l’après-vie” (en deux parties).

Ian Wilson a prétendu qu’aucun « sujet crédible de quasi-mort » (NDE) n’a mentionné la corde d’argent. Or, dans une note se trouvant en fin de volume, il mentionne l’ouvrage de Peter et Elizabeth Fenwick (Londres, 1995), dans lequel sont répertoriés des cas de personnes ayant aperçu un tel cordon lors d’une NDE ! (3)

Notons, au passage, que la corde d’argent est mentionnée... dans la Bible ! Voici la citation :

« L’homme s’en va vers sa maison d’éternité ! Et les pleureurs tournent déjà dans la rue ; avant que le fil d’argent lâche, que la lampe d’or se brise, que la jarre se casse à la fontaine, que la poulie se rompe au puits. » (Ecclésiaste, XII, 6) (4)

Il convient
de noter
que
Wilfried
Chettéoui
a, dans un
livre paru
en 1983,
publié des
photographies prises au chevet d’une mourante. Sur ces documents exceptionnels, on voit la « corde d’argent » reliant le corps physique à la tête, au cœur et au plexus.(5)

page1image44939072

Ces photos sont reproduites dans l’une des deux parties de : “Le processus de la transition et les premières phases de l’après-vie”.(Même rubrique.)

Evoquons, enfin, la mythologie grecque. On connaît le mythe des trois Parques, dans lequel la vie est symbolisée par un fil. Clotho le file, Lachésis le tisse, et Atropos le coupe quand l’heure de la mort a sonné... (6) La vie, effectivement, tient toujours... à un fil.

 

 

photos-reelles-corde-argent

 

http://www.mondenouveau.fr/la-decorporation-fausses-decorporations-et-vraies-sorties-hors-du-corps/

 

désolée les photos ont été supprimées ?

 

Il est lié à lui par ce que l'on appelle la corde d'argent. Cette corde a quatre ramifications : la première est liée à un point du cerveau, la deuxième est liée au cœur, la troisième au plexus solaire, et la quatrième au foie. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cordon_d%27argent#:~:text=Il%20est%20lié%20à%20lui,et%20la%20quatrième%20au%20foie.%20»

 

 

j'ai pris cette photo étrange dans ma chambre, ma tête se trouve à droite, je suis allongée sous la couette

ceux qui me connaissent savent que je pratique de nombreuses expériences d'où ce blogCool

 

 

Image 03-05-2023 à 09.42.jpeg

 

 

 

http://lefildargent.over-blog.com/2015/04/le-veritable-fil-d-argent-c-est-quoi.html

 

Certains pensent que c'est de ce lien dont il est question dans l'Ecclésiaste/ Kohelet (écrit par le Roi Salomon), lorsqu'il met en garde les hommes de revenir vers leur Créateur tant qu'il en est encore temps,

12.6 - (N'attends pas) que se rompe la corde d'argent,

que se brise la lampe d'or,

que le seau soit mis en pièce près de la fontaine,

et que la poulie fracassée roule dans la citerne; 

que la poussière retourne à la poussière, redevenant ce qu'elle était, 

et que l'esprit remonte à D.ieu qui l'a donné.

Vanités des vanités, disait Kohelet, tout est vanité!

La corde d'argent - le fil d'argent - désignerait aussi le canal spirituel qui relie l'esprit de l'homme à l'Essence Universelle de toute âme.

Ce serait donc le lien invisible qui rattacherait le corps physique à un "corps spirituel", un peu comme le cordon ombilical rattache le fœtus au placenta

 

 

« Selon mes observations, ce n'est pas réellement une corde mais une substance fibreuse filiforme ressemblant au fil d'une toile d'araignée. La corde d'argent semble servir de lien entre le corps physique et le premier corps d'énergie intérieur corps éthérique que possèdent toutes les formes de vie. ».

Les occultistes appellent cordon d'argent ou corde d'argent un lien subtil qui rattacherait le corps physique à un corps invisible (appelé « corps éthérique » ou parfois « corps astral »), un peu comme le cordon ombilical rattache le fœtus au placenta. Ce cordon serait lui-même invisible... sauf à des médiums, voyants, rescapés de la mort. Ce serait en raison de sa nature luminescente, voire fluorescente électrique, qu'il est comparé à un éclat argenté et nommé assez communément « cordon d'argent ».

Francesco de Biasi en dit ceci :
« Ce que nous appelons une corde d'argent... est un véritable cordon ombilical d'une couleur lumineuse très proche de celle de [le corps éthérique |l'éthérique ] qui relie le corps physique au corps psychique... Elle est généralement d'une couleur argent lumineuse et ressemble parfois à une sorte de tornade d'énergie d'un diamètre sensiblement identique sur toute sa longueur... La corde d'argent est extensible à l'infini et empêche que nous soyons coupés de notre enveloppe corporelle. Il faut bien se souvenir que ce cordon ne se tranche qu'au moment de la mort. Cela ne peut donc vous arriver lors d'une sortie volontaire ou non en astral « le voyage astral » ».

Le cordon d'argent lierait les deux parties du corps matériel : le corps physique (ou corps grossier) et le corps éthérique (ou double vital), et non pas le corps astral avec le corps physique. C'est du moins l'affirmation de Omraam Mikhaël Aïvanhov :

« C’est donc grâce au corps éthérique que le corps physique possède la vie et la sensibilité. Il est lié à lui par ce que l’on appelle la corde d’argent. Cette corde a quatre ramifications : la première est liée à un point du cerveau, la deuxième est liée au cœur, la troisième au plexus solaire, et la quatrième au foie » 3.

://p8.storage.canalblog.com/89/65/1193778/130452912.pdf

 

extrait

 

 


02/02/2021
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TEST EMPATHIE : QUEL EMPATHE ÊTES-VOUS ?

  https://mon.astrocenter.fr/voyance/mag/quel-empathe-etes-vous

 

Test empathie : quel empathe êtes-vous ?

Un empathe est une personne hypersensible qui comprend, ressent voir absorbe, les émotions des personnes qui l'entourent. Mais le don d’empathie, ou l’hyper empathie, est bien plus profonde que ça. Il existe en fait 11 types d’empathes à travers le monde. Quel type d’empathe êtes-vous ? On vous répond.

 

Si vous faites partie de ces personnes qui peuvent pleurer devant le journal télévisé, ou qui se sentent mal pour leurs collègues ou amis, vous êtes sans doute empathe. L’empathie est la faculté de se mettre à la place des autres et de percevoir ce qu’ils ressentent. 

11 types d’empathes : lequel êtes-vous ?

Il existe 11 types d’empathes, nous vous les présentons, afin que vous déterminiez lequel vous êtes. Pour mieux vous connaître, faites le test !

1. L’empathe émotionnellement réceptif

Ces empathes captent et ressentent les émotions des autres

2. L’empathe physiquement réceptif

Ici, il ne s’agit plus d’émotions, de type d’empathe ressent les mêmes douleurs ou sensations physiques que son entourage.

3. L’empathe très conscient

Ce type d’empathe à la capacité de percevoir la vraie personnalité des individus. Leur intuition est très forte.

4. L’empathe de géomancie

Les empathes géomantiques aspirent les énergies de la terre et du sol. Parfois, ils peuvent même ressentir si une catastrophe naturelle est imminente.

5. L’empathe fanna

Ils  peuvent sentir, entendre et interagir avec les animaux.

 

6. L’empathe flora

Les empathes floras peuvent communiquer avec les plantes, les arbres, les plantes et la végétation dans son ensemble.

7. L’empathe médium

Les empathes médiums arrivent à sentir, à voir ou à entendre les esprits. Ceux qui errent entre deux mondes.

8. L’empathe psychométrique

Les empathes psychométriques ont la capacité de recevoir de l’énergie et des informations provenant d’objets inanimés comme les bijoux, les photos, etc.

9. L’empathe télépathique

Les empathes télépathiques peuvent lire les pensées inexprimées des autres.

10. L’empathe cognitif

Les empathes cognitifs peuvent ressentir une situation ou un événement avant qu’il n’arrive, par le biais de rêves avec de grandes sensations émotionnelles ou physiques. IIs sont incapables de prédire l’avenir, mais ont une grande capacité d’écoute de leur instinct.

11.L’empathe Heyoka

L’Heyoka est le type d’empathe le plus puissant. Terme Amérindien, les Heyokas sont des miroirs émotionnels vivants pour ceux qui les entourent. Ils révèlent les lacunes et les faiblesses. Ils reflètent les défauts et les points forts de chacun des individus en les mettant à nu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

https://mon.astrocenter.fr/voyance/mag/quel-empathe-etes-vous


25/08/2019
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Gérard de Nerval et ses rêves (Aurélia)

voici des extraits de ses voyages astraux

 

https://fr.wikisource.org/wiki/Aurélia/Texte_entier

 

 

GERARD DE NERVAL

 

AURELIA

 

Cette nuit-là, je fis un rêve qui me confirma dans ma pensée. — J’errais dans un vaste édifice composé de plusieurs salles, dont les unes étaient consacrées à l’étude, d’autres à la conversation ou aux discussions philosophiques. Je m’arrêtai avec intérêt dans une des premières, où je crus reconnaître mes anciens maîtres et mes anciens condisciples. Les leçons continuaient sur les auteurs grecs et latins, avec ce bourdonnement monotone qui semble une prière à la déesse Mnémosyne. — Je passai dans une autre salle, où avaient lieu des conférences philosophiques. J’y pris part quelque temps, puis j’en sortis pour chercher ma chambre dans une sorte d’hôtellerie aux escaliers immenses, pleins de voyageurs affairés. 

Je me perdis plusieurs fois dans les longs corridors, et, en traversant une des galeries centrales, je fus frappé d’un spectacle étrange. Un être d’une grandeur démesurée — homme ou femme, je ne sais, — voltigeait péniblement au-dessus de l’espace et semblait se débattre parmi des nuages épais. Manquant d’haleine et de force, il tomba enfin au milieu de la cour obscure, accrochant et froissant ses ailes le long des toits et des balustres. Je pus le contempler un instant. Il était coloré de teintes vermeilles, et ses ailes brillaient de mille reflets changeants. Vêtu d’une robe longue à plis antiques, il ressemblait à l’Ange de la Mélancolie d’Albrecht Dürer. — Je ne pus m’empêcher de pousser des cris d’effroi, qui me réveillèrent en sursaut.

 

 

 

 

J’entrai dans une vaste salle où beaucoup de personnes étaient réunies. Partout je retrouvais des figures connues. Les traits des parents morts que j’avais pleurés se trouvaient reproduits dans d’autres qui, vêtus de costumes plus anciens, me faisaient le même accueil paternel. Ils paraissaient s’être assemblés pour un banquet de famille. Un de ces parents vint à moi et m’embrassa tendrement. Il portait un costume ancien dont les couleurs semblaient pâlies, et sa figure souriante, sous ses cheveux poudrés, avait quelque ressemblance avec la mienne. Il me semblait plus précisément vivant que les autres, et pour ainsi dire en rapport plus volontaire avec mon esprit. — C’était mon oncle. Il me fit placer près de lui, et une sorte de communication s’établit entre nous ; car je ne puis dire que j’entendisse sa voix ; seulement, à mesure que ma pensée se portait sur un point, l’explication m’en devenait claire aussitôt, et les images se précisaient devant mes yeux comme des peintures animées.

— Cela est donc vrai ! disais-je avec ravissement, nous sommes immortels et nous conservons ici les images du monde que nous avons habité. Quel bonheur de songer que tout ce que nous avons aimé existera toujours autour de nous !… J’étais bien fatigué de la vie !

 

 

Tout changeait de forme autour de moi. L’esprit avec qui je m’entretenais n’avait plus le même aspect. C’était un jeune homme qui désormais recevait plutôt de moi les idées qu’il ne me les communiquait… Étais-je allé trop loin dans ces hauteurs qui donnent le vertige ? Il me sembla comprendre que ces questions étaient obscures ou dangereuses, même pour les esprits du monde que je percevais alors… Peut-être aussi un pouvoir supérieur m’interdisait-il ces recherches. Je me vis errant dans les rues d’une cité très populeuse et inconnue. Je remarquai qu’elle était bossuée de collines et dominée par un mont tout couvert d’habitations. À travers le peuple de cette capitale, je distinguais certains hommes qui paraissaient appartenir à une nation particulière ; leur air vif, résolu, l’accent énergique de leurs traits, me faisaient songer aux races indépendantes et guerrières des pays de montagnes ou de certaines îles peu fréquentées par les étrangers ; toutefois c’est au milieu d’une grande ville et d’une population mélangée et banale qu’ils savaient maintenir ainsi leur individualité farouche. Qu’étaient donc ces hommes ? Mon guide me fit gravir des rues escarpées et bruyantes où retentissaient les bruits divers de l’industrie. Nous montâmes encore par de longues séries d’escaliers, au-delà desquels la vue se découvrit. Çà et là, des terrasses revêtues de treillages, des jardinets ménagés sur quelques espaces aplatis, des toits, des pavillons légèrement construits, peints et sculptés avec une capricieuse patience : des perspectives reliées par de longues traînées de verdures grimpantes séduisaient l’œil et plaisaient à l’esprit comme l’aspect d’une oasis délicieuse, d’une solitude ignorée au-dessus du tumulte et de ces bruits d’en bas, qui là n’étaient plus que murmure. On a souvent parlé de nations proscrites, vivant dans l’ombre des nécropoles et des catacombes ; c’était ici le contraire sans doute. Une race heureuse s’était créé cette retraite aimée des oiseaux, des fleurs, de l’air pur et de la clarté. — Ce sont, me dit mon guide, les anciens habitants de cette montagne qui domine la ville où nous sommes en ce moment. Longtemps ils ont vécu simples de mœurs, aimants et justes, conservant les vertus naturelles des premiers jours du monde. Le peuple environnant les honorait et se modelait sur eux. 

Du point où j’étais alors, je descendis, suivant mon guide, dans une de ces hautes habitations dont les toits réunis présentaient cet aspect étrange. Il me semblait que mes pieds s’enfonçaient dans les couches successives des édifices de différents âges. Ces fantômes de constructions en découvraient toujours d’autres où se distinguait le goût particulier de chaque siècle, et cela me représentait l’aspect des fouilles que l’on fait dans les cités antiques, si ce n’est que c’était aéré, vivant, traversé des mille jeux de la lumière. Je me trouvai enfin dans une vaste chambre où je vis un vieillard travaillant devant une table à je ne sais quel ouvrage d’industrie. — Au moment où je franchissais la porte, un homme vêtu de blanc, dont je distinguais mal la figure, me menaça d’une arme qu’il tenait à la main ; mais celui qui m’accompagnait lui fit signe de s’éloigner. Il semblait qu’on eût voulu m’empêcher de pénétrer dans le mystère de ces retraites. Sans rien demander à mon guide, je compris par intuition que ces hauteurs et en même temps ces profondeurs étaient la retraite des habitants primitifs de la montagne. Bravant toujours le flot envahissant des accumulations de races nouvelles, ils vivaient là, simples de mœurs, aimants et justes, adroits, fermes et ingénieux, — et pacifiquement vainqueurs des masses aveugles qui avaient tant de fois envahi leur héritage. Eh quoi ! ni corrompus, ni détruits, ni esclaves ; purs, quoique ayant vaincu l’ignorance ; conservant dans l’aisance les vertus de la pauvreté. — Un enfant s’amusait à terre avec des cristaux, des coquillages et des pierres gravées, faisant sans doute un jeu d’une étude. Une femme âgée, mais belle encore, s’occupait du soin du ménage. En ce moment, plusieurs jeunes gens entrèrent avec bruit, comme revenant de leurs travaux. Je m’étonnais de les voir tous vêtus de blanc ; mais il paraît que c’était une illusion de ma vue ; pour la rendre sensible, mon guide se mit à dessiner leur costume qu’il teignit de couleurs vives, me faisant comprendre qu’ils étaient ainsi en réalité. La blancheur qui m’étonnait provenait peut-être d’un éclat particulier, d’un jeu de lumière où se confondaient les teintes ordinaires du prisme. Je sortis de la chambre et je me vis sur une terrasse disposée en parterre. Là se promenaient et jouaient des jeunes filles et des enfants. Leurs vêtements me paraissaient blancs comme les autres, mais ils étaient agrémentés par des broderies de couleur rose. Ces personnes étaient si belles, leurs traits si gracieux, et l’éclat de leur âme transparaissait si vivement à travers leurs formes délicates, qu’elles inspiraient toutes une sorte d’amour sans préférence et sans désir, résumant tous les enivrements des passions vagues de la jeunesse.

Je ne puis rendre le sentiment que j’éprouvai de ces êtres charmants qui m’étaient chers sans que je les connusse. C’était comme une famille primitive et céleste, dont les yeux souriants cherchaient les miens avec une douce compassion. Je me mis à pleurer à chaudes larmes, comme au souvenir d’un paradis perdu. Là, je sentis amèrement que j’étais un passant dans ce monde à la fois étranger et chéri, et je frémis à la pensée que je devais retourner dans la vie. En vain, femmes et enfants se pressaient autour de moi pour me retenir. Déjà leurs formes ravissantes se fondaient en vapeurs confuses ; ces beaux visages pâlissaient, et ces traits accentués, ces yeux étincelants se perdaient dans une ombre où luisait encore le dernier éclair du sourire…

Telle fut cette vision, ou tels furent du moins les détails principaux dont j’ai gardé le souvenir. L’état cataleptique où je m’étais trouvé pendant plusieurs jours me fut expliqué scientifiquement, et les récits de ceux qui m’avaient vu ainsi me causaient une sorte d’irritation quand je voyais qu’on attribuait à l’aberration d’esprit les mouvements ou les paroles coïncidant avec les diverses phases de ce qui constituait pour moi une série d’événements logiques. J’aimais davantage ceux de mes amis qui, par une patiente complaisance ou par suite d’idées analogues aux miennes, me faisaient faire de longs récits des choses que j’avais vues en esprit. L’un d’eux me dit en pleurant : « N’est-ce pas que c’est vrai qu’il y a un Dieu ? — Oui ! » lui dis-je avec enthousiasme.

Et nous nous embrassâmes comme deux frères de cette patrie mystique que j’avais entrevue. — Quel bonheur je trouvai d’abord dans cette conviction ! Ainsi ce doute éternel de l’immortalité de l’âme qui affecte les meilleurs esprits se trouvait résolu pour moi. Plus de mort, plus de tristesse, plus d’inquiétude. Ceux que j’aimais, parents, amis, me donnaient des signes certains de leur existence éternelle, et je n’étais plus séparé d’eux que par les heures du jour. J’attendais celles de la nuit dans une douce mélancolie.

 

vous pouvez retrouver la suite sur le lien en haut de la page


11/11/2019
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Les passeurs d'Ames

https://latelierdastree.blogspot.fr/2017/11/bonjour-bonsoir-tous-aujourdhui-je.html?spref=fb

blog intéressant de Sophie avec une vidéo

 

 

Les passeurs d'âmes

 
 
 
 
Bonjour / Bonsoir à tous
 
Aujourd'hui , je souhaite aborder avec vous le sujet du passeur d'âmes . 
Vous retrouverez une vidéo en fin d'article également. 
 
 
En effet , après avoir échangée un peu sur le sujet , je me rend compte de beaucoup d'entre vous , auto bloquez vos propres capacités soit par peur , où par incompréhension. 
 
Avec un peu de pratique je vous dit qu'il ne faut pas avoir peur , mais avec du recul , je ne peu que comprendre puisque je me suis moi même mise des barrières en étant enfant / ados car je ne comprenais pas et ne savais pas quoi faire de mes ressentis / intuitions / visions . 
 
Il m'aura fallu de nombreux mois et du soutiens pour prendre confiance en moi et ne plus avoir peur lors d'un contact avec l'au delà ! Je remercie d'ailleurs la femme qui m'a aidée et guidée à travers mon apprentissage <3 
 
 
peinture par Amanda Clark
 
 
Je souhaite aujourd'hui vous apporter mon aide et mes connaissances <3 bien que je reste soucieuse d'apprendre toujours d'avantage. 
 
 
PASSEUR D'ÂMES , QUI SONT ILS ? 
 
Les passeurs d'âmes font parti de la grande famille d'âme des passeurs . Ils sont présents sur terre depuis que l'homme foule cette terre et sont souvent associer à la mort elle même ou à des divinités dans différentes cultures et mythologies . Le plus connu reste le dieu Anubis dans l'Egypte Antique mais nous retrouvons également Charon dans la mythologie Grec , Odin et parfois les Valkyries chez les Scandinaves, Vélès chez les Slaves , les Shinigami (Japon) , Manawyddan / l'Ankou chez les Celtes. 
 
 
A travers le monde , nombreuses sont les croyances et les cultures qui ont des esprits , déités ou anges qui ont la tache de guider les âmes vers l'autre monde. Ils sont d'ailleurs souvent associés à des animaux tel que le chien / chacal (anubis) , le cheval (chez les Inuits) , le corbeau (Odin), la chouette ou encore les dauphins et les papillons (qui est le symbole de l'âme , du changement). Les chamans ont également la fonction de guide / accompagnement des défunts. 
 
 représentation du dieu Anubis  
 
 
Les passeurs sont des êtres capable d'ouvrir une porte entre deux mondes mais pas que ! 
 
 
QUE FONT ILS ? 
 
Ils ont pour mission d'aider et faciliter les transitions au cours de la vie 
 
- Avant l'incarnation 
- La naissance 
- Passage enfant / Ados
- Passage ados / adulte
- Passage de la vie, à la vie après la vie :) 
- Accompagnement des mourants 
 
 
Il y à beaucoup de Passeurs incarnés en ce moment car l'humanité franchie un cap important. 
 
Dans l'au-delà, elles aident les âmes dans le passage des différents niveaux vibratoires qu'elles ont à traverser. 
 
Elles sont très près des sas angéliques et archangéliques, du sas des Maîtres Ascensionnés 
 
Le passeur , pour pleinement s'épanouir doit Être pleinement celui qu'il est . 
 
Il est important pour lui de rester centré dans le coeur et de garder un bon ancrage . 
Son hygiène de vie est également importante . Il doit prendre soin de son corps physique et de ses corps énergétiques . (bonne alimentation, activité physique, yoga , tai-chi , méditation , éviter les prisons chimiques : drogues, médicaments alcools à outrances...) 
 
Ils arrivent parfois que ce sont des hommes et des femmes qui ont très souvent la nostalgie de l'au-delà. Aurons alors des difficultés à gérer leurs incarnation et peuvent s'y perdre. Elles aurons alors souvent recours aux drogues ou d'autres substances abusives pour contrecarrer cette nostalgie et retrouver de la légèreté pour oublier la lourdeur du plan terrestre . Or il est important de ne pas se laisser noyer dans cet état et de se réveiller ! Car nous choisissons de venir sur terre ! et nous choisissons également d'être passeur . Nous sommes tous venus pour contribuer à notre échelle . 
 
 
Nombreux sont les passeurs qui s'ignorent mais travail dans des domaines en corrélation avec leurs missions d'âme . 
 
- Sages Femmes
- Éducateurs 
- Coach 
- Aides soignants
- Conseil d'orientation
 
Cette liste est non exhaustive , ils s'agit en général des personnes qui vous aides lors de transitions dans votre vie . Ils agissent comme des phares pour les vivants et les défunts , vous aidant à passer des capes importants . 
 
 
LES APTITUDES NATURELLES ! 
 
- Être dans le coeur
- Faire preuve d'empathie 
- Compassion 
- Compréhension de l'autre 
- Intuitions 
- Clairvoyance 
- Médiumnité 
 
Sachez que bien souvent , si vous êtes sensibles au différences de taux vibratoires (vous entrez dans une pièces , un lieu vous vous sentez d'un coup submergé de sentiments telle la tristesse , la peur , la colère , vous vous sentez mal à l'aise , angoisser , une sensation de boule au ventre , de poids sur la poitrine , d'avoir la gorge nouée) pas d'inquiétudes , mais il est important de faire la différence entre vos propres sentiments et les sentiments qui ne vous appartient pas . Il s'agit ici de vos corps énergétiques (Aura ) qui capte les infos que vous ne pouvez percevoir . 
 
 
 
 
APPORTER SON AIDE ! 
 
Premièrement , sachez que ce n'est pas tout le monde qui est confronté à ce genre de choses de manières régulières :) Alors pourquoi vous ? pourquoi vous les ressentez ? les entendez ? les voyez parfois ? pourquoi votre intuition ne se trompe jamais ? 
 
Si vous pouvez resentir leurs présences , vous pouvez les aidez .... Tout simplement :) 
 
Si vous choisissez de leurs venir en aide , (ce qui est quand même vachement sympa) 
 
Il est important d'être rigoureux et de poser des règles ! car si vous vibrez "j'aide tout le monde , toute la journée et à n'importe qu'elle heure) et bien vous risquez d'être souvent sollicité par les âmes qui seront sur votre passage ou qui seront attirées par vous tout simplement ! 
(car il faut bien préciser qu'un passeur est un peu comme un phare en pleine nuit) . 
Si vous êtes extrêmement sollicite, vous risquez de perdre de l'énergie , d'être fatigué et même d'être malade plus facilement . 
 
Je vous conseil donc , 
 
- De définir vos limites par intention 
- D'être ferme 
- De ne pas avoir peur de vous imposer ! 
 
 
Ne vous inquiétez pas ! Les passeurs sont très bien soutenus depuis les autres sphères énergétiques (vos guides et anges gardiens) mais aussi les anges et archanges qui ne sont pas des êtres appartenant à une religion. Ils sont disponibles pour tout le monde <3 Il vous suffit de les appeler "Ici et Maintenant" <3, certain se sentirons plus proche des animaux , vous pouvez bien sur demander protection et aide de votre animal énergétique . 
 
Aucun passeur n'est laissé seul devant une tache aussi importante. 
 
 
 
 
LE B.A.BA 
 
Voici le plus souvent les conseils que l'on peu donner et que j'ai reçut à mes débuts : 
 
 
lorsque vous ressentez la présence d'une âme , vous pouvez saluez et parler , à voix haute ou bien dans votre tête, cela n'a pas d'importance , sachez que une fois dé - incarné nous communiquons sans la parole :) 
 
vous pouvez rassurer , expliquer que vous aller l'aider , cela va faire baisser doucement la pression , vous lui envoyez de l'amour . Cela va contribuer à la décharge émotionnelle . 
Votre rôle est d'accompagner , oeuvrer pour le bon cheminement de l'ame . Bien souvent , les âmes éprouvent de la craintes (peurs d'un jugement car les religions leurs ont peu être appris qu'ils allaient y faire face : Paradis VS Enfer ....) 
Mais aussi des regrets et des remords 
à propos de leurs vies... 
En effet , notre égo ne se volatilise pas comme par magie et nous gardons nos schemas et nos craintes . 
Si l'âme n'est pas assez proche d'un état de grâce et de la lumière , il sera plus difficile pour elle de la rejoindre et préférera rester proche du plan terrestre et de ceux qu'elle aime. Parfois , lors de mort violente, la personne n'a pas conscience de sa dé incarnation et va conserver ses habitudes, essayant alors de communiquer avec ses proches . 
Notre principal souci nous les occidentaux c'est que bien souvent , comme nous n'avons pas la connaissance de la vie après la vie comme dans d'autres cultures nous avons aussi tendances à vouloir garder nos morts à nos cotés . C'est alors une souffrance des deux cotés , puisque vous ne faite pas le deuil. L'âme aura alors plus de mal à se diriger vers la lumière.
 
Les âmes qui seront plus à l'aise auprès de nos vibrations astrales auront donc plus d'aisances à venir demander de l'aide à une personne incarnée qui à la capacité de les aider directement ou via un proche . 
Le passeur va alors l'aider à prendre conscience que sa place n'est plus ici , mais sur des plans vibratoires plus élevé où l'âme retrouvera la paix et l'amour inconditionnel ainsi que les personnes cher à son coeur qui l'attendent la bas . 
 
 
Certaines âmes refusent toutes aides , éprouvent incompréhension , douleurs et colère il faudra donc être ferme avec ! Car ce sont souvent des énergies lourdement vampirisantes pour les vivants ! 
 
Il faut donc l'envoyer absolument dans la lumière pour la délester de ses énergies . 
 
Lors d'un passage vous pouvez demander de l'aide à vos guides , à l'archange Michael et l'archange Azrael. 
Vous pouvez aussi si cela pour parle de demander un soutien venant de votre animal énergétique. 
 
 
 
Ecoutez votre intuition et votre corps , 
 
vous pouvez visualiser une lumière blanche ou bleu apparaître avec les êtres de lumières et visualiser les âmes la rejoindre.
 
Vous avez alors en image intérieure que les âmes s'évanouissent baignée dans la lumière . Ce moment est souvent accompagnée d'un sentiment de paix , de gratitude, d'une chaleur radiante qui inonde votre coeur et votre plexus. 
Remerciez et recentrez vous. Vous pouvez imaginez une lumière blanche , doré , descendre dans votre tête et couler dans tout votre corps jusqu'à la terre. 
 
 
AUTRE MÉTHODE 
 
Si vous êtes à l'aise avec votre corps , votre respiration et vos chakras , vous pouvez réaliser les passages de la manière suivante;
Il s'agit de la procédure que j'ai reçut de l'archange Michael en début d'année, elle est très efficace . 
Une fois avoir établi le contact avec l'âme / déchargement émotionnel / rassurer (utilisez votre intuition, vos ressentis.... Cela deviendra de plus en plus fluide avec la pratique) Si l'âme ou les âme souhaites lâcher prise et regagner la lumière ;
 
-Relaxez vous quelque instant 
-Imaginer des racines sortir de vos pied et entrer dans la terre (ancrage) 
-Imaginez des branches sortir de votre tête et se connecter au ciel
(ou tout autre visualisation qui vous parle mais qui vous relie au ciel et à la terre) 
-Centrez vous dans votre coeur
-Imaginer les âmes devant vous 
-Visualisez une porte / vortex / soleil entre vos chakra du coeur et du plexus solaire (légèrement au dessus du plexus solaire)
-Sur une expiration profonde , visualiser les âmes être aspiré par cette porte
-En une inspiration les faire remonter le long de votre ligne de chakra (COEUR --> GORGE --> 3EME OEIL --> COURONNE)
elles suivrons le canal énergétique et seront pour le reste accompagnée des êtres de lumières. 
Vous êtes au maximum de votre inspiration lorsque les âmes passent le chakra coronal qui est la dernière porte. 
- Sur une expiration profonde vous laisser partir le poids énergétique résiduel de l'âme ! 
 
TRÈS IMPORTANT ! 
 
Au moment ou l'âme / les âmes arrivent au niveau de votre chakra du coeur , il est important d'émettre la volonté que l'âme soit purifiée et délester de toutes peurs, craintes etc ... C'est le chakra de l'amour universelle , le chakra de la guérison ! ce passage est extrêmement important si vous ne voulez pas avoir la sensation "qu'elle vous est rester en travers de la gorge" 
 
Technique perso : Moi ce qui me conviens Le mieux au passage du coeur est de voir un grand mandala de lumière vert émeraude qui surgit de moi au niveau du coeur ! c'est une explosion d'amour pur et de lumière <3 
 
Je vous ai fait une petite vidéo explicative car parfois le support vidéo est plus simple pour certains :) n'hésitez pas à aller voir cette vidéo et à laisser vos impressions ou questions en commentaires de cet article ! je serai ravis de vous aider . 
 

 
Je vous souhaite une très bonne continuation ! 
A très bientot ! 
 
 
 

06/11/2017
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le passeur d'Ames

Un passeur d'âme est une personne qui aide les âmes errantes à rejoindre l'au-delà. L'au-delà n'est pas ailleurs, il est au-delà de la conscience terrestre.
L'âme de l'homme est une conscience, sa conscience astrale, sa conscience avant son incarnation dans un corps physique, sur Terre.
Mais cette conscience n'est pas faite pour la vie dans le corps, alors il va se construire, au début de sa vie, une autre conscience, sa conscience terrestre, et sa conscience astrale va se contenter d'être alors son subconscient, sauf s'il travaille à l'intégrer dans son conscient.
Cette nouvelle conscience, est constituée de trois corps spirituels :
- le corps éthérique, l'énergie du corps, par lequel passe les sens physiques.
- le corps émotionnel qui sera le siège des émotions liées à la vie dans le corps, comme la peur de l'abîmer par exemple.
- le corps mental qui contiendra les habitudes de comportement et des connaissances apprises.

Une âme est errante quand elle a conservé sa conscience terrestre après la mort de son corps, et cela arrive pour plusieurs raisons :
- L'ignorance. C'est fréquent, l'âme ne sait pas ce qu'elle doit faire, où aller, qu'il suffit de franchir le tunnel (qui semble n'être rien d'autre que la sortie de sa conscience terrestre).
- La peur de l'inconnu, la peur du tunnel, la peur du jugement.
- L'habitude de comportement, l'âme continue à vivre comme avant la mort de son corps, sur son lieu de vie habituel.
- L'âme est prisonnière de ce qu'elle s'apprêtait à faire, elle se demande comment le réaliser, elle tourne en rond de ne pouvoir le faire.
- L'âme est prisonnière de l'éducation qu'elle a reçue, donc elle croit qu'elle n'a pas le droit, ou ne peut aller au paradis, pour différentes raisons :
- son comportement passé.
- son apparence suite à une maladie, une malformation, un accident.

- L'âme souhaite rester près de ses proches, et ignore qu'elle peut le faire en étant au paradis, que l'au-delà n'est pas ailleurs, mais au-delà de la conscience terrestre.
- L'âme est prisonnière de sa souffrance, de ses émotions.

L'action du passeur d'âme est très variable, elle se contente parfois d'être une simple remarque, mais consiste parfois en un véritable combat, une longue psychanalyse. Il faut parfois faire preuve d'astuce, d'écoute, d'empathie, etc... Bref, ce n'est pas toujours simple.

L'architecture de l'âme :
Le fait de ne pas voir, mais ressentir les âmes, d'avoir beaucoup travaillé dans ce domaine, semble m'avoir permis de percevoir des choses que je n'ai jamais lu dans aucune littérature.
Donc, selon mon expérience, mon analyse, ma compréhension :

Une âme libre n'est pas localisée, elle est à la fois partout et nul part, elle est le Tout.
Seule sa manifestation dans l'Univers a une localisation, mais il est possible à une âme libre d'être localisée à plusieurs endroits.

Le Tout est un point sans dimension (par définition, un point est infiniment petit), mais dans le néant. Le néant n'ayant pas de dimension, le Tout est donc autant infiniment petit que infiniment grand.
Tout ce qui n'est pas ce point est illusion, mais cette illusion n'en a pas moins une architecture, des règles.

Ce point apparaît toujours dans la manifestation d'une âme, à condition de pouvoir le percevoir :
 
(Dessin de Barbara Ann Brennan, comme les suivants).
Le rayonnement est déjà une illusion, et le fait d'avoir tous ce point rayonnant en nous en est une autre, nous ne sommes en réalité qu'un.
Qu'un qui aurait choisi de se manifester sous différentes personnalités, mais qu'un tout de même.
Ce point rayonne dans notre corps céleste :

C'est le centre de notre âme, notre conscience astrale. Ce corps est aussi appelé Nirvana, ou Ecstasy dans d'autres traditions, c'est notre Être.
Les autres corps sont le résultat de l'existence de l'âme, notre mémoire :

Nos capacités psychiques :

Nos sentiments, notre intelligence dans le sens qualités de choix :

(L'âme n'a pas nécessairement une forme).

Ce que la littérature ne dit pas, est que pour se manifester dans l'Univers, l'âme a besoin de son énergie physique, électromagnétique, en conséquence de quoi l'âme dispose aussi de la ligne centrale appelée Hara :

Cette ligne centrale, chez l'âme libre, est donc reliée au noyau de la Terre quand cette âme se manifeste sur Terre, comme nos projection astrales.
Par contre, chez une âme errante, cette ligne n'est ni reliée à la Terre, ni à sa divinité, et le point rayonnant est masqué par la souffrance, c'est pourquoi l'âme errante est si dépendante de l'énergie de son environnement, c'est pourquoi les âmes errantes recherchent les lieux forts en énergie telluriques pour se manifester, ou elles s'accrochent à nous.

Sara (une âme que j'ai aidé à rejoindre l'au-delà) m'a informé que chez elle, l'enfant intérieur, le point rayonnant est peu lumineux, ce qui indique que les âmes conservent cette souffrance qui le masque, cette blessure liée aux incarnations.
C'est pourquoi elle m'a donné des informations concernant son accueil, à sa naissance, afin de soigner cette blessure.
Le fait que l'enfant intérieur des âmes soit masqué fait que leur énergie psychique est diminuée, en conséquence de quoi leurs capacités à atteindre certaines informations est diminuée aussi.
Ce qui explique que j'ai constaté que vos guides ne répondent jamais à mes questions techniques pointues.
Cela explique aussi que vous ayez besoin de guides, alors que vos âmes pourraient jouer ce rôle. Ainsi, en fonction de votre avancement, votre guide change, car il se doit de porter une blessure moins importante que la vôtre, s'il veut effectivement vous aider à accéder à certaines informations.

Mon premier cas :
Quand je suis arrivé sur la section "Paranormal" de Doctissimo, j'avais des connaissances concernant les esprits, mais je n'avais pas éveillé mes capacités de médium, de spirite. Quand la présence d'une âme errante était avérée, je ne pouvais rien faire d'autre que d'expliquer quoi faire pour l'aider. Du moins c'est ce que je croyais.
Un soir, alors que je discutais à propos d'un cas dans un immeuble, et que je m'attristais de ne voir aucun passeur d'âme intervenir, j'ai ressenti intérieurement l'invitation à faire quelque chose.
Mais quoi ?
Je savais ce qu'il se passait, ce qu'il s'était passé, parce que les échanges avaient permis de comprendre que nous avions affaire à la manifestation d'une femme qui s'était suicidée dans l'immeuble.
Alors j'ai eu l'idée de soigner cette personne à distance, et de lui envoyer mes meilleurs conseils en pensées -à savoir que les esprits entendent toujours les pensées qui leur sont adressées.
Donner de l'énergie à une âme errante va lui servir à diminuer sa souffrance, lui permettant ainsi de s'en libérer plus facilement. Les pensées vont lui servir à comprendre pourquoi elle reçoit cette énergie, et quoi en faire.

Mais cette action peut avoir un inconvénient : attirer à soi cette âme errante. Ce n'est pas systématique, mais c'est une possibilité. Et un risque, car nous ne sommes pas tous en capacité d'accepter la présence d'une âme errante à nos cotés ; en effet, sa souffrance risque de peser sur notre énergie, et nous faire souffrir tout autant que souffre cette âme.
Il est possible de se protéger de ce risque, en s'entourant d'une bulle de protection, en général bleue, qui se construit par l'imagination. En réalité, nous sommes tous entourés de cette bulle bleue, qui est notre cinquième corps de notre aura, qui est notre créateur en nous, mais cette action permet de le "réveiller", de lui demander cette mission de nous protéger.

A l'époque où j'avais fait cette action, je n'en avais pas besoin, parce que j'étais malheureusement protégé par un blindage qui me venait d'un traumatisme d'une autre vie, mais c'est une autre histoire.

S'il vous venait à l'idée d'aider une âme de cette façon (le magnétisme à distance), sans savoir de quoi souffre cette âme, voici les pensées que vous pourriez lui adresser :
"Il est temps pour toi de rejoindre le paradis, tu y as droit comme tous les autres, tu y seras mieux que dans ta souffrance. Une fois au paradis, tu pourras aller et venir où et comme bon te semblera, tu seras libre et pleine de bonheur comme les autres, et tu retrouveras les personnes que tu as aimées et qui y sont arrivées avant toi.
Laisse ici ta souffrance, et franchit le tunnel, c'est la seule chose à faire pour être au paradis.
N'aie aucune crainte pour ton apparence, c'est toi qui décidera de l'apparence que tu voudras.
N'aie aucune crainte d'être jugée, quand tu reverras ta vie, tu seras seule juge de ce que tu en as fait.
Laisse ici tout ce que tu avais, tu n'auras besoin de rien, au paradis le bonheur est roi."

Sans communiquer avec les âmes errantes, toutes ne pourront être aidées ainsi, mais c'est toujours mieux que de ne rien pouvoir faire du tout.

Les âmes perçoivent nos intentions, il faut donc agir pour elle, et non pour la personne qui a fait la demande. Vouloir repousser une âme est prendre le risque de son incompréhension, sa colère. Le but de l'aide apportée à une âme est de la voir rejoindre la lumière, le paradis, et rien d'autre.

A l'époque je n'ai pas su quel résultat j'ai obtenu, je sais seulement maintenant que cette âme a trouvé la paix.

Mon deuxième cas :
Les circonstances de mon deuxième cas m'ont étonné : d'abord les médiums sont intervenus pour comprendre qui était présent, et les raisons de l'errance de cette âme. Il s'agissait de l'oncle de la personne ennuyée, qui avait peur du jugement.
Je me suis étonné que les médiums n'aient pas spontanément expliqué à cet homme ce qu'il est du jugement, alors je leur ai expliqué ce qu'il fallait dire à cette âme. Sitôt mon message validé, j'ai ressenti que je devais le faire moi-même. Mais comment ? Je n'étais ni médium, ni spirite   .
Toutefois, je savais que l'âme allait recevoir les pensées que j'allais lui envoyer. Il m'a répondu sur le plan des sentiments, parce que j'avais déjà cette faculté de percevoir les sentiments des autres. Ainsi, j'ai su qu'il me comprenait, j'ai perçu qu'il passait de l'autre coté.
C'était fin 2011, juste avant Noël, ce qui peut expliquer que les médiums n'aient pas pris le temps nécessaire pour s'en occuper. La nièce de cette âme a confirmé son départ.

Un tournant inattendu :
Février 2012, je pensais à une chanson dont j'avais utilisé le titre pour une lettre ouverte à portée philosophique, quand son auteur, décédé depuis peu, est venu discuter avec moi. Sur le coup j'ai discuté avec lui le plus naturellement du monde, mais après la discussion j'ai tout de même pris conscience que c'était ma première expérience spirite, et qui plus est, inattendue.
J'avais, longtemps précédemment, eu des expériences de télépathie, donc discuter avec des esprits devait venir naturellement, mais cela n'avait encore pas été le cas, ce que j'expliquais par des blocages dus à une vie antérieure difficile.
Et paf, voici que cela arrivait de façon inattendue :)...

Mon premier cas en tant que spirite :
C'était chez Carocine (une doctinaute) , dans sa seule discussion "Je deviens folle". Ne m'attendant pas à détecter moi-même la présence d'une âme, ne l'ayant encore jamais fait, j'ai commencé par tenter de la rassurer.
Je n'ai pas pensé à demander les photos, ne pensant pas être capable de m'en servir pour détecter la présence de cette âme. Et c'est simplement en réfléchissant à ce qu'il se passait chez elle, que j'ai eu la surprise de percevoir la présence d'une femme, Amélie, que j'ai aidé spontanément. Son problème était simple, elle ne savait pas qu'il lui fallait rejoindre l'au-delà...
Ce premier cas a eu ceci de particulier, que j'ai suivi Amélie plusieurs semaines, prenant ainsi connaissance de son chemin dans l'au-delà, de son évolution, ses changements.

Ce premier cas a été suivi de nombreux autres, voyant mon expérience grandir au fur et à mesure.

Le remerciement d'une âme :
Une seule fois dans ma vie de passeur d'âme, une âme (David) que j'avais aidée la veille, a monté le son de mon autoradio quand passait cette chanson de Jean-Jacques Goldman :

Minuit se lève en haut des tours
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur

J'ai pas choisi de naître ici
Entre l'ignorance et la violence et l'ennui
J'm'en sortirai, j'me le promets
Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux

Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi

Pas de question ni rébellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L'hiver est glace, l'été est feu
Ici, y'a jamais de saison pour être mieux

J'ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l'abandon
J'm'en sortirai, je te le jure
A coup de livres, je franchirai tous ces murs

Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi

Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d'autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi ...
Regarde moi bien, je ne leur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça
Envole-moi, envole-moi, envole-moi ...



Etre passeur d'âmes :
Autant que toutes autres personnes, un passeur d'âmes se doit d'avoir une vie équilibrée, parce que :
- un passage d'âme laisse des traces, il faut donc que le passeur ait une personnalité stable,
- vu qu'il fréquente plus d'âmes que les autres personnes, il a d'autant plus de risque d'être parasité par une âme errante. Ce qui n'arrivera pas, s'il entretient un niveau n'énergie suffisant.

Ainsi, j'ai remarqué que si taux vibratoire descend en-dessous de 18 000 Unités Bovis, il est possible qu'une âme reste à mes côtés, voir pire.
La première fois que c'est arrivé, j'avais attiré à moi une âme qui parasitait une amie médium. Ce devait-être un vendredi soir, et l'âme, qui simplement se trouvait bien avec moi, est restée à mes côtés toute la fin de semaine, accrochée à mon bras. Je n'en ai pas souffert, mais je sentais tout de même que l'énergie de mon bras droit était anormalement basse. Pas assez basse pour parler de douleur, mais presque.
Le remède a été simple : le lundi matin, séance de sport. Mon énergie s'élevant pendant la séance, Agnès a mieux perçu l'intérêt de passer de l'autre côté, et après s'être amusée à m'accompagner sur un vélo imaginaire, a rejoint l'au-delà, où elle a de suite rencontré une âme qui l'a accueillie avec tendresse. Un homme que j'avais aidé quelques mois plus tôt. Une image magnifique, c'est beau aussi, d'être passeur d'âmes.

Avoir un taux vibratoire global élevé n'est pas tout, encore faut-il qu'aucune partie de notre être ne soit en-dessous du seuil minimum. Ainsi, beaucoup plus récemment, au sortir d'une sinusite, j'ai été confronté au cas d'un bébé parasité par une âme errante. Je me savais un peu faible, sur le plan physique, mais qui est plus faible qu'un bébé ? Comme j'avais un taux vibratoire global élevé, j'ai pris la décision d'attirer à moi l'âme, Marc, plutôt que de laisser le risque au niveau du bébé. C'était un lundi soir.
Rapidement, je me suis senti mal, j'ai commencé à tousser de façon importante, et j'ai pensé que ma sinusite s'était transformée en bronchite (ma poitrine est une zone affaiblie par un chagrin ou une surcharge que je n'arrive pas à éliminer). J'ai dû cesser mes travaux sur le forum.
Le mercredi en fin d'après-midi, j'allais mieux, ce qui correspond au temps habituel qu'il me faut pour éliminer les toxines générées par la prise en charge d'une âme lourde de souffrance, ce qui m'avait rassuré. Mais la toux persistait, et j'ai pris conscience qu'en fait, j'avais un dysfonctionnement cardiaque, et c'est ce qui provoquait cette toux.
Il ne s'agit pas d'une affection grave ( es extrasystoles), les cardiologues incriminant le stress. Ce n'est que vendredi que j'ai commencé à m'inquiéter. J'ai alors constaté que mon aura s'était d'écalée vers la gauche. La remettre en place a diminué mes difficultés, mais pas supprimé.
C'est le soir que j'ai pris conscience que Marc s'était caché dans mon corps. A part cette affection cardiaque, je n'avais absolument rien remarqué.
J'ai repris mon aide à son égard, mais il était très attaché à sa dépression. Je l'ai sorti de mon corps par le magnétisme, ce qui a amélioré mon état, mais il y est retourné. Comme c'était la toute première fois qu'une telle expérience m'arrivait, je me suis mis à chantonner "Toute toute première fois", de Jeanne Mas, ce qui lui a plu. Du coup, je l'ai chanté en karaoké. Cela m'a permis de sortir Marc de sa dépression, mais il est tout de même resté dans mon corps. Du coup, j'ai détaché les liens qui lui permettait de s'attacher à mon plexus solaire, et je l'ai empêché de s'y raccrocher. J'ai tout de même continué à prendre soin de lui, comme s'il avait été un enfant que je portais.
C'est le samedi matin, que la solution s'est présentée d'elle-même, à ma grande surprise : je répondais à une discussion, un autre cas d'âme errante. J'allais écrire que je ne pouvais aider moi-même l'arrière-grand-père qui était resté attaché à sa maison, quand au contraire j'ai senti que je devais l'aider, ce que j'ai écrit sur la discussion, et ai exécuté de suite. J'ai attiré l'âme à moi, et l'ai invité à se placer dans mon énergie, parce que je sais que -en dehors du cas de Marc- cela vaut pour les âmes ascenseur pour l'au-delà.
Mais j'ai pensé que l'arrière-grand-père pourrait emmener Marc avec lui. Et à ma surprise, j'ai senti l'arrière-grand-père descendre dans mon corps. Puis j'ai perçu comme une altercation. Afin de ne pas prendre le risque d'influencer ce qu'il se passait, je me suis détaché de ce qu'il se passait.
Après quelques minutes, j'ai senti qu'il se passait quelque chose au sommet de mon être. Ces derniers temps, quand j'utilisais cette méthode, c'est par ce sommet que les âmes rejoignaient l'au-delà.
Depuis, je sens que Marc n'est plus dans mon corps. Je crois qu'une telle aventure ne peux arriver qu'à moi   . Il fallait certainement que je le vive, pour que je n'oublie pas que cela peut arriver. Il fallait peut-être aussi que je sache que les autres âmes ne me laisseraient pas tomber   .

Dans le même genre de problème, j'ai vu un jour une femme, parasité par une âme errante, qui a été prise en charge par un magnétiseur. Le magnétiseur avait éloigné l'âme errante, mais elle était aussi revenue. Sauf que le travail du magnétiseur avait augmenté le niveau d'énergie de la femme, ce qui a suffit à pousser l'âme vers l'au-delà. C'est suite à cette expérience, que j'ai commencé à écrire cet article.

Donc, il est essentiel d'avoir une vie équilibrée. Une vie équilibrée, c'est à dire :
- suffisamment d'activités physiques, déstressantes, et de préférence dans la nature,
- vivre dans un environnement aussi sain que possible, logement, habillement, mais aussi une alimentation aussi correcte que possible,
- avoir une vie affective (amis, famille) normale,
- avoir une vie sociale (étude, profession ou association) normale aussi.
Si ce n'est pas le cas, vous risquer d'attirer à vous des âmes errantes pour compenser un manque, vous risquer donc de les garder.

Détecter la présence d'âmes errantes :
Certaines personnes voient les esprits comme elles voient les autres personnes. Dans ce cas, il leur est facile de détecter la présence d'âmes errantes à proximité.
Les animaux comme les chiens et chats voient naturellement les esprits, il est donc possible de détecter des présences en les observant.
Pour ce qui me concerne, je ne vois pas les esprits avec mes yeux, mais je vais sentir leur énergie, quand ils sont à mes côtés.

A distance, c'est autre chose. j'avais ouvert une discussion sur ce sujet. A ma connaissance, les personnes qui voient les esprits avec leurs yeux restent favorisées pour la vision à distance. C'est pourtant une vision qui se fait dans notre esprit, comme les rêves. Comme les rêves, ces visions sont plus ou moins précises suivant la situation.

Pour détecter la présence d'âmes errantes à distance, beaucoup de personnes utilisent une photo du lieu, ou de la personne concernée. Ce n'est pas indispensable, mais cela peut aider.

Si je suis capable de voir à distance depuis 2012, par contre l'expérience m'a invité à développer une autre méthode, en utilisant une silhouette pour représenter la personne concernée, comme celle-ci :

 

J'ai à ma disposition une silhouette de femme, une d'homme, et une pour représenter les enfants, mais maintenant j'utilise tout simplement ma main, généralement la gauche.
La première fois que j'ai utilisé cette idée, c'était sur une intuition, pour détecter la présence d'une âme dans l'aura d'une personne, Mary J. Anna . Elle avait ouvert une discussion pour demander de l'aide, et j'avais rapidement compris que l'âme, Seb, se tenait au chaud dans son aura. J'avais immédiatement senti la présence de Seb en utilisant la silhouette qui sert d'avatar à Mary, en haut à gauche.
J'ai ensuite utilisé cette technique chaque fois que je soupçonnais un cas de parasitage dans l'aura, mais avec le temps j'ai pris conscience que je pouvais y voir bien plus.
Aujourd'hui, c'est ma méthode de détection principale. C'est l'énergie de l'âme, que je détecte, ou plus exactement la projection de son énergie sur cette silhouette. Cela me permet de détecter même une âme qui est passée près de la personne concernée, sans rester à ses côtés, parce que ce passage laisse une trace que je suis capable de détecter.

En général, je vais détecter une âme errante à la gauche de la personne, ce qui est une position symbolique et non géographique, comme ceci :

 
Je détecte une énergie, sans voir ce qu'il y a dedans. Pour voir, je vais me concentrer sur cette énergie, et voir dans mon esprit.
Cette énergie va me renseigner :
- Sur le "taux" de parasitage en fonction de son éloignement de la personne. Si l'énergie est très proche, l'âme perturbe directement l'aura de la personne, si elle est loin, la perturbation est la même que celle de l'environnement de la personne.
- Si je vois que l'énergie est loin de la personne, cela signifie qu'elle parasite quelqu'un d'autre de l'environnement de la personne, un proche.
- Si je vois que l'énergie est proche du sol, cela signifie que l'âme est très terrestre, si elle est élevée, c'est qu'elle ne demande qu'à passer de l'autre côté. Ainsi, il m'est arrivé de percevoir que l'âme partait au fur et à mesure de l'aide que je lui apportais.
- Si l'énergie est faible et statique, alors ce n'est qu'une trace, et l'âme n'est pas présente en ce moment auprès de la personne. Mais cette trace pèse tout de même sur l'énergie de la personne, c'est pourquoi il est bien de s'en occuper, pour la personne et pour l'âme. Pour moi il est toujours bien d'aider une âme, sauf information contraire.
- Si l'âme est très présente, l'énergie est plus forte, et pulse, éventuellement bouge. Il m'est arrivé de "courir" après une âme.

Dans le cas où l'âme errante est dans l'aura de la personne, je vais la détecter, soit à la place où elle est, soit je vais détecter la masse de son énergie.
Exemple :

 
Déformation de l'aura par la présence d'une âme errante :

 

Détection d'une âme par la masse de ton énergie centrée sur le plexus solaire :

 
Chez les femmes, il arrive que cette masse d'énergie soit centrée sur l'utérus, ce qui indique une âme qui cherche à se réincarner, ou qui cherche la douceur d'avant la naissance.


Communiquer avec les âmes :
Pour une personne incarnée, s'adresser à une âme est simple, il suffit de lui parler, en pensant à cette âme. L'âme percevra la pensée qui lui est adressée, ressentira les émotions et les sentiments.
Le problème de la langue ne se pose pas, la pensée étant un mode de communication universel.

C'est dans l'autre sens que c'est plus difficile. Le moyen de communication des âmes est la télépathie (transmission de pensées), et souvent chez les personnes incarnées, cette capacité est fermée.
Il existe d'autres moyens de communiquer, qui consistent à mettre à disposition de l'esprit une partie, ou tout notre corps. Ce sont des moyens susceptibles d'être dangereux, que je n'utilise pas.
Parmi ceux-ci, il y a l'écriture automatique, la oui-ja, et dans certains cas le pendule.
La transcommunication instrumentale met à disposition de l'âme un appareil (magnétophone, dictaphone), mais il faut tout de même que le médium prête à l'âme ses capacités pour qu'elle le fasse fonctionner.

L'empathie permet de percevoir les sentiments de l'esprit avec lequel nous souhaitons communiquer, et c'est déjà un outil de communication intéressant. En effet, avec cette capacité, vous pouvez émettre des pensées, et percevoir comment elles sont reçues. Vous pouvez suggérer des réponses, et percevoir si vous êtes dans le juste ou non. Comme je l'ai relaté précédemment, j'ai utilisé cette méthode avec succès.
Le pendule peut aussi servir à amplifier notre propre ressenti, c'est pourquoi il est parfois utilisé.

La réception de la transmission de pensées peut se développer à différents niveaux :
- la pensée suggérée. A ce niveau, vous n'entendez pas les pensées que vous recevez, mais vous les pensez vous-même. A vous de ressentir si votre pensée entre bien en accord avec ce que vous auriez entendu. Cette capacité s'approche de l'utilisation de l'empathie.

- la clairaudience. A ce niveau, vous entendez les pensées de l'esprit avec lequel vous communiquer. Suivant la qualité de cette clairaudience, vous percevrez la voix propre que l'esprit avait de son vivant, ou celle qu'il a en tant qu'âme (plus claire, moins vibrante dans les graves).
- la clairvoyance. C'est l'idéal, vous recevez les images que l'âme vous suggère.

Tout cela se développe avec la pratique du silence intérieur (méditation), et le bon usage.


Les cas :
Au risque de surprendre, à la première âme errante que j'ai vue, j'ai simplement dit "Il est temps d'aller au paradis", et elle y est allée.
Certaines personnes, lors de leur décès, continuent à vivre suivant leurs habitudes de comportement, et n'ont pas l'idée d'en changer en fonction de leur nouvelle condition de vie.
C'est pourquoi il me paraît important d'expliquer à nos défunts qu'il faut maintenant rejoindre l'au-delà. Même si cela ne concerne de loin pas tous les défunts, cela aiderait quelques personnes.

Le tunnel :
Parfois, à l'idée qu'il faut rejoindre l'au-delà, je ressens en réponse une interrogation :
"Comment rejoint-on l'au-delà ?"
- En franchissant le tunnel.
C'est si simple. Mais qui est instruit au sujet de ce tunnel, avant son décès ?
Certaines âmes le franchiront sans même s'en rendre compte. Le tunnel est très personnel, et différent pour chaque âme.
Il peut passer quasiment inaperçu pour certaines âmes, tellement il est large et son environnement clair. Cela signifie que leur conscience est claire et peu chargée en souffrance.
Il peut au contraire être particulièrement étroit et dans un environnement sombre, ce qui signifie une conscience fermée sur l'au-delà et chargée de souffrance.
L'absence de tunnel est tout aussi possible. Cela peut venir de ce que l'âme ne le conçoit pas, ou que sa conscience est bien trop fermée. Dans le premier cas, il va apparaître si on en évoque l'existence. Dans le deuxième cas, il faut aider l'âme autrement que par le dialogue.

Le franchissement du tunnel ne va pas de soit, parce que l'inconnu fait peur. Il arrive que des passeurs d'âmes accompagnent les âmes dans ce franchissement. Cela m'est arrivé en projection astrale.
Il m'est aussi arrivé de pousser. Cela peut surprendre, mais l'âme comprend ;).
Souvent je me suis contenté de rassurer.

Franchir le tunnel peut être assimilé à partir, et certaines âmes ne souhaitent pas partir. Dans ce cas, il faut convaincre.
- Il m'est ainsi arrivé de rencontrer un papa âme errante, qui était auprès de sa fille, et se considérait à sa place, comme protecteur. Il s'est étonné de mon intrusion dans leurs existences.
Je lui ai alors expliqué qu'il ne s'agissait pas de partir, mais de quitter sa vieille conscience terrestre, qui faisait que son énergie n'était pas élevée, et qu'il faisait sans le savoir du mal et peur à sa fille.
Le tunnel ne mène pas ailleurs, il est seulement la sortie de la conscience terrestre. Une fois sortie de celle-ci, l'âme a une conscience mieux adaptée à la vie astrale, une vision plus large et plus profonde, une énergie de meilleure qualité.
Me faisant confiance, il a donc franchi son tunnel, et s'est retrouvé aux côtés de sa fille, mais différent. Il m'a fait sentir comment il était, j'ai pu le dire à sa fille, et ainsi la rassurer.

"Pire", une fois j'ai retrouvé une maman, qui errait aux côtés d'une de ses filles, cherchant une autre de ses filles, décédée enfant. Or, la dite fille était aussi au côté de sa soeur, mais comme âme libre, comme son guide. Quand j'ai expliqué la situation à la maman, elle n'a eu qu'à franchir son tunnel, pour retrouver son enfant.
Les âmes libres voient les âmes errantes, mais les âmes errantes ne voient pas les âmes libres, sauf si celles-ci abaissent leur niveau d'énergie pour se placer au niveau des âmes errantes, ce qui apparemment n'est pas possible pour toutes.
Certaines âmes errantes ne voient pas non plus d'autres âmes errantes, en fonction de leur niveau d'énergie.

Pourquoi franchir le tunnel ?
Certaines âmes n'ont pas conscience qu'il peut y avoir une différence. Un jour, j'ai rencontré ainsi un homme, qui vivait "chez lui", et ne comprenait pas pourquoi je l'invitais à passer de l'autre côté.
Alors que j'allais abandonner, je lui ai fait remarquer sa souffrance. Il l'avait oublié, habitué. A ce moment, il est parti comme si il avait oublié un rendez-vous. Rarement perçu un franchissement de tunnel plus rapide   .

En résumé, franchir le tunnel, c'est quitter ses souffrances passées, c'est quitter ses oeillères, poser ses valises, retrouver sa conscience d'âme, sa conscience astrale, retrouver une vision large et profonde, une compréhension facile, retrouver son existence d'avant l'incarnation, retrouver ses proches décédés aussi, accéder à d'autres mondes, etc...
Sans pour autant quitter ceux que nous aimons et qui sont encore incarnés. Au contraire, c'est accéder à une compréhension incomparable de ce qu'ils vivent, et donc la possibilité de mieux les aider.

La peur du jugement :
Beaucoup d'âmes errantes sont bloquées par la peur du jugement. C'est l'héritage des pseudo-religions.
Alors il faut convaincre.
Dans les faits, l'âme va revoir sa vie, et c'est elle seule qui va juger de la portée de ses actes.
Expliquer de la façon la plus simple, et être convaincu soit-même.
En fait, ce passage peut être comparé à un débriefing, c'est le mot qui me paraît le mieux correspondre, et c'est celui avec lequel j'ai le plus convaincu. En effet, l'âme revoit sa vie pour mieux la comprendre, pour mieux percevoir ce qu'il y avait autour des scènes, mais qu'elle n'avait pas pu percevoir, comme l'influence des lieux, de sa mémoire profonde (vies antérieures ou mémoire cachée par un traumatisme), influence des présences, influences télépathiques, etc... mais aussi les réactions des autres, dont elle n'avait pas pu avoir connaissance.

Un jeudi de folie... et des astuces :

Ce jeudi, il devait pleuvoir, mais le matin, le ciel découvert annonçait évidemment le contraire.
Certes, les nuages peuvent se cacher derrière les montagnes, et couvrir rapidement l'Alsace, mais à 10 h il faisait encore beau.

J'avais prévu la pluie, et le refuge dans le travail, mais j'ai changé d'avis, j'avais besoin de soleil, de grand air, un grand parcours en roller me paraissait plus qu'indiqué.

A 10 h 40 j'étais sur mes rollers, sur un parking au sud de Mulhouse, à proximité de l'Eurovélo 6, une piste cyclable internationale.
Avant de partir, j'ai pensé aux trois âmes qui avaient laissé leurs traces dans mon aura, et je les ai invité dans mon énergie.

Comme assez peu de personnes sont entraînées à ce sport, je leur ai proposé de me suivre en vélo. Elles ont choisi le tandem, la triplette même.
Puis très rapidement cette triplette s'est transformée en tandem acrobatique : deux monocycles reliés par une barre. Très difficile à utiliser sans entraînement, mais d'évidence ces âmes ont fait confiance à leur imagination.
Puis comme elles n'arrivaient pas à me suivre, les petites roues sont devenues des roues de grand bi...
Ce n'est pas allé plus loin, ce délire a conduit ces âmes au paradis lol:{}.
Puis j'ai eu la surprise de revoir une femme que j'avais aussi aidé de cette façon, début 2013, sur le même vélo qu'elle s'était créé.

Quelques kilomètres plus loin, j'étais bien sur mes roulettes, j'ai pensé à une âme qui avait laissé sa trace très loin de moi. Je l'ai invité (un homme), mais lui n'avait pas envie de suivre le même jeu. Comme la piste suivait le canal de Rhône au Rhin, je l'ai poussé à l'eau. C'est alors qu'il s'est rendu compte qu'il pouvait marcher sur l'eau.
Je l'ai alors entraîné à jouer au ski nautique. Ce qui s'est compliqué à l'approche d'une écluse. Je lui ai suggéré de s'envoler au-dessus, mais il a choisi le décollage vertical au dernier moment, et n'a plus cessé de monter...

J'ai continué ma route, bien décidé à faire un exploit sportif. C'est au port de Dannemarie que je me suis décidé à faire demi-tour. Un panneau affichait Mulhouse à 25 km, et je n'ai encore jamais fait cinquante kilomètres en une fois en roller.

Quelques kilomètres plus loin, j'ai pris conscience que je n'étais pas seul. Je me suis arrêté, j'ai pris mon bidon pour me représenter, et j'ai repéré l'homme. Je l'ai invité, lui ai proposé de prendre des rollers... puis je lui ai demandé s'il préférais un vélo. Il n'a pas pris le temps de me répondre, il est parti comme une flèche, très rapidement je ne l'ai plus vu   .

J'ai rejoint ma voiture après une randonné de 2 h 35 environ pour un peu plus de 40 kilomètres.
Repas, puis ballade dans le bois des philosophes, toujours au sud de Mulhouse où je m'étais garé. J'ai eu très envie de marcher pieds nus, et après avoir hésité, je l'ai fait.
Puis j'ai senti que je n'étais pas seul   ... Je vise un banc, et m'y installe pour contrôle. Je prends mon bidon (pour me représenter)... deux femmes. Je les invites dans mon énergie, puis joins leurs tunnels, et mon double astral les accompagne jusque de l'autre côté.
Dès leur départ j'ai senti qu'elles m'avaient laissé leurs souffrances à digérer...
Je suis alors à la limite de l'épuisement physique, je remets mon aura en place, et je continue à marcher dans le bois. Je n'ai fait que quelques pas, que je sens que j'ai heurté une énergie anormale. Je n'en tiens pas tout de suite compte, mais plus tard j'ai senti qu'il y avait bien un problème... Un homme. Il ne trouve pas son tunnel, je lui indique qu'il est derrière lui, parce qu'il ignorait son existence. Il lui suffit donc d'y penser pour qu'il se place devant lui.
Un fois cet homme parti, j'arrête de laisser faire n'importe quoi, je demande à mon cinquième corps, ma bulle bleue, de remplir son rôle, de me protéger. Je suis épuisé maintenant, je ne peux plus me permettre de me laisser faire. Cette promenade était destinée à renforcer mon ancrage, je ne m'attendais vraiment pas à aider des âmes en forêt.
Il est l'heure de chercher le gamin à l'école. J'en profite pour pisser une petite goutte, vraiment petite par rapport aux deux litres d'eau que j'ai bus.
A peine je rentre, je me connecte sur le forum, et que fais-je ? J'attrape une âme errante   . Il (un homme) s'accroche à ma main droite, celle qui m'a servie à sonder son énergie. Plus tard j'ai voulu décrocher son lien avec l'énergie de ma main, mais il n'a pas accepté, il est passé chez moi. Je lui ai donc servi d'ascenseur. D'évidence c'est ce qu'il voulait.

Cette journée c'est bel et bien passée ainsi.

Maintenant j'explique.
Donner des conseils aux âmes errantes, comme je vous invite à le faire, cela fonctionne à 80% environ.
Ensuite il y a donc les autres cas.

Il y a ceux qui ne trouvent pas leur tunnel, parce qu'ils ignoraient son existence. En général il est derrière eux, il suffit donc de le leur indiquer.

Il y a ceux qui n'osent pas s'y aventurer, et pour ceux-là, le plus simple est de les y accompagner. Cela se fait grâce à la projection astrale, certains le font lors d'une sortie hors de leur corps.

Il y a ceux qui ont un message à passer, pour ceux-là il faut le bon médium, celui qui pourra transmettre à la bonne personne.

Il y a ceux qui croient devoir passer un message, pour ceux-là c'est souvent une élévation de leur énergie qui va les aider, il faut donc leur servir d'ascenseur.
Servir d'ascenseur, parfois des personnes le font sans le savoir, mais quand quelqu'un le fait volontairement, comme moi par exemple, il y a une limite qui dépend de la capacité de notre organisme à éliminer les toxines liées à la souffrance de l'âme aidée. Il faut aussi, cela va de soi, avoir suffisamment d'énergie pour que cela fonctionne, sinon l'âme reste, et c'est susceptible d'être pathogène.

Servir d'ascenseur, c'est efficace aussi pour ceux qui ont besoin d'être consolé, ceux qui sont épuisés, et même ceux qui ne veulent pas, mais qui ainsi se retrouvent de fait dans l'au-delà, sans avoir rien vu venir.
Un jour j'ai aidé une médium, qui était ennuyée par un homme qui ne voulait absolument par rejoindre l'au-delà. Je l'ai poursuivi, jusqu'à que finalement il soit séduit par mon énergie, et se laisse faire.

Et il y a le jeu. Dans l'au-delà, l'imagination est reine, et comme elle y est la base du jeu, entraîner les âmes errantes dans le jeu est un moyen roi.
La première fois que je l'ai utilisé, c'était pour deux femmes joueuses, qui avaient prise une jeune fille pour victime, parce qu'elle avait essayé le spiritisme.
Elles ont voulu jouer avec moi, c'était la première et seule fois que cela m'arrivait, et j'ai fait spontanément le choix d'entrer dans la danse. Elles ont été surprises de mon attitude, et sont entrées dans l'au-delà après une vingtaine de minutes d'amusements.

Le cas des femmes faussement enceintes :
Je suis effaré par le nombre de cas de femmes qui portent sans le savoir une âme errante en leur ceint. Si ces femmes n'étaient pas nombreuses à me donner des indices de confirmation, soit en ressentant le départ de cette âme, soit par le disparition de symptômes, ou par un mieux-être, je ne pourrais que ressentir le besoin de me remettre en question.

Toutefois, une telle épidémie peut s'expliquer par le fait que les femmes sont habituées à porter une âme en leur ceint, sauf que ce sont des âmes qui s'incarnent, et non des âmes errantes.
Le fait que la société discute du phénomène de la réincarnation peut l'expliquer aussi. En effet, quand une âme, à cause de sa souffrance, erre, elle se trouve souvent isolée. Retrouver un corps peut alors leur sembler une solution évidente pour sortir de cette isolation.
Il faudrait donc que la société instruise ses individus à propos du chemin pour l'au-delà. C'est si simple : franchir le tunnel.

Que les femmes se rassurent : l'expérience m'a montré qu'aider ses âmes à rejoindre l'au-delà est d'une facilité agréable :
Mettez-vous dans une position confortable, par exemple assise dans un fauteuil, ou allongée.
Mettez vos mains sur votre ventre, en-dessous du nombril, pour donner de l'énergie à votre "bébé". Cela va l'aider à quitter sa conscience terrestre, donc rejoindre l'au-delà, mais aussi lui donner confiance dans vos intentions.
Puis, avec toute votre tendresse (c'est important), expliquer-lui qu'il n'est pas possible de devenir ainsi votre bébé, mais qu'il lui faut d'abord se défaire de sa conscience terrestre, rejoindre l'au-delà, le paradis, en franchissant son tunnel.
En général, cela suffit, et la plupart d'entre vous sentirez le départ de l'âme par un courant d'air. Certaines femmes vont le ressentir émotionnellement : d'abord comme un gros remerciement, puis une tristesse incompréhensible.
En général aussi, cela n'arrive qu'une fois, parce que inconsciemment vous allez mettre une barrière émotionnelle. Je n'ai vu qu'un seul cas de récidive.
Pour ce qui est de donner de l'énergie, sachez que les personnes incapables de soigner avec l'énergie de leurs mains sont assez rares. Si nous ne sommes pas tous magnétiseurs, c'est parce que nous n'avons pas tous la motivation pour le devenir, mais c'est rarement un problème de capacité.

Aider des communautés d'âmes errantes :
Aider des communautés d'âmes errantes est relativement différent de l'aide apportée à des âmes seules, parce que ces communautés ne connaissent pas la solitude des autres âmes, et parce qu'elles forment éventuellement un égrégore (un esprit de groupe).

Ma première expérience dans ce domaine a eu lieu dans l'hôpital de Strasbourg Hautepierre, où mon enfant a souvent été hospitalisé.
Ainsi c'était le cas au début des vacances scolaires de février, pour une opération bénigne, mais stressante pour lui, la fermeture de l'orifice de trachéotomie, déviation de sa respiration au niveau de la gorge, pratiquée à l'origine peu de temps après sa venue au monde.

La présence permanente des parents dans le service de réanimation pédiatrique n'est pas prévue, mais dans notre cas elle est souhaitée et bien accueillie par l'équipe, mon enfant étant particulier, et notamment sourd.
Et elle a été particulièrement nécessaire, mon attention a donc d'abord été focalisée en permanence sur mon enfant, du mercredi en fin de matinée, au jeudi soir.
Le jeudi soir, j'ai commencé à me questionner quand à une éventuelle présence dans la chambre. J'ai alors trouvé un adolescent, décédé dans le service quelques mois plus tôt, et qui était positionné sur un croisement Hartmann.
J'ai discuté un petit peu avec lui, et me suis enquéris à propos de sa volonté de rejoindre l'au-delà.
Comme il ne le souhaitait pas, je me suis interrogé sur le nombre d'âmes présentes sur le lieu. 782 m'a été répondu. Vu la taille, l'énergie et l'ancienneté de l'hôpital, la présence d'un pôle gériatrie, cela m'a paru crédible.
Je lui ai demandé s'il souhaitait retrouver ses proches, et il a été plus intéressé. Je lui ai alors indiqué que c'est la pensé qui dirige, et ai retourné mes conseils sur la communauté des âmes présentes, en dirigeant vers elles mes pensées.
Le soir même, deux âmes rejoignaient leur proches. Aucune ne s'intéressait à l'au-delà.
Le vendredi matin, tôt, dix avaient rejoint leurs proches.

Ne croyez pas que je les ai envoyées parasiter leurs proches. En effet, mon idée est que en faisant cela, je les sors de l'idée d'attendre que leurs proches viennent les chercher. Une fois cela fait, et ces âmes sorties de la communauté, constater qu'elles n'ont plus qu'à rejoindre l'au-delà va aller de soi.

Ce vendredi matin, je me suis assis sur une chaise, contre le mur extérieur, et j'ai invité la communauté à discuter avec moi. Je n'ai eu aucun mal à les rassembler, puisque mon attitude faisait de moi un sujet de curiosité   . Elles étaient toutes là, les murs n'existaient plus, je réalisais ma première conférence avec des âmes.
J'ai cherché d'autres idées. D'autres lieux où les inviter. J'ai pensé à Tahiti. Pourquoi Tahiti ? Et bien parce que c'est pour beaucoup une idée du paradis. Non ?
J'ai alors senti un fort déplacement, comme quand un peloton cycliste passe dans la rue.
Toujours en leur rappelant que la pensée dirige, j'ai pensé à des personnes célèbres. J'ai même eu, comme un réflexe, l'idée de les envoyer vers un personnage célèbre du passé, mais comme il s'agissait d'une de mes incarnations, il y a bien eu un mouvement de foule, mais très court. Mince, la gaffe   .
Bon, ce n'est pas grave, c'est même plutôt bon pour ma crédibilité auprès de ces personnes  .
Après avoir trouvé quelques idées, je me suis rendu compte qu'il y avait un autre problème : les âmes restantes n'osaient plus sortir de l'hôpital, à cause de leur apparence.
Je leur ai alors rappelé qu'elles étaient maintenant esprits, que c'est aussi leurs pensées qui forgent la vision qu'elles donnent d'elles-mêmes.
Je me suis alors retrouvé avec un hôpital vide. Enfin presque : il y avait comme une lumière au fond. Une âme libre avait assisté à mon travail.

Qu'est-ce que cela m'a coûté ? Rien, je n'ai fait que meubler un peu de ce temps dont je disposais, entre deux visites d'infirmières ou médecins. A noter que si mon récit paraît continu, en fait il est une succession de brides entrecoupées par les actes relatifs à notre raison d'être dans l'hôpital. Le fait de couper ce travail en plusieurs épisodes n'a pas posé de problème, au contraire, les âmes prenant le temps de réfléchir.

En quittant l'hôpital, je me suis retourné, et j'ai senti que son énergie avait changé. Donc les âmes ont bien rejoint l'au-delà, leurs traces ont bien changé d'énergie.

En réfléchissant à ce que j'avais fait, j'ai pensé que pour un tel travail, il était préférable d'être sur place. L'avenir va me montrer que je me trompe sur ce point. Une nuit, je me suis senti appeler à en faire l'expérience, dans un autre hôpital que je connaissais : l'hôpital de la mère et l'enfant, le Parc à Colmar.
Je me suis donc rendu en projection astrale dans cet hôpital, et me suis retrouvé en face d'une centaines d'enfants et bébés décédés sur place.
L'accueil a été très différent : je leur ai demandé s'ils souhaitaient rejoindre le paradis, et ce fut un concert de "oui".
Je n'ai eu qu'à leur indiquer qu'il leur suffisait de traverser le tunnel, et je me suis retrouvé seul, face à trois adultes, qui étaient là parce qu'ils s'étaient donné le devoir de veiller sur ces enfants. Du fait qu'ils n'avaient plus de raison de rester, ils ont rejoint aussi l'au-delà. J'ai passé une bonne nuit.

Mon travail suivant a été à Mulhouse où l'hôpital, récent, a été placé sur un colline. J'y avais un rendez-vous pour moi.
Il y avait peu d'âmes errantes, je n'ai eu qu'à les inviter à passer le tunnel. Par contre j'ai senti beaucoup de présences d'âmes libres. Le niveau élevé de l'énergie de cet hôpital l'explique.

J'ai utilisé mon expérience nouvelle sur un cas du forum. Chez une personne j'avais déjà aidé cinq âmes, individuellement, mais j'avais pris conscience que je mettrais beaucoup de temps et d'énergie pour les aider de cette façon.
Je me suis souvenu du lieu où Titali (une médium doctinaute) avait croisé mon double astral, et m'y suis rendu à nouveau. Je me suis rendu compte que pour l'occasion, cette fois mon double était blanc. J'ai alors rassemblé les âmes, vingt-cinq, qui étaient volontaires pour rejoindre l'au-delà. Il est vrai qu'elles m'avaient déjà vu à l'oeuvre, et s'attendaient à ce que je revienne pour elles.
J'ai eu une idée originale, comme elles étaient en communauté assez soudée, je les ai invité à imaginer un tunnel commun, pour y passer ensemble. En effet, elles formaient un esprit de groupe (égrégore), donc autant partir ensemble. Je rappelle que le tunnel que prennent habituellement les âmes pour quitter leur conscience terrestre est individuel, il est la sortie de leur conscience, et non un accès à autre chose.
Ces âmes ont donc franchi le tunnel ensemble, et je les ai étonné en les retrouvant à la sortie. Je leur ai alors rappelé qu'en effet, l'au-delà n'est pas ailleurs, mais au-delà de la conscience terrestre.
Plus tard, j'ai vérifié que la consultante n'avait plus de trace d'âme errante à ses côtés.

 

 

 

Vers la fin du bas astral ?
Début décembre 2014, parce que j'avais pris la défense d'une personne, j'ai eu la surprise d'être attaqué par sept magiciens successifs.
Le sixième attaquait en chargeant sa victime d'âmes errantes. Cela se fait en enfermant une âme errante dans un nuage d'énergie, et en attachant ce nuage à la victime. Il avait joué à cela en soirée, puis plusieurs fois au cours de la nuit, et comme je ne ressentais plus d'attaques dans la mâtinée, j'ai pensé qu'il avait laissé tombé.
En début d'après-midi, j'ai eu un doute, et je me suis connecté à la personne que je défendais, pour m'assurer que tout allait bien. Elle était si couverte d'âmes errantes, que je ne pouvais ressentir sa vitalité. Dans l'urgence, j'ai libéré toutes les âmes errantes d'une seule action. Les nuages d'énergies pouvant être détruits par le feu spirituel, j'ai envoyé un grand feu sous la victime.
Les âmes ainsi détachées n'ont eu qu'une idée, se retourner contre le magicien.
Voyant cela, je leur ai expliqué que plutôt que se venger sur un magicien, il était plus profitable d'aider toutes les âmes errantes à rejoindre l'au-delà, ainsi les magiciens ne pourraient plus les exploiter de la sorte.
Et ces âmes errantes m'ont écouté, et sont parties à la recherche des autres âmes errantes.

Mais ce que je n'avais pas prévu, est qu'elles me les ont amenées, au lieu de les aider à rejoindre directement l'au-delà...
Et je me suis donc retrouvé submergé de présences d'âmes errantes autour de moi.

D'abord, je les ai regroupées par dizaines, puis je leur ai expliqué comment former un tunnel commun, et ainsi rejoindre l'au-delà.
Puis par centaines...

Mais là, cela me posait problème, parce que l'énergie qui restait après me posait problème.
J'ai alors fait l'expérience de le faire dans l'église voisine, mais je n'ai pu le faire qu'une journée, la seule journée où quelqu'un avait oublié de la fermer...

Alors j'ai trouvé une autre solution : former des cercles, mais de telle façon que les âmes se trouvaient hors de mon logement (je me mettais face à un mur extérieur, les esprits n'étant pas dérangés par les murs).
J'ai oeuvré ainsi plusieurs semaines, à raison de plusieurs milliers d'âmes par jour. Pendant mes vacances, je l'ai fait au bord du lac Léman, à Genève. Des cercles géants, dans un tel cadre, c'est magnifique.
Courant janvier 2015, j'ai eu un petit souci à la gorge, et pensant qu'il était dû au surmenage, j'ai voulu marquer un pause.
J'ai alors été surpris par l'agressivité des âmes. Par hasard, j'ai découvert que mon souci n'était pas causé par le surmenage, et je l'ai même soigné en reprenant mon travail.
Puis j'ai découvert qu'un magicien les poussaient pour m'épuiser, c'est pourquoi certaines étaient agressives. Je l'ai découvert, et submergé de la magie que des âmes m'envoyaient...
Je me croyais débarrassé de lui, mais j'ai vite compris qu'un autre avait pris le relais. Une autre plus exactement.
Alors j'ai commencé une course, car moins il y a d'âmes errantes disponibles pour les magiciens, moins ils pourront faire de victimes...
Comprenant qu'ils avaient les moyens de mobiliser beaucoup d'âmes, j'ai pris le risque d'appeler toutes les âmes errantes d'un premier continent, l'Afrique.
Me sentant en forme, ce fut ensuite l'Europe.
Puis l'Asie.
Ceci fait en un soir, j'ai eu la surprise de visualiser un homme complètement abasourdi de ce que je venais de réaliser.......
Je pensais qu'une telle démonstration, allait me mettre à l'abri de ses tentatives de m'atteindre, et ne pensais plus qu'à calmer le flux d'énergie afin de pouvoir dormir. J'étais à peine couché, environ trois quarts d'heure plus tard, quand je vis douze personnes s'installer dans la salle de réunion d'une entreprise que j'ai reconnue plus tard. Il s'agissait de l'entreprise qui tentait d'atteindre la personne que je protégeais.
A peine étaient-ils installés, qu'ils m'envoyaient leur premier tir. Retour immédiat, certains perdent l'équilibre.
Deuxième tir, deuxième retour, seuls trois se relèvent, et encore avec difficulté. Je perçois des âmes qui s'élèvent.
Je ne comprends pas que cela ne leur ait pas suffit. Ils ont continué en individuel. J'ai eu le droit à l'homme que j'avais visionné en début de soirée, puis une femme en tenu de dessin animé.
Après, je ne suis plus très sûr de ce que j'ai vécu, non que j'ai oublié, mais parce que je différenciais les magiciens des âmes errantes à leur hara ancré, alors que j'ai découvert plus tard que les égrégores ont aussi un hara ancré. Donc je ne sais pas si ce sont d'autres magiciens qui ont continué à me harceler, ou s'ils m'ont envoyé des égrégores. Toujours est-ils que cela a duré toute la nuit, et une partie de la journée. Au matin, à l'heure d'emmener mon enfant à l'école, je n'avais dormi qu'une heure, j'ai prévenu l'enseignante qu'il ne viendrait pas ce jour.

Une fois réglée cette attaque, j'ai terminé mon appel de toutes les âmes errantes du monde. Enfin, seulement celles qui répondaient facilement à l'appel, celles que les magiciens utilisent pour leurs méfaits.

L'aventure ne pouvant s'arrêter là, j'ai d'abord eu affaire à beaucoup d'égrégores, qui se présentaient comme des personnes, et qui profitaient de mon ignorance pour m'obliger à les délivrer sans que je sache que c'est cela que je faisais. Je l'ai très mal vécu, et mes recherches pour comprendre ont mis longtemps à aboutir.
J'ai eu ainsi une longue période pendant laquelle j'ai aidé beaucoup d'âmes, mais sans savoir ce que je faisais, raisons pour laquelle cela a été une période d'affrontements.
Puis il y a eu le moment de la compréhension, fruit du hasard, grâce à quoi les affrontements ont cessé, au profit d'un travail plus efficace. Et c'est ainsi que depuis plusieurs mois, je sais que mon travail est de vider le bas astral.
Je sais que je ne suis pas seul à faire ce travail, puisque Lulumineuse en parle : 
http://www.lulumineuse.com/pages/articles-lulu/vortex-de-lumiere-permanant.html
C'est un des articles sur le sujet, il y en a un autre qui parle de la fin du bas astral, mais je ne le trouve plus. Si quelqu'un a le lien...

Je sais, mais je fais tout de même ce travail seul, et de façon très intensive. Plus j'aide, plus il en vient, et plus il en vient, plus....

Pour moi, la fin du bas astral est une évidente nécessité pour que l'humanité puis s'élever. Nous ne sommes qu'un, laisser une partie de l'humanité derrière nous serait laisser une part de nous. C'est impossible, cela constituerait une blessure qui nous empêcherait une réelle élévation.

Phénix

 11-03-2016 à 21:00:47
Aujourd'hui, les âmes qui se présentent en masse ont une énergie que je ressens comme le toucher de la laine en pelote. C'est doux, légèrement piquant, étonnant.

Phénix

 12-04-2016 à 10:58:08
J'ai mis à jour le premier message de cette discussion.

Phénix

 13-05-2016 à 21:30:59
Comme pour confirmer cette idée de fin du bas astral, j'ai remarqué que des âmes errantes viennent en masse vers certaines personnes, de la façon suivante :


Le flux de ces âmes rejoint le hara, le remonte, puis enserre la personne - mais sans toucher le corps éthérique. Si l'énergie de la personne est suffisante, alors ces âmes se transforment, et rejoignent "les autres" qui forment une bulle au-dessus comme ceci :

 

Si l'énergie n'est pas suffisante, alors les âmes errantes redescendent le long de l'aura, et s'accumulent autour de la personne. Quand le nombre devient important, ces présences compriment l'aura de la personne, cela devient alors pathologique.
A noter, que l'aura augmente de volume en raison du passage qui s'est formé à l'intérieur.

Phénix

 15-05-2016 à 11:53:02
Pendant la lecture d'un article évoquant une expérience faite sur une femme épileptique, je me suis demandé si elle n'était pas affectée par des présences. J'ai trouvé une situation de flux, comme celle décrite dans mon précédent message, et depuis que j'ai ramené ce flux chez moi, je me trouve entouré d'âmes ayant une énergie différente de celle qui étaient déjà présentes chez moi ce matin.

J'en viens donc à regretter de n'avoir aucun moyen d'être informé d'un éventuel changement chez cette personne.

Phénix

 16-05-2016 à 10:50:23
Pour faire face à tant d'aides à apporter à ces âmes errantes, j'ai développé plusieurs façons de faire :
- Je repère l'âme errante, je cherche son tunnel, je le signale à l'âme, et je l'accompagne dans son passage. Cela me prend environ quatre secondes. L'âme reste présente, mais son énergie a changé.

- Si elles sont nombreuses autour de moi, je promène ma main parmi elles, l'élève, et change soudainement de direction au-dessus de moi, où se trouve "les autres". En général, en retour, je reçois un courant d'air sur la tête, et à l'endroit où elles étaient il y a un trou, donc elles ne se manifestent plus.

- Ma façon de faire la plus étonnante consiste à ramener sur moi, au niveau de mon cou, les âmes errantes proches. Alors un "vlouf" caractérise la transformation, soulevant mes cheveux, et l'âme errante disparaît au-dessus de moi. Un flux d'énergie fraîche se fait au-dessus de moi.
Si elles sont nombreuses à passer en même temps, le son à mes oreilles devient 'Vlvlvlvlvlouf". L'avantage de cette façon de faire est le nombre qu'il m'est possible d'aider en peu de temps.
L'inconvénient a été, que cela tire dangereusement sur mon énergie personnes.
Au début, je m'effondrais rapidement épuisé, je devais dormir beaucoup.
Puis mon épaule droite, qui porte une malformation consécutive d'une opération chirurgicale, me posait problème, à cause des mouvements rapides et répétés.
Ensuite, comme je pouvais aider de plus en plus d'âmes errantes, ma tête en était véritablement glacée.
Aujourd'hui, avec l'entraînement, je peux faire un travail considérable, mais je dois boire beaucoup.
Il me semble que ce qui génère la transformation de ces âmes est que mes mains déchirent leur enveloppe de souffrance, mais je n'en suis pas certain.

Phénix

 22-05-2016 à 18:59:54
Il m'arrive d'avoir des troubles du rythme cardiaque. Le cardiologue explique que c'est le fait d'un stress.
J'ai remarqué ces derniers temps, que -chez moi- cela avait généralement un rapport avec une forte densité de présences, ou la nécessité de boire. Mais le soir du 13 avril dernier, je ne ressentais ni cette densité, ni soif. J'avais beau chercher, rien.
J'ai tenté de m'endormir, mais les troubles du rythme m'en empêchaient. A minuit, je me suis décidé à chercher à nouveau. J'ai alors trouvé "quelque chose", mais qui semblait résister à toutes mes tentatives de lui ouvrir l'au-delà.
J'ai enroulé cette "chose" autour de ma main gauche. Il me semblait bien qu'il s'agissait d'un dragon, et je m'étonnais donc de sa résistance à rejoindre l'au-delà.
Il se présentait comme le mal absolu, mais je lui ai expliqué que cela n'existait pas, que chaque personne est capable du pire comme du meilleur, sans avoir besoin de personne pour le justifier.
Je me suis rapidement rendu compte que sa présence glaçait mes mains, puis mes bras. J'ai essayé de dégager son enfant intérieur, mais j'ai pris conscience qu'il était trop englué dans une énergie lourde.
Alors je lui ai présenté la partie de mon corps la plus riche en énergie, mon plexus solaire, si proche de cette source d'énergie qu'est l'enfant intérieur. Il est rentré intégralement dans mon corps dont il a occupé l'entier volume. Je le sentais dans les moindres recoins, mais le fait de passer par cette zone l'avait largement chargé en énergie, et son froid glacial avait déjà disparu. Il ne me dérangeait absolument plus, et je me suis rapidement endormi.
Le lendemain, il n'y était plus, et mes capacités à aider un nombre important d'âmes errantes avaient augmentées.

Phénix

 26-09-2016 à 12:06:20
La porte qui me permet d'aider massivement les âmes errantes c'est formée à droite de ma tête, comme ceci (à peut-près) :
 
A peut-près, parce que je peux aussi envoyer des âmes à ma gauche, et même sur mon visage, elles rejoignent aussi l'au-delà, mais dans cette zone, l'énergie est devenue différente.

Quand je fais cela, la montée de mon énergie s'accélère, et alimente la porte comme ceci :
 
Dans le même mouvement, mon enfant intérieur se met à rayonner plus fortement, et une bulle d'énergie fraîche vient transformer mon aura suivant une sphère qui gonfle progressivement. Il est arrivé que le processus s'emballe, et, l'énergie inondant mon environnement, libère toutes les âmes à proximité sans plus d'intervention de ma part.

Phénix

 14-11-2016 à 21:37:38
C'est la première fois que j'ai une forte concentration d'âmes errantes un soir de pleine Lune.

Phénix

 14-12-2016 à 21:40:11
J'ai parfois la conviction que la maladie d'une personne me relie à toutes les âmes qui portent la même énergie, si bien qu'en soignant une personne, j'aide toujours des âmes errantes.

Phénix

 31-12-2016 à 18:29:26
Il me semble que les âmes qui se présentent actuellement ne sont pas errantes au niveau terrestre, mais peut-être bloquées au niveau sentiments. Sentiments pour elles-mêmes, enfant intérieur (ou noyau rayonnant) masqué.
Elles ont une énergie différente.

Phénix

 08-02-2017 à 09:34:28
Ce matin, juste avant que je ne me réveille, je me suis rendu auprès d'une personne connue, un homme d'église me semble-t-il. Il gisait sur le parquet, sans connaissance.
J'ai perçu de suite qu'il était bloqué par un lourd égrégore, mais je me suis rendu compte que, sans mon corps, j'étais en difficulté pour mon travail de passeur d'âmes.
Alors je l'ai pris sur moi, puis me suis réveillé, fortement entouré d'âmes à aider.

Phénix

 19-05-2017 à 09:47:32
Depuis quelques mois, quand je veux soigner une personne, je découvre toujours un nombre impressionnant d'âmes errantes associées à son affection.
Elles n'en sont pas la cause, mais empêchent la guérison naturelle, tant qu'elles ne sont pas aidées elles-mêmes. De fait, quand j'aide une personne, je me retrouve avec un travail considérable.
Je pense en avoir compris la raison : pour ces âmes errantes, l'affection à soigner est la cause de leur décès, ou au moins associée à leurs souffrances et leur décès. Mais quand je les aide, elles vont alors associer le retour au paradis à cette affection aussi. Ainsi, ces affections ne sont plus le signe de la souffrance et de la mort. C'est un moyen de soigner le traumatisme sans repasser par une expérience nouvelle qui risque de leur prendre du temps.

Phénix

 28-06-2017 à 21:59:18
Il y a quelques années, j'avais expliqué à une médium qui n'aidait pas systématiquement les âmes errantes qui venaient à elle, qu'elles laissaient une trace, et qu'à force l'accumulation des ces traces pouvait poser problème.
Je n'avais pas réussi à la convaincre, mais mon ressenti me disait que cela viendrait (certainement de son guide, son grand-papa).
J'avais compté les traces, 32, et j'avais attendu. Puis j'avais été informé qu'elle s'en occupait.

Il y a quelques semaines, je me suis connecté par erreur de favori, sur ce site :
http://www.landspurg.com/html/fr/05.shtml
La personne sur la photo est le fondateur de l'association des Sourciers Géobiologues d'Europe, dont le siège est en Alsace. Je ne le connaissais pas personnellement, mais je savais par un ami thérapeute qu'il était malade.
Or, quand je m'étais connecté, j'avais senti une atmosphère inhabituellement lourde.
Samedi dernier, nous étions à la bourse internationale aux minéraux, chez moi (Sainte Marie aux Mines), et j'en ai profité pour rencontrer l'un des membres de l'association qui participe à un stand d'information sur la géobiologie. Je lui demande à propos du fondateur, et il me confirme son décès.

Préjugé, je pensais qu'un tel personnage devrait rejoindre l'au-delà sans difficulté.
Il faut se méfier des préjugés.
En fait, mon ressenti me conduit à le considérer dans l'errance. De fait, je vais le chercher, et je le trouve...
... pris dans un énorme égrégore.
Cet homme a généreusement harmonisé beaucoup de maison, mais n'était pas un passeur d'âmes. Or, quand il y a un trouble géobiologique, il y a souvent des esprits, que ce soit les défunts de la maison, qui restent enfermés dans leur souffrance en partie due à la maison malade, ou que ce soit des esprits attirés par l'énergie de la maison (parce qu'elle leur permet de se manifester).
Adolphe s'est ainsi progressivement entouré d'énormément d'âmes errantes dont il ne sentait pas la présence, parce qu'il n'y avait que la mémoire de leur passage, mais cela a certainement participé à le rendre malade, puis cela l'a retenu ici.

Donc je confirme, il est important de prendre soin de ceux que nous croisons, nous sommes tous responsables de l'errance des autres.
 
 
http://philosophieetparanormal.free-bb.fr/sujet-542887-632002-87488-1-Memoire-D-Un-Passeur-D-Ames.html#topic5495167
 
avec accord de l'auteur de la page

26/07/2017
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Les différentes Méthodes de Divinations

 

Les différentes Méthodes de Divinations
L’art divinatoire est un art permettant aux différentes personnes y recourant d'avoir des informations qui ont un rapport avec les faits à venir. 
Les personnes dotées de ce don, font ainsi usage de cette qualité dans le but de venir en aide aux gens qui ont recours à ce type de voyance. 
L’art divinatoire n’est pas un fait récent de société, mais plutôt remontant à plusieurs siècles et a toujours connu bien du succès. 
Déjà à cette ère les personnes voulaient tout savoir sur les évènements à venir : naissance, victoire sur les combat de guerre, période disette, envahissement du clan ennemi, bref tout ce qui pouvait arriver dans un avenir proche et faire l’objet de retournement de situation ou encore de prévention : telle était la vie à cette époque. 
Beaucoup de peuple ancien ont recourus aux arts divinatoires avec les moyens dont ils disposaient, on ne peut donc pas citer des habitants n’ayant eus nullement recours aux arts divinatoires sous une quelconque forme. 
Connaissant de plus en plus d'avancées, l’art divinatoire est à l'heure d'aujourd’hui à la portée de toutes les personnes voulant ou désirant savoir les faits à venir.
QUELQUES EXEMPLES  :

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Achilléomancie : technique divinatoire qui consiste à manipuler des baguettes en tiges d'achillée millefeuille. Technique chinoise reposant sur l'analyse des figures obtenues avec les baguettes. Origine du Yi Jing. Lors d'une telle consultation d'oracle, 50 baguettes de même longueur sont manipulées et aléatoirement triées, afin de répondre à une question précise. L'interprétation fait appel à la cosmologie du Yin et du Yang.     

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Acutomancie : art divinatoire dont les premières mentions écrites remontent au XIXème siècle. Hormis ces témoignages, son origine est encore totalement inconnue. Cette forme de voyance consiste à lire l’avenir à l’aide d’un jeté d’aiguilles ou d’épingles. 

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Aéromancie : divination reposant sur l'observation des phénomènes célestes mais qui n'a aucun rapport avec l'astrologie. On observe le sens du vent, via le déplacement des nuages, le mouvement des plantes ou plus simplement en humidifiant le doigt pour en sentir le frais. La pluie est aussi étudiée, notamment à travers les orages, tonnerres ou éclats de la foudre. De nombreuses interprétations peuvent en résulter. Par exemple, le vent soufflant brutalement annonce des luttes, des conflits. Si le vent vient du Nord, la journée sera propice au sentiment, à l'amour ou à une rencontre. Si le vent vient du Sud, cela signifie que vous allez rencontrer certains problèmes durant la journée. Si le vent vient de l'Est, la journée sera propice à la spiritualité. Enfin, si le vent vient de l'Ouest, la journée se passera dans une bonne ambiance.  

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Alectryonomancie / Alectriomancie : technique de divination basée sur l’appétit du coq. On place un coq au centre d’un cercle divisé en 24 cases portant chacune une lettre de l’alphabet. Ensuite, on pose des grains de blé sur chaque lettre. L’ordre dans lequel le coq vient picorer les graines épelle de facto un message. Si les mots n’ont aucun sens, le devin doit alors les interpréter. On replace immédiatement les grains manquants pour que chaque lettre soit disponible à tout moment et puisse apparaître autant de fois que l’exige le message. Légende d’un cas d’Alectryonomancie : On raconte que Flavius Julius Valens, cruel co-empereur romain de 364 à 378 de Constantinople, voulut savoir un jour qui lui succèderait. Les cinq premières lettres formées par le coq furent le T, le H, le E, le O et le D. Valens crût donc être victime d’un assassinat. Il entra dans une colère telle, qu’il fit tuer tous ceux dont les prénoms commençaient par THEOD. Ironie de l’histoire, c’est Théodose le Grand qui lui succéda. 

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Aleuromancie : Divination qui se pratiquait avec de la farine. On mettait des billets roulés dans un tas de farine, on les remuait neuf fois confusément. Chez les païens, Apollon était appelé Aleuromantis, parce qu'il présidait à cette divination. Il en reste quelques vestiges dans certaines localités, où l'on emploie le son au lieu de farine. Du grec Aleuron, farine et manteia, divination. Divination par la farine qui était répandue sur le sol et dont on interprétait les figures qu’elle formait  ainsi que la forme des éclaboussures pour en tirer des présages. D’après Diderot écrivain philosophe (1713-1784), l’aleuromancie aurait été utilisée dans les religions païennes et même dans la religion chrétienne.  

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Alomancie : Symbole important de pas mal d’occultistes et des autres aussi d’ailleurs, le sel est généralement utilisé pour les rituels, la protection et bien d’autres pratiques… Mais on oublie que par le passé, le sel était souvent utilisé pour la divination, ou plutôt comme, un éclairage ou encore une indication supplémentaire ! Les pratiquants de cette mancie sont appelés alomanciens ou alomanciennes. Le matériel à se procurer : 
- Obligatoirement du sel 
- une plaque de cuisson, un réchaud ou encore un feu vif (la meilleure solution pour cette pratique divinatoire). 
Première Méthode avec une source de chaleur, et expérimentation personnelle : Préchauffez bien la plaque ou alimenter un feu dans votre cheminée ou encore à l’extérieur. Prenez le sel de la main gauche, pensé à votre questionnement et le lancer sur la plaque brûlante, ensuite écouter tout simplement. Traditionnellement, on dit que si le sel crépite longtemps, le verdict sera négatif. Et si le bruit est léger, la réponse sera positive.
Deuxième méthode : Le lancer. La deuxième méthode est encore plus simple, mais plus ardu dans l’interprétation. Il vous suffira de la main gauche (ou comme vous préférez de la main droite) un peu de sel, et ensuite traduire selon votre mode de fonctionnement les divers tas de sel et les formes qu’ils en incombent. 


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Aphitomancie : art divinatoire qui utilise un procédé avec du pain d’orge. Cette pratique permettait de condamner ou disculper une personne soupçonnée. 
La méthode consistait  a confectionné du pain avec de la farine d’orge suivant un rituel spécifique, le pain est cuisiné sans levain et il utilise du froment concassé de l’orge à large épi. 
Cette méthode fut largement utilisé par la justice européenne médiévale, il appelait ce rituel « l’épreuve de « bouchée maudite » nommé aussi « le morceau d’exécration » une incantation était site par l’évêque ou le prêtre au moment où il donnait le pain à manger, l’incantation était : «  Puisse ce morceau de pain maudit causer des convulsions et ne trouver aucun passage si l’accusé est coupable, et permettre un retour à la nourriture saine s’il est innocent », si le présumé coupable pouvait manger le pain sans problème, celui-ci était déclaré innocent, si en revanche il était incapable d’avaler ou il s’étranglait avec, il était déclaré coupable. 

Amniomancie : Voyance Divinatoire qui se faisait par l’examen de la coiffe ou membrane qui enveloppe parfois la tête d’un nouveau-né. A Rome, son prix était très élevé, parce que les avocats la considéraient comme portant bonheur pour le gain d’un procès. De là, est né le dicton « être né coiffé ». On suppose, en effet, que celui qui est venu au monde pourvu de ce talisman exceptionnel est garanti d’une chance certaine. En outre, le don de la voyance lui est, dit-on, accordé. Cette croyance en ses vertus de la voyance court encore dans nos campagnes de l’Ouest. Il n’est d’ailleurs pas certain qu’elle ne procède pas d’un fond de vérité, à en juger par le fait qu’un grand nombre de voyants et voyantes valables sont nés « coiffés ». 


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Anémomancie : Divination par les vents. 
Par exemple à Dodone, on interprétait le mouvement de certaines feuilles ou de clochettes sonores d'airain destinées à indiquer la direction du vent. Pour les peuples antiques, les vents qu'on prétendait d'origine divine servait à interpréter le mouvement de choses légères pour en tirer des présages. Une méthode divinatoire consiste à l'utilisation des vents pour déterminer la réponse à une question. Il s'agit de prendre un grand bol, et d'inscrire des réponses sur les petits morceaux de papier, en plaçant ceux-ci à l'envers; puis de laisser le vent rendre la réponse en retournant un ou quelques morceaux de papier. 
Voir aussi Aéroscopie et Aéromancie. Une autre façon de pratiquer la divination par l'anémomancie peut se résumer sommairement ainsi :
• Si le vent dominant vient du Nord, ouvrez l'œil car on dit que la journée sera propice aux sentiments, aux affections, à l'amour ou à une rencontre.
• Si le vent dominant vient du Sud, c'est un présage avisant que vous serez confronté à quelques problèmes sur lesquels vous buterez, au cours de la journée.
• Si le vent dominant vient de l'Est, c'est un indice annonçant que la journée sera propice aux réflexions, à l'introspection et aux questions spirituelles.
• Si le vent dominant vient de l'Ouest, c'est un signe que la journée se passera dans une ambiance intéressante, agréable et productive.

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Antracomancie : art divinatoire qui utilise la matière du charbon (de terre ou minéral), celui-ci n’est plus utilisé de nos jours, car le charbon est en voie de disparition.  
On interprétait cette voyance avec les formes et les couleurs que le charbon pouvait avoir lorsqu’il chauffait. Le devin faisait aussi ses prédictions en se basant sur les signes qu’il trouvait sur la surface du charbon anthracite.  Cette méthode fut utilisée pendant toute la période ou le charbon régnait dans les foyers en abondance, désormais, le charbon n’étant plus utilisé, cette voyance s’est éteinte avec le charbon. 


Apanthomancie : divination chez les Grecs. Celle-ci consistait à observer des présages qui se présentaient à l’improviste, par exemple la rencontre inattendue d'un aigle et d'un lièvre. 
Ou bien rencontrer au hasard un lièvre et un bouc était gage de chance imminente et ce, tout particulièrement si le lièvre tentait d'échapper en même temps à des chiens. 
En revanche, rencontrer un lièvre en dehors d'une partie de chasse signifie qu'il vaut mieux rentrer à la maison parce qu'un danger vous guette, voir une chauve-souris, un âne ou un corbeau étaient de mauvaise augure. 
Il en va de même de l'observation des pies, on disait "une pie, souci, deux pies, bonheur, trois pies, malheur" Les rencontres fortuites entre certains animaux étaient en effet porteuses de messages. Une même rencontre pouvait aussi s'interpréter différemment selon les cultures. 
Aux Etats-Unis comme en France, rencontrer un chat noir porte malheur, alors que pour les Britanniques c'est au contraire un signe de bonheur et de chance. Rencontrer un médecin ou un pharmacien vous avisait de faire attention à votre santé. On pouvait encore la pratiquer en observant les fleurs. Il était d'usage d'effeuiller par exemple des marguerites afin de présumer des sentiments de ceux dont on souhaitait être aimé (ce type d'usage est du reste mis en scène dans le célèbre ouvrage de Goethe "Faust», dans la scène du jardin.

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Apleuromancie  : divination par les messages contenus, sur ou dans des biscuits. 
Le plus connu est le biscuit chinois qui contient des messages prophétiques. On l'appelle aussi, biscuit de la chance. Les biscuits chinois étaient tous formés originalement de 10 mots. Leur invention remonte aux 13 e et 14 e siècles où la Chine était occupée par les Mongols. 
Autrefois, on cachait des messages secrets dans des gâteaux de lune. Ceux-ci concernaient la date d’un soulèvement populaire contre les envahisseurs. La transition des gâteaux aux biscuits de fortune actuels a été encouragée par les temps difficiles des ruées vers l’or et à cause de l’explosion ferroviaire en Californie. Les immigrants chinois échangeaient alors des messages positifs au festival de la lune au lieu des gâteaux et c’est ainsi que les biscuits de fortune ont commencé. L’une des premières industries a émergé dans la région de San Francisco. Les biscuits furent fabriqués à la main jusque dans les années 50…

Arachnomancie : Divination par les araignées. 
Les anciens regardaient d'ailleurs comme un présage funeste les toiles d'araignées qui s'attachaient aux étendards et aux statues des dieux. 
Néanmoins, dans la tradition populaire, une araignée qui court ou qui file promet de l'argent ; les uns prétendent que c'est de l'argent si on la voit le matin, et si on la voit le soir ça annonce une nouvelle. 
D'autres citeront aussi ce proverbe-axiome: “Araignée du matin, petit chagrin; araignée de midi, petit profit; araignée du soir, petit espoir.”
Puis, l'on dit que dans le bon temps de la loterie, des femmes enfermaient le soir une araignée dans une botte, avec les quatre-vingt-dix numéros écrits sur de petits carrés de papier. L'araignée, en manœuvrant la nuit, retournait quelques-uns de ces papiers. 
Ceux qui étaient retournés de la sorte, étaient regardés le lendemain matin comme numéros potentiellement gagnants. Les toiles d'araignées sont utiles, aussi: puisque l'on dit qu'appliquées sur une blessure, elles arrêtent le sang et empêchent que la plaie ne s'enflamme.


Arithmomancie / Arithmancie / Numérologie : Le mot Arithmomancie pourrait être placé dans le langage Elevé. En effet, il est plus souvent utilisé les mots Arithmancie et/ou Numérologie. Les origines de l'arithmancie semblent remonter à plus de 2000 ans, développées par les pythagoriciens. Le Mot Arithmancie vient du Grec Arithmos qui signifie nombre et Manteia qui signifie Divination.

I L'Alphabet de Tripoli :
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Ce Tableau est la base de l'Arithmancie, la seule méthode connue et approuvée pour transformer les Chiffres en Lettres. 

II Les Différents Nombres :
  • Nombre d'expression
Issu de la synthèse du prénom et du nom, ce nombre représente le tempérament et le caractère.
  • Nombre actif (ou première clé)
Issu du prénom, le nombre actif explique le rôle que joue le tempérament, inné, dans la personnalité.
  • Nombre héréditaire (ou nombre d'hérédité)
Issu du nom, le nombre héréditaire représente le caractère, avec toutes ses composantes héréditaires, et dévoile le comportement dans la relation avec les autres.
  • Nombre intime (ou nombre d'idéalité)
Ce nombre, issu des voyelles du prénom et du nom, symbolise les capacités latentes, les idéaux et les rêves éclipsés.
  • Nombre de réalisation (ou nombre de structure)
Ce nombre, issu des consonnes du prénom et du nom, révèle les talents sur un plan matériel et/ou professionnel.
  • Nombre issu des initiales
Ce nombre dévoile un trait dominant de la personnalité.
  • Nombre psychique
Le nombre psychique (issu du jour de naissance) donne quelques pistes supplémentaires pour mieux comprendre votre complexité.
  • Nombre d'évolution
Votre nombre d'évolution est issu de votre jour et de votre mois de naissance. Il représente ce que vous pourriez devenir (ou auriez pu devenir) si les facteurs externes n'existaient pas (peu vraisemblable...).

III La Table Karmique :

La Table Karmique est en fait une manière de calculer les dominances et les faiblesses dans le caractère. Pour faire sa Table Karmique, on calcule le nombre de chiffres comptés dans notre synthèse du nom et du prénom. Cela se nomme Table Karmique car l'on pose le résultat ainsi:
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Aspidomancie : est un vocable que le mot grec « aspid » (bouclier), a fait naître. Le bouclier est justement cet instrument dont l’oracle se servait autrefois dans les Indes, pour marmotter les conjurations d’où découlait la prédiction de l’avenir des personnes qui se confiaient à lui. La mise en scène de cette divination mettait au premier plan, un devin qui, assit sur un bouclier au milieu d’un espace circulaire qu’il a lui-même déterminé, tombe subitement en transe. A cet instant, il reçoit mystérieusement toute l’inspiration nécessaire pour mener sa divination à bon port. Il ne révèle l’avenir des personnes qui se confient à lui qu’à son réveil. 

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Astragalomancie : ou technique de prédiction de l'avenir par le hasard, via les astragales puis plus tard via les dés à jouer -, que l'on nomme aussi cléromancie, existe depuis la préhistoire. Car avant que les dés cubiques standards à 6 faces soient devenus communs, les peuples antiques utilisaient divers objets tels des noyaux de fruit, des coquillages, des cailloux, des bâtons plats et des coquilles de noix pour obtenir des résultats aléatoires pour des jeux. Le lancement de ces objets - qui sont les ancêtres des dés - était une façon de deviner les malchances, de choisir des joueurs, ou une méthode de prédiction. Au cours de l'Histoire, leur utilisation s'avère tantôt ludique - simplement pour le jeu -, et tantôt divinatoire. Les dés sont donc les instruments de jeu les plus anciens que n'ait jamais connus l'homme. On sait aussi qu'à une certaine époque, et dès l'Antiquité, les Égyptiens, Grecs et Romains utilisaient de petits os, ou astragales - anciens dés à quatre faces qu'ils nommaient Tali ou Astragali, ou plus tard Tesserae quant au traditionnel dé à six faces -: soit, les osselets provenant du tarse des moutons ou des chèvres - partie postérieure du pied, située près du talon: tels les metatarsus ou metacarpus d'un mouton -; ayant quatre facettes aisément reconnaissables; celles-ci ayant chacune une valeur prédéterminée - symbole, lettre ou chiffre -. En fait, on retrouve ces os d'articulation - astragales - parmi les restes primitifs dans le monde entier; alors qu'ils sont toujours d'usage courant de nos jours dans l'est musulman, en Europe méridionale et en Amérique latine.

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Astrologie /Astromancie : Astrologie vient du terme astro qui signifie astres et de logie qui signifie science, d'où l'énoncé de "science des astres". Elle se distingue de l'astromancie, procédé divinatoire lié aux astres. Contrairement aux idées reçues, le but de l'astrologie consiste moins à prédire un événement qu'à comprendre l'événement que nous sommes... La définition du dictionnaire Larousse, édition 1986, nous induit en erreur. Il y est mentionné que l'astrologie est un art divinatoire cherchant à déterminer l'influence des astres sur le cours des événements terrestres et à en tirer des prédictions d'avenir. L'astrologie propose une expérience bien plus élevée que la simple prédiction d'événements à venir. Elle permet avant tout une meilleure connaissance de soi et de la mission que nous jouons sur la Terre. Elle est un support de compréhension cosmique de notre existence. De nombreuses personnes nourrissent l'idée fausse d'un certain fatalisme. L'astrologie permet bien au contraire de dégager l'histoire structurelle d'un individu ou d'un groupe, et une fois informé de cette donnée, de trouver sa liberté au sein du contenu de cette structure.

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Axinomancie : C’est une technique divinatoire qui se fait au moyen d’une hache. Il existe plusieurs méthodes d’utilisation :
  • La première consiste à lancer l’arme contre un arbre. Pour émettre une prédiction, le devin interprète la trajectoire de la hache qui va se planter dans l’écorce. Il étudie également l’inclinaison du manche, lorsque l’arme s’est immobilisée. Ensuite, il observe attentivement la profondeur de l’entaille et surtout l’endroit de son impact dans l’arbre.
  • La deuxième méthode consiste à faire rougir la hache sur un feu, dans le but de découvrir un trésor. On la pose de manière à ce que le tranchant soit bien perpendiculairement en l'air. On place la pierre d'agate sur le tranchant. Si elle s'y tient, c’est qu’il n'y a pas de trésor. Si en revanche, elle tombe, elle se met à rouler. On la replace ainsi trois fois et si elle roule toujours vers le même lieu, c'est qu'il y a un trésor à cet endroit-là. Si elle prend chaque fois une route différente, c’est qu’il faut chercher ailleurs.
  • La troisième a pour but de découvrir des voleurs. On pose alors la hache à terre, le fer en bas et le bout du manche en l'air. On danse en rond tout autour, jusqu'à ce que le bout du manche s'ébranle et que la hache s'étende sur le sol. Le bout du manche indique alors la direction qu'il faut prendre pour aller à la recherche des voleurs
Selon la légende, la hache possèderait une valeur magique liée à la fécondité. Dans les cultures germaniques, on plaçait une hache sous le lit des jeunes époux pour favoriser la naissance d’enfants sains et vigoureux. En Finlande, pendant la cérémonie du mariage, on donnait des coups de hache sur le sol. Une pratique qui devait éloigner tout risque d’ensorcellement pour les futurs époux.

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Bactromancie : une des techniques utilisées en ésotérisme. Peu connue, celle-ci représente une réelle capacité de divination par le biais d’une grenouille ou d’un crapaud. L’utilisation de cette spécialité est souvent utilisée pour prédire le temps futur. La voyance par ce biais nécessite une préparation complète avec en premier lieu la recherche d’un batracien particulier possédant obligatoirement des rayures obliques symétriques. D’autre part, on préparera un lieu d’installation pour l’animal avec tout ce qui est nécessaire à son confort soit de l’eau et de la terre. A partir de ce moment-là, la position de l’animal dans son bac donnerait précisément des indications sur le temps. La Bactromancie est une discipline de voyance très sérieuse car selon le comportement de la grenouille, certaines tempêtes peuvent être prévues de même que de belles journées ensoleillées.

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Belomancie : art divinatoire utilisant les flèches. Le mot vient du grec « belos », qui signifie « dard», donc la pointe de la flèche. Un art très utilisé dans les civilisations antiques, notamment chez les Chaldéens, les Grecs et les Arabes. Le devin analysait ainsi la trajectoire de la flèche, le sifflement qu’elle produisait dans l’air et sa façon d’atteindre la cible. Pour tirer des présages, lorsqu’un combat était prévu, un enfant prenait un carquois composé de 3 flèches : sur la première était inscrit « Dieu l’ordonne », sur la deuxième, « Dieu le défend », sur la troisième, il n’y avait rien d’écrit. L’enfant tirait ensuite l’une des trois flèches au hasard. Selon le message délivré, l’attaque était entreprise ou abandonnée. Si c’est la flèche vierge qui était tirée, le combat était remis à plus tard. Une variante, utilisée chez les Chaldéens, consistait à inscrire des noms de ville à envahir. La première flèche tirée leur indiquait dans quelle ville se rendre en premier. D’autres peuples tiraient des flèches sur lesquelles étaient inscrits des symboles occultes par rapport à une question. Les inscriptions présentes sur la flèche allant le plus loin étaient lu comme un signe magique et donc comme la réponse divine. Cette mancie était très facile à manier, notamment par les voyageurs qui se perdaient. La bélomancie était alors utilisé pour retrouver son chemin. Le voyageur jetait la flèche en l’air et quand elle retombait elle indiquait la direction à prendre. Toutes ces pratiques de bélomancie se perdirent avec la disparition des archers.

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Biastomancie : Ici ce ne sont pas tous les oiseaux qui sont observés mais seulement les nocturnes. Ils étaient observés mais aussi écoutés car leur cris étaient aussi importants. Ainsi il était possible de faire des présages en fonction de ces observations, de savoir s’il y aurait des malheurs ou au contraire de bons augures. Le type d'oiseau était aussi important car certains oiseaux ont une valeur symbolique différente des autres comme la chouette par exemple. Bien-sûr on ne pouvait pas poser de questions précises mais des cris comme celui de la chouette le soir avant minuit était signe d'espoir pour le lendemain, après minuit c'était un signe moins bon en biastomancie. La présence d'un hibou des marais hors de sa zone d'habitat était présage de ravages dans les récoltes. Un hibou grand duc était de bon augure. Les oiseaux nocturnes qui volaient haut la nuit était signe que des dangers pouvaient venir cette même nuit comme des attaques de fous, plus de violence. Les oiseaux qui volaient bas et sans bruit était un signe de continuité dans la normalité, donc une chose positive. Si un oiseau émettait un cri strident un soir de pleine lune c'était très mauvais, un malheur allait sans doute venir. Un oiseau qui criait la nuit alors que l'on sortait  était une mise en garde, un signe qu'il faudrait faire attention sur le chemin. Un oiseau qui ne bougeait plus était aussi un signe, le signe qu'un danger était proche, qu'il fallait se méfier d'un prédateur, d'un voleur. C'est en fait le signe d'une présence dangereuse. L'oiseau qui s'envole à notre approche: la voie est libre, pas de crainte à avoir. Les ornithologues pourraient sans doute nous en dire plus sur cette croyance et pourraient peut-être même améliorer cette voyance mieux que bien des voyantes, c'est peut-être une piste à creuser pour améliorer la biastomancie.

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Bibliomancie : technique divinatoire utilisant le livre pour prédire l'avenir par rapport à une question qui préoccupe le consultant. Ce type de voyance était très utilisé dans le monde romain, par les devins. Cette méthode est assez simple, voici comment ils procédaient à cette époque: le devin ou la devineresse posaient une question et ouvraient un manuscrit, au hasard, et toujours au hasard, ils posaient un stylet sur celui-ci, suivant le mot ou la phrase ainsi choisis, le devin ou devineresse répondaient à la question posée. Les livres les plus utilisés sont la bible et ses évangiles, le Coran et les encyclopédies. La technique est simple, il faut tout d'abord s'isoler et se mettre au calme, puis bien se concentrer sur la question qui vous tient à cœur, en tenant le livre choisi entre les mains. Après quelques instants, ouvrez le livre et posez votre index sur un endroit de la page, lisez ensuite les mots ou la phrase qui s'y trouvent à l'emplacement de votre doigt; vous obtiendrez un message codé qui répond à votre question. Même si cette pratique divinatoire est passée de mode, il est toujours intéressant de faire appel à cette forme de voyance pour obtenir des réponses divinatoires. N'importe quel livre ne fait pas l'affaire alors n'hésitez pas: choisissez le vôtre, vous pourriez être surpris !!

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Bléomancie : L'outil de base de cette voyance gratuite est le blé. Il faut aussi se munir d'une plaque de fer qui sera chauffée au feu de bois comme cela était fait dans le passé. Puis on dispose des grains de blé, douze, sur le fer et on prédit l'avenir. La signification dépendait du comportement des grains sur la plaque en fonction de leur emplacement car on dessinait sur le fer douze cases, pour douze grains pour douze mois. Donc un grain représentait un mois et si il brûlait, noircissait, le mois correspondant serait mauvais et si il explosait sans se carboniser c'était plutôt bon signe, signe de prospérité. Aujourd'hui on ne pratique plus cet art pour la simple et bonne raison sans doute qu'on a plus de blé à la maison.

Botanomancie : art divinatoire consistant à prédire l’avenir grâce à l’analyse et l’observation des végétaux. Il s’agit d’une science très vaste, couvrant de larges domaines. La botanomancie concerne l’observation de la morphologie végétale mais aussi l’étude des vertus des plantes ainsi que la préparation de ces plantes (sont comprises dans ces végétaux les plantes hallucinatoires). La botanomancie était une science très pratiquée au Moyen Age mais elle n’a pas disparu pour autant aujourd’hui. Par exemple, au Moyen Age était très utilisée la méthode des feuilles envolées pour les amoureux dont le cœur balançait entre plusieurs personnes. Afin de déterminer pour qui l’on éprouvait le plus d’amour il fallait écrire le nom des différentes personnes convoitées sur des feuilles différentes. Il fallait ensuite placer ces feuilles dans un lieu aéré mais non balayé par le vent. Il suffisait par la suite de revenir voir la position des feuilles au bout d trois jours. La feuille qui avait alors le moins bougé désignait la personne la plus aimée. Si la feuille était sèche, c’était le signe d’un amour plutôt platonique. Les plantes sont de formidables oracles et il faut apprendre à les reconnaître pour pouvoir les apprécier à leur juste valeur. 

Bréchomancie : Divination d'après la pluie par l'observation des nuages brisant le bleu du ciel. Cette mancie consiste à s'intéresser aux nuages du jour, pour prévoir le temps qu'il fera. Par exemple, chez les Assyriens et les Akkadiens, pour prévoir le temps on tenait compte de la position des nuages, par rapport aux autres astres de la nuit et l'on interprétait le tout. Et selon une superstition encore vivante chez ces peuples, une forte chute de pluie qui nous prend par surprise en sortant de chez soi, s'avère être un très bon présage sur notre famille et notre foyer. Puis chez les Touaregs, au coucher du soleil, on pouvait prévoir le début de la saison des pluies si un couloir de nuages blancs divisait le ciel dans un axe Est-Ouest; alors que s'ils étaient dans l'axe Nord-Sud, ces nuages signalaient la fin de la saison des pluies. De nos jours, une méthode simple pour pratiquer cette mancie consiste à saupoudrer de façon égale quelque épice réduite en poudre (ex: cannelle, paprika, curcuma, etc) dans un récipient grand mais plat (ex: une lèchefrite, une tôle à biscuits, etc). Lorsque la surface est complètement recouverte, apportez votre récipient dehors, par jour de pluie et sous la pluie, posez votre question. Revenez à l'intérieur avec votre récipient et observez les marques faites par la plus; puis interprétez ces formes et symboles pour obtenir votre réponse.

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Brontomancie : Divination par l'interprétation du tonnerre, de la foudre ou des orages. Mancie qui remonte à l'Antiquité. Pour les anciens, les foudres apparaissant à l'Orient et celles du zénith annonçaient toujours un heureux événement; tandis que celles du Nord et du couchant à l'Ouest, un avenir malheureux. De quelque côté qu'il tonnât, les comices — ou assemblées — devaient se dissoudre immédiatement, car l'univers ne pouvait discourir en présence de Jupiter qui se parlait à lui-même; toutefois un tel événement ne présageait rien de néfaste, à moins que les nuages ne laissassent tomber de la grêle en même temps. Les Etrusques comptaient jusqu'à neuf sortes de foudres, qu'ils attribuaient à autant de divinités; tandis que les Romains n'en admettaient que deux: Jupiter qui tonnait pendant le jour, et Sumanus pendant la nuit. Tous s'inclinaient devant l'éclair, et accueillaient le roulement de la foudre par un popysma prolongé: soit, un léger sifflement de la langue et des lèvres, qui démontrait satisfaction. L'on considérait aussi que les coups de tonnerre en nombre pair étaient omineux et plutôt défavorable; en nombre impair, ils étaient favorables. Il y avait les fulmina sicca, clara, humida, publica, prioala, regalia, auspicata, postularia, consiliaria, monitoria, auxiliaria, peremptalia, hospitalia, fortuita; autant d'espèces dont chacune avait sa signification propre. Voir aussi kéraunoscopie.

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Cafédomancie / Caféomancie : C'est par le marc du café que l'on prédit l'avenir. Elle a connu un franc succès dans ces débuts puis est vite retombée en désuétude, mais est toujours pratiquée par certaines voyantes.
Elle vous permet de lire l'avenir grâce au marc de café. Le voyant ou la voyante observe les formes et les signes ou certains symboles. Grâce à ceux-ci, les présages nous indiquent les événements à venir.
Comment opérer? C’est assez simple : Pour commencer, il faut d'abord récupérer le marc qui a servi à confectionner votre café puis l'égoutter mais pas trop, car le marc doit garder une consistance liquide qui lui permet de couler et ainsi de créer des symboles. Vous verserez le marc de café dans un plat de préférence blanc mais cela n'est pas obligatoire, puis vous ferez tourner doucement celui-ci. Observez les formes ou les symboles qui apparaissent il n'est pas facile au début de vraiment discerner tous ces signes car l'expérience joue un grand rôle dans la cafédomancie. Venez découvrir l'interprétation des symboles les plus courants, apparaissant dans le marc de café. Aidez-vous de cette liste, pour interpréter vous-même les symboles obtenus dans votre marc de café, ce sont les signes les plus répandus dans la cafédomancie.

Abeille = le monde du professionnel
Araignée = création
Arbre = ascension
Balai = changements
Balance = tribunal jugement
Barque = voyage
Bâton = soutien extérieur
Botte = autorité
Bouche = vérité
Bouc = fécondité
Chapeau = pouvoir
Chaîne = Nouvelle relation ou renforcement
Chat = le monde de l'occulte
Chandelier = salut
Château = protection
Chaudron = agissement sur votre personne
Chauve-souris = bonheur
Cheminée = communication spirituelle
Cloche= chance
Cœur = Rencontre amoureuse
Diable = mal
Damier= conflit
Dauphin = régénération
Diamant = pureté dans une relation
Disque = danger
Échelle = ascension
Éclair = sexualité
Enclume = Remariage
Epée = militaire
Équerre = correction
Escalier = progression
Filet = complication
Flamme = purification
Fourche = choix difficile
Fourmi = activité industrieuse
Grenouille = résurrection
Hameçon = escroquerie
Harpe = Message imminent
Hutte = déménagement
Jarre = abondance
Labyrinthe = inconstance
Lanterne = immoralité
Lézard = sagesse
Licorne = pureté
Masque = dissimulation
Massue = pouvoir négatif
Mouche = persécution
Nœud = situation inextricable
Œil = Savoir
Oreille = obéissance
Os = fermeté
Paon = vanité
Papillon = légèreté préjudiciable
Peigne = ordre
Pendu = impuissance
Phallus = puissance génératrice
Pieuvre = mauvais esprits
Poisson = sexualité
Plume = clairvoyance dans la divination
Pyramide = accroissement
Rose = perfection
Scorpion = maléfice
Serpent = peur incontrôlée
Singe = maîtrise des événements
Spirale = érotisme
Taureau = puissance irrésistible
Trapèze = échec, inachèvement
Trèfle = gain rapide
Tresse = problème insurmontable
Trompette = mauvaise nouvelle

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Capnomancie : De kapnos en grec qui signifie fumée et de mancie qui signifie voyance, la capnomancie est la voyance par la fumée. La voyance par la fumée ou capnomancie se pratique très peu aujourd'hui car elle fait partie de ces formes de voyances qui se sont mal transmises dans le temps. Comme bien des formes de divination la capnomancie est une forme de voyance qui est pratiquée par interprétation de signes et non par don de médium. Car comme beaucoup de formes de voyances la capnomancie se pratique en interprétant des signes qui sembleraient inhabituels car c'est bien là tout le nœud de la divination et de cette forme de voyance aujourd'hui presque oubliée. La divination se faisant par interprétation de signes, il faut alors mettre au point une suite de signification des signes le plus complet possible pour être crédible mais aussi pour permettre sa transmission. Pratique de la capnomancie. On comprend que cette pratique soit oubliée par son mode opératoire. Pour être pratiquée la capnomancie devait faire du feu et brûler des plantes. Pas simple aujourd'hui à mettre en œuvre en cabinet et surtout par téléphone ou sur internet. En plus la fumée n'est pas aussi pratique que des cartes de tarot ou des runes. La fumée qui permettrait de lire l'avenir. L'avenir se lisait donc dans la fumée. Comme le décrit très bien Johannes Trismégiste en 1845 dans son livre L'art de connaître l'avenir la fumée pouvait avoir plusieurs formes verticales et horizontales et c'est avant tout ces formes qu'il convenait d'interpréter. Ainsi, par exemple, une fumée droite était de bon augure. Mais sa couleur en fonction des choses brûlées était aussi observée pour savoir si les choses iraient dans le bon sens ou non on observait le plus souvent la combustion des végétaux mais aussi parfois les humains sur les bûchers. Mais on le voit cette forme de voyance n'était pas la plus précise, elle servait plutôt à connaître des présages que des réponses précises à des questions particulières.

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Caromancie : divination encore utilisée aujourd'hui : au cours de cette mancie, le devin entre dans un état de léthargie ou de demi-sommeil (soit de manière naturelle, soit de manière hypnotique). Afin de provoquer la divination, la prédilection, on utilise un miroir afin que le devin puisse utiliser des méthodes d'autohypnose ce qui lui permet de trouver les réponses aux questions qui lui ont été posées. 

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Cartomancie : art de prédire l'avenir par l'interprétation des cartes. Voir '' Demain '' sans pour autant occulter la réalité du présent ou les éléments clés du passé inhérents à chaque situation ou thème abordés. Ses origines remonteraient à la plus haute antiquité. La Lydie, terre des anciens Égyptiens en serait son berceau... C'est en effet sur l'une des rives de la mer Egée que l'on a retrouvé les premières traces d'un jeu divinatoire, un Tarot primitif composé à l'époque de 22 Arcanes symboles des 22 lettres de l'alphabet originel. Le Tarot et ses 78 Arcanes : Il faudra cependant attendre le premier siècle après Jésus Christ et l'émergence de l'empire Sarrasin pour assister à la naissance des 56 cartes suivantes. Les 78 Arcanes du Tarot étaient alors réunis. Aujourd'hui encore, le tarot constitue un des oracles les plus consultés et reste au travers de sa symbolique, de son imagerie, une source inépuisable d'analyses, d'explorations ou de ressentis médiumniques pour ceux qui en maitrisent le langage... NB : Un jeu de Tarot traditionnel se compose de 78 cartes et lames : 22 arcanes majeurs et 56 arcanes mineurs... Divisées en 4 séries (bâtons et épées qui représentent les bruns, coupes et deniers qui représentent les blonds). Le groupe des arcanes majeurs est formé de symboles, celui des arcanes mineurs est formé de 40 hiéroglyphes et 16 personnages (respectivement 10+4 par série). Le jeu de Piquet : Grâce à l'invention de la gravure sur bois qui facilita sa diffusion, le traditionnel jeu de piquet (jeu de 32) a quant à lui écrit ses lettres de noblesse en Italie, en Allemagne et au cœur du royaume de France dès le XVe siècle... Au fil du temps, en devenant accessible à tous, sa lecture allait ainsi continuer de susciter l'intérêt et permettre à certains mages et autres tireuses de cartes d'acquérir une célébrité légitime. On raconte ainsi que Marie Ambruget, célèbre cartomancienne parisienne, prédit à Louis XIV, la victoire des armées françaises lors de la bataille de Denain en 1712. Evénement qui reste sans conteste un épisode décisif dans l'issue de la guerre de succession d'Espagne. Si Marie Ambruget a laissé son nom dans l'histoire de la Cartomancie, que dire deMademoiselle Lenormand dont la plupart des prédictions se sont vérifiées. '' La plus grande sorcière d'Europe ''ne fut-elle pas la première à entrevoir le destin hors du commun de l'un de nos plus célèbres concitoyens, un certain Bonaparte... 

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Castronomancie : Divination qui s'effectue au moyen d'un verre d'eau. On pratiquait jadis cette divination en prononçant certaines paroles entre les dents au-dessus d'un verre plein d'eau, et avec une bougie allumée.

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Catoptromancie : art divinatoire qui se pratique à l’aide d’un miroir et qui permet de lire le passé, le présent et bien sur l’avenir. La base de cette pratique était qu’on pensait que des esprits habitaient les miroirs et qu’ils pouvaient répondre à l’appel d’une sorcière. Dès l’apparition des premiers miroirs dans la haute Egypte, ceux-ci furent assimilés à l’élément eau, et l’utilisation des miroirs en divination est en réalité un dérivé de l’hydromancie. Les traces les plus anciennes de catoptromancie proviennent de Chaldée et de Mésopotamie. Les mages utilisaient des miroirs de cuivre, d’argent ou d’or ou même des surfaces d’eau, d’encre ou les reflets sur les ongles noircis ! D’autres miroirs magiques sont utilisés au Tibet pour purifier les objets fragiles à l’eau. Ils servent aussi dans des rituels mortuaires lamaïstes ou chamanistes liés à l’idée de retrouver l’âme ou l’esprit du défunt dans le miroir. Le miroir, c’est aussi l’autre côté, et tout miroir magique qui se respecte possède son démon familier. Ce dernier prend votre aspect quand vous le regardez, pour vous induire en erreur en vous faisant croire qu’il s’agit de votre reflet. L’Histoire recense des miroirs célèbres, comme le miroir noir de John Dee soigneusement conservé au British Museum ou celui de Catherine de Médicis dans lequel elle espionnait les déplacements de ses ennemis. Pausanias, dans ses Achaïques, dit qu’il y avait à Patras, devant un temple de Cérès, une fontaine séparée du temple par une muraille ; là on consultait un oracle seulement pour les maladies. Le malade descendait dans la fontaine un miroir suspendu à un fil, en sorte qu’il ne touchât la surface de l’eau que par sa base. Après avoir prié la déesse et brûlé des parfums, il se regardait dans ce miroir, et, selon qu’il se trouvait le visage hâve et défiguré ou gras et vermeil, il en concluait que la maladie était mortelle ou qu’il en échapperait.
La pratique : Tout d’abord il faut savoir qu’il est prouvé que la fixation prolongée d’un objet lumineux provoque des manifestations insolites chez n’importe quelle personne. C’est ainsi que peuvent apparaître des images de toutes sortes qui ont plus ou moins des rapports avec des souvenirs imprimés dans notre subconscient. Maintenant si vous souhaitez expérimenter cette méthode divinatoire il y a quelques règles à respecter. Tout d’abord vous devrez vous isoler dans une pièce calme et éclairée uniquement par la lumière d’une bougie. Vous poserez le miroir de manière à ce qu’il reflète la lumière de cette bougie. Enfin vous devrez exprimer mentalement votre question puis ne plus penser à rien et fixer le point lumineux dans le miroir. Au bout de quelques secondes ou minutes, le miroir semble disparaître derrière une sorte de brume, pour laisser place à un « écran » sur lequel apparaîtra une image. La vision ne dure alors qu’une fraction de seconde. Vous devez donc porter la plus grande attention à votre interprétation car l’image peut aussi bien avoir un lien avec le passé qu’avec l’avenir. Quelques conseils concernant la pratique de la catoptromancie : N’oubliez jamais que le pouvoir de votre miroir magique vient avant tout de VOUS. Il est donc inutile de chercher à « améliorer » votre miroir à l’aide de rituels, cela ne servirait à rien. En revanche n’hésitez pas à faire brûler de l’encens (par exemple de la myrrhe qui favorise la concentration mentale) ou des plantes (la salvia divinorum mais avec prudence !) au cours de vos séances ce qui aura pour effet d’améliorer vos capacités et vos perceptions. Lorsque vous débutez votre séance, ne chercher pas votre reflet dans le miroir. Essayez d’aller plus loin, de poser votre regard au fond du miroir comme vous le feriez ave un bol rempli d’eau. Avec de la pratique, les images se transformeront en flash de plus en plus puissants. Au point que vous finirez par ne plus seulement les voir dans le miroir mais tout autour de vous, comme si vous y étiez. Votre miroir est un outil magique. Protégez-le du regard des autres.
 

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Causinomancie : Divination par la combustion d'objets. L'observation des objets qui brûlent dans le feu inspirait aux anciens des présages. Ainsi, dans l’Antiquité, l'on considérait que les objets qui ne s’enflammaient pas au contact du feu dans lequel on les jetait, étaient de bon augure. Toutefois, les flammes étaient de mauvais présages. Mancie quasi-synonyme de pyromancie. 

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Chasmimancie : divination par les bâillements. En effet, ce geste bénin et coutumier est pourtant très révélateur. A la fois simple, cette étude des bâillements permet aussi d’avoir une connaissance approfondie de la personnalité de la personne et de son caractère. La façon dont la personne ouvre la bouche, le nombre de bâillements et la posture sont des éléments étudiés dans cet art. Ainsi le fait par exemple que la personne entrouvre à peine la bouche peut révéler une timidité extrême et une volonté de passer inaperçu. Cette technique de divination a pour caractéristique d’être principalement fondée sur une étude de la personne et sur une relation visuelle entre le spécialiste et le consultant. En effet, elle n’est pas praticable par téléphone ou par sms, de nouveaux modes de voyances modernes qui ont été développés au XXe siècle. 

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Chéloniomancie / Plastromancie : Méthode de divination qui utilise une carapace de tortue. Ce support pour la voyance vient de la culture chinoise où la tortue est considérée comme une image de l'univers du fait de sa longue durée de vie et de sa carapace plate à la base, symbolisant la terre, et ronde au-dessus, symbolisant le ciel. Cette technique a plus de quatre mille ans et était initialement pratiquée par les Yin pour répondre aux questions de l'empereur. Les devins chinois passaient au feu une carapace de tortue afin de faire apparaître des fissures et des craquelures dans les écailles. Trois cent soixante types de fissures ont été répertoriés et définissaient les paramètres de temps et de lieu à partir desquels les divinations étaient établies. La carapace est divisée en deux par ce qu'on appelle « la route de mille Li » avec le yang à droite et le yin à gauche. La question était inscrite des deux côtés et la même réponse devait apparaître des deux côtés afin d'être certain de la prédiction. Ensuite, selon le côté où apparaissaient les fissures et leur type, la divination était effectuée, en suivant le code établi. La chéloniomancie peut être également appelée plastromancie, les deux termes font référence à la même pratique.

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Chiromancie : Cet art divinatoire s’est beaucoup développé au fil des siècles, de par son aspect gratuit et personnalisé, jusqu’à devenir une pseudoscience très codifiée. Cependant la chiromancie reste accessible à toute personne attentive à l’ésotérisme, gardant un esprit ouvert et curieuse à propos des grandes questions existentielles de la Vie. Certains vont chercher la vérité de leur existence dans de lointains voyages ou de périlleuse expéditions, alors qu’elle se trouve peut-être au creux de notre main, il suffirait de savoir lire (entre) les lignes. En effet, la Chiromancie n’étudie pas seulement les lignes de la main, mais tous les autres signes distinctifs visibles sur notre paume. Nos mains s’organisent autour de trois principales lignes : celle de la vie, du cœur et de la tête ; à celles-ci viennent se mêler des lignes secondaires (celle du destin, de la chance, de la santé, de la sexualité...), que vous allez pouvoir déchiffrer grâce à notre dossier, afin d’interpréter vous-même votre avenir et de façon gratuite !    

Chitonomancie : Divination par la façon de s'habiller ou par l'habillement d'une personne; et particulièrement, la manière dont elle porte sa chemise. Ainsi chez les Grecs, dans l'Antiquité, le chiton était un vêtement qui se portait en dessous, tant pour les hommes que pour les femmes. Et plus tard, le chiton fut le terme adopté pour désigner une chemise de laine, ordinairement sans manches, avec des boucles pour la fixer aux épaules.

Ciromancie / Kéromancie : divination par les gouttes de bougie tombant dans l'eau. La cire chaude d’abord versée dans un récipient de cuivre plus lentement dans un autre rempli d’eau ou il suffit de tenir le cierge au-dessus de l’eau quelques gouttes y tombent, se solidifiant au contact de l’eau, sont ainsi lues par les devins selon les formes et figures qui apparaissent. Toutes formes faites étaient signes de bon ou mauvais présage. A l’ origine, la ciromancie est une forme de voyance qui était très répandu chez les grecs, cet art divinatoire qu’est la Ciromancie existe encore dans plusieurs civilisations. Chez les turcs cette divination était utilisée pour découvrir, selon eux, les auteurs de crime. Ils faisaient fondre la cire, en disant une phrase à voix basse, ils pouvaient déceler les figures, maison et raison des auteurs des faits. Plus près de chez nous en Alsace, au 16eme siècle, cette voyance était exercée par les femmes voulant savoir qui était responsable d’avoir envoyé la maladie sur quelqu’un, elles prenaient autant de bougies que de suspects en donnant une à chacun, la première bougie consumée désignait la personne comme coupable

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Claviculomancie : divination un peu particulière car elle consiste à prédire l'avenir à l'aide de l'os du bréchet, ou plus précisément l'os dans le poulet en forme de Y. Le principe consiste à poser une question, puis le devin et le consultant tiennent une partie de cet os, au moment voulu, les deux parties tirent dessus afin de le briser.
La réponse sera positive pour la personne qui aura le plus gros morceau du bréchet dans sa main lorsqu'il sera brisé ! Ce n'est pas réellement une méthode de divination, toutefois vous pouvez la pratiquer vous-même au moment voulu pour trancher une question !
 

Clédonismancie : art divinatoire basé sur les paroles provenant de lieux publics. Dans cette pratique, la prédiction est faite avec les premières paroles prononcées par des personnes que l'on rencontre, déduction faite des "salutations". Dans cette pratique, les bonnes ou mauvaises prédictions sont tirées des premiers mots prononcés sans préméditation peu importe leur origine : une rencontre, une assemblée, une réunion, ... Cette pratique trouve ses sources dans la Grèce antique avec Cicéron et Pausanias puis s'est ensuite rependue en Orient sous une petite variante.
Clédonomancie : divination se basant sur les mots happés par les personnes. Cette pratique consiste à deviner la prédiction par des remarques prises au hasard au vol dans une conversation, i, mot, un son, une chose observée, un évènement et tout autre chose qui peuvent survenir. L'idée derrière cette mancie est que des personnes sont parfois utilisées par les Dieux pour transmettre une information sans qu'il le sache, il faut donc être à l'écoute pour capter ce message envoyé. Cette mancie trouve son origine encore une fois dans la Grèce antique mais est encore très utilisée de nos jours : comme la personne émettant la parole ou le son n'est pas au courant du questionnement, on voit en sa parole une voix divine sorti de manière innocente de la bouche de l'individu.

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Cleidomancie : divination par une clef suspendue, qui vient du grec « kleidos » clef, clavicule ; et de « manteia », divination Au Moyen-Age, on employait cette divination pour découvrir l’auteur d’un vol ou d’un meurtre. On tortillait autour d’une clef un billet contenant le nom de celui que l’on soupçonnait ; puis on attachait cette clef à une Bible, qu’une fille vierge tenait dans ses mains.  Le devin marmonnait ensuite tout bas le nom des personnes soupçonnées. Dès la prononciation du nom du coupable, le papier se mettait à tourner et à se mouvoir sensiblement. Il existe une autre façon pour pratiquer la cléidomancie. On attache étroitement une clef sur la première page d’un livre ; on ferme le livre avec une corde, de façon que l’anneau de la clef soit dehors ; la personne qui a quelque secret à découvrir par ce moyen, pose le doigt dans l’anneau de la clef, en prononçant tout bas le nom qu’elle soupçonne. S’il est innocent, la clef reste immobile ; s’il est coupable, elle tourne avec une telle violence qu’elle rompt la corde qui attache le livre. Les Cosaques et les Russes emploient souvent cette divination. Mais ils mettent la clef en travers et non à plat, de manière que la compression lui fait faire un quart de tour. Ils croient savoir par là si la maison où ils sont est riche, si leur famille se porte bien en leur absence, si leur père vit encore, etc. Ils font surtout usage de cette divination pour découvrir les trésors.

Cleptomancie : Divination permettant de démasquer ou de retrouver des voleurs. Aucunes indications sur le comment faire... un secret bien gardé. :0) — Néanmoins, quelques mancies s'attardent à cette problématique. Voir alectryomancie, axinomancie, cléidomancie, coscinomancie, daphnomancie, képhalonomancie, rhabdomancie.

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Cléromancie : divination par tirage au sort. Elle est plus simple que la divination par les objets inanimés, car elle n'attache nulle vertu spéciale, nulle propriété magique aux instruments qu'elle emploie; ceux-ci correspondent simplement à une convention que le consultant a faite d'avance avec la divinité.
Cette méthode de tirage au sort, de loterie, est très commode et excellente en principe, puisqu'elle laisse au dieu une entière liberté dans son choix entre les signes convenus. La cléromancie est donc très ancienne. La divination par les dés nécessite trois dés. Cette pratique est quelque peu limitée, étant donné que c'est l'oracle lui-même qui détermine le message (c'est-à-dire que l'oracle ne répondra pas à une question spécifique). Utilisez votre intuition pour élargir les pronostics du dé. Pour procéder, déposez trois dés de la même taille soit dans une tasse ou entre vos mains. Brassez-les vigoureusement et permettez-leur de tomber sur un morceau de velours. Additionnez les chiffres qui apparaissent sur les faces supérieures des dés, puis déterminez votre sort d'après la liste qui suit :

3 : le plus petit nombre qui puisse apparaître. D'agréables surprises dans un avenir très proche.
4 : des situations désagréables quelconques peuvent se présenter.
5 : des plans porteront leurs fruits. Un vœu sera exaucé.
6 : une perte quelconque est prédite.
7 : des difficultés possibles en affaires, des problèmes d'argent, des commérages et ainsi de suite.
8 : attendez-vous à des critiques.
9 : mariage, unions.
10 : naissance, soit d'un enfant, soit d'un nouveau projet.
11 : une séparation, qui pourrait être temporaire.
12 : un message arrivera bientôt.
13 : chagrin.
14 : amitié, aide d'un nouvel ami.
15 : ne commencez pas de nouveaux projets pendant quelques jours.
16 : un voyage agréable.
17 : un changement dans les plans peut être bientôt nécessaire.
18 : succès, un vœu sera réalisé, c'est le meilleur nombre qui puisse apparaître. 

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Codonomancie : divination par les cloches. Les cloches sont connues depuis l'antiquité comme des moyens de communication pour transmettre différentes fonctions : alerter, informer, convoquer, marquer, localiser et autre autant dans le domaine civil et religieux. Un véritable langage a été mis sur pied : sonorité, combinaisons de sons, ... Dans cette mancie, le demandeur posait sa question à haute voix au cœur même de la cloche pour interpréter les frémissements métalliques qui suivent la voix. La cloche était dans ce cas transformée en oracle. Une variante de cette mancie étudiait elle les mouvements en balancier de la batail (battant de la cloche) : premier et dernier contact, grincements étaient alors étudiés afin d'établir le présage.

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Cokkygomancie : divination par le coucou. Un exemple de cette mancie est une vieille superstition : cette superstition nous dit qu’une personne ayant de l'argent dans ses proches la première fois au printemps et qu'elle entend chanter le coucou, que cette personne ne manquera pas d'argent toute l'année. Par contre, si une personne entend le coucou début avril, c'est le présage que l'année suivante, cette personne sera dans la misère. Une autre supposition veut qu'entendre un coucou chanter à droite est un signe de chance tandis qu'entendre un coucou chanter à gauche est signe de malchance. Et de nombreux autres présages de ce type existent :)  

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Coracomancie : divination par le corbeau. Une façon de faire consiste à ce qu'un corbeau, qu'on a dressé, prenne une carte au hasard et vous la donne.

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Coronomancie : divination par la corneille. Une façon de faire consiste à ce qu'un corbeau, qu'on a dressé, prenne une carte au hasard et vous la donne. 

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Cosquinomancie : art divinatoire qui se pratique à l’aide d’un tamis ou crible que l’on suspend au moyen de tenailles ou pincettes, étaient tenues par deux doigts de deux assistants et que l’on faisait tourner. On utilise cette voyance pour découvrir les personnes qui auraient commis un crime, un vol. En On appelait toutes les personnes soupçonnées de petits délit ou crimes cachés, tous étaient ainsi nommés et l’on jugeait coupable celle dont le nom de qui la crible tournait ou tremblait comme si les personnes qui tenaient les tenailles ne pouvaient pas remuer à leur guise! A la place du crible, ou mettait aussi un tamis sur un pivot, toujours pour savoir l’auteur d’un vol et toujours en nommant les personnes soupçonnées et le tamis tournant au nom du voleur, Cette divination se pratiquait dans le Finistère au XIX ème siècle. Une autre manière de faire cet art divinatoire qu’est la Cosquinomancie, était de faire la divination par le crible, celui-ci attaché, afin de découvrir les voleurs en invoquant les dieux en prononçant les noms des soupçonnés, si le crible s’agitait il était coupable. 

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Craninomancie : divination par l'étude d'un crâne, obtenue en observant le crâne ou la tête d'un homme, d'un âne ou d'une chèvre. Pour ce faire, une tête d'animal était bouillie, puis ensuite on examinait le crâne pour prédire l'avenir.  

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Cristallomancie : divination à l'aide de cristal. En terme « cristallomancie » provient du grec crystallyus qui signifie glace, et de manteia qui signifie divination. C’est une discipline que l’on pratique à l’aide d’une boule de cristal.
Le principe est que la boule de cristal, de par sa pureté, absorbe les différentes sortes de lumières, ainsi que les formes, les couleurs et les mouvements à l’intérieur de celle-ci permettent de lire l’avenir.  Son éclat « envoûte » ainsi la personne qui la contemple. Si celle-ci est assez sensible, elle sera très vite transportée dans un état propice à la voyance. Cependant, la cristallomancie n’est pas un art divinatoire facile, il faut un certain degré de concentration et une sensibilité accrue pour pouvoir la maîtriser correctement. La première civilisation à avoir utiliser les boules de cristal est la civilisation Gitane. La sorcière gitane, y lisait l’avenir le plus proche comme le plus lointain.
Mais en réalité la cristallomancie est l’art de lire dans les surfaces lisses et réfléchissantes, dont l’une des variantes est la catoptromancie, la divination par les miroirs, qui était déjà pratiquée par les magiciens perses de l’antiquité.
A l’origine, on utilisait l’eau : un étang ou une flaque. Il semble que les Perses de l’Antiquité furent les premiers à se servir d’un speculum, un objet réfléchissant pour prédire l’avenir. D’autres sources attribuent aux Druides Celtes cette pratique divinatoire, fréquemment utilisée en Bretagne il y a près de 2000 ans avant notre ère. Cet art de lire l’avenir dans une boule de cristal est devenu, au fil des siècles, le symbole par excellence du voyant, de la « Madame Irma » de toutes les légendes. Il faut tout d’abord savoir que la boule de cristal ne doit jamais entrer en contact avec la lumière du soleil. Il est donc préférable de la lui dérober en la dissimulant sous une draperie bleu nuit ou mauve violet. De même, il faut éviter que d’autres personnes que vous ne touche la boule. Dernier conseil : le mieux est de travailler avec la boule de cristal un vendredi aux alentours de minuit.

Rituel : Déposez votre boule de cristal sur une table de bois. Regardez-la attentivement, recherchez son éclat, ne faites plus qu’un avec elle. Une fois cette observation faite, posez calmement et de façon intelligible votre question.
Par la suite, bougez vos mains aux alentours de la boule de cristal, observez les formes et les couleurs, il ne vous reste « plus qu’à » traduire. Dès que la vision sera terminée, n’oubliez pas de remercier votre boule de cristal.
Interprétations des Couleurs :
Le bleu : est un symbole de maturité et d’intelligence, il signifie également, une remise en cause spirituelle, ou une prise de conscience, la compréhension de quelque chose.
Le blanc : la réponse à votre question est positive, c’est donc un excellent présage.
Le vert : est le symbole de l’espoir, votre situation aura une conclusion avantageuse.
Le noir : est le symbole du chaos, la réponse à votre question est négative.
Interprétations des Animaux : 
L’aigle : Il symbolise, le courage, la volonté, et le besoin de liberté.
L’araignée : Elle représente la déception amoureuse.
Le bœuf : La résistance à la dépression et à la douleur physique ou  psychique.
Le chat : Il représente la sournoiserie et la trahison.
Le cheval : La fierté et l’égocentrisme.
Le serpent : Le danger mortel, et le désir de la chair.
Interprétations des Plantes : 
L’arbre : Le soutien de la famille et la réussite dans le domaine professionnel.
Le bouquet de fleurs : Le plaisir à court terme.
Les fleurs : Le plaisir et le bonheur à long terme.
Le trèfle : Le gain aux jeux, et la réussite pécuniaire.
Interprétations des Objets : 
L’assiette : Les gains aux jeux.
Le cercle : La naissance d’un enfant et l’union d’un couple.
Les chandeliers : Le soutien d’un ami, et les conseils avisés des parents.
Les croix : Douleurs physique et maladie grave.
La hache : L’accident et la chute.
Interprétations Le corps : 
La bouche : Les ragots et les mauvaises rumeurs.
La jambe : Passion et amour sensuel.
La main : Passage à l’action et force de caractère.
Les yeux : Le dénouement d’un problème, la justice.
Alors, apprentis cristallomanciens, testez et livrez-nous vos premières impressions !!!!! 

Crithomancie / Critomancie : La Crithomancie ou Critomancie est un art divinatoire par le grain ou farine d’orge. Du grec  » Kritho ou Krithe  »  » grain d’orge ». Voyance issue des Romains et Grecs. Cette divination se pratiquait à l’antiquité par les propriétés et qualités de la farine et de la pâte à gâteaux destinées aux offrandes dans les sacrifices antiques. De nos jours, c’est aussi la voyance pratiquée en examinant les marques présentes dans le pain fraichement cuit. C’est aussi l’art divinatoire, par la divination des gâteaux et fortune cookies (gâteaux chinois). Autrefois on jetait sur les carcasses d’animaux sacrifiés la farine d’orge on faisait la voyance selon la façon dont le grain tombait. La Crithomancie est aussi utilisée par la divination par les grains de céréales. Un autre exemple d’utilisation de cette voyance est pour cela de rassembler douze grains de céréales différentes (représentant les douze mois de l’année), les faire brulés en commençant par janvier , les grains brulés en premier étant les mois défavorables .Certains voyants pratiquent encore la Crithomancie.

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Crommyomancie : divination par les oignons. Cette forme de voyance ou de divination, nous vient des pays germaniques. Elle est assez ancienne et était très populaire dans les campagnes, à juste titre d'ailleurs.
L'inconvénient de la crommyomancie est qu'il ne faut pas être pressé pour obtenir une réponse! On la réservera pour les questions divinatoires à long terme, car, les réponses peuvent prendre des semaines ou même des mois!
Voyons voir comment procéder, pour une question simple (oui ou non): se munir de deux oignons, puis inscrire à l'aide d'encre ces deux alternatives, ensuite les ranger dans un endroit sec, à partir de ce moment, armez-vous de patience. Car le premier à germer vous donnera la réponse. Pour d'autres questions, si les alternatives sont plus nombreuses, alors munissez-vous d'autant d'oignons que nécessaire.

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Cynomancie : divination par l’étude du comportement du chien. Selon son attitude, on pouvait déterminer de bons ou mauvais présages. Cette voyance vient du  fait que beaucoup de personnes pensent que les chiens sont dotés d'un sixième sens même s'ils n'en ont pas conscience. On peut toujours se demander donc, si nos animaux peuvent êtres possédés par des forces de l'au-delà ou des esprits. La difficulté dans cet art divinatoire réside dans l’interprétation des signes et des postures du chien. C’est une très ancienne discipline qui était pratiqué à Babylone. Voici quelques exemples des prédictions que l’on pouvait tirer :

  • Un chien qui se couchait dans votre lit attirait sur vous la colère des dieux.
  • Un chien qui se couchait sur une chaise était un signe de malheur.
  • Des chiens qui aboyaient devant les portes étaient le présage de peste.
  • Des chiens qui hurlaient dans les rues annonçaient l’arrivée de la famine.
  • Un chien qui s’arrêtait devant vous annonçait un problème que vous alliez rencontrer dans vos projets.
  • Un chien qui s’arrêtait à côté de vous vous conférait une protection divine.
  • Un chien qui aboyait à un carrefour était le signe de l’arrivée d’ennemis.

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Dactylomancie : technique divinatoire qui permet d'obtenir des messages par la mantique de l'anneau. Une grande similitude apparaît dans la voyance, entre l'anneau (dactylomancie) et le pendule en radiesthésie. Le magnétiseur utilise le pendule en prolongement de son fluide afin de détecter les sources et les minerais souterrains; le dactylomancien utilise l'anneau pour composer des mots à des fins divinatoires grâce aux mouvements de ce dernier. On peut se poser la question de savoir si l'anneau est le précurseur du pendule. Pour ma part je le crois. La technique de divination par l'anneau est pratiquement identique au pendule, cela ne lui enlève en rien son efficacité. Pour la mettre en œuvre il suffit de prendre un carton fort et d'y inscrire toutes les lettres de l'alphabet en cercle. Une fois ceci fait, faites osciller l'anneau et "sentez" les lettres désignées puis assemblez ces lettres pour en faire un mot ce qui donne la réponse à la question posée. Ne vous occupez pas de l'orthographe qui est approximative. 

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Daphnomancie : divination par le laurier. On jette une branche, ou quelques feuilles, de lauriers dans le feu. Si elles pétillent en brûlant, c’est un bon présage. Si elles se consument sans bruit, le présage est mauvais.
Dans l’Antiquité, il existait une catégorie de devins, appelés les daphnéphages, qui avaient le front ceint d’une couronne de laurier, et qui mangeaient des feuilles avant de rendre leurs prédictions. Le fait de mâcher des feuilles inspirait, disait-on, le don de prophétie. C’était une méthode employée par les Pythies, les Sibylles et les prêtres d’Apollon. Le laurier, ainsi présent dans toutes les cérémonies, apparaissait comme le symbole de la divination.
 

Dendromancie : divination par les arbres. La Dendromancie, de l’ancien Grec ‘’dendron’’ ‘’arbres ‘’.Voyance par les branches et feuilles des arbres, surtout par le gui et le chêne .Cet art divinatoire se fait par la lecture de l’interprétation du bruit des feuilles d’arbres. Cette divination est particulièrement pratiquée au sanctuaire de Zeus en Dodone. Aussi, les druides des anciennes populations celtiques, Gaulle, Allemagne et Angleterre faisait de la dendromancie un art divinatoire sacré, avec le gui et le chêne. On dit que des prêtres druides vêtus tout de blanc coupaient, à la sixième nuit de la lune avec une faucille en or, le gui et le chêne, on sacrifiait des taureaux  blancs tout en récitant des prières. Pour ceux qui recevaient le gui de chêne était signe de prospérité. Pourtant cette divination par la dendromancie la plus habituelle était simplement de bruler et d’observer l’élévation de la fumée afin de l’interpréter. On sait aussi qu’embrasser quelqu’ un sous une branche de gui à noël est signe de bonheur. D’autres arbres peuvent nous donner aussi des signes de voyance comme : ‘’le palmier triste est signe que le cœur des gens ne sera pas bon’’ tout aussi que ‘’ un arbre épineux triste signe que la santé des gens ne sera pas bonne’’.

Empyromancie : Cette pratique qui est celle de la divination, voyance, par la combustion d'entrailles d'animaux après leur sacrifice est un dérivé de l'haruspicine des étrusques. A ne pas confonde avec la pyromancie qui fut créée par les grecs, à priori par Pythagore, à partir de l'empyromancie... Dans le cadre de l'empyromancie, la prédiction était effectuée en fonction de comment brulaient les viscères. On remarquait la hauteur des flammes, leur couleur, le crépitement du feu ainsi que l'apparition de fumées. On étudiait et décryptait toutes ces informations puis on procédait à l'établissement de la prédiction. Des flammes claires, transparentes, sans fumée ni crépitement constituaient d'heureux présages. En revanche, si les flammes étaient rouges ou noires, que le feu crépitait et que la fumée dessinait des volutes, alors il s'agissait d'un mauvais présage.

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Encromancie : divination par les taches d'encre. Cette mancie est comparable en plusieurs points au test de la personnalité de Rorschach (neuropsychiatre suisse). Ce test de la personnalité prend en considération la perception d'un patient lorsqu'il observe diverses tâches d’encre. Les réponses du patient déterminent son équilibre mental. L' encromancie quant à elle, consiste à interpréter la forme de taches créées par un consultant et à en deviner la signification. Comme tous les arts divinatoires, l' encromancie débute par un rituel de préparation.
La méthode de préparation : Initiée dans les années 1900 par la voyante Luce Vidi, l’encromancie exige que l’individu jette de l’encre sur une feuille de papier jusqu'à l’obtention d'une figure imaginaire. La tache résultant de cette action est représentative de l’avenir immédiat (à court terme) de l’individu.
Le rituel : Inscrire le prénom de l’individu sur une feuille de papier blanc. Inscrire une question sur la feuille. Projeter une goutte d'une encre violette sur la feuille et répéter ce geste 3, 7 ou 13 fois. Plier la feuille en 4 en pressant le papier, attendre quelques minutes puis ouvrir la feuille. Le dessin formé répond à la question posée par l’individu
L’interprétation de l’encromancie : Le haut de la feuille représente l’avenir de l’individu, le milieu de la feuille représente le présent et le bas de la feuille représente le passé. Il est entendu que les points positifs sont situés en haut de page tandis que les points négatifs sont observables en bas de page.
Les figures formées par les taches : 

Ancre : En encromancie une tache d’encre en forme d’ancre est signe d’évasion, d’espoir ou de départ.
Anneaux : En encromancie une tache formant plusieurs anneaux distincts est signe d’union ou de rapprochement.
Arbre : En encromancie une tache d’encre en forme d’arbre est signe de force, il représente une personne solide.
Balance : En encromancie une tache en forme de balance est signe de retour à l’équilibre.
Chapeau : En encromancie une tache d’encre en forme de couvre-chef est signe de protection extérieure.
Dent : En encromancie une tache en forme de pointe (dent) indique l’abus.
Étoile : En encromancie une tache d’encre en forme d’étoile est un signe de protection et de réussite.
Flammes : En encromancie une tache en forme de flammes indique la passion parfois destructrice.
Lèvres : En encromancie une tache d’encre en forme de lèvres fait appel à une rencontre ou à l’amour.
Papillon : En encromancie une tache en forme de papillon indique l’instabilité et la liberté.
Parapluie : En encromancie une tache d’encre en forme de parapluie fait appel à la prudence.
Roue : En encromancie une tache en forme de roue indique la chance.
Triangle : En encromancie une tache d’encre en forme de triangle est signe de protection.

Fulguration /Science fulgurale : méthode de divination que les Étrusques et les Romains pratiquaient par l'observation de la foudre.   
Gastromancie : divination par les reflets de bougies traversant un ballon d'eau. En fait, on interprète les images qui se forment par la réfraction de lumière qui émane de plusieurs chandelles placées derrière un vase de forme ronde et empli d'eau. Note: A ne pas confondre avec l'engastrimancie. L'une des façons de procéder consistait à placer 3 verres bombés (en forme de ventre) et remplis d'eau, entre 5 bougies allumées. Après quelques invocations aux démons on faisait regarder fixement un point quelconque des vases par une femme grosse (enceinte) pour la première fois — ou parfois par un jeune garçon ou par une jeune femme —; puis on lisait la réponse dans des images tracées par la réfraction de la lumière dans les verres et des oracles étaient alors rendus. Une autre façon de pratiquer cette mancie consiste à ce qu'on pose à voix basse la question qui nous préoccupe, près du ventre de l'inspiré; qui répond non pas par la voix du ventre, mais par signes. Une autre espèce de gastromancie se pratiquait par le devin qui répondait sans remuer les lèvres, de sorte qu'on croyait entendre une voix aérienne. Le nom de cette mancie signifie “divination par le ventre”; et aussi, pour l'exercer, il faut être soit ventriloque, soit possédé, soit sorcier. Dans le dernier cas, on allume des flambeaux autour de quelques verres d'eau limpide, puis on agite l'eau en invoquant un esprit qui dit-on, ne tarde pas à répondre d'une voix grêle dans le ventre du sorcier en fonction.

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Gemmomancie : divination par les pierres précieuses et les minéraux : plusieurs pierres étaient placées dans une bourse afin que l'on en tire une au sort et en fonction de la pierre, la prédiction se faisait. Quelques exemples : le topaze signifiait qu'il fallait être prudent, la turquoise disait qu'un voyage était imminent, l'opale signifiait une mort u-ou une fin de quelque chose ... et comme ça, chaque minéraux avait sa signification. 

Génomancie : divination pour connaître le sexe d'un enfant à naitre. La Génomancie remonte aux temps les plus anciens et bien avant les échographies et selon différents critères, le sexe du bébé à naître était connu : si le ventre pèse du côté droit et que la mère est gaie durant sa grossesse, ça devait être un garçon tandis que si elle se sentait plus lourde du côté gauche et se sentait mélancolique ... c'est que ce sera une petite fille !

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Géomancie : Géomancie est certainement la science divinatoire, la plus ancienne du monde, au point que sa source exacte est complexe à déterminer. On pense communément que la géomancie fut ramenée par les armées carthaginoises en Europe, ( Une légende veut que Hannibal Barca, général des troupes de carthage pendant la deuxième guerre punique, utilisait la géomancie pour connaitre les issues des batailles), les soldats romains friands de divination l'adoptèrent rapidement et la diffusèrent dans le reste du monde romain, suivant sa voie de passage du Maroc vers l'Occident, on retrouve sa trace en Perse où elle était très pratiquée au temps où Babylone irradiait sur le monde civilisé. Mais sa naissance est, sans nul doute, plus ancienne encore, et peut-être a-t-elle éclos dans les confins mystérieux de l'Asie où prirent naissance, les grandes civilisations, et qui sont les terres des djennoun et autres divinités. La géomancie se pratiquait et se pratique toujours en Orient, en heurtant le sol avec une baguette, ou en dessinant avec les doigts des points sur la terre ou le sable. Aujourd'hui, en Occident, on utilise des stylos et du papier, pour dessiner les points. La méthode est donc très simple, et est à la portée de tous, elle donne un avantage considérable sur d'autres arts divinatoires qui exigent, soit un matériel compliqué, soit des documents nombreux ou couteux, et qui nécessitent des calculs plus ou moins ennuyeux. Si la nature un peu obscure des symboles qu'elle utilise a défavorisé sa propagation dans le monde d'aujourd'hui, elle lui doit par contre, un caractère d'universel qui lui permet de répondre à toutes les questions, des plus simples aux plus complexes, avec d'autant plus de détails et de précision que le  géomancien est chevronné. La géomancie répondra au débutant comme au voyant ou voyante éclairé, dans la mesure ou la géomancie est simplissime. La géomancie répondra, vous pouvez en être sûr, aussi bien aux questions simples qui sont posées à chaque instant la vie quotidienne, qu'aux questions beaucoup plus complexes et importantes et plus générales de la vie. La géomancie informera sur les faits futurs, comme sur les choses cachées ou sur le passé perdu, renseignera sur les pensées et les sentiments véritables des personnes qui vous entourent et qu'on veut connaître, elle indiquera aussi la décision à prendre dans un avenir incertain. 

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Grammatomancie : divination par le tirage au sort de lettres de l'alphabet. Dès le commencement de l’écriture, les devins et les personnes érudites se servaient des lettres pour prédire l’avenir. Depuis l’antiquité, la grammatomancie a traversé le temps, les lettres étaient écrites sur le sol et formaient un cercle, un animal ou une personne était mis en son milieu et selon la direction prise par celui ou celle-ci constituait un mot qui, interprété par le voyant grammatomancien, fournissait des indications sur l’avenir. Vous pouvez, si vous le désirez, expérimenter la grammatomancie, en découpant les lettres de l’alphabet et en les mettant dans un récipient opaque. Concentrez-vous bien sur une question précise et simple, fermez les yeux et tirez les lettres une par une, il ne vous reste plus qu’à reconstituer un ou plusieurs mots qui formeront la réponse de l’oracle. La grammatomancie est une  voyance ancienne, pratiquée de nos jours, pour une divination rapide, un peu comme la planche Oui-ja.
Pratique : L’un des procédés de la grammatomancie employés dans l’Antiquité (chez les Grecs) était le suivant : les diverses lettres de l’alphabet étaient dessinées sur le sol, en cercle, chacune derrière une poignée de grains. Un coq était lâché au milieu du cercle. Entamant tel ou tel tas de grains, l’animal « sacré » désignait la lettre qui devait être retenue par le grammatomancien pour constituer un mot apte à formuler la réponse à la question posée. Mais il arrivait aussi qu’un homme ou une femme vienne tournoyer dans le « cercle magique », jusqu’à la perte totale d’équilibre. La direction de la chute indiquait la lettre de l’alphabet à retenir. De nos jours, nul besoin de se mettre dans un état qui peut être assimilé à celui de la transe. Plutôt que de jouer aux derviches tourneurs, vous pouvez, tout simplement, faire comme les indications suivantes :

1. Découpez une ou plusieurs séries de lettres de l’alphabet et placez-les dans un chapeau.
2. En pensant fortement à la question posée, secouez le chapeau, puis retirez un minimum de 7 lettres, au hasard, les yeux fermés.
3. Alignez les lettres dans l’ordre du tirage et interprétez- les.
Plusieurs possibilités peuvent se présenter:
a. Les 7 lettres ne constituent pas un mot (par ex : TYBZPMR), ce qui vous oblige à recommencer autant de fois que nécessaire.
b. Les 7 lettres forment un ensemble qui, phonétiquement du moins, évoque une notion quelconque (par ex : SAWINRE = CHAVIRE).
c. 2 lettres ou plus parmi celles tirées constituent un mot (exemples : WRANONT ; PZORTIS).
d. Les 7 lettres proposent un mot tronqué (ex : PIYCOMBattre).
e. On peut lire une réponse clair (ex : VIENDRA).
Cette dernière éventualité se présente, malheureusement, très rarement.
Interprétation :
Exercice : Supposons que la question posée soit : « Vais-je me marier avant la fin de l’année? » Pour ne pas compliquer les choses, restons-en aux exemples que nous venons de citer. Si vous avez tiré les lettres T, Y, B, Z, P, M, R, remettez-les dans le chapeau et recommencer l’opération. Si vous lisez SAWINRE, vous pouvez déduire que votre projet de mariage va « chavirer ».  Si s’alignent devant vos yeux les lettres W, R, A, N, O, N, T (ce cas peut se présenter si vous avez au moins 2 séries de lettres), vous pouvez voir dans les lettres N, O, N, une réponse négative. Si vous avez à interpréter les lettres P, I, Y, C, O, M, B, il vous est licite de compléter les 4 dernières (comb… attre) et de conclure que votre mariage pourra avoir lieu uniquement au prix d’un « combat acharné ». Si vous avez de la chance d’avoir réussi à tirer. V, I, E, N, D, R, A, tout devient plus simple, vous pouvez espérer que vos vœux seront exaucés.   

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Graphomancie : divination par l'écriture automatique. Le voyant (graphomancien) utilisant cette méthode, a toujours un grand pouvoir de concentration, il sait faire le vide en lui, car, la graphomancie demande une maîtrise totale de son esprit, pendant cette voyance. Il doit faire abstraction de tout ce qui l'entoure. En général, le graphomancien se retire seul dans une pièce silencieuse, devant lui une grande feuille de papier éclairée d'une bougie, un crayon à la main. Une fois le vide fait en lui, son esprit part à la recherche d'une personne de l'au-delà, de l'autre monde. Il a, les yeux fermés le lien s'effectue avec l'esprit, à ce moment le crayon, dans la main du voyant, se met à bouger d'une façon indépendante de la volonté du devin. Il ne sait pas ce que fait sa main, mais elle écrit. Quand un terme est mis à cet exercice de voyance par le crayon, alors le voyant reprend ses esprits et il découvre enfin les signes, les mots ou les graffitis qui recouvrent la page de papier qui était vierge au début de la séance de divination. Il ne reste plus qu'à décrypter les messages venus du monde paranormal. Certains médiums se retrouvent face à des messages déconcertants et inexplicables, écrits dans une langue inconnue ou bien révélant des formules chiffrées incompréhensibles.  

Gyromancie : art divinatoire qui s’exerce en tournant sur soi-même rapidement au centre d’un rond avec des lettres inscrites au hasard sur sa circonférence. La voyance se fait par des mots formes avec des lettres sur lesquelles le consultant tombait dessus étourdi. Le mot gyromancie vient du latin médiéval ’’gyromantia ‘’ provenant lui-même des mots grec (gyros) cercle, anneau ou spirale et manteia ‘’divination’’. Il s’agit d’un art divinatoire qui se pratiquait en marchant en rond, en tournant autour d’un cercle, sur la circonférence étaient tracées des lettres, à l’endroit où l’on tombait à l’assemblage des lettres qui se rencontrait aux divers endroits où l’on chutait on faisait la voyance. Une des méthodes consistait à ce que le divin marchait toujours suivant un trace de cercle jusqu’à rentrer en transe de plus en plus vite et ensuite chutait et ainsi commençait la prophétie selon l’endroit de la chute et la formation des lettres car à force de tourner le divin s’étourdissait et l’assemblage de caractères qui se rencontrait aux divers endroits, on tirait des présages pour définir l’avenir.

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Halomancie : Art divinatoire par le sel, on le pratique en devinant les formes crées après que le sel soit jette sur une surface plane ou dans les flammes et en regardant la nature de celles-ci, la couleur, la vitesse, la direction et le crépitement, tout cela permettant la voyance par un divin. Cette voyance peut s’interpréter par des formes crées par les résidus de sel après l’évaporation de l’eau dans un bol. Une autre manière de pratiquer cet art divinatoire est d’utiliser du gros sel puis prendre une poignée et le jeter sur une plaque de cuisson, chauffé par un feu très chaud.
Si le sel crépite longtemps et que le bruit est fort, la réponse est positive et si s est moins fort et peu de temps, négatif. On a pour mémoire que pour les anciens le sel était symbole d’amitié, d’ailleurs autour de la table les gens avaient pour coutume de s’en servir un après l’autre au début du repas, si une personne en renversait c’était signe de bagarre future .C’est ainsi que le fait de jeter du sel par-dessus l’épaule est maintenant important pour conjurer le sort. En temps ancien le sel était aussi un symbole de réconciliation entre dieu et les hommes.

Hématomancie : divination par le sang. Pratiquée principalement par les Grecs, les Étrusques et les Chaldéens, cette mancie se faisait pas l'étude du sang des victimes de divers sacrifices mais aussi à la fin de grands combats (on étudiait la manière dont s'écoulait le sang de l’ennemi dans un chaudron). Cette mancie est parfois couplée à haruspicine, une mancie qui voulait étudier les figures et dessins laissé par le sang animal ou humain issus de sacrifice. Une fois cette mancie finie, on étudiait généralement mes entrailles avec attention.

Hépatoscopie : méthode divinatoire qui consiste à lire l'avenir dans le foie des animaux, un peu comme l'Haruspicine. Le foie des animaux sacrifiés était comparé avec des foies préalablement fabriqués en argile.
A l'époque l'on considérait le foie comme un organe noble, siège des sentiments et des pensées par de nombreuses civilisations. Cet art divinatoire était pratiqué dans l'antiquité en Mésopotamie, puis chez les étrusques avant d'être pratiquée dans la Rome antique. Cette pratique divinatoire n'est plus d'actualité de nos jours.


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Hippomancie : Divination par le cheval, d'après leurs mouvements, leurs frémissements, leurs ébrouements, leurs hennissements, leurs marques de sabots laissées sous leurs pas et particulièrement en observant leur démarche lors de parades. Les Celtes formaient leurs pronostics sur les mouvements, le hennissement et le trémoussement de certains chevaux blancs ou de couleur claire, laissés en liberté et nourris aux dépens du public dans des forêts consacrées, où ils n'avaient d'autre couvert que les arbres. De leur côté les allemands antiques gardaient leurs chevaux sacrés dans leurs temples. Une façon de deviner consistait à les faire marcher alors qu'ils étaient attelés au char sacré. Le prêtre et le roi ou chef du cankon observaient tous leurs mouvements, et en tiraient des augures auxquels ils donnaient une ferme confiance, persuadés que ces animaux étaient confidents du secret des dieux, tandis qu'ils n'étaient eux-mêmes que leurs ministres. Les Saxons lisaient aussi des pronostics d'un cheval sacré, nourri dans le temple de leurs dieux, et qu'ils en faisaient sortir avant de déclarer la guerre à leurs ennemis. Pendant la guerre, il était de mauvais présage si l'un des chevaux enjambait un seuil avec sa patte de devant, du côté gauche; et dans ces cas, la bataille était annulée avant même de commencer. Puis lorsqu'un hippomancien désirait connaître la volonté des dieux, il disposait des lances sur le terrain; il conduisait ensuite un cheval sacré jusqu'aux lances et regardait pour voir si en marchant, ses sabots les touchaient, ou s'il se servait de son pied droit ou de son pied gauche pour les enjamber. On évaluait même la quantité de poussière produite par leurs mouvements. Outre les Grecs, les Perses et les Germains, les Tziganes pratiquaient aussi cette technique divinatoire en formulant mentalement une question à leur cheval, qui répondait par un geste de la queue, des jambes, ou en hennissant. 

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Hydromancie : divination par l'eau. Elle consiste à manipuler l'eau sous toutes ses formes par l’esprit. Pour cela, on insuffle notre énergie dans l'eau et c'est en manipulant votre énergie que vous donnez forme à l’eau. Les fakirs utilisent ce procédé pour faire pousser les plantes plus vite. On peut considérer cette méthode comme un dérivé de la projection astral.
Pour transférer votre énergie il suffit de ce concentré fortement en imaginant un rayon d'énergie qui sort de votre corps. Au bout d'un moment vous allez sentir une légère fatigue. Si vous continuez, vous allez vous fatiguer de plus en plus. Il est prudent de s'arrêter avant l'épuisement total car après vous risquez la mort. Avec de l'entrainement vous pourrez tenir plus longtemps et donner des formes plus complexe à l’eau. Au fil du temps vous pourrez voir différent phénomène dans l'eau (petite créature, paysage …). Vous pourrez même entendre l'eau vous parlé.
Une fois arriver à ce stade vous pourrez apprendre directement des élémentaires d'eau (Ondin). Votre puissance en sera considérablement augmenter. Car ils vous apprendront à utiliser l'essence de l’eau.
Aucun de ceux qui ont appris technique ne peuvent la divulgué car les élémentaires parlent directement dans l'esprit de la personne. Elle reçoit les donné mais ne les comprend pas. C'est avec de la pratique qu'elle comprend mais ne peut l’expliquer. Nous n'avons pas de réponse à ce phénomène. Certains disent que les Ondins modèle votre subconscient de manière que la personne ne se souvient de quasiment rien. D'autre affirme qu'on ne peut pas expliquer cette technique dans notre langue car aucun mot ne correspond de près ou de loin pour cette description.
Cette technique est très puissante. Maitrisé l'essence de l'eau ne signifie pas apprendre une autre méthode plus économique en énergie pour modelé l’eau. Maitrisé l'essence de l'eau c'est maitrisé sa nature au point de pouvoir créer rien qu'en y pensant de la glace ou de la vapeur. Aujourd'hui à cause de la loi des trois retours et de tous ceux qui prennent la magie pour de la rigolade 2 tsunami sur 3 sont d'origine magique. Mais à défaut de détruite elle peut purifier.
Chaque-fois que vous vous l’avez les mains, pensez intensivement que par cet acte vous ne vous dépouillez seulement des saletés du corps mais aussi de celles de votre psychisme. Pensez, par exemple, que vous vous débarrassez de vos échecs, de vos troubles, de vos mécontentements, vos maladies, que tout cela part avec l’eau. Lavez-vous si possible au robinet puisque l'eau sale s'écoule immédiatement pensez qu'avec celle-ci vos défauts disparaissent. Si vous disposez que d'une cuvette, videz-la aussitôt de l'eau usée afin que personne ne la touche. Vous pouvez aussi laisser mains un moment dans l'eau froide et vous concentrer sur le fait que grâce à cette attraction, issue de la nature magnétique du plan éthérique et agissant sur le psychisme, tous vos défauts sont ainsi drainés. Soyez fermement convaincu que vos échecs partent avec l’eau, cette dernière devant être immédiatement vidée. En très peu de temps, vous serez surpris du succès de cet exercice dont l'efficacité s'avère extraordinaire quand il est fait en été : on immerge dans une rivière tous corps à l'exception de la tête.
A l’inverse, cet exercice peut être aussi effectué pour acquérir une qualité. On imprègne ou magnétise l'eau en pensant à la qualité désirée et en étant intimement convaincu qu'en se lavant, la force passe dans corps astral et s'y établit. Celui qui dispose de suffisamment de temps peut unir les deux exercices : il se décharge d'abord de ses souillures (dans l'eau courante ou dans une cuvette, par exemple) puis il se lave dans une autre eau imprégnée d'une qualité. Dans ce cas, on utilise du savon pour le premier exercice.
Une autre possibilité digne d'attention est encore offerte au Mage : le bain magnétique des yeux. Dans de l'eau tiède ou mieux dans de l'eau chauffée la veille, le Mage plonge le matin son visage (dans une cuvette à moitié pleine) ouvre ses yeux dans l'eau. Il roule les yeux de tous côtés et répète cet exercice aussi sept fois. Avec la pratique, la brûlure initiale des yeux cesse. Si, par ailleurs, la vue est faible, il bénéfique d'ajouter à l'eau une légère décoction d'euphraise (herba euphrasia). Ces bains rendent les yeux plus résistants aux changements de température, ils diminuent les problèmes de la vue, ils fortifient par conséquent la faculté visuelle et donnent au regard clarté et brillance. Que l’on n’oublie pas de magnétiser l'eau utilisée à cet effet ou de l'imprégner de son souhait par la concentration. Les élèves avancés, qui s'exercent à la voyance, peuvent favoriser par ce moyen leurs dons.

Ichtyomancie : divination très ancienne et s'effectue par le biais des poissons morts ou vivants. La prédiction se fait par l'étude des poissons : sa tête et ses différentes entrailles ou alors par l'observation de leur combats et leur appétit ... ou encore ... par l'étude des poissons qui ont été péchés.

Képhalaiomancie : divination qui était utilisée pour désigner les coupables d'un crime, d'un vol ou d'un meurtre. Pour ce faire, un bloc de charbon était brulé  sur la tête ou sur le cul d'un âne ou d'une chèvre (morte, bien sûr) tout en citant les noms des différents suspects que l'on avait pour le crime. Si une grosse crépitation se faisait entendre lorsqu'un nom était cité, c'est que c'était la personne coupable. 

Kéromancie / Ciromancie : divination par la cire.

Kybomancie / Cléromancie : divination par le jet de dés.

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Lagomancie : divination par le lièvre. Plusieurs superstitions existent sur le dos de cet animal. Par exemple, en Écosse durant l'époque des druides, on pensait qu'une sorcière pouvait se réincarner en poney ou en lièvre. Lorsqu'une vache venait à mourir, les croyances disaient à cette époque que c'était qu'une sorcière venait boire son lait en secret ... et on l'imaginait sous l'apparence d'un lièvre pour passer inaperçue. Encore aujourd'hui, une superstition dit que si un lièvre traverse la route devant quelqu'un, c'est un signe de mauvais présage !  

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Lampadomancie / Lychnomancie : technique de divination par les lampes (à l'origine, les torches, les bougies, les lampes à huile), dont on observait la forme, la couleur et les divers mouvements de la lumière, afin d'en tirer des présages pour l'avenir. En Grèce la couleur de la flamme était très importante pour analyser l’oracle. En effet pour que la lampe accorde, en quelque sorte, sa bénédiction à un couple il fallait que sa flamme soit claire. Si au contraire la flamme était plutôt foncée, les amours s’annonçaient plutôt tumultueuses. Si la lampe faisait des étincelles, c’était le signe d’une nouvelle proche ou d’un évènement inattendu qui risquait de survenir.

Latromancie : divination médicale qui a pour but de prédire l'évolution d'un maux en étudiant les divers signes du problème médical couplé aux traitements connus. Cette pratique antique consistait à étudier les symptômes du patient, étudier les mouvements de son corps pour parvenir à trouver un traitement autre que ceux classiquement utilisés pour la maladie.

Lécanomancie : technique de divination par le moyen de l'eau. Il s'agissait de jeter des pierres précieuses dans l'eau et, par le son produit ou les reflets de lumière provoqués, d'en déduire certaines suppositions sur l'avenir. Une autre méthode consistait à jeter de l'huile et « lire » les taches que cela produisait en surface de l'eau. Termes grecs dont le premier est dérivé du mot bassin, et dont le second signifie divination. L’hydromancie est une technique qui consiste à lire l’avenir dans l’eau. C’est ce que les auteurs arabes appelaient « la vision dans l’eau ». Une discipline plus large est désignée par le terme technique de lécanomancie qui est la divination à partir des ondulations sur une surface liquide (eau, mais aussi huile, miel, lait et même sang) ainsi que sur les miroirs. D’ailleurs, la divination par l’eau est souvent liée à celle des miroirs. Les liquides semblent avoir été, dans l’Arabie préislamique, un véhicule du sacré. En effet, dans les pays du Maghreb, pendant les guerres, cet art divinatoire fût très pratiqué pour prédire l’arrivée de l’ennemi pendant les combats. L’une des méthodes était de jeter une goutte d’huile dans un vase remplie d’eau. On voyait alors les petits démons défiler les uns derrières les autres. Ces démons représentaient l’ennemi. Certains progressaient via la mer, les autres sur terre. 

Libanomancie : art divinatoire qui utilise l’encens. Il faut tout d’abord faire des prières relatives aux choses qu'on demande et poser clairement sa question. Ensuite, on jette l’encens dans le feu, afin que sa fumée porte la demande. En revanche, si les vœux formulés ne doivent pas être exaucés, l’encens ne tombe pas dans le feu, il s’en éloigne ou bien l’encens ne se consume pas. Mais les interprétations ne se limitent pas à ces deux aspects. Dans l’Antiquité, la libanomancie était fréquemment utilisée pour connaître le sort d’une bataille ou d’une guerre.
Si quand on arrose l'encens, la fumée se dirige vers la droite, c’est que vous allez dominer votre adversaire. Mais à l’inverse, si la fumée se dirige vers la gauche, cela signifie que c’est votre adversaire qui va vous dominer.
Si quand on arrose l'encens, la fumée se dirige de manière égale dans toutes les directions, c’est que le combat va être mené à armes égales. Quand la fumée est regroupée, c’est un véritable succès, la personne va faire fortune où qu'elle aille. Si sur le haut de la fumée d'encens est dispersée, il y aura des pertes financières et des pertes de bétail dans la propriété de la personne. Quand le haut de la fumée est fendu en deux, c’est un signe fort de folie mentale. A noter que cet art divinatoire prédit tout, excepté tout ce qui touche au mariage et à la mort.
 


Lithomancie : pratique de divination avec les cailloux, avec les pierres, les cristaux de toutes formes et de toutes couleurs. Comme support de divination, les pierres sont les seules non conçues par l’homme. Elles possèdent un sens, elles représentent un symbole des valeurs essentielles et qu’on le veuille ou non, elles influent sur des plans qui dépassent parfois la compréhension et du médium et du consultant. Pratiquer la divination avec les pierres engendre un facteur supplémentaire, la thérapie, si le médium n’agit pas de sa propre volonté. La nature fait bien les choses, en quête elle aussi d’harmonie et de perfection, car tout ce qui est dans la matière est sujet à évolution. En raison de leurs structures, leurs couleurs, leurs formes, les pierres contiennent bien des connaissances en sommeil et occultées par la raison de l’homme occidental.

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Lycomancie : divination par les loups. Ainsi, le terme lycanthrope est synonyme de loup-garou. Et l'on retrouve du grec ancien lykánthr?pos, signifiant homme-loup; soit de lukos, loup; et de anthrôpos, être humain. Quelques superstitions font aussi référence au loup comme tel. Ainsi il semble que jadis, il fallait lubrifier les gonds de la porte d'une maison neuve avec de la graisse de loup, afin d'éloigner le mauvais sort. Puis en Auvergne, on raconte qu'aux temps anciens, lorsqu'un un berger voyait un loup manger une brebis, il devait se mettre une poignée de cheveux dans la bouche pour éviter de perdre la parole. Et c'est sans compter les légendes de loups garous..!

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Margaritomancie : divination par les perles. Une façon de pratiquer cette mancie consiste à poser une perle sur un foyer auprès du feu; après avoir récité quelques incantations pour lui “donner vie”, elle devenait fort sensible à l'impureté, dit-on. On la couvrait alors d'un vase, la gueule du vase en bas; puis on l'enchantait en récitant les noms de ceux qui sont suspects. Lorsque le nom du coupable est prononcé, on dit que la perle bondit vers le haut en se heurtant contre le vase, comme pour sortir. Et c'est ainsi qu'on reconnaît le coupable. Dans une autre version, la perle bondit si une personne coupable s'en approche. Par ailleurs, le nom de cette curieuse divination semble provenir du nom de Sainte Marguerite d'Antioche, avatar chrétien de Vénus / Aphrodite.

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Mélomancie : divination par les pommes et utilisé en général pour des questions sentimentales (le pommier était un arbre associé à l'amour à l'époque grecque). Exemples de superstitions : la jeune femme qui arrive à éplucher une pomme sans briser la pelure est censée se marier dans l'année. Une pelure que l'on lance au-dessus de l'épaule et qu'on fait tournoyer trois fois quant à elle est censé faire apparaitre l'initiale du future époux tandis que le nombre de tour qu'elle fait prédit le nombre d'années à attendre avant le mariage.

Menomancie : divination par les menstrues, des menstruations, du cycle menstruel. On peut donc prédire l'avenir grâce au cycle menstruel, soit selon le jour de la semaine du début des règles; ou selon le jour du mois du début des menstrues; ou selon qu'elles sont en avance, ou en retard.
Quel jour de la semaine vos règles sont-elles commencées? Lundi, une nouvelle connaissance; 

mardi, un cadeau; 
mercredi, une inquiétude; 
jeudi, une déclaration sentimentale (amour, amitié, etc); 
vendredi, un moment de tristesse; 
samedi, une solution à un problème; 
dimanche, amitié.
Quel jour du mois vos règles sont-elles commencées? 

1 - Vous vivrez dans le bonheur 
2 - Vous serez dédaignée 
3 - Dispute
4 - Joie et gaieté 
5 - Tristesse venir
6 - Surprise amoureuse 
7 - Amour non encore concrétisé 
8 - Vous vivrez une grande joie 
9 - Changement à prévoir 
10 Amour vif, sans nuage 
11 - Fidélité absolue 
12 - Passion ardente 
13 - Petite souffrance à venir 
14 - Heureuses nouvelles 
15 - Concrétisation de ce que vous attendez 
16 - Éloignement 
17 - Réception d'une mauvaise nouvelle 
18 - Vous serez désirée 
19 - Vous serez aimée sincèrement 
20 - Vous aimerez 
21 - Ennui passager à prévoir 
22 - Mélancolie et soupçons
23 - Malchance ou mauvaise fortune 
24 - Vous vivrez une contrariété 
25 - Voyage à venir, prochainement 
26 - Retour de la personne absente
27 - Réalisation de vos vœux ou de vos rêves 
28 - On s'occupera particulièrement de vous 
29 - Peines et larmes à prévoir 
30 - Un événement inattendu survient 
31 - Des personnes vous porteront intérêt
De combien de jour en AVANCE vos règles ont-elles commencé? 

1 - Vous serez joyeuse et gaie
2 - Une nouvelle amitié se dessine 
3 - Moments de tristesse
De combien de jour en RETARD vos règles ont-elles commencé? 

1 - On pense beaucoup à vous 
2 - Contrariété à venir 
3- Quelqu'un vous aime plus que vous ne pensez.

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Météoromancie : art divinatoire qui se fait par l'observation augurale des météores, des éclairs, des coups de tonnerres, des étoiles filantes mais aussi de l'air, du vent et du froid, ... Cette mancie sert principalement à prévoir les tempêtes et ouragans et était fortement utilisée par les Romains (mancie apportée au Romains par les Toscans). Cette mancie est en fait une branche de l'aéromancie.  

Métoposcopie / Métopomancie : divination par les traits du visage et du front, technique mettant en relation les traits du visage d’un être avec ses traits de caractère et son tempérament. La métoposcopie concerne plus précisément les lignes dessinées naturellement sur le front alors que la chiromancie se base sur les lignes de la main. Cette méthode a été longtemps utilisée et très convoitée. Aujourd’hui, elle n’est presque plus pratiquée. Les lignes du front sont généralement regardées comme des marques de l’âge et ne sont pas particulièrement appréciées. De plus en plus d’hommes et de femmes, dans un souci d’esthétique cherchent d’ailleurs à les éradiquer ou à atténuer leur largeur ou profondeur. D’après les spécialistes en métoposcopie, les planètes interviendraient sur la morphologie humaine pour déterminer ou appuyer un tempérament. Les lignes frontales n’apparaîtraient ainsi pas au hasard. Si l’on regarde attentivement les lignes du front de plusieurs personnes, il est facile de remarquer qu’aucune forme n’est similaire d’un individu à l’autre. La métoposcopie intervenait ainsi dans la vie des hommes pour analyser ces précieux messages des astres inscrits sur le front des hommes.

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Molybdomancie : divination par le plomb fondu. 
En général, il existe quatre méthodes principales. La base est de faire fondre un peu de métal dans une cuillère ou autre (attention aux brûlures !) au-dessus d'une bougie et de se munir d'un bol d'eau froide à proximité. Le mieux est de se concentrer sur sa question pendant que le métal fond. Une fois le métal fondu :
• On le jette dans l'eau et on interprète le bruit et le sifflement qu'il fait en touchant l'eau.
• On le déverse goutte à goutte dans l'eau et on observe la forme finale que cela donne à la fin.
• On déverse le métal fondu sur un support bien humide et on observe la flaque ainsi obtenue.
• On le jette d'un coup dans l'eau et l'on interprète la forme que donne le morceau de métal une fois retiré du bol.
Dans un sens, cette technique se rapproche beaucoup de la ciromancie, qui consiste en la même opération, mais avec de la cire.
  



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Myomancie : divination par rats et les souris, on observait le cri de ces deux petits animaux ainsi que les différents dégâts qu'ils pouvaient occasionner, leur façon de manger, leur familiarité, leur peur, la vitesse de leur fuite ainsi que l'apparence générale (rondeur, couleur, réactions, voracité, ...) qu'elles avaient. 

Nécromancie / Psychomancie : mancie qui pour obtenir la prédiction passe par le biais des morts : cette mancie consiste à évoquer les âmes des morts, les ombres des défunts afin d'obtenir de leur part des révélations quant à l'avenir et des choses cachées. Cette mancie était pratiquée par divers peuple de Grèce, pas les égyptiens, par les Juifs et les Thessaliens. Mais on utilisée aussi les termes nécromancie pour désigner tous les arts illégaux comme la magie noire.

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Néphélémancie : Divination par l'intermédiaire des anges, ou d'un ange. Cette divination, qu'on disait fort rare même il y a plus de deux siècles, s'effectue avec le concours d'Esprits supérieurs, dénommés Anges dans la religion catholique. Ce mode de divination est très réel, car le médium entrance peut faire des prophéties très surprenantes, grâce au secours d'Esprits supérieurs Et ces prophéties se réalisent toujours.  

Néphomancie : mancie qui fait partie de la branche de l'aéromancie et cette consiste en l'observation des nuages et des différents phénomènes atmosphérique  que le devin pouvait observer. Il tirait sa prédiction en étudiant le mouvement et les déplacements des nuages dans le ciel.

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Niphétomancie : divination par la neige. C'est une branche de l'aéromancie.  

Numérologie /Arithmomancie / Arithmancie : divination par les nombres. Voir plus haut.

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Nyctérimancie : divination par le vol des chauves-souris. 

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Oculomancie : divination par l'observation de l'œil. Le but de cette mancie était de découvrir un voleur, en examinant la manière dont il tournait l'œil, après certaines cérémonies superstitieuses.  

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Oénomancie : mancie sur base du vin de libations (rituel religieux) : cette mancie consistait à tirer les prédictions sur la base de la couleur du vin, son aspect, son goût, son agitation dans le verre et le bruit produit lorsqu'il arrosait la terre. Le vin en Grèce était souvent couplé à divers épices et plantes aromatiques ce qui permettait au devin (qui tombait parfois en transe éthylique) d'interroger les différents esprits des Limbes afin d'avoir des informations quant à la question. 

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Omphalomancie : mancie qui a pour but d'inspecter le cordon ombilical ainsi que le nombril de nouveau-nés : selon la disposition du cordon ombilical lors de la naissance, le devin tirait des présages. Ce genre de présages portaient en général sur le nombre d'enfants que la femme allait encore avoir. Mais le cordon parlait plus : selon ses marques, ses nœuds... le tout pour apporter plus d'informations et des présages plus poussés. 

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Oniromancie : divination par l'interprétation des rêves (clé des songes). L'oniromancie est la science de l'interprétation des rêves la quasi-totalité des individus savent qu'il remonte à la plus haute antiquité, l'ensemble des vieux et les Egyptiens qui ont le plus de cas d'eux. Évidemment, leurs songes ne sont pas influencés, agité, par l'existence novateur, néanmoins il est cependant le cas que le rêve doit être pris en considération et il est primordial de comprendre à le déceler parfaitement, il amène quasiment encore une base essentielle de évidemment life. Of du dormeur, il est primordial de tenir compte des faits marquants de la journée ou la veille. Si vous avez des problèmes, tourments, les difficultés durs à solutionner, on ne pourrait pas considération de vos songes; le cerveau durant le repos a des réactions totalement diverses. Compte doit être tenu aussi des souper du soir trop copieux, et de l'absorption alcool. Le rêve n'est pas une prophétie, néanmoins il est capable d'être une mise en garde, il est primordial de tenter de l'analyser également même si envisageable pour soulager les problèmes et également à entrer les possibilités qui nous sont donnés durant notre vie.   

Onomancie : divination par l'interprétation des lettres du nom. On considérait qu'un nombre pair de voyelles dans le nom d'une personne était le signe d'une imperfection au côté gauche, et qu'un nombre impair dénotait une imperfection au côté droit. Les Anciens considéraient aussi que de deux personnes, la plus heureuse serait celle dont le nombre de lettres examinées en valeur numérale, faisaient le plus grand nombre. On tirait aussi des présages entre le nom et son origine. Actuellement, l'onomancie se pratique aussi en décomposant le nom d'une personne pour former avec ses lettres des mots qui, interprétés, fournissent certains présages. On fait alors de l'onomancie anagrammatique. On assigne aussi une valeur numérique aux différentes lettres d'un nom et on combine de diverses manières les chiffres représentés par les lettres du nom. Ce procédé constitue l'onomancie numérique ou arithmomancie.

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Onychomancie : divination faite sur base des ongles des doigts de la main. Cet art divinatoire, parfois avec l'utilisation d'huile, tirait ses présages sur base des ongles. Dans les temps anciens, les devins utilisaient cette mancie de manière à tirer des informations de l'ange Uriel. La méthode de cette mancie est la suivante : il fallait racler l'ongle du pouce droit d'un enfant en partant de l’extrémité pour finir à la chair avec un couteau ou tout autre instrument neuf ; il faut ensuite frotter de l'huile d'olive dessus pour ensuite le couvrir de suie ou de noir à noircir ; une fois ces étapes réalisées, le devin pouvait voir les messages de l'ange Uriel. 

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Oomancie : divination par les œufs. L'œuf a toujours représenté, pour l'homme, le mystère: celui de la création, de la naissance et de la perpétuité: lequel est arrivé en premier sur terre? L'œuf ou la poule? Quoi de plus naturel que de chercher à percer cette énigme? Les devins ont toujours su trouver dans l'œuf les réponses aux questions divines qui leurs étaient posées. Dans le monde antique, l'œuf originel était l'objet d'une vénération, car il représentait l'univers, le microcosme, le macrocosme et la vie toute entière, Les oracles s'en servaient beaucoup. De nos jours, peu de voyants s'en servent. Étudions maintenant la façon  de mettre en pratique l'oomancie. Il faut tout d'abord se poser mentalement une question précise: puis vous briserez l'œuf en séparant le blanc du jaune, poursuivez en versant le blanc dans un récipient transparent: deux possibilités s'offrent à vous à cet instant; toutes les deux ont pour objectif de coaguler le blanc de l'œuf. La première est de chauffer le récipient, la seconde est de verser du sel dans ce même récipient, dans la seconde possibilité, il vous faudra attendre une journée, dans la première la coagulation s'effectue très rapidement vous donnant la réponse à la question de voyance que vous avez posé. 

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Ophéomancie / Ophyomancie : divination par les serpents et étudie leur mouvements, leur couler et leur façon de s'enrouler / manger. >Cette ancienne mancie utilisait de petits serpents qu'ils posaient sur le sol toujours par nombre pair sur un grand terrain découvert (pour mieux pouvoir les observer). Ils étudiaient alors leur fuite, leurs ondulations et la manière dont les serpents se regroupaient. Le tout leur permettait de tirer les présages et différents indications.   

Ornithomancie : art divinatoire qui utilise le comportement des oiseaux pour tirer des présages heureux ou malheureux. Ce type de voyance se situe entre l'art  divinatoire et les pratiques et connaissances ancestrales. En effet, certains confondent un peu ornithomancie et connaissances issues du bon sens paysan.  Dans le passé, les gens, notamment les plus modestes, vivaient au rythme de la nature, ils ont donc appris à la comprendre, à l'observer. La voyance s'inspire souvent de ce bon sens pour faire des prédictions en fonction du vol des oiseaux ou de leur chant.  Plutarque disait : « Les oiseaux grâce à leur rapidité, à leur intelligence, à la justesse de manœuvres avec laquelle ils se montrent attentifs à tout ce qui frappe l'imagination, se mettent, comme de véritables instruments, au service de la divinité. »  Cependant attention, tous les oiseaux ne sont pas aptes à fournir des présages. On consultait certains oiseaux pour leur chant, comme les chouettes, les corbeaux et les pies. L'interprétation du cri dépendait d'abord du lieu qu'occupait l'oiseau par rapport à l'observateur, puis de son intensité et de sa fréquence. Pour d’autres oiseaux, on étudiait leur vol, comme l'aigle, le busard, ou le vautour.
Un vol élevé, avec les ailes bien déployées était favorable, mais un vol bas avec des battements d’ailes irréguliers était mauvais signe. L’ornithomancie fut pratiquée par de nombreux peuples de l’antiquité : notamment chez les Iraniens, les Grecs et les Romains.  Chez les Grecs, de grands devins de la mythologie comme Tirésias et Calchas ont pratiqué l’ornithomancie. Les oiseaux étaient souvent considérés comme les attributs des dieux comme l’aigle pour Zeus, ou la chouette pour Athéna. Les Romains nourrissaient de grands intérêts pour l’ornithomancie.  En effet Remus et Romulus firent appel à cet art afin de déterminer qui gouvernera la future Rome. Les Romains avaient mis en place une technique d'étude des oiseaux qui pouvait être utilisée en dehors des sanctuaires. Ils construisaient alors un temple virtuel duquel les observations étaient faites Chez les peuples scandinaves, c’est le corbeau qui était l’oiseau des présages. Le dieu Odin possédait deux corbeaux Hugin (la pensée) et Munin (la mémoire). Chez les Germains, c’est l’apparition ou l’absence des oiseaux qui confirmait le sortilège.


Ostéomancie : mancie basée sur l'étude et l'observation des différents os d'animaux. Cette mancie très peu connue à l'heure actuelle était fortement pratiquée durant la dynastie Shang. Mais cette pratique a aussi été retrouvée sur le pourtour méditerranéen. Dans l'Ostéomancie, les principaux os qui étaient étudiées était les os plats car ils sont plus facile à observer mais aussi parce qu'on y trouve des sillons, des trous et autres caractéristiques qui servaient de base à la divination.

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Ostracomancie : divination par l'écoute des coquillages. Très peu connue et plus utilisée, cette mancie observait le coquillage sous toutes ses formes : sa couleur de coquille, sa forme, les différentes caractéristiques tel que les lignes, leur poids ainsi que le bruit du vent qui passait dans le coquillage.    

Otonéchomancie : divination par les bourdonnements d'oreilles.

Onomancie : Divination qui se faisait par l'explication des noms propres. On considérait qu'un nombre pair de voyelles dans le nom d'une personne était le signe d'une imperfection au côté gauche, et qu'un nombre impair dénotait une imperfection au côté droit. Les Anciens considéraient aussi que de deux personnes, la plus heureuse serait celle dont le nombre de lettres examinées en valeur numérale, faisaient le plus grand nombre. On tirait aussi des présages entre le nom et son origine. Actuellement, l'onomancie se pratique aussi en décomposant le nom d'une personne pour former avec ses lettres des mots qui, interprétés, fournissent certains présages. On fait alors de l'onomancie anagrammatique. On assigne aussi une valeur numérique aux différentes lettres d'un nom et on combine de diverses manières les chiffres représentés par les lettres du nom. Ce procédé constitue l'onomancie numérique ou arithmomancie.

Ovomancie : divination par des blancs d'œufs jetés dans l'eau. Autrefois, on devinait l'avenir dans la forme extérieur et les figures intérieures d'un œuf. Aujourd'hui, on utilise seulement le blanc de l’œuf. Méthode d’utilisation : Prenez un verre de cristal que vous remplirez au trois quart d'eau et laissez-y tomber quelques grains de gros sel. Puis, ajoutez un blanc d'œuf très frais en ayant soin d'enlever le germe. Après avoir laissé reposer le tout pendant 24 heures dans un endroit sec, munissez-vous d'une lampe et observez les figures qui se seront dessinées.

Palmomancie / Palmomantique : pratique divinatoire s'appuyant sur l'étude des mouvements instinctifs, comme la marche ou pendant le sommeil, chez un homme sain. Elle est assez répandue chez les peuples de la Mésopotamie. Sous le nom de palmoscopie ou palmicum, c'est l'étude manuelle des palpipations du corps de la victime d'un sacrifice.

Palomancie : art de prédire l'avenir en utilisant de petits bâtons ou des baguettes. Elle était pratiquée dans tout l'Orient ancien, chez les chinois mais aussi chez les germains. Habituellement, on enlève l'écorce d'une baguette et on en conserve une dont on garde l'écorce. Ensuite on s'en sert à pile ou face. Ou alors une baguette choisie à l'avance a un sens favorable, une autre un sens défavorable. Par exemple : si en tombant, l'une se place sur l'autre, la signification de la première l'emporte.

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Papyromancie : divination par le froissement d'une feuille de papier dont les origines remontent à aussi loin que celles du papyrus. Cette forme de divination date ainsi de 3000 ans. La papyromancie consiste à interpréter les plis ou les rides laissées par le froissement d’une feuille de papier. D’après cet art divinatoire, chaque forme aurait une signification qui permettrait de dévoiler les caractères d’une personne et de prédire son avenir.  Le rituel du froissement de papier doit suivre certaines étapes : d’abord, la personne doit inscrire la formule de Ripplinger (forme abrégée : erso carpi) en haut de la feuille. Elle doit, par la suite, poser sa main active au centre de la feuille avec les doigts bien écartés durant sept secondes. Cette phase a pour dessein de permettre le transfert d’énergie. A noter qu’il est primordial pour le sujet de se trouver dans un état de relaxation durant cette étape. Après cette phase, il doit rassembler lentement ses doigts vers le majeur sans les faire glisser sur le papier. Et, enfin, les doigts bien appuyés sur la table, sans soulever le papier, la personne froisse le papier en fermant  son poing pendant une seule seconde pour éviter l’excès des informations transmises. Le papyrologue va interpréter les traces ésocarpiques composées de deux sortes de lignes : les lignes radiales, au nombre de cinq, se forment entre les doigts et les lignes d’énergies qui traversent les premières en vagues, à partir du bas de la feuille jusqu’à l’extrémité des doigts.   

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Pégomancie : divination par les sources et des rivières, eau de la fontaine en faisant l'observation du mouvement d'aiguilles, d'épingles, de dés en or, de cailloux, de pièces de monnaie, etc, lancés dans leurs eaux. L'on y jetait des sorts qu'on interprétait comme étant heureux s'ils coulaient au fond, ou malheureux lorsqu'ils surnageaient. Branche de l'hydromancie, la pégéomancie fait aussi l'interprétation des bulles qui se forment dans l'eau, des bruits de l'eau, de même que les cercles, les rides ou les vaguelettes qui se forment à la surface de l'eau lorsque des objets y sont lancés. Une façon de pratiquer cette mancie consistait à jeter un certain nombre de pierres dans une fontaine, dont on observait les mouvements; ou encore, d'y plonger des vases de terre et d'examiner les effets produits par l'eau qui s'efforçait d'y entrer, en chassant l'air dont ils étaient remplis.   

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Pétromancie : divination par les formes des rochers. Chaque forme analysée sur ce rocher est signe de présage, bon ou mauvais. La pétromancie est rarement  pratiquée de nos jours.  

Phyllomancie : divination par les feuilles d'arbres ou de plantes. Les prêtres de Dodone en Epire se fondaient sur leur bruissement pour annoncer l'avenir. Grand sanctuaire à oracle, Delphes, fût d'abord complètement sous le règne "de la Grande Mère enfouie en terre jusqu'à la poitrine". La vérité sortait des profondeurs souterraines, l'oracle parvenait du monde des morts. Puis Thémis prit la place de la Grande Mère, elle choisit pour prophétiser une nymphe, Daphné, qui recueillait les voix des arbres et les vibrations du serpent enfoui dans les profondeurs mais cela est une autre histoire que je vous raconterai peut- être un certain jour...

Pissomancie : divination par le jet de pois secs. Cette mancie consistait à prendre des petits poids et de les lancer devant soi : le devin prenait alors le temps d'analyser le vol des pois secs ainsi que la disposition qu'ils ont pris sur le sol (distance, formes dessinées, ...)

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Plastromancie / Chéloniomancie : divination sur les écailles du plastron de la carapace de tortue. Cette mancie est à mettre en relation avec la scapulomancie et la chéloniomancie. Originaire de Chine, cet art écrit très souvent ses oracles et prédictions sur les écailles de tortue.  

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Podomancie : divination par l'examen des pieds. Cette science, analogue à la chiromancie, est extrêmement développée en Chine. En Occident, elle est presque inconnue.  

Potamomancie : mancie divinatoire basée sur les eaux du fleuve, de leur flux et reflux qui s'est perdue au cours du temps. Il y a beaucoup de chance que cette  mancie qu'est la Potamomancie se base sur les mouvements de l'eau du fleuve : sa direction, sa force, la couleur de l'eau. 

Pyromancie : divination par le feu ou les flammes, élément fondamental dans la destinée des individus. D’autres courants (wicca) utilisent le feu et sa maîtrise à des fins de vénérations et de rituels secrets envers la mère Nature. Les professionnels estiment que cet cette technique de présage est aussi vieille que l’usage du feu lui-même et a donc été utilisé par les premiers hommes lorsqu’ils souhaitaient avoir une réponse à leur interrogation ou un conseil pour venir à bout d’une situation délicate. Les extraordinaires pouvoirs de la pyromancie ont fait leurs preuves au fil des années et continuent encore aujourd’hui d’être utilisés tant  dans le domaine de l’amour, que du travail ou encore des finances. Posez la question qui vous préoccupe et obtenez dès maintenant une réponse claire et rapide grâce à la flemme de la bougie qui vous livrera ses précieux présages.

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Radiesthésie : Méthode de divination fondée sur la réceptivité particulière à des radiations qu'émettraient différentes matières (sources, trésors, mines etc…), permettant ainsi de les localiser à l'aide d’une baguette ou d’un pendule. (Selon la définition de l'abbé Bouly) la croyance en la faculté de découvrir, grâce au pendule ou à la baguette, ce qui est caché aux facultés normales mais dont l'existence est réelle ou imaginaire. Le radiesthésiste permettrait de découvrir des sources, retrouver un objet perdu ou une personne disparue, établir un diagnostic médical, déterminer la profondeur d'un puits, etc. On doit le mot "radiesthésie" aux abbés Bouly et Bayard. Ce mot est composé du mot latin radius, qui signifie « rayon » et du mot grec aisthêsis qui veut dire « sensibilité ».
Les accessoires de radiesthésie les plus utilisées sont : le pendule (masse pesante quelconque mais symétrique suspendue à un fil souple) cet objet est parfois creux de façon à pouvoir y placer des « témoins » (voir ci-dessous). Le pendule du Professeur Tournesol détient une réputation célèbre, il indique toujours l'ouest. La baguette, est constituée de deux branches en matière flexible d'environ trente centimètres de long, reliées à une extrémité. Elle sert le plus souvent à  la recherche de sources, mais peut tout aussi bien servir en matière de radiesthésie médicale. L’antenne de Lecher ; elle est inspirée de la découverte d'Ernst Lecher (les « fils de Lecher ») et a l'avantage, non seulement de pouvoir tester (réception),  Mais aussi d'émettre ; les témoins servent de support psychique, mais ils n'ont rien d'indispensable. Ils peuvent aider à mobiliser les connaissances relatives à l'objet de la recherche.
 

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Rhabdomancie : divination qui consiste à découvrir au moyen d'une baguette de coudrier les sources, les mines, les trésors cachés ; la baguette tourne entre les mains quand celui qui la porte passe au-dessus d'une eau souterraine. C’est l’une des plus ancienne forme de divination en Asie avec le bois de saule qui est un bois qui vis longtemps, qui est souple, qui grandit dans l’eau, qui est donc symbole de vie, on la retrouve dans le yi king de même en Europe. 

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Sauromancie : art divinatoire qui se base sur l'observation des lézards. Durant l'époque de l'Antiquité, le lézard était un animal vu comme un attribut du Dieux Apollon et plusieurs temples lui étaient donc dédiées. On prêtait donc naturellement beaucoup d'importance à cet animal dans lequel on voyait des capacités divinatoires (il était censé transmettre les messages du Dieu Apollon).  

Scapulomancie : technique de divination qui se fonde sur l’observation d’omoplates d’animaux, des bœufs par exemple. Elle était déjà exercée dans la Chine ancienne et on faisait aussi appel à des carapaces de tortues. Sous la dynastie Shang, période allant de l’an -1765 à -1122 et à laquelle l’on situerait les premières origines de ce type de divination, les plastrons de tortue étaient très prisés pour prédire l’avenir. Cette préférence s’expliquerait par la symbolique véhiculée par la tortue portant sur son dos rond des figures représentant le monde. D’autres os plats issus d’autres animaux tels que le cerf ou le mouton étaient également utilisés en scapulomancie chinoise. La technique de divination était, par ailleurs, liée à l’élaboration des écrits ossécailles ou « ji?g?wén », ce terme voulant littéralement dire Ecriture sur carapace et os. Il faut en effet savoir que les résultats de la divination étaient par la suite gravés sur les écailles ou les omoplates. Des découvertes archéologiques démontrent que la pratique de la scapulomancie était aussi répandue sur les côtes méridionales de la péninsule coréenne et de ses îles voisines. Dans le Kojiki japonais, l’on retrouve des représentations de divinités en pleine pratique de la scapulomancie. Autrement, les devins de Babylone pratiquaient aussi ce genre de divination.
Déroulement d’une séance de scapulomancie : Autrefois, les demandes de divination portaient essentiellement sur la famille royale à propos d’une naissance, d’une union, d’une disparition ou de rituels sacrés à faire. Jadis, la scapulomancie était utilisée pour d’autres requêtes. Nécessitant des os plats prélevés chez les animaux, la scapulomancie exige qu’une bête soit tuée. Bien nettoyée, débarrassée de bouts de peau et de sang, l’omoplate ou le plastron de tortue est mis au contact du feu, au niveau de sa face interne. Le devin y aura préalablement marqué la date de la divination, son nom et l’interrogation soumise à la divination. Le contact de la chaleur aura pour effet de faire apparaître des fissures sur le support osseux, des fêlures que le devin étudiera afin d’obtenir des réponses à sa requête. Les résultats de ces interprétations seront par la suite gravés sur la face externe de la carapace.


Scatomancie / Spatalomancie / Spatilomancie / Cropomancie / Spatalamancie : divination par l’examen de matières fécales. Divination par l'inspection des matières fécales et des excréments humains (taille, arrangement, couleur, interaction, etc), souvent pour diagnostiquer une maladie. Dans l'une des formes de scatomancie populaire dans l'Egypte ancienne, les scarabées cleptoparasites ont été utilisés; des insectes considérés à tel point précieux qu'ils furent même sacrés et immortalisés par les Egyptiens. Sur les excréments — où elles mangent et pondent leurs œufs —, ces scarabées forment, roulent et tissent des boules de matières fécales, comme attracteur sexuel pour leur cour de prétendants. La vitesse des coléoptères et leur comportement, ainsi que l'apparence des balles d'excréments, étaient prises en considération pour établir les pronostics, ainsi que pour faire des diagnostics médicaux.
Pour nos temps modernes, l'on procède différemment. Quelques amusantes méthodes de divination via la scatomancie sur le site de Adula. Ainsi, les prédictions divinatoires de vos défécations sont basées sur vos premières selles de ce jour. Toutefois si vous ne produisez pas d'excréments avant l'heure du midi, il est impossible de faire des lectures pour aujourd'hui; et dans ce cas, il est proposé de consommer plus de son et de fibres.
Voici donc un petit guide d'étude fécale, quant à la couleur de vos selles:
• Selles noires ou brun foncé - indique que vous devez prendre des décisions rapides aujourd'hui.
• Selles brunes - indique que vous n'aurez pas de réelles surprises aujourd'hui.
• Selles beiges - indique prudence.
• Selles vertes - indique turbulences à venir.
• Selles rouges - indique que vous avez du sang dans vos selles.
• Selles bleues - indique que quelque chose est erroné.


Sciomancie : divination par l'observation des ombres des morts, en vue d'établir une communication avec l'aide d'un guide spirite. Cette pratique divinatoire consiste à évoquer les âmes des morts pour connaitre l'avenir; mais elle se rapproche de la nécromancie et du spiritisme et au bout du compte, est plutôt hasardeuse. En réalité, les anciens prétendaient que dans la sciamancie ce n'était pas l'âme des morts qui apparaissait mais plutôt, un spectre ou un simulachre qui n'était ni l'âme ni le corps de la personne décédée mais seulement la représentation de celui-ci; soit ce que les Grecs nommaient “eidwlon” et que les Latins appelaient “imago” ou “umbra”. Ceci dit, la connaissance primitive abonde quant aux présages se rapportant aux ombres, leur taille, forme et l'apparence changeante. On a cru que le danger ou la mort pourraient suivre une attaque qui serait faite sur l'ombre d'une personne, qui était souvent identifiée avec l'âme. De cela s'est développée la sciomancie, ou l'art de divination par des ombres, qui pourraient censément être rappelées du monde des morts et questionnées quant aux événements futurs. Cette mancie est en soi une première forme de la nécromancie. De nos jours, on peut inclure dans la sciomancie la divination effectuée en utilisant un guide spirituel, une méthode généralement employée par les channels. Voir spiritisme, nécromancie.

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Sidéromancie : Divination qui se faisait avec un fer rouge sur lequel on jetait des brins de paille, pour juger, par les figures qui résultaient de leurs étincelles et de leurs cendres, ce qu’on devait craindre ou espérer de l’avenir.

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Skiamancie : mancie qui étudie les différentes ombres et qui en tire les présages. Appelée aussi sciomancie, cet art divinatoire étudie les ombres dans le but d'entrer en contact avec les défunts et les esprits, elle est donc assez proche de la nécromantie et du spiritisme. La principale différence entre Skiamancie et spiritisme était qu'on appelait ici principalement le spectre des morts et non leur esprit. Cette mancie est assez hasardeuse et n'est plus d'actualité.   

Spathomancie : mancie à l'heure actuelle inutilisée, elle était assez courante durant l'époque médiévale. Cette mancie divinatoire consistait à étudier la lame d'une épée : selon son état, ses ébréchures, son aspect, on en tirait les réponses aux questions qui étaient posées.

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Spondanomancie : divination par les cendres. La méthode est assez simple et peut être assez facilement utilisée encore de nos jours : il faut étaler les cendre d'un feu de bois sur une plaque, y inscrire la question dedans; présenter cette plaque à un léger courant d’air. Et ensuite, analyser ce qui reste sur la plaque pour en tirer les réponses voulues. 

Stichiomancie / Stichomancie : divination par l'ouverture au hasard d'un livre.

Sycomancie : divination au moyen de questions écrites sur des feuilles de figuier. Romain et Chinois utilisaient cette méthode pour découvrir les présages sur l'avenir : ils inscrivaient les questions sur les feuilles d'un arbre, et au moins elles séchaient vite, au plus le présage a la question était bon.

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Taromancie : divination par le jeu de tarot divinatoire à des fins prédictives. Les méthodes de consultation du tarot sont nombreuses. Certains taromanciens utilisent toutes les lames du jeu, d'autres ne se servent que des Arcanes majeurs. La richesse du tarot provient de l'extraordinaire contenu symbolique de chaque lame et des multiples combinaisons possibles. Il faut toutefois distinguer la tarologie, science humaine qui étudie l'histoire et l'iconographie des cartes, de ses applications divinatoires : taromancie et cartomancie. Le taromancien ne pratique pas la "voyance", la médiumnité, il interprète seulement les lames. En revanche, un medium aura tendance à compléter sa voyance avec un tirage de cartes, qui lui est propre. Historiquement, il s'agit d'un mythe qui remonterait au temps des Pharaons. 22 gravures auraient été transmises par le dieu Thot, messager des dieux auprès des Hommes. Moïse, élevé dans l’enseignement des prêtres égyptiens, aurait pris connaissance de ces tableaux. Lors de la fuite des Juifs hors d'Égypte, Moïse aurait transmis sa connaissance à son peuple par un alphabet qui est constitué de 22 lettres, portant le nom de Kabbale. Graphiquement, les tarots ont une réelle puissance symbolique, de par notamment les images allégoriques reliées à la mythologie romaine et au christianisme. C’est pendant la Renaissance qu’apparurent les jeux des tarots : ces cartes  renfermaient les merveilles du monde visibles et invisibles et fournissaient aux joueurs des instructions d’ordre tant physique, que moral et mystique. Mais l’utilisation ludique des Tarots prit rapidement l’ascendant sur la dimension didactique et morale au début du XVIe siècle. C'est au cours du XVIIIe siècle, à Bologne, qu'est attesté le premier document connu avec la liste des cartes et leurs significations divinatoires. En France,  les tarots connaîtront un réel essor avec Etteilla, le Comte de Mellet et Court de Gebelin. La divination par le biais des tarots est dès lors devenue une pratique divinatoire extrêmement populaire dans toute l’Europe. C’est à cette même époque que la renaissance des philosophies ésotériques redonna vigueur aux arts magiques et à la cartomancie. Le jeu de tarot classique se compose de 78 cartes réparties en deux grands groupes :  Les arcanes majeurs (au nombre de 22), qui peuvent être utilisées à part comme un oracle.
Les arcanes mineurs (56 au total) s'apparentent au jeu de 52 cartes classiques de la cartomancie avec la correspondance : Cœurs = Coupes, Carreaux = Bâtons, Trèfles = Deniers, Piques = Épées.  On y trouve en plus dans chaque famille le Cavalier.  Les cartes « Roi, Reine, Cavalier, Valet » forment les Honneurs, quant aux cartes de 1 à 10, ce sont les Numéraires dont l'interprétation divinatoire est fortement inspirée de la numérologie. Hautement symboliques, tout l’art du taromancien réside dans l’interprétation des arcanes. Il les identifie, les relie entre eux et leur donne une signification par rapport à leurs positions dans le tirage, à la question posée et à la situation du consultant. La taromancie, de même que la cartomancie, sont parmi les arts divinatoires les plus communément utilisés.

Tératomancie : Divination par les prodiges et les merveilles naturelles, par l'apparition et la vue des prodiges, des spectres, des fantômes, des monstres; et notamment par l'observation de certaines naissances présentant des infirmités, malformations ou aberrations qualifiées de “monstrueuses”. On réfère donc à n'importe quel animal mal formé y compris l'homme, qui dévie grotesquement de la norme avec l'implication que le résultat est affreux, effrayant, fascinant ou choquant. Ayant cours surtout au Moyen-Age, on parle de terata majeurs — ou monstres, c.à.d. malformations physiques, tels une créature avec la tête, visage, mains et pieds d'un homme et le reste du corps, comme celle d'un cochon; une bête avec une tête ressemblant à celle d'un homme, mais avec les membres inférieurs d'un bouc; un monstre avec une tête comme celle d'un homme, un nez long et crochu comme une trompe d'éléphant, les mains et les pieds palmés comme ceux d'une oie et une queue avec un crochet — ou de terata mineurs — tels un enfant qui a les oreilles d'un lion, qui est hermaphrodite, qui a deux oreilles sur le même côté, qui a un bec d'oiseau ou un bec de lièvre, dont les narines sont absentes, qui n'a pas de doigts, etc —. Par ailleurs la tératomancie s'attache aussi à d'autres événements extraordinaires, tels par exemple les pluies de pierres, de sang, de sauterelles, ou autres; les combats d'armées aériennes; les visions effrayantes dans le ciel; etc. Cette mancie est souvent associée avec la fétomancie.

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Thalassomancie : technique divinatoire ayant pour but d’observer les vagues, l’océan de manière à comprendre les mouvements, les formes, parfois même des images pour en déduire des prédictions.  

Théomancie : divination par des oracles ou des signes divins. Du grec theos, dieu. Divination par le contact avec une déité, ou par le biais des oracles d'inspiration divine comme à Delphes, en Grèce antique. Certaines façons de faire consistent à pratiquer la divination par l'évocation des noms sacrés, en consultant les esprits ou les êtres divins, par la révélation de la parole de Dieu, à tirer des réponses des oracles, etc. Les praticiens sont souvent mentionnés comme des Oracles, des Prophètes ou des Théomanciens.

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Tyromancie : divination par les fromages. La manière dont il fermente et se fige est censée nous donner des indications sur le futur. Pourquoi pas!    

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Uranomancie : mancie divinatoire qui se base sur l'étude du ciel. En observant les nuages, le soleil, les éclairs, la foudre, ... le devin pouvait tirer sa prédiction et répondre à la question initialement posée. Les orages et éclairs étaient par exemple des signes qu'un Dieu était mécontent tandis qu'un beau ciel bleu était de bons augures.

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Vitréomancie : divination par le sable rependu. Très utilisé dans le désert saharien, cette mancie utilise le sable comme base de travail : par l'étude des dunes, les devins pouvaient tirer leurs prédictions. Une autre méthode consiste à jeter le sable par terre et d'observer les formes qui se sont dessinées.   

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Xylomancie : divination par les branches et les écorces, selon l'observation du bois qui brûle, pousse ou encore se brise. Mais d'autres écrits définissent cette mancie comme l'étude des branches d'un arbre qui sont tombée à terre ou encore des morceaux de bois que l'on pouvait rencontrer sur le chemin que l'on empruntait.

Zoomancie : divination par le comportement des animaux, leurs différents mouvements ainsi que par l'appétit. L’animal (réel ou imaginaire) était donc la base même de cette mancie et c'était par son observation que le devin pouvait tirer sa prédiction quant à la question posée.
 
 
http://decouvertespirituelle.weebly.com/meacutethodes-divinations.html
 

10/11/2017
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Au moment de la mort

https://www.maat-voyance.com/article-au-moment-de-la-mort.php

 

 

Au moment de la mort


La mort est un passage, au moment de la mort, l'âme change de plan vibratoire. La mort n'est pas synonyme de néant, mais de changement d'état ou séparation de l'âme d'avec le corps physique.
Ceci est une vérité indiscutable pour nous médiums et pour toux ceux qui ont vu l'âme de leurs proches et se taisent par peur du ridicule. 



Voici un résumé de nos propres expériences et ce qui nous a été dit par nos guides, en vision, écriture automatique ou incorporation.  



A l'approche de la mort, les champs auriques, qui sont au au nombre de sept personnels ainsi que les énergies du corps, se mélangent, et mélangent leurs couleurs, se déstructurent et tourbillonnent au niveau du chakra du coeur.

au moment de la mort, ce tourbillonnement énergétique constitue un cône lumineux énergétique au niveau du chakra du coeur, par lequel sort l'âme. Certains dans des expériences de NDE, l'ont vu comme un tunnel. 

Au moment du passage, la dernière chose qui reste "activée" est le cerveau, et dans le cas d'une NDE et d'un retour dans le corps, la première chose qui est activée par la conscience c'est le cerveau aussi d'où la sensation de sortir et de rentrer dans son corps par la tête, alors que le regroupement des énergies qui constituent l'âme, elles, sortent par le chakra du coeur. 

L'esprit est pour nos guides la résultante de ce que notre âme a fait passer à travers notre cerveau au corps. Ainsi l'âme n'est pas toujours l'esprit. Il est la partie filtrée de nôtre âme par le cerveau et notre corps qui emmagasinent nombre d'expériences qu'il retourne à l'âme. 

Le cerveau serait un sas d'échanges entre l'âme qui impulse ce qu'elle est, sait et souhaite par le biais d'impulsions électriques au corps, et le cerveau qui retournent à l'âme sous formes d'impulsions énergies ce qu'il a vécu. au moment de la mort physique, l'âme conserve en mémoire toutes ces expériences que lui a retourné le cerveau et qui l'ont enrichies. 

L'âme a une conscience totale de ce qu'elle est, a vécu (y compris dans d'autres vies), et doit accomplir. L'esprit et le corps en ont une vision réduite et parfois fausse. 

Mais malgré tout, notre corps et notre cerveau sont guidés par notre âme. Il arrive que le vécu présent qu'emmagasine le cerveau soit plus puissant que ce que l'âme aimerait insuffler au corps, d'où toutes sortes de mal-êtres, de pertes de repères, et de mauvais choix. Une NDE et une petite virée au pays des âmes parfois remet le cerveau à sa place. 

Vous remarquerez que les enfants, moins sujets à la raison raisonnante, à la main mise du cerveau, se souviennent beaucoup plus facilement de leurs vies passées.

Pour en revenir au moment de la mort, c'est par ce cône lumineux, énergétique, que l'âme du défunt se dirige et c'est par là aussi que les entités déjà dans l'autre monde (des guides de lumière, son guide, ses proches et ceux qui ont eu un lien affectif avec lui) viennent le chercher, ou lui barrer la frontière si il est amené à revenir dans son corps. 

Si il est vrai que le mourant se remémorre sa vie, les pensées qui sont les siennes à cet instant n'influencent pas sa vie dans l'au-delà ni sa sa prochaine réincarnation comme le pensent les Bouddhistes.

C'est sa vie globale qui détermine son karma et non les pensées à l'instant de la mort comme le suggère les Bouddhistes. 

Alors qu'est ce que cette âme qui ne se meurt pas, qu'est-ce qui monte ? 

Comme nous le soulignons également dans le dossier magnétisme, l'âme est la résultante énergétique de la somme de nos pensées, émotions et résultantes de vécu, d'expériences au cours de nos vies. 

Une pensée, une émotion est de l'énergie et toutes s'inscrivent vibratoirement dans vos champs auriques et c'est la somme de ces pensées-émotions-persona sous forme d'énergie qui elle survit à la mort et que l'on apelle l'âme. 

Ainsi le siège des émotions c'est l'âme et non le cerveau. Le cerveau lui décode et impulse les informations au corps. Ainsi un cerveau détérioré pourrait ne plus renvoyer au corps émotions et sentiments, mais l'âme elle délivrée de ce cerveau défectueux les retrouverait toutes. 


Ou va t-elle une fois accueillie par les entités ? 

Dans une sorte de plan d'accueuil ou les âmes fraîchement arrivées restent de 40 jours à 6 mois selon leur capacité à accepter leur nouvel état de conscience, à mener une réflexion constructive sur leur vie juste finie, sur leur parcours qui s'inscrit sur plusieurs vies.

Bien évidemment elles sont entourées par d'autres âmes plus expérimentées et missionnées dans ce sens. Ensuite elles sont accueillies selon leurs mérites dans le niveau qui leur correspond : nous le verrons dans le chapitre prochain. (l'au-delà)


Toutes rejoignent-elles leur niveau ?

Non, dans certains cas, les âmes de personnes suicidées ou arrachées à la vie brutalement peuvent jusqu'à ce que l'on viennent les délivrer, rester attachées à un plan vibratoire terrestre par le remords ou l'incompréhension. 

En cas d'une mort brutale, certaines âmes ne se ressentent pas mortes (et elle ont raison), mais ne se rendent pas compte qu'elles ont quitté le plan de vie terrestre. 

Elles peuvent voir ce qui se passent sur terre, se trouvent à côté des vivants, essayent de leur parler.... et n'obtiennent rien... se retrouvent dans le désarroi et l'obsession...

Faire appel à la lumière pour se délivrer est parfois ce qu'attendent les guides de lumière pour venir les chercher.. alors que d'autres sont accueillies de suite.

Ne me demandez pas pourquoi, seules les hautes entités spirituelles en détiennent la raison. Parfois au détour d'une conversation avec nos guides, ils nous arrivent d'entrevoir une parcelle d'explication.

Sachez cependant que l'errance n'est pas forcément une punition, et toutes les âmes dites errantes ne sont pas toutes mauvaises. 

En ce qui concerne le suicide, nos guides ne l'aprécient guère car il est pour eux un moyen de fuir ce que l'on a à vivre, même si cela est des plus tragiques. Ce vécu est souvent leçon, renforcement de l'âme et est obligatoire pour monter de niveau. 

Dans certains cas, l'âme est tout de même acceptée dans son niveau après avoir reçue des explications sur la non-acceptation du suicide, il s'agit souvent de suicide faisant suite à des agressions barbares, viols horribles etc..., qui ne faisaient pas partie à l'origine du karma de la personne qui s'est suicidée. 

Pour se libérer les âmes errantes doivent à la fois chercher la lumière et être aidées à y être propulsées.  

Mais le phénomène de la libération est complexe, car les guides de lumière ne peuvent libérer une entité sans qu'il y ait eu une demande de faite par un vivant, un proche ou quelqu'un qui lui porte une affection ou qui s'y intéresse. 

Mais encore faut-il connaitre l'état d'errance de la personne, faire une demande et pouvoir communiquer avec les guides. Ainsi les prières aux défunts (ou groupe de prières) après un décès surtout brutal est donc d'un grand intérêt quelque soit la religion que l'on pratique. 

C'est entre autre une des missions des médiums sur terre qui peuvent alors coopérer avec le monde de lumière dans ce but quand des cas viennent à leur connaissance. 

Certains suicidés ou assassinés peuvent rester en errance une éternité si personne ne vient les libérer ou demander à les libérer, ou si telle est la volonté du neuvième.

Que font-elles ? Souvent elles restent prostrées et revivent leur mort sur les lieux de l'assassinat ou du suicide, ou tente de communiquer avec leurs proches ou les personnes qui vivent sur ces mêmes lieux.

En fonction de leur degré de compassion ces âmes peuvent chercher à les tourmenter ou juste communiquer leur infortune dans l'espoir d'être aidées, de se libérer ou de comprendre.

Et les assassins, les mauvaises personnes ? Sont-elles punies ?

A moins qu'elles-mêmes n'aient finies tragiquement, une fois passé le stade de la phase d'accueil, et selon la nature de leurs dérives, elles seront rééduquées plus ou moins longtemps afin de rejoindre leur niveau (1 ou 2) ou ils vont tenter d'amorcer une évolution, pour la vie suivante. 

Par curiosité, il nous est arrivé de poser la question sur la durée maximale de cette rééducation : il nous a été répondu un peu plus d'un demi millénaire.
Bien évidemment toutes les âmes n'ont pas besoin d'une telle rééducation. Tous les meurtriers ne sont pas psychopathes, et peut-être vais-je choquer profondément, ni mauvais.

Il s'agit simplement parfois d'une circonstance particulière qui les a fait basculer. Dans un autre temps, autre lieu, ces âmes là auraient pu peut-être, continuer à être Monsieur et Madame tout le monde. 

La rééducation dispensée à ces âmes, pour un même meurtre, ou une même dérive n'est pas la même selon l'intention attachée au crime. La durée de cette rééducation dépend d'ailleurs bien souvent de l'âme elle-même. Un manque de contrôle ne se rééduque pas de la même manière qu'une méchanceté gratuite.

Par rééducation il faut entendre compréhension de ce qu'elles ont ont fait subir aux autres en subissant elle-même au plus profond de leur âme (on ne peut dire mieux) souffrance, chagrin et douleur, jusqu'à ce qu'elle ressentent en elles compassion et véritable compréhension.

C'est le travail de guides de lumière (elles aussi ont été autrefois des êtres humains vivant sur terre) et qui aujourd'hui ont accompli tout le chemin et non plus besoin de réincarnation. 

Certains consultants m'ont demandé alors pourquoi l'humanité mettait tant de temps à devenir bonne ? 

Quand l'âme est plongée dans un environnement de lumière et d'amour il est assez facile de bien se conduire. De retour sur terre, et parachutée dans un monde loin d'être parfait et ayant oublié ce à quoi elle était destinée (amour et compassion), il lui est beaucoup plus difficile de choisir cette voie. 

Le parcours d'une âme ne vaut que par ses libres choix. L'obliger ou la programmer à l'amour n'aurait aucun sens. 

D'après nos guides, nous co-créons avec Dieu un monde appelé à la perfection de l'amour. Cette création doit être consciente et choisie. Ainsi nous évoluons tous de vie en vie afin d'atteindre ce but. 

Le créer dès le début n'aurait pas eu la même valeur pour ceux qui le vivront. Ce sentiment vous le connaissez. C'est celui de la fierté après avoir atteint un objectif qui n'était pas si simple à atteindre. Une fois atteint, vous avez vraiment l'impression de l'avoir mérité. Ce bonheur vous l'avez gagné et ce sentiment est encore bien plus précieux que le bonheur lui-même. 

On respecte très souvent bien plus ce pourquoi on s'est battu, ce pourquoi on a sué sang et eau car on en connait la valeur. 

 


08/08/2017
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la mort expliquée par l'au-delà

La mort expliquée par l’au-delà

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Il y a parmi nous et au-dessus de nos têtes toute une hiérarchie invisible d’êtres vivants et d’âmes qui vivent dans des au-delàs et comme nous, sur des planètes totalement invisibles à nos yeux. On appelle cela les dimensions, la terre a 10 dimensions, nous sommes dans la 3ème et au-dessus de nous, il y a les autres. La 4ème dimension est notre au-delà, la 5ème est une planète d’où venait le Christ et d’où viennent les grands magiciens de ce siècle, la 6ème est l’au-delà de la 5ème, la 7ème est une planète, la 8ème est l’au-delà de la 7ème, la 9ème est la dernière planète où nous irons avant d’aller dans la 10ème dimension qui est la dernière dimension avant la fin de vie des âmes. Avant cette vie, vous avez eu des milliers de vies (minérale, aquatique, végétale, animale puis humaine) et après celle-ci vous aurez encore des vies humaines à faire pour évoluer spirituellement. Vous êtes la somme de toutes ces vies qui constituent votre personnalité actuelle. Ainsi va la vie dans sa conception miraculeuse et divine.

Si nous acceptons les cycles de la vie et de la mort nous vivons sereinement et avec sagesse et raison notre vieillesse. A l’approche de la mort (passage de cette vie à celle dans l’au-delà) qui dure plus ou moins une heure, notre âme (fluide d’énergie) qui siégeait dans l’hypothalamus dans notre cerveau, sort par le fameux tunnel (qui est le chemin pour sortir du cerveau)  et la fontanelle (petit trou qu’ont les bébés au dessus du crâne), et la lumière que l’on voit ensuite c’est la lumière de l’au-delà. Le bilan de sa vie se fait avant la sortie de l’âme, on sait alors si on a eu une vie positive ou pas, puis vient l’illumination, état grandiose de sublimation totale de la vie, pour nous montrer comment nous devions VOIR la vie! Une fois sorti de son corps, on retrouve avec une joie immense les personnes que l’on aimait ou aimées de tous temps, pensez bien à cette joie au moment de partir. Vous pourrez aussi revoir vos animaux chéris.

Quand on sent que c’est la fin, il faut si possible être dans une grande paix et confiance, faire la paix avec tout le monde et en nous, pardonner, aller dans la paix divine, c’est très important. L’au-delà est un état invisible car vibratoirement plus élevé. Nous y restons près de ceux que l’on aime, que l’on continue de voir comme avant et d’ entendre. Nous sommes juste invisibles, plus jeunes et toujours là, bien vivants. Ceci est la vérité.

Une âme de lumière m’a dit:

« Quand on meurt, on quitte son corps, on le voit, et on est heureux de voir qu’on vit encore, on retrouve ensuite les personnes qu’on a aimé. Puis on vous voit et on vous entend tels que vous êtes réellement, comme vous vous voyez et entendez vous-mêmes. Nous sommes des corps de lumière qui tournons comme des toupies, et qui nous déplaçons à la vitesse de la lumière. Nous avons le don d’ubiquité c’est-à-dire que nous pouvons voir intérieurement plusieurs êtres  à la fois. C’est vraiment beau cette continuité.»

Les âmes n’ont pas de nom sauf le vôtre, de code, ou de numéro c’est la télépathie qui donne immédiatement le contact intérieur avec une autre personne, ou un animal… Ils se parlent en télépathie. Nous avons tous cette télépathie en nous mais les téléphones portables et autres font que nous ne savons plus l’utiliser.

Explication sur la mort, par un être de lumière de la 5ème dimension: Jaol

« Avant de mourir et quand c’est possible, il faut se laisser aller dans une grande paix, ne rien retenir, ainsi le passage se fait plus facilement. Soyez rassuré(e) la vie continue, vous allez retrouvez tous ceux que vous aimiez et vous restez sur terre près des vôtres. C’est une certitude qui vous fera plaisir.

Il faut savoir que nous avons tous un double  énergétique de nous-même (notre âme supérieure), dans l’au-delà. Ce double  a la même apparence jeune que nous avions dans notre jeunesse (17-30 ans) dans sa force la plus belle . Ce double a un esprit qui sait tout et qui est plus conscient que nous. Ce double est  un corps de particules extrêmement fines, très fluides. 

Quand on naît, l’âme de ce double se projette énergétiquement dans les particules de matière pour concrétiser notre corps. Nous sommes une projection d’énergie de notre âme supérieure(ou conscience). Cette projection se fait par électro-aimantation.

Quand on meurt, on réintègre ce double qui rajeunit notre corps 3 ou 4 jours après. Quand notre corps s’use ou que nous n’avons plus du tout de volonté (car il faut de la volonté pour vivre), et bien nous mourrons. A ce moment là, on quitte notre corps et on le voit et on voit aussi tout autour de soi comme avant de mourir, et notre famille qui nous accueille dans l’au-delà. On voit le visible et l’invisible.

L’illumination

Le passage entre les deux vies (le visible et l’invisible et de notre corps de matière à notre double) se fait d’abord par le passage « du tunnel », le fameux tunnel des NDE, qui aboutit à une lumière intense et pleine d’amour, qui est en fait, l’illumination, un état intérieur nimbé de sainteté et d’une grande beauté. Nous vivons un encensement total, on partage et ressent la vie la plus intime des fleurs, des animaux, des humains, etc.. Dans l’émerveillement et le respect. C’est sublime à vivre.  Cette illumination totale dure pendant un certain temps et peut donner la sensation d’être longue pour certains mais elle est très breve. Puis nous intégrons notre double.

Quand nous sommes dans l’au-delà, nous entendons toujours les voix des grands de la 5ème dimension que nous ne voyons jamais et  qui nous guident, et vivons un encensement total, on partage et ressent la vie la plus intime des fleurs, des animaux, des humains, etc.. Dans l’émerveillement et le respect. C’est sublime à vivre.

La sortie du corps par la fontanelle

L’âme sort de la fontanelle dans un craquement plus ou moins fort. On voit ensuite après l’illumination, notre corps « mort », et on voit et entend tout, comme avant. On se pose plein de questions car on ne se rend pas bien compte de ce qu’il nous arrive. pour certains, c’est vécu comme un rêve ou un cauchemar (Lire: Mes conversations avec l’au-delà). Plein d’âmes assistent à leur funérailles.

L’accueil de notre famille de l’au-delà

Notre famille céleste nous accueille pleine d’amour et nous conseille, il faut écouter les voix qu’on entend!!  Souvenez-vous d’écouter leurs conseils. Mais surtout on peut rester près de ceux qu’on vient de quitter ensuite. Quel bonheur de retrouver ses parents ou enfants décédés, c’est une joie incensée!!.

Le changement d’aspect physique

On change d’apparence physique quand nous réintégrons notre double par électro-aimantation,  nous retrouverons alors l’aspect physique de la plus forte période de notre vie, entre 18 et 30 ans en général. Et si nous mourrons très jeune, et bien nous reprendrons l’aspect physique de notre vie d’avant celle-ci. L’âme est une condensation d’énergie. On a toujours un cerveau et un coeur mais subtils. Quel bonheur pour les alzheimers de retrouver la mémoire, les aveugles de voir, les sourds d’entendre, les paralysés de bouger, les handicapés de marcher, les vieux de retrouver leur 20 ans!!!! C’est prodigieux!

L’aide aux nouveaux arrivés

Restera à nous donner l’énergie nécessaire pour être bien, une nième fois, dans cette nouvelle dimension, la 4ème, d’où l’importance des prières et du soutien d’amour, de respect et de tendresse des incarnés restés en 3ème dimension. Des êtres connus dans nos vies antérieures ou des parents et amis  viennent vers nous pour nous rassurer et nous expliquer ce qui se passe et nous dire d’être volontaire pour être lumineux, sinon on sera déphasé. On fait alors un effort et on décide d’accepter ce nouvel état. On est alors conseillé sur sa vie, on nous dit là tu aurais pu faire ceci ou cela car chaque seconde de notre existence est enregistrée, sans jugement ni culpabilité!!! On nous montre toutes les forces négatives et positives de notre vie. Sachant qu’il vous sera demandé, ce que vous avez fait pour les autres.

Vous pouvez rester très très longtemps dans l’au-delà si vous ne souhaitez plus vous réincarner, vous évoluerez quand même. Une demi-heure chez nous équivaut à 3 jours chez eux. Vous voyez comme ça peut être long, mais rassurez-vous, dans l’au-delà on ne vit que dans le présent.

L’engagement à faire le bien en devenant guide

Si on a pas réussi comme on le devait, notre vie humaine, alors on va agir positivement sur ce nouveau plan, en essayant de faire quelque chose de bien pour les autres. C’est par exemple, le rôle des guides ange gardien qui nous suivent tous les jours!. Dès que le choix est fait de guider quelqu’un, on leur recommande alors une personne incarnée de mêmes ondes qu’eux, et leur travail consistera à l’aider dans sa mission terrestre. Il fait d’abord un essai, il regarde vivre la personne incarnée et quand elle manque d’énergie, il lui envoie de l’énergie simplement en la regardant, cela se fait naturellement.

L’au-delà

L’au-delà qui est un état, pas une planète, est avec nous, à notre niveau. C’est là que nous allons quand nous mourrons. Nous serons alors dans un des 3 états possibles:

Le bas astral est un état intérieur de l’âme concernant les gens qui ont un mental difficile et qui font du mal.

Le moyen astral est un état intérieur de l’âme, plus pur et plus évolué.

Et l’astral supérieur est l’état intérieur des âmes très lumineuses et pures.

Le but étant d’évoluer suffisament pour passer à l’état de l’astral supérieur. On peut alors voir notre monde comme un monde merveilleux si l’on est soi-même très lumineux. L’au-delà est un état où il y a toujours une lumière qui ne fait pas d’ombre, appelée soleil vrai, le noir n’existe pas. ll faut absolument être en paix au moment de mourir, et essayer de ne pas avoir peur de mourir car en fait, ce n’est rien. Après on garde notre nature et notre caractère. Dans l’au-delà il y a des joyeux comme des moroses, des intelligents et des ignorants, des lumineux et des très ténébreux… comme ici!. Mais nous ne voyons que les êtres que nous avons aimé si nous le souhaitons. Ils sont des milliards dans l’au-delà, y compris les animaux, les arbres, les plantes etc… alors heureusement qu’on ne les voit pas tous, et puis on reste en général dans l’endroit qu’on a quitté, près de ceux que l’on a aimé. Il peut y avoir dans une même maison 2 ex maris d’une femme qui sont avec elle, sans qu’ils se voient.

Le karma

Il faut penser aux répercussions suite à nos actions. C’est une loi universelle qui dit: Tu es responsable de tes actes en raison de la loi de cause à effet ou karma. La vie est un combat qui nécessite de la bonne volonté, du courage, de la détermination à vouloir être bien en soi, d’avoir le désir de bien faire et d’aider les autres. Il faut accompagner sa vie et la redresser chaque jour dans le sens positif. Sinon, on le paye dans les vies futures.

Un autre témoignage 

« Même quand on meurt par accident, c’est que notre programme a été rempli et qu’on ne peut aller plus loin. La mort n’est pas prédestinée, elle peut être douce ou tragique, tout dépend de la personne. C’est une question de force intérieure et de souffrance individuelle. Si vous êtes dans une grande sérénité intérieure, confiant dans la vie de l’au-delà, les forces vitales  se défont tout doucement et vous partirez simplement comme si vous sortiez d’un gant. De l’autre côté nous nous retrouvons à l’intérieur d’une forme (le fameux double) qui ressemble à celle que nous avions sur terre et tout à coup nous voyons des êtres venir vers nous. Ils nous montrent tout ce qu’il y a de grand, de beau, et de merveilleux sur la Terre. Soudain, nous voyons avec un regard totalement différent et nous nous sentons ridicules d’avoir vécu notre vie d’homme petitement, enfermés dans notre égo, concentrés sur nos petites histoires terrestres personnelles. Tout devient immense! splendide! spirituel! J’ai du mal à trouver les mots pour vous l’expliquer. De l’autre côté, où résident les bons et les mauvais comme nous, l’obscurité n’existe pas, c’est au contraire la grande lumière!. On voit très clairement et il n’y a plus l’ombre d’une difficulté. Nous sommes, quand nous sommes des âmes lumineuses, dans la joie et le bonheur et nous apprenons et voyageons. N’ayez pas peur! Nous ressentons juste une petite détresse lorsque nous voyons le désespoir de ceux que nous quittons. Nous avons envie de rester avec eux. Nous voulons communiquer avec eux mais ils n’entendent pas ce qui est dur à vivre souvent. Sinon, nous sommes dans une grande fête intérieure, tout est clair, parfait. Nous devenons comme un faisceau lumineux ardent, conscient des forces de la vie autour de nous mais nous n’y participons plus. Les êtres que nous accueillons sont immédiatement dans la Lumière. Quand nous sortons du corps, nous échappons au phénomène d’attraction et de répulsion terrestre. Notre corps est devenu spirituel et ce n’est plus du tout pareil. Ce qui est difficile dans la vie terrestre c’est de faire mouvoir la matière. Si vous quittez la terre avec un mental lumineux et paisible, vous vivrez les premiers mois de votre arrivée dans le bonheur, si vous êtes défaits intérieurement ou traumatisés ce sera plus dur et plus long avant de vous en remettre. (voir témoignage d’Anne Franck). Le moment le plus difficile est celui où nous sortons de notre tête, instant que nous vivons comme un arrachement, mais une fois libéré on est heureux!. Soyez calme et tranquille. Si l’on meurt dans des tragédies, on remonte vers Dieu avec des petits noeuds, et quand on repart sur la Terre, à la naissance suivante, on retrouve le même bilan intérieur noué car on revient toujours avec les références bonnes ou mauvaises de notre dernière vie. Ceux qui partent dans la sérénité renaissent, au contraire comme une fleur!. Les êtres peu évolués ne cherchent pas à s’élever intérieurement et stationnent près de leur corps. Nous essayons de leur parler mais comme ils sont terriblement attachés à ce qu’ils viennent de perdre, ils n’arrivent pas à libérer leur esprit. Ceci est une phase momentanée. A l’instant où l’être humain sort de son corps, son cerveau se met à bouillonner, le film de son passé défile avec tout ce qui lui est arrivé sur Terre, toutes les émotions qu’il a eues, aussi est-il parfois sens dessus-dessous. S’il a été limpide tout se passe paisiblement. Sinon, la personne prend tout à coup conscience de ce désordre, essaye de se rassurer, en s’apercevant qu’elle a fait plus ou moins n’importe quoi. Les forces de la personne luttent au milieu d’informations qui sont relancées et qui ne trouvent pas le repos (le fameux tunnel). Il faut un certain ensuite pour que la personne trouve la paix. Ma mère a mis 9 ans, 9 ans de repos et yalla! Elle est repartie de manière magnifique! 3 jours chez nous équivaut à peu près à 15 jours chez eux.

En partant, dites: « Merci mon Dieu, reprends-moi. » Détendez-vous si vous le pouvez et laissez vous accueillir par votre famille céleste, aider et guider par les voix que vous entendrez en allant vers la lumière.

On dit: « Il ne faut pas déranger les morts » C’est archi faux, les forces données par nos amis ou famille sont pour nous, un grand bonheur! C’est une absurdité de penser que le contact nous dérange, au contraire, il nous donne de la joie! de la force! de la vitalité! Nous nous rechargeons grâce à vous!!. »

Ce que nous devons faire quand nous « perdons » quelqu’un

Ce qu’il ne faut pas faire c’est d’essayer de les ressentir car ça pompe leur énergie qu’on les tire à nous. Juste penser à eux, leur dire qu’on les aime et partager nos joies avec eux. Notre chagrin les rend malheureux et les épuise.

Faire un bon départ

Quelle que soit la vie qu’il a mené, quelles que soient ses erreurs, quand arrive le moment de quitter la terre, chacun peut au moins s’efforcer de partir dans un esprit de paix, d’harmonie, de réconciliation avec tous les êtres, et particulièrement avec Dieu. Dans la religion chrétienne, c’est le sens de l’extrême-onction.
L’extrême-onction, ce sacrement que le prêtre administre au mourant, est fondée sur un vrai savoir : l’état intérieur dans lequel un être humain vit ses derniers moments détermine la voie qu’il va suivre dans l’autre monde, et il joue aussi un rôle important pour sa prochaine incarnation, donc pour son avenir lointain. Ce sacrement est seulement une possibilité qui lui est donnée de quitter la terre dans les meilleures conditions, mais comme tous les sacrements il n’est pas indispensable en tant que rite. Il est destiné à aider ceux qui le reçoivent, mais chacun peut vivre ses derniers instants dans la lumière sans avoir reçu ce sacrement.

« Ce qui aide véritablement un être humain qui quitte la terre pour l’autre monde, ce sont les vertus qu’il a pratiquées pendant son existence. Alors, sachez-le, si vous avez vécu en harmonie avec l’Esprit cosmique, avec les lois de toute la nature vivante, quoi que l’on fasse de votre corps après la mort, et quoi qu’il arrive à ce corps, une lumière vous accompagnera parmi les ombres de l’au-delà. » Mickael Aïvanhov

 

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Les p’tits signes de l’au-delà

Le saviez- vous?

Les âmes qui partent deviennent plus lumineuses et plus performantes ensuite, certaines ont alors des pouvoirs comme celui de se manifester par des frissons, de la chaleur, ou en ordonnant à des petits oiseaux de venir régulièrement sous nos fenêtres, ou encore ils peuvent nous envoyer un sillage parfumé. C’est le cas de Sainte Rita qui embauma tout le monastère d’un parfum de rose, à sa mort, pour exprimer toute sa bonté.

Ma mère me fait un léger gratouillis dans les cheveux côté droit pour me manifester sa présence, grand-père lui c’est sur le sommet de la tête. Vous pouvez demander à ceux que vous aimez dans l’au-delà de vous montrer par un signe distinctif leur présence. Il y a aussi des ouvrages à lire sur les nombreux signes de l’au-delà.

 Il y a assurément, pour les plus lumineux d’entre nous, de belles surprises qui nous attendent dans l’au delà!.

 N.D.E et E.M.I, témoignage

J’étais très jeune, seize ans environ quand j’ai été terrassée par une immense frayeur alors que j’étais en voiture : un accident allait se produire et j’allais en mourir : la voiture allait passer sous un camion.

Ce fut une aspiration irrésistible dans un tunnel vers une lumière comme on n’en a jamais vu, ni même pu imaginer. Pendant ce passage, j’ai vu se dérouler tout le film de ma vie, en image mais aussi émotionnellement, avec mon être tout entier, si l’on peut dire corps et âme. Je n’ai  vu et ressenti que les moments  d’amour et de bonheur, comme si les difficultés ou les souffrances n’étaient pas prises en compte, un amour inconditionnel. Au bout du tunnel resplendissait un Être de lumière d’une blancheur éclatante ; pour moi, élevée dans la religion chrétienne, j’ai pensé au Christ. J’étais dans un état de totale béatitude, submergée d’amour, de bonheur, de paix, de douceur, il n’y a pas de mots qui puissent le définir…

Puis brusquement ce fut le chemin inverse, le tunnel dans l’autre sens, la même aspiration irrésistible, la réincorporation et la grande déception de me retrouver au point de départ, dans la voiture. À ma grande stupeur, l’accident ne s’était pas produit et je n’ai toujours pas compris comment j’avais pu y échapper, une amnésie totale du monde matériel, je ne me suis jamais souvenu  comment cet accident avait été évité.  J’ai été tellement choquée que je suis restée environ dix minutes, sans pouvoir prononcer une parole, les jambes vraiment coupées, avec l’angoisse même de rester muette et paralysée. J’ai été très soulagée lorsque j’ai retrouvé mes facultés, mais mon cœur a continué vraiment  à tambouriner un long moment.

Je pense que cela a été un “ flash ” d’une extrême rapidité, de quelques secondes au plus, mais d’une telle densité et intensité  que ce que j’ai vécu me semble vraiment indicible et que je pourrais en parler indéfiniment pour essayer d’en exprimer tout mon ressenti.  Il me semble même que de tenter de décrire cette expérience risque même d’en amenuiser le merveilleux, car les mots ne suffisent pas.

J’ai été véritablement marquée et, depuis, je n’ai jamais douté de la  survivance d’un état de conscience après la mort.  Cependant ce n’est que plusieurs dizaines d’années après que j’ai appris ce qu’était une NDE, lorsque je fus accompagnante en soins palliatifs, où j’ai pris connaissance des œuvres d’ Elisabeth Kübler Ross, de Raymond Moody, de Patrice van Eersel, du Père Brune et bien d’autres encore. J’ai appris alors, que c’était ce que j’avais réellement vécu.

Jamais je n’ai eu quelque angoisse par rapport à cette expérience, je n’ai jamais ressenti le besoin d’en parler; Cependant elle m’a beaucoup interpellée et  je pense qu’elle m’a donné un chemin de vie.

J’ai été confrontée tout au long de ma vie au monde médical : J’ai fait partie d’une équipe médicale en tant que kinésithérapeute dans les hôpitaux. Par la maladie, j’ai eu l’expérience des soins de réanimation.

Cette remarque est juste pour exprimer que l’état de coma, et les effets de la morphine s’ils donnent des effets « spéciaux » Une NDE n’a rien à voir avec une hallucination, j’ai bien été au  ciel avec des nuages roses et bleus, des petits anges et un grand bien être, mais ce n’est aucunement comparable.

Ces dernières années, j’étais accompagnante de malades en soins palliatifs. Je m’occupe actuellement d’enfants cancéreux et leucémiques. Ces diverses expériences m’ont confrontée à la souffrance, la mort et m’ont interpellée sur l’après mort.

J’ai constaté que comme une EMI une agonie était propre à chacun. Chaque agonie est unique et garde son mystère et je restais très interpellée par rapport à ce qui pouvait se passer dans le cerveau, de l’état de conscience, de la limite réelle entre la vie et la mort.

Il faut noter que de telles expériences ne sont pas toujours vécues généralement lors d’arrêts cardiaques et de comas ou de mort imminente. Certaines personnes les ont expérimentées simplement après un état de choc au cours d’un accident, une immense peur comme cela s’est produit pour moi, un lâcher prise lorsqu’on a eu la certitude de se noyer ou tout simplement au cours d’une promenade tranquille dans un parc, à la terrasse d’un café, ou encore comme le raconte Erik Pigani, grand pianiste classique lors d’un concert qu’il donnait. Ce dernier explique comment pendant qu’il jouait au piano, il était sorti de son corps, était passé dans la lumière et avait fait une expérience d’illumination magnifique. Lorsqu’il était revenu dans son corps, il avait terminé son morceau, mais il n’avait plus le souvenir de l’avoir joué ; il a été constaté que la qualité de l’interprétation avait été supérieure.

Les chercheurs comparent souvent ces expériences à des hallucinations produites par un traitement pharmacologique ou différentes drogues.

J’ai été moi-même en réanimation plusieurs semaines et si j’ai vécu des phénomènes paranormaux, il n’y avait aucune mesure avec un ressenti de NDE.

J’ai reçu une forte dose de « morphine » et effectivement je me suis retrouvée au-dessus de mon corps dans un état de bien-être total, entourée de lumière et d’anges emplis d’amour et de bonté, mais il n’y avait absolument pas cette sensation que tous les témoins affirment être « indicible » ou « ineffable », qui  marque pour le restant de ses jours.

Le suicide

Il est formellement interdit de se suicider.

Les gens qui se suicident arrivent presque toujours dans l’au-delà complètement défaits et il leur faut des mois, voir des années à s’en remettre.

Les envies suicidaires sont très souvent d’origine karmique, les mémoires de suicides ou de traumatismes de vies antérieures remontent à la surface dans des périodes critiques de l’existence et redonnent à la personne ce même désir ou le bouleversent complètement. Parfois les karmas sont tellements lourds (assassinats et ou suicides et ou viols et ou rejets et ou abandons dans plusieurs vies antérieures) que c’est très difficile à soigner. Mais en général les dépressions conduisant au suicide sont soignables à condition que la personne participe avec volonté pour s’en sortir.

Les pratiques hospitalières pour traiter les grosses dépressions sont désastreuses, les électrochocs lésent les neurones et affectent la mémoire, rendant alzheimer certains sujets. Il ne faut jamais en faire, c’est une catastrophe pour le cerveau. Les médicaments rendent les gens végétatifs incapable de volonté et de décision sur leur triste sort, ils se retrouvent à la merci d’une équipe de soignant ignorant que le mal des patients est karmique et que ce n’est qu’un magnétiseur qui peut les soulager et non des somnifères ou des anti-dépresseurs.

Pour éviter d’en arriver là, il faudrait procéder à un nettoyage karmique dès la naissance ou dès les symptômes alertants, et consulter un magnétiseur comme moi qui soigne les dépressions par le magnétisme.

Comprenez que l’origine du mal vient de nos vies antérieures, assistez toujours les personnes en détresse, rassurez-les en leur disant que ce sont des mémoires antérieures qui remontent, qu’il ne faut pas se focaliser dessus mais au contraire, ne pas y penser, être volontaire pour s’en sortir en se faisant aider, par un magnétiseur, une sophrologue, un kinésiologue, une psychologue etc…mais évitez l’hospitalisation.

Qu’est-ce qu’on fera quand on sera mort? bonne question n’est-ce pas?

Comme la mort n’est qu’un passage vers une autre vie, on a donc encore beaucoup de choses à vivre. Mon ange gardien (qui n’a pas d’ailes bien sûr) m’a dit ceci à ce sujet:

« Cela dépend de chaque individualité et de son évolution passée. Suivant cela, après notre mort et quand on  a un esprit clair, on voit immédiatement sa famille restée sur Terre ou les êtres chers des derniers moments. On sonde alors souvent le jour de notre enterrement, l’esprit de ces personnes pour savoir si elles nous ont aimé autant qu’on les a aimé. Selon la réponse, et si on est assez fort, on va se demander si on peut aider une personne qui nous était chère, et si on peut l’aider on restera près d’elle pour le faire, mais si on s’aperçoit qu’elle ne nous aimait pas et bien on peut décider de la quitter définitivement. On peut ignorer les choses et les êtres qui ne nous intéressent pas. On retrouve aussi les gens que l’on a aimé dans cette vie et dans d’autres, dans l’au-delà et quand on est rassuré dans ce nouvel espace, on se demande alors ce qu’on va bien pouvoir y faire. Et là, tout d’un coup, les choses s’ouvrent et il nous arrive un flot d’idées!!!. Suivant ses propres aptitudes, joies et intérêts on fait ses choix. Puis ensuite, on s’installe dans ces références en essayant de les prendre de A à Z. On commence donc à s’initier en cherchant parmi les humains, les personnes qui ont ces aptitudes communes. Par exemple, si on souhaite devenir chirurgien et bien nous irons observer un chirurgien et apprendre le métier de cette façon. On se dit alors: »Est-ce que je suis capable de faire ça dans ma prochaine incarnation? ». Certains étudient plusieurs disciplines à fond. D’autres restent près de leur famille car c’est toujours ce qui réchauffe l’âme. La plupart du temps on essaye d’aider les êtres chers en leur donnant des motivations et de l’énergie.

On a aussi des merveilles à découvrir car à chaque instant, notre regard sait apprécier la vie parce qu’on la ressent pleinement. On a l’impression que notre énergie explose de bonheur dans un gloria avec la plus petite chose regardée. On a l’impression d’être le frère de cette chose ou de cet être, de partager son ressenti, son être.

On voit vivre les humains et quand quelque chose ne nous plaît pas on part immédiatement vers autre chose sachant qu’on se déplace à la vitesse de la lumière.

On peut aussi faire les voyages que l’on veut sans se déplacer, on en a la vision grandeur nature.

On est toujours dans la lumière, le noir n’existe pas mais les âmes en souffrance sont dans une sorte de brume.

On peut plaisanter et discuter télépathiquement avec nos bons amis et les gens qu’on a aimé. On peut se reposer. Mais il y a des codes et des engagements à respecter quotidiennement pour l’évolution de l’âme.

Un autre côté positif de l’au-delà, c’est qu’on est au courant de tout immédiatement. Et si on pose une question on a immédiatement la réponse qui vient des grands de 5ème dimension qu’on entend mais qu’on ne voit pas.

Pour les êtres de l’au-delà tout est positif, ils savent que tout est important et que rien n’est négatif.

Le temps est très différent, plus long et plus tranquille. On a le temps de faire tout ce que l’on souhaite, calmement et on ne vit que dans le présent c’est pour cela qu’ils ont du mal à se remémorer certains souvenirs. Ils sont obligés d’aller voir dans les annales akashiques pour nous répondre

On a un corps qui a l’apparence de celui des incarnés car dans l’au-delà il y a de la matière mais elle est tellement subtile et la vibration tellement! tellement plus élevée qu’on a une apparence recomposée d’après l’âge dans lequel on était le plus fort dans sa dernière vie. Environ 20-30 ans.

Pour être bien dans l’au-delà, il faut arriver en paix, et être ensuite volontaire pour y vivre tout ce qui est possible d’y vivre, il faut être dans un bon état d’esprit, ce n’est malheureusement pas le cas pour tout le monde. « 

Nous venons ici de parler d’un départ normal dans l’au-delà mais il faut savoir que les âmes traumatisées comme celles qui ont vécu des tsunamis, tremblements de terre, les camps de concentration ou une mort tragique arrivent dans l’au-delà tellement choquées, terrifiées et traumatisées qu’il est dans cet état, impossible de les aider. Par contre, on leur envoie des forces pour que leur temps de souffrance leur paraisse un peu moins long. Elles peuvent rester ainsi, en détresse des mois voir des années. Mais dès qu’elles tapent du pied pour repartir en avant, alors là, on peut les aider et elles vont mieux. Sinon, elles ont l’impression de vivre un cauchemar sans fin. Et les âmes aidantes de l’au-delà doivent conserver leur énergie c’est pour cela qu’elles désertent ces âmes en souffrance extrême au moment des drames, parce qu’elles leur pomperaient toute leur énergie.

Une âme choquée ne peut pas être aidée, il faut qu’elle s’apaise pour recevoir. Toutes les âmes interrogées disent la même chose.

« Comme vous j’ai eu peur d’elle, j’ai douté, mais là je ne doute plus du tout!! Après plusieurs années de conversations avec les belles et aimantes âmes de l’au-delà, je sais maintenant que mourir n’est qu’un petit passage vers la 4ème dimension, globalement plus douce et plus belle et spirituelle que la nôtre. Si je peux vous communiquer à travers ce blog tous mes enseignements, toute ma connaissance, pour parvenir à vous rassurer, à vous enlever tout doute et peur, alors j’aurais accompli un merveilleux travail. » Chanelle

Il est grand temps d’apprendre à mourir, à l’aube de l’ère spirituelle du Verseau. 

Besoin d’aide? Contactez-moi :  contact@lacompassion.net   puis voir les soins de Chanelle à travers le monde

 

 


14/04/2017
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SENTIR UNE PRÉSENCE : LES ESPRITS SONT-ILS PARMI NOUS ?

Sentir une présence : les esprits sont-ils parmi nous ?

SENTIR UNE PRÉSENCE : LES ESPRITS SONT-ILS PARMI NOUS ?

Les esprits sont-ils parmi nous ? Ne vous est-il jamais arrivé de ressentir un coup de froid soudain, sans raison apparente ? N'avez-vous jamais entendu un bruit qui ne correspondait à rien de ce que vous connaissiez, ou qui ne devait pas se produire à ce moment là ? Les esprits sont souvent à nos côtés, voici quelques signes de leur présence.


LES CHANGEMENTS DE TEMPÉRATURE,

LES SENSATIONS CORPORELLES

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Sentir une présence peut passer par des changements de température soudains, alors que rien ne le justifie. Une vague de froid vous traverse tout à coup, alors qu'il ne fait pas particulièrement froid ? Ou au contraire, vous sentez comme une bouffée de chaleur, alors que la température n'a pas monté ? Pas de doutes, il s'agit de la présence d'un esprit.

Il se peut également que vous ressentiez un grand frisson vous parcourir, sans ressentir particulièrement de changement de température. Le frisson vous traverse, de la tête au pied, tous vos poils se hérissent, comme si vous aviez la chair de poule. Il se peut également que vous ressentiez un courant d'air, alors qu'aucune fenêtre n'est ouverte.


LES SENSATIONS QUE QUELQU'UN

NOUS TOUCHE

Sentir une présence peut également passer par la sensation que quelqu'un vient nous caresser, sur différentes parties du corps, ou simplement nous toucher. Cette sensation peut être très effrayante, comme elle peut être apaisante.


LES SENSATIONS VISUELLES ET DE

RESSENTIS

Certaines personnes sentent la présence des esprits grâce à la vue : il se peut que les esprits se manifestent sur l'écran mental (nous voyons les esprits grâce à notre âme), c'est-à-dire en fermant les yeux. D'autres personnes, notamment des médiums avec une grande capacité de ressentis, parviennent à les voir les yeux ouverts, sous forme de sensations visuelles floues, ou bien d'apparition d'une énergie ou de l'aura de quelqu'un (couleur).

 

LES MANIFESTATIONS SONORES

Sentir une présence peut aussi se manifester par des sons, du bruit. Il est difficile de dresser une liste, car il peut s'agir de bruits très différents, aussi bien des bruits courants (un bruit de pas ou un bruit de casserole par exemple) ; mais parfois ce sont des bruits effrayants : des coups, de plus en plus fort, des cris.

Parfois, les esprits se manifestent en faisant fonctionner nos objets de la vie courante : la télévision qui s'allume toute seule, le four qui se met à sonner, le téléphone qui émet un « bip » alors que vous n'avez reçu ni message ni appel...

Il arrive parfois que, lorsque le silence se fait autour de vous, vous perceviez une discussion, des voix, qui ne viennent de nulle part. Dans la rue, vous pouvez vous retourner parce que vous avez entendu votre nom, alors que personne ne vous a appelé.


13/11/2017
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LA CATOPTROMANCIE : LA DIVINATION PAR LE MIROIR

http://www.journaldelavoyance.com/art-divinatoire/la-catoptromancie-divination-par-le-miroir

La catoptromancie : la divination par le miroir

 

 


la divination dans un miroir

La catoptromancie est une méthode de voyance qui permet, par le biais d’un miroir, de percevoir des images concernant le passé, le présent, ou le futur.
Cette mancie, qui fait appel à la puissance du subconscient et dont le support est un objet magique au symbole fort (le miroir), doit être pratiquée avec précaution. Cette méthode de divination qui permet de répondre à certaines questions amoureuses notamment est parfois appelée la cataptromancie ou la captromancie.

 

Un pouvoir millénaire

Issue de l’hydromancie, divination qui utilise la surface réfléchissante de l’élément eau pour délivrer des présages, la catoptromancie est une méthode qui existe depuis l’Antiquité. Elle est née en Mésopotamie et en Chaldée avec l’apparition des premiers miroirs fabriqués en métal poli (bronze, cuivre, argent ou or) dont se servaient les mages pour délivrer des prédictions.

Censé être habité par les esprits de défunts qui s’attachent à guider les vivants, le miroir devient l’objet magique par excellence. Elément omniprésent durant les rites mortuaires chamaniques, il va s’avérer être aussi un moyen de lire l’avenir pour les enfants Romains auxquels on confère, malgré leur jeune âge, le pouvoir d’interpréter des présages.

Grands utilisateurs de la divination par l’eau, les Grecs vont associer la catoptromancie avec l’hydromancie, en prenant soin d’attacher une cordelette au miroir avant de le plonger dans le bassin d’une fontaine dans le but d’y voir apparaître une image reflétant l’état de santé du consultant. Ce rituel de divination est évoqué dans une œuvre de Pausanias, écrivain Grec du IIe siècle.

Taxée au Moyen-âge de pratique liée à la sorcellerie, la catoptromancie accuse une perte d’intérêt général dans cette époque troublée par l’hérésie.
La Renaissance marque un regain d’activité considérable pour la divination par le miroir, dont Catherine de Médicis (1519-1589) fut une fervente utilisatrice.

Un objet magique

La catoptromancie et sa faculté à projeter la vision du consultant dans une dimension « parallèle » est souvent évoquée dans divers contes et légendes : il y est fait mention dans le célèbre film d’animation de Walt Disney « Blanche Neige »; elle apparaît également dans une ancienne tradition Anglo-saxonne qui assure à toute jeune fille se regardant dans un miroir en tenant une bougie à la main le soir d’Halloween, de voir l’image furtive de son futur époux s’y refléter.

Mais d’autres légendes au parfum de soufre rappellent que la catoptromancie n’est pas une divination qui se pratique à la légère, telle celle de « Bloody Mary », sorcière du folklore occidental surnommée « la vierge sanglante » qui apparaît à quiconque invoque son nom devant un miroir.

Le miroir de l’âme

Il est important de garder toujours à l’esprit qu’une séance de catoptromancie peut se révéler dangereuse pour tout individu qui n’est pas suffisamment armé émotionnellement et psychiquement. En effet, fixer durant de longues minutes un objet lumineux (en l’occurrence un miroir éclairé par une bougie) est susceptible de provoquer des hallucinations.

Déroulement d’une séance de catoptromancie

Une séance de catoptromancie doit se dérouler dans une ambiance calme, propice à la concentration du consultant.
Le type de miroir choisi importe peu, le principal étant qu’il puisse être positionné de façon à refléter la lumière de la bougie, qui va être posée sur un meuble stable pour plus de sécurité. Il est par contre primordial que ce miroir soit réservé uniquement aux séances de Catoptromancie. Il faut le couvrir d’un drap ou le cacher dans un placard dès la séance terminée, afin qu’aucun visage autre que celui du consultant ne puisse s’y mirer.

Le point lumineux dégagé par la bougie va être fixé à travers le miroir. Le consultant va poser sa question mentalement, sans cesser de regarder cet halo de lumière. Progressivement, une brume va envelopper le reflet de son visage et une vision va alors lui apparaître. Il lui faut être très attentif à cette image qui ne sera visible qu’une fraction de seconde avant de s’éteindre.

C’est au consultant de faire l’analyse de sa vision, qui peut être liée à un événement de son passé, de son présent, ou bien refléter un élément de son futur.

Encore utilisée de nos jours dans l’Afrique Subsaharienne, la catoptromancie est un art divinatoire qui demande une grande implication personnelle du consultant dans l’interprétation des images perçues.

Article écrit par Gwenaelle Tourray

10/11/2017
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les scientifiques ont découvert que l'âme ne meurt pas, elle est renvoyée à l'univers

 

 lors d'un malaise cardiaque, j'ai sentie que les particules de mon corps se volatilisaient de chaque côté
 
 
 
 
 
 
les scientifiques ont découvert que l'âme ne meurt pas, elle est renvoyée à l'univers
 
 
 

Selon deux éminents scientifiques, le cerveau humain serait un « ordinateur biologique » et la conscience des humains un programme dirigé par l’ordinateur quantique situé à l’intérieur du cerveau qui continue d’exister après la mort.

Comme les experts l’expliquent; « Après que les gens meurent, leur âme revient à l’univers, et elle ne meurt pas. »

Le débat sur l’existence de l’âme et si elle est immortelle ou meurt avec la personne est une histoire sans fin qui pendant des siècles a occupé le temps des grands penseurs de l’ histoire universelle. Sa nature mystérieuse continue de fasciner les différents domaines de la science, mais maintenant un groupe de chercheurs aurait découvert une nouvelle vérité à ce sujet: « l’ âme ne meurt pas; elle retourne à l’univers .

Depuis 1996, le Dr Stuart Hameroff, un physicien américain émérite du Département d’anesthésiologie et de psychologie, et Sir Roger Penrose, physicien mathématique à l’Université d’Oxford, ont travaillé sur une théorie quantique de la conscience dans laquelle ils affirment que l’âme est maintenue dans des micro-tubules des cellules du cerveau.

Leur théorie provocatrice affirme que l’âme humaine est contenue par les cellules du cerveau dans les structures à l’intérieur appelées micro-tubules.

Les deux chercheurs pensent que le cerveau humain est en fait un ordinateur biologique et la conscience de l’être humain est un programme géré par l’ordinateur quantique à l’intérieur du cerveau qui continue d’exister même après notre mort.

En outre, les deux scientifiques affirment que ce que les humains perçoivent comme la «conscience» est en fait le résultat de  la «gravité quantique» des effets situés dans les soi-disant «microtubules». Ce processus est nommé par les deux scientifiques «Orchestrated Objective Reduction» (Orch- OU).

La théorie indique que lorsque les gens entrent dans une phase connue sous le nom de «mort clinique», les microtubules situés dans le cerveau perdent leur état quantique, mais gardent l’information qu’ils contiennent. En d’autres termes – comme les experts l’expliquent, après la mort d’un individu, leur âme retourne à l’univers, et elle ne meurt pas ».

Tandis qu’il s’adressait à la chaine Science Channel dans le documentaire Wormhole, le Dr Hameroff a déclaré:

«Disons que quand le cœur cesse de battre, le sang cesse de couler; Les microtubules perdent leur état quantique. L’information quantique au sein des microtubules n’est pas détruite, elle ne peut pas être détruite, et elle se contente d’être répartie et de se dissiper dans l’univers en général. Si le patient est ressuscité, réanimé, cette information quantique peut retourner dans les microtubules et le patient dit «J’ai eu une expérience de mort imminente.» S’ils ne sont pas réanimés, et que le patient meurt, il est possible que cette information quantique puisse exister en dehors du corps physique, et cela peut-être indéfiniment, comme une âme.

 

http://www.espritsciencemetaphysiques.com/scientifiques-ame-ne-meurt-pas-univers.html

Selon la théorie de ces deux scientifiques, l’âmes humaine n’est pas mieux que des «interactions» de neurones dans notre cerveau et pourrait avoir été totalement créée depuis le commencement de cette création.

Source âme ne meurt pas : www.quantumconsciousness.org / www.theatlantic.com


08/08/2017
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les guérisons inexpliquées

http://www.doublecause.net/pdf/Nexus_Guerisons.pdf

 

 

Provoquées par un guérisseur ou par des prières, les guérisons inexplicables continuent de dé er la médecine et la science. « Je le soignai, Dieu le guérit », disait Ambroise Paré, père de la chirurgie moderne. Aujourd’hui, les guérisseurs interviennent à l’hôpital.

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janvier -février 2010

LQuand

es guérisons inexpliquées ne surviennent pas seu- lement dans un contexte religieux, encore qu’il s’agisse souvent d’un contexte « spirituel ». Robert Tocquet, dans Les Mystères du surnaturel, expli- que que les guérisons « paranormales » semblent résulter d’actions psychoso- matiques, mais il cite une enquête de 1954 de la British Medical Association qui conclut en faveur d’une action des « guérisseurs spirituels », « dans certains cas ». Il est vrai que le corps est capable d’autoguérison, jusqu’à des cas spec- taculaires de rémission spontanée du cancer par exemple. Dans Les guérisons miraculeuses, Pierre Lunel raconte le cas d’un malade à qui l’on avait enlevé les deux tiers de l’estomac atteint d’une tumeur grosse comme le poing avec métastases au foie. Ce malade a guéri, faisant mentir les statis- tiques, mais surtout, il n’avait plus aucune trace de son cancer quand on l’a réopéré douze ans plus tard pour retirer la vésicule biliaire. Le National Cancer Institute américain a recensé envi- ron 550 cas de ce genre dans le monde. Certaines « survies extra- ordinaires » concernent des pronostics qui étaient jugés fatals dans 100 % des cas, comme le cancer du pancréas. Lunel note que les malades ont souvent guéri après un événement, qui peut être une infection virale, une opération, ou même un choc émo- tionnel. Certains patients qui ont été « ouverts » puis « refermés » sans intervention du chirurgien, ont guéri en attribuant cette

guérison à l’opération.

La « maman miracle »

Dans quelque contexte qu’elles surviennent, les guérisons inex- plicables ont sans doute des points communs, estiment les auteurs du collectif Les guérisons inexpliquées sont-elles miraculeu- ses ? (L’Atelier, 2009). Dirigé par Pierre Calvet, docteur en méde- cine, le livre est co-signé par un pasteur protestant, un philoso- phe, un ancien chirurgien et encore deux autres médecins. Oui, le psychisme joue un rôle, tout comme l’e et placebo (lire p. 28), mais il serait temps de considérer « l’impact d’énergies non encore élucidées et la part à donner à l’inexplicable », annonce l’ouvrage, qui entend briser le dialogue de sourds entre « l’inexpliqué » et « le miraculeux ».

On nous a récemment narré le « miracle de Cincinnati », qui a fait

la médecine s’incline

les gros titres outre-Atlantique. Lori Smith, une jeune fem- me de 38 ans, est soudain prise de violents maux de tête quinze minutes après son quatrième accouchement. Elle fait une « coagulation intravasculaire disséminée », convulse, et sombre dans un coma profond avant de faire deux arrêts cardiaques récupérés après 49 minutes de réanimation. Au bout de treize jours de coma, les médecins envisagent de la « débrancher » compte tenu de son activité cérébrale et ainsi que la loi de l’Ohio les y autorise. Le mari se rend auprès de son épouse accompagné de leurs trois enfants de 6, 8 et 12 ans pour lui faire leurs adieux. « Maman, si tu nous aimes et que tu nous entends, ouvre les yeux ! » lui dit la petite Megan, 8 ans. Et là, l’incroyable se produit : Lori ouvre

les yeux. En quelques heures elle fait des progrès fulgurants, et la voilà capable de parler au bout de trois jours. Quelques semaines plus tard, elle sort de l’hôpital et déclare : « Je ne suis ici que grâce à l’aide de ma famille et aux prières que j’ai re- çues ». Pour son mari, aucun doute : « Dieu a fait

un miracle », d’autant qu’un groupe de prière de 70 personnes s’était constitué. D’ailleurs la presse américaine l’a appelée « la maman mi- racle ». Rappelons que l’e cacité de la prière sur la guérison a été mise en évidence par plusieurs études scienti ques*.

Canaux d’énergie

Alors, énergie vitale, amour, foi? Est-ce la même chose ? À en croire les guéris- seurs de nos villes et nos villages, oui. Car si le retour de Lori est bien sur- venu dans un contexte religieux, ils sont nombreux parmi les guérisseurs- magnétiseurs à se dire simples « ca- naux » d’une énergie ou d’une volonté qui guérit à travers eux. « Ne me remerciez pas, remerciez Dieu ! » a coutume de dire Emmanuel Marcos, qui témoigne dans

le documentaire de Jean-Yves Bilien, Les guérisseurs, la foi et la science. La dé- couverte du don tient d’ailleurs parfois du miraculeux. Emmanuel Marcos ra- conte qu’il a entendu une voix lui parler dans la nuit du 15 août 1984. Au matin, il va voir sa voisine, 87 ans, paralysée des jambes depuis 25 ans. Il impose ses mains, ressent à la tête une douleur ter- rible qui disparaît ensuite. Quelques mi- nutes plus tard, la voilà qui marche sans boiter. « J’en ai pleuré pendant cinq ans », con e M. Marcos. Son confrère Pierre Bévelot explique : « Quand je travaille je dis “on” : moi et celui qui me guide la main et qui guérit. En 1970, j’ai été appelé pour donner

mon sang à un jeune homme atteint d’une leucémie doublée d’une septicémie. Il était dans le coma, mais j’ai voulu le voir avant. Il s’est réveillé de son coma et je lui ai dit de tenir le coup. Huit jours après il sortait de l’hôpital guéri. C’est lui qui m’a parlé de magnétisme, je ne savais pas ce que c’était. » Le guérisseur qui guérit sans le savoir en donnant son sang, uide vital par excellence...

Barreur de feu

Aujourd’hui, ils sont nombreux à intervenir dans les hôpi- taux et cliniques, à la demande même des médecins. « Un homme est arrivé brûlé au deuxième degré sur plus de 80 % de la surface du corps, raconte le Dr Françoise Niertaven, chef d’un service d’urgences. Or, il n’avait absolument aucune douleur. Une in rmière m’a dit : c’est normal, il a fait appel à un barreur de feu. » Elle poursuit : « Une autre fois, j’ai envoyé une patiente au service des grands brûlés, à Lyon. Ils m’ont demandé ce que je lui avais fait avant, car elle était guérie au bout d’une semaine alors qu’ils pensaient la garder trois mois. » Mais le plus spectaculaire, explique-t- elle, « c’est les enfants qui pleurent dans les bras de leurs parents. On appelle le barreur de feu au téléphone, parfois sans le dire aux parents, et on entend l’enfant qui s’arrête de pleurer. Il ne pleure plus pendant les pansements, donc for-

cément, il s’est passé quelque chose. »

Dépassée, la médecine?


Vierge noire de l’église de Thuret (Auvergne).

« Aux États-Unis, l’énergéticien accom- pagne l’anesthésiste pendant l’opéra- tion d’un patient », explique Jean-Luc Bartoli, magnétiseur. Nous avons à apprendre du pragmatisme amé- ricain, car cette pratique reste of- ciellement illégale en France. Quelques scienti ques se sont pen- chés sur l’action des guérisseurs, et proposent une théorie assez sédui- sante. Les mains des guérisseurs émettraient des ondes de 7,8 Hz, tout comme les ondes cérébrales en état de relaxation. Celles-ci seraient reçues par le cerveau du patient, au niveau de la glande pinéale, ce qui remettrait l’organisme « en cohéren- ce » avec l’environnement, car cette fréquence n’est autre que celle du champ magnétique terrestre, ap- pelée résonance de Schuman. Plus simplement, un guérisseur évoque- ra son « secret » ou « les prières »...

*www.passeportsante.net, rubrique Appro- ches complémentaires/thérapies/prière.

.LCes lieux qui soignent es édi ces religieux, tout comme les temples païens, seraient orientés en

fonction des in uences cosmo-telluriques. Spécialiste en géobiologie, Jacques
Bonvin a publié plusieurs ouvrages sur la question. Dans un ouvrage en préparation, il raconte l’histoire de l’église de Thuret, en Auvergne. Seule église de toute la chrétienté consacrée pour la guérison des cancers, elle est toujours le théâtre de guérisons,

dont témoignent de nombreux ex-votos,
mais il s’agit aussi et avant tout d’élévation spirituelle. Selon l’auteur Gilles Gandy, certains lieux sacrés sont
« pollués » par les pensées liées au pouvoir, au dogme, etc. Il existe en revanche « quantité de lieux sacrés méconnus ou inutilisés car un peu éloignés des routes, explique-t-il. Par exemple, la plupart des pierres dites “du diable”, “à sacri ce”, “de l’enfer”... sont en fait de magni ques lieux de guérison ». Attention!
« Protégés par des auras très fortes, ils interdisent à toute personne d’approcher sans conscience, ce qui leur a valu au cours des siècles leur réputation sulfureuse. »

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Le Curé d’Ars,

le saint guérisseur

Jean-Marie Baptiste Vianney (1786 -1859), curé du village d’Ars (Ain), est proclamé « saint » en 1925 et « patron de tous les cu- rés de l’univers » en 1929. Il voit les saints, converse avec les anges gardiens et connaît les péchés de chacun. Au cours de sa

vie, il entre plusieurs fois en lévitation et après sa mort, son corps s’avérera in- corruptible.

Arrivé en Ars en1818, il fonde rapidement une école pour lles, devenue orphelinat, et
prend soin des plus
pauvres. Au propre
comme au figuré,
il donne tout à ses
paroissiens – au
départ deux cents
paysans – et passe,
à la n de sa vie, jusqu’à seize heures par jour à confesser. Il meurt d’ailleurs d’épuisement à 73 ans. Le Père Philippe Caratgé souligne lors du colloque d’Ars 2009 (citant Alfred Monnin, 1864) qu’il s’agit avant tout pour le curé d’Ars « de guérir les plaies de l’âme ». « Quand on est tombé dans un gros péché, disait-il, il faut avoir recours au médecin, qui est le prêtre, et aux remèdes, qui sont les sacrements. » Dès lors, on a souvent comparé l’église d’Ars à un hôpital, « le grand hôpital des âmes », comme l’a écrit Monnin. Et aussi : « Il savait l’endroit du cœur où il fallait frapper ; et le trait manquait rarement son but... Ce que d’autres n’auraient pu par de longs discours, il l’opé- rait d’un seul mot. » Il guérit l’âme qui elle- même guérit le corps. Mais certains parois- siens se comportent avec leur âme, dès la sortie du confessionnal, comme un malade guérit qui se planterait un couteau dans le ventre ! Sur la maladie, il démontre que l’amour divin est indissociable du respect du libre arbitre : « On ne doit pas enlever la croix à des épaules qui savent si bien la porter. » Mais si la sou rance résulte d’une forme de « négativité », il encourage le pénitent à s’ouvrir à la miséricorde divine.

 

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Capables de prodiges, guérisons et prophéties, les thaumaturges se sont révélés dans le cadre de l’Église, comme le curé d’Ars et Padre Pio, mais aussi en marge
de celle-ci, comme Bruno Groening
en Allemagne ou Maître Philippe
de Lyon en France. Portraits.

 

 

Bruno Groening,
le « Dr Miracle »

Né en Pologne, Bruno Groening (1906 – 1959) constate très jeune qu’il in uence positivement les êtres autour de lui. Il exerce divers métiers manuels puis, en 1949, il devient célèbre pour guérir des centaines de personnes de graves maladies lors de dis-

cours publics.
Le
« Dr Miracle » se réfère à

«une puissante force venant du cosmos », et compare Dieu à une inépuisable source d’énergie vita- le, un « courant guérisseur ». L’homme est un récipient qui doit se remplir de cette force, en se «branchant» au moins deux fois par jour. La maladie est la conséquence matérielle

Nés pour guérir

  

Maître Philippe de Lyon, le « chien du berger »

« Je suis le plus petit, c’est pourquoi de grandes choses peuvent se faire par moi, mais je n’ai pas de mérite », disait celui qui réalisait des prodiges quotidiens à l’école de ma- gnétisme de Lyon. Nizier Anthelme Phi- lippe (1849-1905) est petit, « fort » et large d’épaules. La force vitale n’est pas pour lui un courant, mais une Lumière qui représen- te l’union du « Aimez-vous les uns les autres ». Il en découvre les pouvoirs dès l’âge de 7 ans. Au collège, il annonce la guerre de 1870 et prédit le

réchau ement climatique !
Il entame des études de médecine, mais se fait renvoyer de l’hôpital pour avoir guéri un homme à qui l’on devait couper la jambe. « Lorsqu’on a besoin de quelque chose d’utile, il n’y a ja- mais lieu de s’inquiéter, disait-il, le Ciel nous le donne ». Peut-être une bonne dé nition des synchronicités (lire p. 31). On raconte qu’il faisait aussi gronder le ciel à volonté, se calmer la mer, et s’évanouir les sceptiques. Une sorte de miracle ambulant doué d’ubiquité, ne dormant quasiment pas, et qui, au tournant du siècle, se lie avec des ducs russes, puis le Tsar Nicolas. Celui- ci tente de lui obtenir un diplôme de docteur en France. Il en obtient nalement un de l’université du Wisconsin, dans des conditions « paranormales », puisqu’il n’a pas quitté Lyon... Il est reçu par les Francs-Maçons comme un maître. Il met également au point quelques médicaments et divers appareils de physi- que. Son cœur malade lâche en août 1905, à l’âge de 56 ans. Médecin, soldat, ou « chien du berger », il se disait catholique, mais ses rapports avec l’Église sont restés distants. Il condam- nait l’occultisme et le spiritisme, et considérait l’Évangile com- me le véritable enseignement.

de « l’écart » entre Dieu et l’homme, via l’accumulation d’énergie néga- tive. « Dieu est le plus grand médecin », dit-il. Il invite cependant chacun à ne pas croire aveuglément ses propos, mais à faire l’expérience en soi-même et ressentir le courant guérisseur. À l’époque, son cas défraye la chroni- que et e raie les sceptiques. Un immense débat s’empare de l’Allemagne, et des con rmations médicales sont apportées. Il déchaîne les passions et s’attire les foudres à la fois de médecins in uents, d’ecclésiastes, de juristes et même d’anciens collaborateurs.

À la mort de Bruno Groening à Paris en 1959, son procès culmine, et le ju- gement ne sera jamais prononcé. Comme ses illustres semblables, il conti- nuerait à guérir après sa mort. Un médecin sceptique, Gerhard Blaettner, a été récemment convaincu lorsque sa femme - après plusieurs de ses patients - a brutalement guéri de polyarthrite rhumatoïde, suite à l’étude des enseignements de Groening. Lui et ses confrères ont étudié et validé plus de deux cents cas de guérisons liés aux enseignements, dont des migraines, névralgies sévères, paralysies après accident vasculaire, toxicomanies...

Padre Pio,
une vie de prodiges

La jeunesse de Francesco Forgione (1887- 1968) à Pietrelcina, Italie, est déjà tournée vers Dieu. Il voit le Christ, il a des extases à 15 ans. Il entre au couvent des Capucins de Morcone en 1902 et prend le nom de Pie (Pio). Il se passe de nourriture pendant plu- sieurs jours, pour seulement communier, et commence à « recevoir » les stigmates dès 1911. Le Vatican le fait examiner après qu’il ait manifesté les stigmates et une transver- bération, soit un « transpercement spirituel du cœur par un trait en ammé », qui provo- que un réel saignement du cœur (comme Sainte Thérèse d’Avilla). Un bébé est guéri sous ses yeux dans son église, suite à l’invo- cation de Marie. Il guérit une jeune femme de 24 ans d’un bras handicapé: l’os et le cartilage sont reconstitués. La guérison est précédée d’e uves de parfum, jonquilles et roses...

Ces fragrances seront parfois perçues à des distances considérables du Padre Pio. En écho au curé d’Ars, les guérisons du corps visent celles du cœur. Il est examiné par des médecins, mais déclaré sain (et il sera déclaré « Saint » par Jean-Paul II en 2002). Des cas de bilocation sont signalés, aux- quels s’ajoutent des constatations d’hyper- thermie, d’inédie (privation de nourriture et boisson plus de deux mois), et même des rumeurs de lévitation. Dans les an- nées 1950, le scandale nancier qui touche l’Église catholique l’amène à être relevé de ses vœux de pauvreté pour gérer les fonds de ses dèles, qui ne sont pas sans attirer moult convoitises. À partir des années 60, le « commerce » autour du Padre devient tel que l’Église limite ses apparitions pu- bliques, et ren oue ses caisses au passage. Lors de ses funérailles, il apparaît à la foule sur toutes les vitres de la façade du couvent de Sainte-Marie des Grâces.

 

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Du chapelet

Aujourd’hui, les Lneurosciences

De nombreuses études ont constaté les e ets béné ques sur la santé de pratiques spirituelles, ou simplement de

la relaxation.


vont plus loin en identi ant ce qui se passe réellement dans le cerveau.

’interface esprit/cerveau conserve l’essentiel de son mystère. C’est le « problème di cile » de la conscience, identi é par le philosophe australien David Chalmers. Perspective matérialiste ou pas, la façon dont les deux entités interagissent reste incomprise. Ce qui est certain, pour le neuropsychologue québécois Mario Beau- regard, c’est que « dans l’e et placebo comme dans les théra- pies cognitives, les croyances de la personne modi ent la réponse du cerveau. Or, si l’esprit était quelque chose d’impuissant, on ne pourrait pas observer ces résultats. » Par exemple, une per- sonne atteinte de phobie ou de TOC (trouble obsessionnel compulsif) va être capable, grâce à une thérapie compor- tementale, de « reprogrammer » son cerveau en mobilisant son attention. De nouvelles pensées vont se substituer aux pensées intrusives ou phobiques, et un nouveau circuit neuronal va remplacer le circuit pathologique, comme on l’observe ensuite en imagerie cérébrale. Pour Mario Beau- regard, « l’interprétation la plus simple est de considérer que ce qui se passe au niveau psychique a une in uence au niveau neu-

robiologique. »

Prière « à l’insu de son plein gré »

Ces observations viennent confirrmer une quantité impressionnante d’études mettant en évidence que des activités telles que la méditation, la relaxation, la prière, etc., sont

 

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béné ques à la santé et favorisent la guérison. Edward Larson a e ectué, dans son livre The Faith factor, une revue détaillée de 158 études médicales portant sur l’e et de la religion ou de la spiritualité sur la santé, dont 77 % faisaient état d’un bilan clinique positif. Une autre étude portant sur 400 personnes âgées de plus de 64 ans a montré que des ac- tivités de nature spirituelle étaient associées à un meilleur taux de survie. À l’inverse, on a montré qu’une relation con ictuelle avec « la religion » augmentait le risque de dé- cès chez des patients malades et âgés. Le lien de causalité n’est peut-être pas si évident et il ne s’agit pas de donner des gages dé nitifs aux croyants. Ce ne sont pas les croyan- ces elles-mêmes qui sont béné ques, puisque di érentes pratiques religieuses donnent des résultats semblables, mais bien les états mentaux qui en découlent.

D’autres études ont été plus controversées, car elles por- taient sur la « prière d’intercession », qui consiste à prier pour la guérison de quelqu’un d’autre, parfois à son insu. Une étude portant sur 1800 patients opérés du cœur n’a pas montré que les prières orientées vers leur guérison avaient un e et quelconque. Pire, ceux qui savaient que l’on priait pour eux se sentaient encore plus mal que les autres ! Pour- tant, William Harris avait montré en 1999 que « la prière d’intercession, complémentaire, à distance, en aveugle, produit une amélioration mesurable des indicateurs médicaux chez les pa-

au scanner

 

Ce ne sont pas les croyances elles-mêmes qui sont béné ques, puisque différentes pratiques religieuses donnent
des résultats semblables, mais bien les états mentaux qui en découlent.

tients gravement malades ». Et d’autres études l’ont con rmé, mais dans le cas des opérés du cœur, il a été avancé que ceux qui savaient que l’on priait pour eux pouvaient s’en ef- frayer en se pensant réellement à l’article de la mort. C’est ce qu’on appelle un e et nocebo, contraire au placebo.

Éveil accéléré

Une étape supplémentaire est franchie avec les études qui montrent que l’éveil induit par une forme de bénédic- tion produit des modi cations dans le cerveau. Le cher- cheur allemand Christian Opitz s’est penché sur le cas de la « bénédiction d’unité » appelée deeksha, telle qu’elle est pratiquée par Sri Bhagavan au sein de la Golden Age Foundation, en Inde. Selon ce dernier, l’éveil peut être transmis comme une grâce, et se réaliser en quelques se- maines. Opitz a étudié les scans cérébraux de personnes à di érents stades d’éveil et observé qu’ils présentaient des caractéristiques communes : baisse d’activité dans les lobes pariétaux, liés au sentiment de soi et à l’orientation dans l’espace ; et hausse d’activité dans les lobes frontaux, principalement le gauche, lié au sentiment de bonheur et de bien-être. Ceci con rme selon lui un processus d’éveil en marche, comme si le deeksha installait en premier lieu le « câblage » neuronal, puis que l’expérience subjective de la personne se transformait peu à peu. Opitz en déduit

également que l’expérience mystique « sauvage » peut être déstabilisatrice et pathologique précisément parce que le cerveau n’est pas prêt pour l’intégrer. Chez des disciples indiens de Sri Bhagavan et Amma, Opitz a observé que la zone appelée « septum pellucidum », associée à l’humeur et la joie, était « énorme », alors qu’elle est sous-active chez la plupart des gens et très réduite chez les dépressifs. Au niveau hormonal, il note également l’augmentation de la production d’ocytocine, l’hormone de l’amour et de la con ance. Sri Bhagavan insiste sur la nécessité d’avoir des relations sociales et personnelles harmonieuses, où l’on rejoint Maître Philippe et les « pensées justes » qui devaient accompagner ses soins (lire p. 24).

Nouveau cerveau

Le chercheur danois Erik Ho mann a étudié les tracés EEG (électroencéphalogramme) de douze personnes partici- pant à un « séminaire d’éveil » en Inde. Il constate d’abord « une forte tendance des deux hémisphères à fonctionner de fa- çon plus symétrique ». Ensuite, il observe une augmentation des ondes cérébrales gamma dans les lobes frontaux, qu’il traduit par une activation du « nouveau cerveau », indispen- sable au processus d’éveil et à l’état d’unité. En e et, de telles ondes gamma ont été observées par Richard David- son chez des méditants bouddhistes zen expérimentés. Selon Mario Beauregard, ces ondes gamma seraient toute- fois liées à l’e ort d’attention qui est requis dans ces for- mes de méditation. En revanche, il a lui aussi observé que certaines personnes ayant vécu une expérience de mort imminente (NDE) conservaient également une trace dans le cerveau. D’ailleurs, plusieurs cas de guérisons spectacu- laires ont été constatés après une telle expérience. Ainsi, le mystère demeure, mais le potentiel de la conscience semble illimité.

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Placebo : l’inconscient guérisseur

Du latin « je

plairai », l’e et jplacebo renvoie

 

aux ressources extraordinaires de notre conscience dans le processus de guérison.

anis Schonfeld est une architecte d’intérieur âgée de 46 ans et vivant en Californie. Elle est au bord du suicide quand elle trouve assez de courage pour s’enrôler dans une étude clinique sur la dépression. Après quelques examens préliminaires, elle est im- patiente d’essayer ces nouvelles pilules si promet- teuses. Et les promesses sont tenues : sa vie est repar- tie sur de bons rails, même si les e ets secondaires pénibles comme la nausée sont bien présents, mais son in rmière l’a prévenue. À sa dernière visite à l’hôpital, le médecin lui annonce qu’elle est guérie de sa dépression, une authentique guérison. Toute- fois, elle fait partie du groupe contrôle de l’étude, celui qui a pris un placebo, autrement dit une pilule sucrée sans aucun e et pharmacologique. « Le seul médicament qu’elle avait reçu était une substance im- matérielle et immortelle : l’espoir », écrit le neuropsy- chologue Mario Beauregard qui relate cette histoire dans son livre Du Cerveau à Dieu. « Dans l’e et placebo, les croyances de l’individu et ses attentes au niveau du traitement semblent in uencer l’activité du cerveau dans la durée, explique-t-il. On a donc une causalité qui s’exerce du mental au cérébral. » Et Mario Beauregard de citer une étude de l’université de Colombie bri- tannique à Vancouver avec des patients atteints de la maladie de Parkinson (dans laquelle un groupe de neurones cesse de produire de la dopamine) : « Les patients qui croyaient le plus à l’e cacité du traitement, soi-disant révolutionnaire, sont ceux dont le cerveau a produit le plus de dopamine, en quantité comparable avec des individus sains, alors même que leurs cellules à dopa- mine étaient détruites à 80 %. Il y a donc un lien entre ce qui est vécu au niveau mental et l’e et neurobiologique subséquent. »

 

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L’effet blouse blanche

Tous les médicaments sont testés
« versus placebo » pour démontrer que
leur e et est supérieur, ce qui ne s’ob-
serve souvent qu’à la marge, comme
avec les antidépresseurs. Le simple fait
de voir un médecin en blouse blanche
produit un e et placebo, qui peut être
aussi négatif (on parle alors d’e et no
-
cebo). Le Dr Bernard Thouvenin explique
dans
Les Voies de la Guérison que « pratique-
ment tous les symptômes de toutes les maladies
peuvent réagir au placebo étudié en double aveugle,
même le diabète, l’angine de poitrine (angor, sou ran-
ce du cœur) et le cancer. La douleur est particulièrement
“placebo sensible”, même les douleurs cancéreuses, peut-
être en raison de la libération d’origine psychique des endo- morphines. »
Selon Mario Beauregard, l’e et placebo ne doit pas être confondu avec les processus naturels de guérison : « Il repose spéci quement sur la croyance et la conviction men- tale qu’un remède particulier sera e cace. » Mais ce qu’il met en jeu, ce qu’il mobilise, relève bien d’une extraordinaire capacité d’autoguérison. Parmi les cas les plus spectaculai- res, Mario Beauregard cite celui d’une personne invalide en raison d’atroces douleurs aux genoux, qui se retrouve guérie après une intervention chirurgicale « simulée ». On a pratiqué trois petites incisions au niveau du genou, immé- diatement recousues... Lève-toi et marche !

Les sceptiques ont beau jeu d’attribuer à l’e et placebo toutes les guérisons inexpliquées, mais le problème est seu- lement déplacé, car encore faut-il comprendre comment il fonctionne et la réalité qu’il recouvre.

Vers une psycho-spiritualité?

Énergie vitale, S expérience


transpersonnelle, chamanisme...

De plus en plus de psys

ouvrent leur cabinet à

ous l’in uence du nombre croissant d’études qui démon- trent l’e cacité de pratiques comme la relaxation, la méditation ou la prière sur la santé, le regard de la médecine et de la psychologie a commencé à changer en Occident. Certes, les positions des sociétés savantes ou instances scienti- ques, frappées d’inertie, n’évoluent qu’à la marge. Mais les pratiques des thérapeutes et leur conception de la maladie sont en pleine révolution. « Le rationnel a du bon, mais il peut être destructeur, estime Alain Perreve-Genet, cardiologue et psychiatre. Molière l’avait bien compris. Les médecins ne savent pas dire “je ne sais pas”, alors ils nomment les choses même quand ils ne compren- nent pas. » Ainsi, l’adjectif « psychosomatique » renvoie à une totale ignorance des causes, plutôt qu’à un savoir objectif. De même, on nomme « e et placebo » le fantastique potentiel d’autoguérison dont chacun est porteur, sans avoir la

moindre idée des mécanismes en jeu.

Conspiration du silence

« Quand on discute avec des scienti ques en privé, il y a beaucoup plus d’ouverture qu’on pourrait le croire, observe le neuropsychologue Mario Beauregard. Mais ils disent : nous devons penser à notre carrière, à nos crédits de recherche, etc. Il y a une sorte de conspira- tion du silence, qui est aussi une réaction de peur. » C’est donc du terrain que viennent les évolutions en cours, des thérapeutes eux-mêmes, mais aussi et surtout du public qui exerce une pression croissante pour que l’on prenne en compte non seulement le corps de l’individu, mais également les dimensions émotionnelle et spirituelle de son existence. En témoigne le succès de l’association Inrees1 fondée par le journaliste Stéphane Allix, et qui vient de publier un Manuel clinique des expériences extraordinai- res à l’usage des thérapeutes mais aussi des curieux et passionnés. Contributrice de

l’ouvrage, la psychologue Isabelle de Kochko observe le basculement engagé : « Ce qui m’étonne toujours quand on parle de l’extraordinaire est la précipitation super - cielle à trouver des explications dites rationnelles qui sont parfois bien tirées par les cheveux, même dans les milieux psy qui devraient être plus ouverts. » Quand on ne comprend pas, on dit trop facilement que « ce n’est pas possible » ou que « ça n’existe pas », ajoute-t-elle. Mais elle juge « tout aussi étonnantes » les réac- tions plutôt con dentielles de professionnels de santé qui parlent de dons qu’eux-mêmes possèdent : voyance, prémonition, magnétisme... « Comme il y a quelques années avec l’hypnose, les jeunes psychologues chercheurs qui briguent

des postes universitaires ne doivent pas trop se compromettre », relève-t-elle.

l’inexpliqué.


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Notes

1. Institut de recherche sur les expériences extraordinaires
2. Eye Movement Desensitization & Reprocessing (Intégration neuro- émotionnelle par les mouvements oculaires)
3.
Bien réel le Surnaturel, et pourtant... (Avec Marc Menant, Alphée 2009)


Paradoxe

Thierry Janssen, ex-
chirurgien devenu
psychothérapeute, a
lui-même parcouru le
chemin qui mène d’une
médecine mécanisée,
quasi déshumanisée, à
une approche globale,
holistique, de la per-
sonne et de son trou-
ble.
« La guérison est un
concept qui permet de
faire le lien entre le corps
et l’esprit,
explique-t-il.
Dans les cultures asia-
tiques, qui n’ont jamais
séparé le corps et l’esprit,
l’énergie est au centre
des systèmes de guéri-
son : Prana en Inde, Qi en
Chine, Ki au Japon, etc. »
Le paradoxe est que la science, la médecine elle-même, ne croit pas à l’énergie vitale, comme le constate fort juste- ment le biologiste canadien Bernard Grad. Nous passons en n de la biochimie à la biophysique, avec une prise en compte graduelle de la notion d’énergie (voir NExUs n° 65). En référence aux rois thaumaturges (« Le Roi te touche, Dieu te guérit »), Thierry Janssen note qu’en Occident « beaucoup de guérisseurs ont un mythe personnel. Ils insistent sur un par- cours initiatique, passé par la sou rance et au bout duquel il y a comme une révélation extérieure, qui leur donne une connexion, une légitimité. » Au nal, ils se disent « connectés à plus grand qu’eux, à ce mystère de la vie que beaucoup appellent Dieu. »

Traumatismes effacés

Psychiatre, neurologue et lui aussi auteur à succès, David Servan-Schreiber a rencontré le prodigieux au détour du virage intellectuel qui fut le sien. Parmi les méthodes qu’il présente dans son livre Guérir, l’EMDR2 est véritablement spectaculaire, et encore plus incompréhensible pour la science que tous les concepts d’énergie vitale. Comment en e et les mouvements oculaires rapides (comme dans le sommeil du rêve), associés au rappel d’un souvenir trauma- tisant, peuvent-ils faire disparaître les (graves) symptômes liés à ce traumatisme? Victimes d’attentats, de viols, té- moins de scènes de massacre..., ils ont perdu le sommeil et la sérénité depuis des années. Et voilà que quelques séances d’EMDR e acent littéralement toutes les composantes psy- cho-émotionnelles associées au traumatisme pour ne lais- ser que le souvenir lui-même...

Dans le domaine de la maladie mentale, on gravit encore une marche vers l’inconnu. « Freud a découvert l’inconscient en étudiant l’hystérie », rappelle le psychiatre Serge Tribolet, qui a le sens de la formule: le «fou» n’a pas une case en

 

 

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Pour Olivier Chambon, psychiatre,
les expériences de type chamanique, présentent

des « propriétés thérapeutiques originales ».

moins, mais une case en plus ! « À qui sait entendre, le délire dit beaucoup, écrit-il dans son dernier livre3. Réduire la folie à la maladie mentale est une grave erreur en même temps qu’une faute éthique ! La folie n’est pas l’expression d’une carence, mais la manifestation d’une capacité supérieure, capacité à dépasser le mur de la connaissance rationnelle pour accéder à un savoir com- parable à celui que pouvait transmettre la pythie (oracle grec). »

Expériences chamaniques

Parmi les vécus autrefois systématiquement asso- ciés à la folie, les expériences transpersonnelles sont aujourd’hui vues d’un autre œil. « Après Freud et Jung, on a découvert que l’inconscient humain est beaucoup plus vaste qu’on le croyait, souligne Mario Beauregard. L’esprit hu- main et la notion de soi peuvent varier énormément, au-delà du temps et de l’espace, jusqu’à des expériences d’identi ca- tion avec tout l’univers, de conscience cosmique. »

La psychologie transpersonnelle est aujourd’hui un qua- trième courant reconnu de la psychologie aux États-Unis. Olivier Chambon, autre psychiatre formé à l’EMDR, s’in- téresse désormais aux expériences de type chamanique, qui présentent à ses yeux des « possibilités insoupçonnées », autant que des « propriétés thérapeutiques originales ». Ainsi, les voies d’exploration ne manquent pas pour tenter de comprendre un peu mieux un être humain décidément multidimensionnel.

Synchronicités :
petits miracles au quotidien


Les coïncidences fascinent les hommes depuis l’Antiquité, mais elles n’ont pris le nom desynchronicités – lorsqu’elles sont hau-
tement signifantes –, que suite aux travaux de Carl G. Jung avec le physicien
Wolfgang Pauli. L’épisode qui a mené
le grand psychologue suisse sur la piste
des synchronicités est connu : une pa-
tiente lui rapporte un rêve dans lequel
elle reçoit en cadeau un scarabée d’or.
Jung entend alors un léger choc contre
sa fenêtre; il ouvre et recueille dans
sa main un scarabée (cétoine) doré. Il
précise dans
synchronicité et Paracelsica
qu’un tel événement ne s’était jamais
présenté à lui avant, ni ne s’est repro-
duit ensuite. Précisément ! pointent les
sceptiques : Jung attribue du sens à ce
qui n’est qu’une coïncidence, entière-
ment due au hasard. Qui n’a fait l’ex-
périence de s’intéresser aux synchro-
nicités et d’en voir soudain partout ?
C’est donc bien que l’on projette du sens sur ce qui n’en a pas. Autrement
dit, c’est de la
« pensée magique » ou du « délire d’interpréta- tion ». À moins que le monde se mette réellement à « faire sens » quand on le regarde autrement. Certaines synchro- nicités peuvent en e et relever d’une forme de « miracle », lorsqu’elles permettent par exemple de débloquer une si- tuation, de répondre à une question fondamentale, ou d’in- diquer un chemin à suivre

« Concomitance d’événements reliés par le sens et non par la cause. » Derrière la dé nition austère, se cache un phénomène lumineux que nous avons tous expérimenté.

Anges encyclopédiques

J’ai personnellement trouvé dans une foire aux livres d’occasion un ouvrage auquel j’avais pensé le matin même, tout en ayant oublié le titre. N’y pen- sant plus l’après-midi, je suis allé di- rectement au fond de la salle et ce livre est le premier que j’ai sorti d’un car- ton. L’écrivain Arthur Koestler parlait d’« anges encyclopédiques » à propos de ces aides inattendues qui nous mettent entre les mains l’information livresque que l’on recherche. Ainsi, un livre tom- be parfois ouvert à la bonne page! De façon générale, beaucoup voient l’in- tervention de leur « ange gardien » ou de leur « guide » dans ces coïncidences signi antes.

Auteur de plusieurs ouvrages sur le su- jet, Jean Moisset donne des exemples pour distinguer coïncidence, sérialité et synchronicité. Au cours de vos va- cances, vous rencontrez un ami : c’est une coïncidence. En plus de cet ami, vous rencontrez deux autres connais-

sances pendant votre séjour: c’est la sérialité. Mais, vous rendant sur votre lieu de vacances à Arcachon, vous voyez une a che des Antilles qui vous fait penser à des amis par- tis vivre à la Martinique et dont vous êtes sans nouvelles depuis quinze ans. Arrivés sur place, vos voisins immé- diats sont ces mêmes amis : synchronicité. Autre exemple, d’avant l’ère des téléphones portables : vous passez devant

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une cabine téléphonique et le téléphone sonne. Vous décrochez et avez au bout du l un

ami qui cherchait à vous joindre mais s’est trompé de numéro!

« Tout me parle »

Il faut tout de
même prendre
garde à ne pas
voir des signes là
où il n’y en a pas.
L’écrivain Michel
Cazenave a ainsi
proposé que la syn-
chronicité soit à l’ori-
gine de la somatisation,
c’est-à-dire la « symbiose »
corps-esprit qui fait que nous
tombons malades apparemment
sans cause. Dans son livre
Ce qui est
caché aux sages et aux intelligents
, Thierry Salmeron met en garde contre les faux signes, produits du mental, et les vrais qui sont le ré- sultat d’une présence consciente. Il cite les propos d’un grand chef indien : « Tout ce qui passe près de moi, me parle ». « Vous êtes guidés vers le meilleur pour vous, par des signes acces- sibles à vos sens », ajoute-t-il. Mais il va très (trop ?) loin en expliquant que le libre arbitre est néfaste, puisqu’il nous donne des choix permanents alors qu’il su rait de suivre des signes qui nous sont « destinés ». Le libre arbi- tre serait ainsi à l’origine de la chute d’Adam et Ève.

Lâcher-prise et intuition

Le psychologue Jean-François Vézina, qui a
publié
Les Hasards nécessaires (Éditions L’Hom-
me 2002), estime avec Michel Cazenave que
« les synchronicités se produisent plus fréquem-
ment en période de tension psychique, alors que la
forme symbolique habituelle du rêve n’a pas réussi
à se faire entendre. »
Il ajoute : « La synchronicité vue sous cet angle n’est pas nécessairement “un cadeau magique” comme elle est parfois décrite dans le langage populaire. Encore que la souf- france peut être perçue comme une grâce. Je suis toujours amusé lorsque je lis dans un livre ou un article cette phrase : “Provoquez la synchronicité dans vos vies !” En réalité, la synchronicité échap- pe au contrôle du moi. On ne peut que se rendre disponible aux messages de l’inconscient qui empruntent cette voie. »

Être disponible aux messages de l’inconscient, cela revient à développer son intuition, peut-être en « lâchant prise ». La

 

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« lueur vacillante de notre intuition», comme l’appelle Jean-François Vézina, peut nous permettre de recon- naître des processus symboliques qui se déploient sous la forme de motifs, de « pentes qui nous attirent et nous conduisent imperceptiblement vers telle person- ne, tel travail, tel auteur ou encore tel pays. » L’identi ca- tion de ces processus et motifs est un apport majeur de Jung, selon

J.-F. Vézina.

Lien quantique

Mais Jung y voyait plus encore qu’un cheminement. Les synchronicités ma- nifestaient selon lui l’unité du monde, l’Unus Mundus, à travers des relations « acausales » (sans relations de cause à e et) dont il voyait un écho certain dans les propriétés déroutan- tes de la physique quantique. C’est pourquoi il a travaillé sur le sujet avec Wolfgang Pauli, prix Nobel de physique en 1945. On sait en e et aujourd’hui de façon certaine que des particu- les élémentaires ayant interagi – par exemple des photons - restent connectées via un lien mystérieux et acausal. Toute mesure sur l’une des particules modi e instantanément l’état de l’autre, mais sans transfert d’information. Il n’y a pas de « communication » entre elles, mais la physique contemporaine est obligée d’accepter qu’elles forment un seul et même système phy- sique, non local, même si elles se trouvent éloi- gnées de plusieurs milliards d’années-lumière

l’une de l’autre.
L’aspect initiatique des synchronicités a été mis en exergue dans des romans tels que
La

Prophétie des Andes (James Red eld) ou L’Alchimiste (Paulo Coelho). Être davantage à l’écoute, plus conscient, plus pré- sent au monde, voilà qui ne saurait nuire. La coïncidence renvoie au hasard, mais le hasard, comme le miracle, n’est qu’une question de point de vue. Souvenons-nous que l’idéogramme chinois qui traduit le mot « hasard » désigne en fait la notion d’appariement, de couplage. Ainsi le Yi Jing (Livre des Transformations) reposait tout entier selon Jung sur un « principe synchronistique », qui fut sa première proposition de l’idée même de synchronicité.

Selon Jung,
les synchronicités manifestaient l’unité du monde, l’
Unus Mundus,
à travers
des relations
« acausales » dont il voyait un écho certain dans les propriétés déroutantes
de la physique quantique.

 

 

 

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Thierry Salmeron* : « La vie donne tout, c’est ça le miracle »

NEXUS: Considérez-vous une synchronicité comme un miracle? Thierry Salmeron: La réponse passe obligatoirement par cette question essentielle: « Qu’est-on venu faire sur cette terre? » Lors d’une NDE, j’ai vu ce que nous étions réellement, le terme le plus approprié serait: des êtres de lumière. Nous sommes venus jouer dans le jeu de la vie avec ce corps (une sorte de scaphandre) qui nous permet d’expérimenter. Et ça, c’est déjà un miracle. Nous rentrerons chez nous à notre mort. Pour le jeu, nous avons oublié qui nous sommes.

L’utilité d’un miracle, comme par exemple se nourrir de lumière, est discutable puisque nous sommes venus ici-bas pour expérimenter la matière. Je préfère donc manger une tarti ette que de la lumière. Dans cet oubli de ce que nous sommes, nous avons le pouvoir de créer. Nous sommes des créateurs. Nous pouvons donc mettre derrière chaque miracle une construction personnelle ou collective. Tout en sachant que nous sommes capables de tout puisque notre corps sur terre est relié à ce que nous sommes réellement et qui dépasse totalement notre compréhension humaine.

Nous n’avons pas de mission, mais nous recevons un enseignement quotidien ici-bas, car nous sommes à l’école de la vie. Ça, c’est le miracle de la vie. Et il supplante aisément n’importe quel autre miracle.

Dans vos ouvrages, vous distinguez les « vraies » synchronicités des fausses, créées par le mental. Pouvez-vous expliquer?
Je ne dis pas synchronicité, mais signe de la vie qui n’est qu’une pièce de puzzle. La vie en action est un miracle.

Il n’y a pas de bons ou de mauvais signes de la vie. Le signe est neutre. Nous rentrons dans l’erreur à partir du moment où nous voulons donner une explication à ce que vous appelez une synchronicité. À partir du moment où l’intellect limité (et pour beaucoup, malade) veut expliquer la magie d’un signe de

la vie, c’est la dérive, et nous en faisons quelque chose de préjudiciable.

Vous avez vécu une NDE. Considérez-vous cela comme un miracle?
Une NDE n’est pas un miracle. À l’instar d’une maladie grave, cancer ou autre, c’est une expérience forte faite pour les bourricots, pour les derniers de la classe à l’école de la vie. Pour moi, à l’époque, j’étais très jeune et ça a été un réveil. J’en ai ramené des devoirs à la maison. Expliquer aux gens
la vigilance, la conscience pour qu’ils se sortent de leurs histoires à dormir debout qui leur font oublier le pourquoi
de leur venue sur terre: expérimenter et transcender. D’où le passage obligé: la vigilance pour collecter, la conscience pour avancer. Lors de la NDE, des êtres de lumière (comme vous et moi) m’ont demandé de rendre les gens conscients.
En montrant l’exemple, déjà. En écrivant, en parlant.

Quel rôle joue la vigilance dans la perception des signes de lavie?
La vigilance est l’observation neutre de ce qui sort de l’ordinaire. Il y a les signes directs, voire grossiers: vous vous demandez s’il est judicieux de prendre la voiture ce soir alors que nous sommes en vigilance orange à cause des pluies; vous en faites part à un ami et un camion de pompiers passe à côté de vous, sirène hurlante. Vous pouvez quand même tenter l’expérience, pour ma part, la vie me parle, j’écoute, je n’ai pas de temps à perdre en expériences traumatisantes.

Il y a les signes indirects, comme un verre qui tombe et casse,

tout ce qui sort de l’ordinaire et qui représente une pièce de puzzle, car pris séparément, il ne mène à rien. Et pourtant, beaucoup se tricotent une histoire avec rien.
Il y a des signes tout au long de la journée et le jeu de la vie consiste à les collecter sans chercher à comprendre. Beaucoup ne verront pas un verre qui tombe et casse, certains le verront et d’autres en prendront conscience. Dans ce cas, c’est qu’on l’a mis en lumière comme quelque chose sortant de l’ordinaire. Ceci est important car, alors, il s’enregistre de lui-même dans notre fabuleux cerveau. Le cerveau stocke cette pièce qu’il associe aux autres pièces du même puzzle. Tout à coup, c’est la prise de conscience. Le fameux Eurêka! Sans qu’il n’y ait aucune intervention volontaire de notre part. La prise de conscience n’est pas prévisible, car elle ne dépend pas d’une ré exion intellectuelle. Une évidence apparaît qui ne souffre d’aucune contradiction. Le problème, si c’en est un, c’est que si vous devez expliquer intellectuellement ce que vous avez trouvé, les mots

Il y a des signes tout au long de la journée et le jeu de la vie consiste à les collecter sans chercher

à comprendre.

ne pourront traduire cette vérité.

Alors que faire de ces signes de la vie ?

Dès qu’il y a cette prise de conscience, une expérience suit qui va valider
votre trouvaille. N’oubliez pas que
nous sommes venus pour cela : expérimenter dans la matière. Il n’y a que l’expérimentation qui s’inscrit dans nos cellules. L’intellect n’imprime rien.

Ce que je viens de vous dire est formidable pour une personne consciente. Et banal, voire décevant pour une personne inconsciente. La personne inconsciente s’ennuie dans la vie car elle ne sait pas qu’elle est à l’école de la vie. Pour elle, tout est banal et elle a besoin de miracles spectaculaires. Ces miracles ne lui servent à rien dans ce qu’elle a à faire ici-bas. La personne consciente va collecter quotidiennement ces pièces de puzzle utiles puisqu’elles

lui apportent des réponses et des directions pour ce qu’elle a à faire ici-bas. Vous voulez du fantastique? La collecte quotidienne des informations et la prise de conscience n’ont pas encore été découvertes par les scienti ques. Ça le sera dans quelques années après que des cobayes humains auront été bardés d’électrodes.

Vous l’avez en prime time.

Selon vous, qu’est-ce qui se joue lorsqu’un grand thaumaturge comme Padre Pio produit un miracle ?

Padre Pio nous montre la puissance de la pensée. La puissance de la foi. Il aurait juste fallu y rajouter la

conscience qui fait défaut à la religion. J’ai assisté à de nombreux miracles. J’ai vu des cancers guérir dans la

journée, des gens pointer leur doigt sur quelqu’un et leur faire une marque indélébile, etc.

Padre Pio s’est créé des stigmates. Ceux de sa croyance.
Si vous avez du temps à perdre, créez-vous des trous où vous

voulez, je peux vous assurer que vous en êtes capable.
Pour ma part, je me contente de ceux que la vie m’a donnés...

Peu de temps avant cet article, j’ai vécu des expériences et collecté des informations dont je ne savais quoi faire. Les questions

de NEXUS sont arrivées, elles collaient aux réponses que j’avais collectées. La vie donne tout, c’est ça le miracle.

Propos recueillis par Sylvie Gojard

*Auteur de plusieurs ouvrages sur la vigilance, dont Ce qui est caché aux sages et aux intelligents (voir boutique p. 110)


01/08/2017
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comment mieux vivre un décès

Mieux vivre le décès de ceux qu’on aime

Mieux vivre le décès de ceux qu'on aime dans Comment mieux vivre un décès? 309893_300674056609338_100000002373078_1320825_1795423111_n

Quand un être cher (humain ou animal)nous quitte, c’est toujours très douloureux. Les liens tissés au fil de la vie sont si forts qu’il y a une grosse perte d’énergie pendants ces moments-là.

Cependant, s’ouvrir, croire en l’au-delà, savoir ce qui se passe APRES aide grandement.

En fait ceux qui partent, partent juste dans le monde invisible qui est avec nous et non pas au ciel. Dès qu’ils cessent de respirer, leur âme sort par le petit trou qu’ont les bébés à la naissance appelé: fontanelle. Ils voient leur vie défilée et bien souvent ils ont l’impression qu’ils n’ont pas fait grand chose sur terre, qu’ils n’ont pas été utiles etc… Ils entendent les voix des guides de la 5ème dimension qui les guident et leur famille céleste, c’est à dire toutes les personnes qu’ils ont aimé et apprécié plusieurs vies durant, sont là pour les accueillir avec joie et amour. Et il y a parmi eux, notamment pour les enfants ou veufs et veuves, l’âme des parents ou de l’époux et épouse. Ces âmes sont un lien très fort qui fait grand bien à celui qui est parti et lui permettent d’atténuer ses peines. Il est donc moins en souffrance que les incarnés qu’il a quitté. Il a alors comme toujours mais plus nettement un lien avec les âmes de l’au-delà de ceux qu’il a aimé et un lien avec ceux restés dans la matière. Sachant que ces âmes ont l’aspect physique de leur vie d’avant jusqu’à ce que leur personnalité soit construite sur terre, après elles nous ressemblent quand nous étions jeunes (17-30 ans) Mais dans l’au-delà, on sait de suite à qui on a à faire, même si c’est une très lointaine connaissance.

Cela se passe ainsi dans le meilleur des cas, car ce n’est pas ainsi pour tout le monde, les traumatisés, les perturbés, les athés purs et durs, les gros matérialistes, les suicidés, les tueurs ont plus de difficultés quand ils arrivent dans l’au-delà.

Puis ils vivent l’instant de l’illumination qui est un état de grâce et de grande beauté, divin. Cela pour leur montrer la vie sacrée et suprême dans ce qu’elle a de plus pur et de plus beau, c’est un émerveillement extraordinaire.

Certains peuvent demander à être purifiés de leurs fautes dans l’au-delà.

Par la suite, la personne va changer d’aspect physique, elle retrouvera l’apparence de sa jeunesse entre 18 et 30 ans environ.

Dans l’au-delà nous avons tous, la partie supérieure de notre âme, appelée soi-supérieur qui nous attend, cette partie de notre âme, très active par ailleurs, a l’apparence de notre jeunesse de la vie avant celle-ci. A notre mort, elle prend l’aspect de la jeunesse de notre vie actuelle. C’est pour cela que la majorité d’entre nous a toujours l’impression d’avoir 20 ans même si elle en a 70! C’est l’âge de notre âme.

Le jour des funérailles, les désincarné(és) sont là, souvent aux côtés de leur époux(se) ou parents, ils assistent à leur cérémonie et regardent dans le cerveau des gens, ceux qui les ont vraiment aimé et apprécié.

Ce qui est sûr c’est qu’il n’y a personne dans les cimetières, ils sont toujours avec nous sauf les âmes errantes. Les cimetières sont comparables à des casses automobile, où l’on dépose notre véhicule terrestre quand il ne marche plus.

Etre incinéré, ou inhumé n’a aucune importance, le corps est vide, dépourvu de vie et de sensations!.

Le plus dur à vivre pour ceux qui deviennent invisibles, c’est quand on les oublie, c’est de nous parler par télépathie bien sûr, de nous toucher et qu’on ne les entende pas, ni ne les sente. Alors parlez-leur, dites-leur que vous savez qu’ils sont là et que vous les aimez, ce sera énorme pour eux. Vous imaginez le nombre de gens parti et auxquels on ne pense plus parce qu’on croit qu’ils ont disparu pour toujours!?. Et la peine et la grande déception pour les désincarnés qui continuent de vivre à leurs côtés?.

Pour aider ceux qui partent, de manière efficace, ceux qui font ce terrible passage de quelques minutes dans l’au-delà, si effrayant et douloureux mais qui d’après Salvadore Dali est enfantin, il faut être en paix, dans un grand respect pour leur vie écoulée et une grande tendresse. Il faut savoir que notre chagrin, notre peine profonde, leur fait aussi du mal et pompe leur énergie (l’âme est 100% énergie), en fait ça ne les aide pas à bien s’adapter à leur nouvelle dimension. Il faut donc, être le plus en paix possible, leur témoigner notre tendresse et notre amour car ils nous entendent et ils nous voient exactement comme nous le faisons.

Prier le « notre Père » ou » je vous salue Marie » apaise.

Et puis des semaines plus tard, pour leur plus grand bonheur, il faudra partager toutes joies, et la grâce d’exister, toujours dans une grande tendresse. Notre bonheur leur fait le plus grand bien!. Mais il faut savoir que les désincarnés ne vivent que dans le présent, inutile de leur demander si ils se souviennent de ceci ou de cela à travers un médium. 

Essayer de les ressentir, les tire en arrière, pompe leur énergie, il ne faut pas le faire.

Ensuite dans votre quotidien, soyez convaincus avec certitude, qu’ils sont (humains et animaux) avec vous jusqu’à la fin de votre vie et qu’ils vous accueilleront avec tant d’autres, quand vous serez de retour à la maison du Père. Accepter leur départ, passer à autre chose et avoir la certitude que la vie peut encore être belle est le mieux de tout.

Chaque fois que vous pensez à eux (humains et animaux), comme vous êtes reliés pour toujours, ils le savent instantanément et viennent à vous s’ils sont occupés ailleurs, à la vitesse de la lumière, si vous les appelez et que vous souhaitez leur parler. S’ils se réincarnent avant votre retour, la partie supérieure de l’âme qui reste dans l’au-delà et qui est reliée au cosmos et à la connaissance universelle, captera toujours vos pensées et vos appels. Vous pouvez donc, communiquer avec la partie supérieure de l’âme de la personne que vous aimez et que vous avez « perdu ».

Quelques semaines après le départ pour la maison du Père, lumière de la lumière, vous pouvez avoir des petits signes de la part de la personne que vous aimez: un oiseau qui vient souvent, une lampe qui s’éteint et qui s’allume, des chatouillis dans les cheveux, un rêve où cette personne vous parle, des frissons… Il y en a plein!!!!!!!!! Tout dépend de votre degré de réceptivité.

Je communique avec les vivants de l’au-delà depuis des années, je sais maintenant comment ça se passe. Je suis heureuse de partager cette vérité concernant la vie après la vie! Il est temps de vivre la mort autrement!!!.

Voici un joli message de départ éclairé, d’une indienne inconnue

  »Quand je ne serai plus là, relâchez-moi. Laissez-moi partir. J’ai tellement de choses à faire et à voir. Ne pleurez pas en pensant à moi.

Soyez reconnaissants pour les belles années que nous avons partagées.

Je vous remercie de l’amour que vous m’avez chacun démontré. Maintenant, il est temps de voyager seule.

Depuis mon départ, vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous serons séparés pour quelque temps. Laissez les souvenirs apaiser votre douleur.

Je ne suis pas loin et la vie continue… Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai.

Même si vous ne pouvez pas me voir ou me toucher, je serai là. Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement la douceur de l’amour que j’apporterai.

Et quand il sera temps pour vous de partir, je serai là pour vous accueillir ». 

Besoin d’aide? Contactez-moi :  contact@lacompassion.net   puis voir les soins de Chanelle à travers le monde

Cet article a été publié le 9 août, 2012 à 0 h 12 min et est catégorisé sous Comment mieux vivre un décès


16/07/2017
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la mort expliquée par l'au-delà

http://sophir.unblog.fr/2012/08/11/la-mort-expliquee-par-lau-dela

La mort expliquée par l’au-delà

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Il y a parmi nous et au-dessus de nos têtes toute une hiérarchie invisible d’êtres vivants et d’âmes qui vivent dans des au-delàs et comme nous, sur des planètes totalement invisibles à nos yeux. On appelle cela les dimensions, la terre a 10 dimensions, nous sommes dans la 3ème et au-dessus de nous, il y a les autres. La 4ème dimension est notre au-delà, la 5ème est une planète d’où venait le Christ et d’où viennent les grands magiciens de ce siècle, la 6ème est l’au-delà de la 5ème, la 7ème est une planète, la 8ème est l’au-delà de la 7ème, la 9ème est la dernière planète où nous irons avant d’aller dans la 10ème dimension qui est la dernière dimension avant la fin de vie des âmes. Avant cette vie, vous avez eu des milliers de vies (minérale, aquatique, végétale, animale puis humaine) et après celle-ci vous aurez encore des vies humaines à faire pour évoluer spirituellement. Vous êtes la somme de toutes ces vies qui constituent votre personnalité actuelle. Ainsi va la vie dans sa conception miraculeuse et divine.

Si nous acceptons les cycles de la vie et de la mort nous vivons sereinement et avec sagesse et raison notre vieillesse. A l’approche de la mort (passage de cette vie à celle dans l’au-delà) qui dure plus ou moins une heure, notre âme (fluide d’énergie) qui siégeait dans l’hypothalamus dans notre cerveau, sort par le fameux tunnel (qui est le chemin pour sortir du cerveau)  et la fontanelle (petit trou qu’ont les bébés au dessus du crâne), et la lumière que l’on voit ensuite c’est la lumière de l’au-delà. Le bilan de sa vie se fait avant la sortie de l’âme, on sait alors si on a eu une vie positive ou pas, puis vient l’illumination, état grandiose de sublimation totale de la vie, pour nous montrer comment nous devions VOIR la vie! Une fois sorti de son corps, on retrouve avec une joie immense les personnes que l’on aimait ou aimées de tous temps, pensez bien à cette joie au moment de partir. Vous pourrez aussi revoir vos animaux chéris.

Quand on sent que c’est la fin, il faut si possible être dans une grande paix et confiance, faire la paix avec tout le monde et en nous, pardonner, aller dans la paix divine, c’est très important. L’au-delà est un état invisible car vibratoirement plus élevé. Nous y restons près de ceux que l’on aime, que l’on continue de voir comme avant et d’ entendre. Nous sommes juste invisibles, plus jeunes et toujours là, bien vivants. Ceci est la vérité.

Une âme de lumière m’a dit:

« Quand on meurt, on quitte son corps, on le voit, et on est heureux de voir qu’on vit encore, on retrouve ensuite les personnes qu’on a aimé. Puis on vous voit et on vous entend tels que vous êtes réellement, comme vous vous voyez et entendez vous-mêmes. Nous sommes des corps de lumière qui tournons comme des toupies, et qui nous déplaçons à la vitesse de la lumière. Nous avons le don d’ubiquité c’est-à-dire que nous pouvons voir intérieurement plusieurs êtres  à la fois. C’est vraiment beau cette continuité.»

Les âmes n’ont pas de nom sauf le vôtre, de code, ou de numéro c’est la télépathie qui donne immédiatement le contact intérieur avec une autre personne, ou un animal… Ils se parlent en télépathie. Nous avons tous cette télépathie en nous mais les téléphones portables et autres font que nous ne savons plus l’utiliser.

Explication sur la mort, par un être de lumière de la 5ème dimension: Jaol

« Avant de mourir et quand c’est possible, il faut se laisser aller dans une grande paix, ne rien retenir, ainsi le passage se fait plus facilement. Soyez rassuré(e) la vie continue, vous allez retrouvez tous ceux que vous aimiez et vous restez sur terre près des vôtres. C’est une certitude qui vous fera plaisir.

Il faut savoir que nous avons tous un double  énergétique de nous-même (notre âme supérieure), dans l’au-delà. Ce double  a la même apparence jeune que nous avions dans notre jeunesse (17-30 ans) dans sa force la plus belle . Ce double a un esprit qui sait tout et qui est plus conscient que nous. Ce double est  un corps de particules extrêmement fines, très fluides. 

Quand on naît, l’âme de ce double se projette énergétiquement dans les particules de matière pour concrétiser notre corps. Nous sommes une projection d’énergie de notre âme supérieure(ou conscience). Cette projection se fait par électro-aimantation.

Quand on meurt, on réintègre ce double qui rajeunit notre corps 3 ou 4 jours après. Quand notre corps s’use ou que nous n’avons plus du tout de volonté (car il faut de la volonté pour vivre), et bien nous mourrons. A ce moment là, on quitte notre corps et on le voit et on voit aussi tout autour de soi comme avant de mourir, et notre famille qui nous accueille dans l’au-delà. On voit le visible et l’invisible.

L’illumination

Le passage entre les deux vies (le visible et l’invisible et de notre corps de matière à notre double) se fait d’abord par le passage « du tunnel », le fameux tunnel des NDE, qui aboutit à une lumière intense et pleine d’amour, qui est en fait, l’illumination, un état intérieur nimbé de sainteté et d’une grande beauté. Nous vivons un encensement total, on partage et ressent la vie la plus intime des fleurs, des animaux, des humains, etc.. Dans l’émerveillement et le respect. C’est sublime à vivre.  Cette illumination totale dure pendant un certain temps et peut donner la sensation d’être longue pour certains mais elle est très breve. Puis nous intégrons notre double.

Quand nous sommes dans l’au-delà, nous entendons toujours les voix des grands de la 5ème dimension que nous ne voyons jamais et  qui nous guident, et vivons un encensement total, on partage et ressent la vie la plus intime des fleurs, des animaux, des humains, etc.. Dans l’émerveillement et le respect. C’est sublime à vivre.

La sortie du corps par la fontanelle

L’âme sort de la fontanelle dans un craquement plus ou moins fort. On voit ensuite après l’illumination, notre corps « mort », et on voit et entend tout, comme avant. On se pose plein de questions car on ne se rend pas bien compte de ce qu’il nous arrive. pour certains, c’est vécu comme un rêve ou un cauchemar (Lire: Mes conversations avec l’au-delà). Plein d’âmes assistent à leur funérailles.

L’accueil de notre famille de l’au-delà

Notre famille céleste nous accueille pleine d’amour et nous conseille, il faut écouter les voix qu’on entend!!  Souvenez-vous d’écouter leurs conseils. Mais surtout on peut rester près de ceux qu’on vient de quitter ensuite. Quel bonheur de retrouver ses parents ou enfants décédés, c’est une joie incensée!!.

Le changement d’aspect physique

On change d’apparence physique quand nous réintégrons notre double par électro-aimantation,  nous retrouverons alors l’aspect physique de la plus forte période de notre vie, entre 18 et 30 ans en général. Et si nous mourrons très jeune, et bien nous reprendrons l’aspect physique de notre vie d’avant celle-ci. L’âme est une condensation d’énergie. On a toujours un cerveau et un coeur mais subtils. Quel bonheur pour les alzheimers de retrouver la mémoire, les aveugles de voir, les sourds d’entendre, les paralysés de bouger, les handicapés de marcher, les vieux de retrouver leur 20 ans!!!! C’est prodigieux!

L’aide aux nouveaux arrivés

Restera à nous donner l’énergie nécessaire pour être bien, une nième fois, dans cette nouvelle dimension, la 4ème, d’où l’importance des prières et du soutien d’amour, de respect et de tendresse des incarnés restés en 3ème dimension. Des êtres connus dans nos vies antérieures ou des parents et amis  viennent vers nous pour nous rassurer et nous expliquer ce qui se passe et nous dire d’être volontaire pour être lumineux, sinon on sera déphasé. On fait alors un effort et on décide d’accepter ce nouvel état. On est alors conseillé sur sa vie, on nous dit là tu aurais pu faire ceci ou cela car chaque seconde de notre existence est enregistrée, sans jugement ni culpabilité!!! On nous montre toutes les forces négatives et positives de notre vie. Sachant qu’il vous sera demandé, ce que vous avez fait pour les autres.

Vous pouvez rester très très longtemps dans l’au-delà si vous ne souhaitez plus vous réincarner, vous évoluerez quand même. Une demi-heure chez nous équivaut à 3 jours chez eux. Vous voyez comme ça peut être long, mais rassurez-vous, dans l’au-delà on ne vit que dans le présent.

L’engagement à faire le bien en devenant guide

Si on a pas réussi comme on le devait, notre vie humaine, alors on va agir positivement sur ce nouveau plan, en essayant de faire quelque chose de bien pour les autres. C’est par exemple, le rôle des guides ange gardien qui nous suivent tous les jours!. Dès que le choix est fait de guider quelqu’un, on leur recommande alors une personne incarnée de mêmes ondes qu’eux, et leur travail consistera à l’aider dans sa mission terrestre. Il fait d’abord un essai, il regarde vivre la personne incarnée et quand elle manque d’énergie, il lui envoie de l’énergie simplement en la regardant, cela se fait naturellement.

L’au-delà

L’au-delà qui est un état, pas une planète, est avec nous, à notre niveau. C’est là que nous allons quand nous mourrons. Nous serons alors dans un des 3 états possibles:

Le bas astral est un état intérieur de l’âme concernant les gens qui ont un mental difficile et qui font du mal.

Le moyen astral est un état intérieur de l’âme, plus pur et plus évolué.

Et l’astral supérieur est l’état intérieur des âmes très lumineuses et pures.

Le but étant d’évoluer suffisament pour passer à l’état de l’astral supérieur. On peut alors voir notre monde comme un monde merveilleux si l’on est soi-même très lumineux. L’au-delà est un état où il y a toujours une lumière qui ne fait pas d’ombre, appelée soleil vrai, le noir n’existe pas. ll faut absolument être en paix au moment de mourir, et essayer de ne pas avoir peur de mourir car en fait, ce n’est rien. Après on garde notre nature et notre caractère. Dans l’au-delà il y a des joyeux comme des moroses, des intelligents et des ignorants, des lumineux et des très ténébreux… comme ici!. Mais nous ne voyons que les êtres que nous avons aimé si nous le souhaitons. Ils sont des milliards dans l’au-delà, y compris les animaux, les arbres, les plantes etc… alors heureusement qu’on ne les voit pas tous, et puis on reste en général dans l’endroit qu’on a quitté, près de ceux que l’on a aimé. Il peut y avoir dans une même maison 2 ex maris d’une femme qui sont avec elle, sans qu’ils se voient.

Le karma

Il faut penser aux répercussions suite à nos actions. C’est une loi universelle qui dit: Tu es responsable de tes actes en raison de la loi de cause à effet ou karma. La vie est un combat qui nécessite de la bonne volonté, du courage, de la détermination à vouloir être bien en soi, d’avoir le désir de bien faire et d’aider les autres. Il faut accompagner sa vie et la redresser chaque jour dans le sens positif. Sinon, on le paye dans les vies futures.

Un autre témoignage 

« Même quand on meurt par accident, c’est que notre programme a été rempli et qu’on ne peut aller plus loin. La mort n’est pas prédestinée, elle peut être douce ou tragique, tout dépend de la personne. C’est une question de force intérieure et de souffrance individuelle. Si vous êtes dans une grande sérénité intérieure, confiant dans la vie de l’au-delà, les forces vitales  se défont tout doucement et vous partirez simplement comme si vous sortiez d’un gant. De l’autre côté nous nous retrouvons à l’intérieur d’une forme (le fameux double) qui ressemble à celle que nous avions sur terre et tout à coup nous voyons des êtres venir vers nous. Ils nous montrent tout ce qu’il y a de grand, de beau, et de merveilleux sur la Terre. Soudain, nous voyons avec un regard totalement différent et nous nous sentons ridicules d’avoir vécu notre vie d’homme petitement, enfermés dans notre égo, concentrés sur nos petites histoires terrestres personnelles. Tout devient immense! splendide! spirituel! J’ai du mal à trouver les mots pour vous l’expliquer. De l’autre côté, où résident les bons et les mauvais comme nous, l’obscurité n’existe pas, c’est au contraire la grande lumière!. On voit très clairement et il n’y a plus l’ombre d’une difficulté. Nous sommes, quand nous sommes des âmes lumineuses, dans la joie et le bonheur et nous apprenons et voyageons. N’ayez pas peur! Nous ressentons juste une petite détresse lorsque nous voyons le désespoir de ceux que nous quittons. Nous avons envie de rester avec eux. Nous voulons communiquer avec eux mais ils n’entendent pas ce qui est dur à vivre souvent. Sinon, nous sommes dans une grande fête intérieure, tout est clair, parfait. Nous devenons comme un faisceau lumineux ardent, conscient des forces de la vie autour de nous mais nous n’y participons plus. Les êtres que nous accueillons sont immédiatement dans la Lumière. Quand nous sortons du corps, nous échappons au phénomène d’attraction et de répulsion terrestre. Notre corps est devenu spirituel et ce n’est plus du tout pareil. Ce qui est difficile dans la vie terrestre c’est de faire mouvoir la matière. Si vous quittez la terre avec un mental lumineux et paisible, vous vivrez les premiers mois de votre arrivée dans le bonheur, si vous êtes défaits intérieurement ou traumatisés ce sera plus dur et plus long avant de vous en remettre. (voir témoignage d’Anne Franck). Le moment le plus difficile est celui où nous sortons de notre tête, instant que nous vivons comme un arrachement, mais une fois libéré on est heureux!. Soyez calme et tranquille. Si l’on meurt dans des tragédies, on remonte vers Dieu avec des petits noeuds, et quand on repart sur la Terre, à la naissance suivante, on retrouve le même bilan intérieur noué car on revient toujours avec les références bonnes ou mauvaises de notre dernière vie. Ceux qui partent dans la sérénité renaissent, au contraire comme une fleur!. Les êtres peu évolués ne cherchent pas à s’élever intérieurement et stationnent près de leur corps. Nous essayons de leur parler mais comme ils sont terriblement attachés à ce qu’ils viennent de perdre, ils n’arrivent pas à libérer leur esprit. Ceci est une phase momentanée. A l’instant où l’être humain sort de son corps, son cerveau se met à bouillonner, le film de son passé défile avec tout ce qui lui est arrivé sur Terre, toutes les émotions qu’il a eues, aussi est-il parfois sens dessus-dessous. S’il a été limpide tout se passe paisiblement. Sinon, la personne prend tout à coup conscience de ce désordre, essaye de se rassurer, en s’apercevant qu’elle a fait plus ou moins n’importe quoi. Les forces de la personne luttent au milieu d’informations qui sont relancées et qui ne trouvent pas le repos (le fameux tunnel). Il faut un certain ensuite pour que la personne trouve la paix. Ma mère a mis 9 ans, 9 ans de repos et yalla! Elle est repartie de manière magnifique! 3 jours chez nous équivaut à peu près à 15 jours chez eux.

En partant, dites: « Merci mon Dieu, reprends-moi. » Détendez-vous si vous le pouvez et laissez vous accueillir par votre famille céleste, aider et guider par les voix que vous entendrez en allant vers la lumière.

On dit: « Il ne faut pas déranger les morts » C’est archi faux, les forces données par nos amis ou famille sont pour nous, un grand bonheur! C’est une absurdité de penser que le contact nous dérange, au contraire, il nous donne de la joie! de la force! de la vitalité! Nous nous rechargeons grâce à vous!!. »

Ce que nous devons faire quand nous « perdons » quelqu’un

Ce qu’il ne faut pas faire c’est d’essayer de les ressentir car ça pompe leur énergie qu’on les tire à nous. Juste penser à eux, leur dire qu’on les aime et partager nos joies avec eux. Notre chagrin les rend malheureux et les épuise.

Faire un bon départ

Quelle que soit la vie qu’il a mené, quelles que soient ses erreurs, quand arrive le moment de quitter la terre, chacun peut au moins s’efforcer de partir dans un esprit de paix, d’harmonie, de réconciliation avec tous les êtres, et particulièrement avec Dieu. Dans la religion chrétienne, c’est le sens de l’extrême-onction.
L’extrême-onction, ce sacrement que le prêtre administre au mourant, est fondée sur un vrai savoir : l’état intérieur dans lequel un être humain vit ses derniers moments détermine la voie qu’il va suivre dans l’autre monde, et il joue aussi un rôle important pour sa prochaine incarnation, donc pour son avenir lointain. Ce sacrement est seulement une possibilité qui lui est donnée de quitter la terre dans les meilleures conditions, mais comme tous les sacrements il n’est pas indispensable en tant que rite. Il est destiné à aider ceux qui le reçoivent, mais chacun peut vivre ses derniers instants dans la lumière sans avoir reçu ce sacrement.

« Ce qui aide véritablement un être humain qui quitte la terre pour l’autre monde, ce sont les vertus qu’il a pratiquées pendant son existence. Alors, sachez-le, si vous avez vécu en harmonie avec l’Esprit cosmique, avec les lois de toute la nature vivante, quoi que l’on fasse de votre corps après la mort, et quoi qu’il arrive à ce corps, une lumière vous accompagnera parmi les ombres de l’au-delà. » Mickael Aïvanhov

 

 

 

Les p’tits signes de l’au-delà

Le saviez- vous?

Les âmes qui partent deviennent plus lumineuses et plus performantes ensuite, certaines ont alors des pouvoirs comme celui de se manifester par des frissons, de la chaleur, ou en ordonnant à des petits oiseaux de venir régulièrement sous nos fenêtres, ou encore ils peuvent nous envoyer un sillage parfumé. C’est le cas de Sainte Rita qui embauma tout le monastère d’un parfum de rose, à sa mort, pour exprimer toute sa bonté.

Ma mère me fait un léger gratouillis dans les cheveux côté droit pour me manifester sa présence, grand-père lui c’est sur le sommet de la tête. Vous pouvez demander à ceux que vous aimez dans l’au-delà de vous montrer par un signe distinctif leur présence. Il y a aussi des ouvrages à lire sur les nombreux signes de l’au-delà.

 Il y a assurément, pour les plus lumineux d’entre nous, de belles surprises qui nous attendent dans l’au delà!.

 N.D.E et E.M.I, témoignage

J’étais très jeune, seize ans environ quand j’ai été terrassée par une immense frayeur alors que j’étais en voiture : un accident allait se produire et j’allais en mourir : la voiture allait passer sous un camion.

Ce fut une aspiration irrésistible dans un tunnel vers une lumière comme on n’en a jamais vu, ni même pu imaginer. Pendant ce passage, j’ai vu se dérouler tout le film de ma vie, en image mais aussi émotionnellement, avec mon être tout entier, si l’on peut dire corps et âme. Je n’ai  vu et ressenti que les moments  d’amour et de bonheur, comme si les difficultés ou les souffrances n’étaient pas prises en compte, un amour inconditionnel. Au bout du tunnel resplendissait un Être de lumière d’une blancheur éclatante ; pour moi, élevée dans la religion chrétienne, j’ai pensé au Christ. J’étais dans un état de totale béatitude, submergée d’amour, de bonheur, de paix, de douceur, il n’y a pas de mots qui puissent le définir…

Puis brusquement ce fut le chemin inverse, le tunnel dans l’autre sens, la même aspiration irrésistible, la réincorporation et la grande déception de me retrouver au point de départ, dans la voiture. À ma grande stupeur, l’accident ne s’était pas produit et je n’ai toujours pas compris comment j’avais pu y échapper, une amnésie totale du monde matériel, je ne me suis jamais souvenu  comment cet accident avait été évité.  J’ai été tellement choquée que je suis restée environ dix minutes, sans pouvoir prononcer une parole, les jambes vraiment coupées, avec l’angoisse même de rester muette et paralysée. J’ai été très soulagée lorsque j’ai retrouvé mes facultés, mais mon cœur a continué vraiment  à tambouriner un long moment.

Je pense que cela a été un “ flash ” d’une extrême rapidité, de quelques secondes au plus, mais d’une telle densité et intensité  que ce que j’ai vécu me semble vraiment indicible et que je pourrais en parler indéfiniment pour essayer d’en exprimer tout mon ressenti.  Il me semble même que de tenter de décrire cette expérience risque même d’en amenuiser le merveilleux, car les mots ne suffisent pas.

J’ai été véritablement marquée et, depuis, je n’ai jamais douté de la  survivance d’un état de conscience après la mort.  Cependant ce n’est que plusieurs dizaines d’années après que j’ai appris ce qu’était une NDE, lorsque je fus accompagnante en soins palliatifs, où j’ai pris connaissance des œuvres d’ Elisabeth Kübler Ross, de Raymond Moody, de Patrice van Eersel, du Père Brune et bien d’autres encore. J’ai appris alors, que c’était ce que j’avais réellement vécu.

Jamais je n’ai eu quelque angoisse par rapport à cette expérience, je n’ai jamais ressenti le besoin d’en parler; Cependant elle m’a beaucoup interpellée et  je pense qu’elle m’a donné un chemin de vie.

J’ai été confrontée tout au long de ma vie au monde médical : J’ai fait partie d’une équipe médicale en tant que kinésithérapeute dans les hôpitaux. Par la maladie, j’ai eu l’expérience des soins de réanimation.

Cette remarque est juste pour exprimer que l’état de coma, et les effets de la morphine s’ils donnent des effets « spéciaux » Une NDE n’a rien à voir avec une hallucination, j’ai bien été au  ciel avec des nuages roses et bleus, des petits anges et un grand bien être, mais ce n’est aucunement comparable.

Ces dernières années, j’étais accompagnante de malades en soins palliatifs. Je m’occupe actuellement d’enfants cancéreux et leucémiques. Ces diverses expériences m’ont confrontée à la souffrance, la mort et m’ont interpellée sur l’après mort.

J’ai constaté que comme une EMI une agonie était propre à chacun. Chaque agonie est unique et garde son mystère et je restais très interpellée par rapport à ce qui pouvait se passer dans le cerveau, de l’état de conscience, de la limite réelle entre la vie et la mort.

Il faut noter que de telles expériences ne sont pas toujours vécues généralement lors d’arrêts cardiaques et de comas ou de mort imminente. Certaines personnes les ont expérimentées simplement après un état de choc au cours d’un accident, une immense peur comme cela s’est produit pour moi, un lâcher prise lorsqu’on a eu la certitude de se noyer ou tout simplement au cours d’une promenade tranquille dans un parc, à la terrasse d’un café, ou encore comme le raconte Erik Pigani, grand pianiste classique lors d’un concert qu’il donnait. Ce dernier explique comment pendant qu’il jouait au piano, il était sorti de son corps, était passé dans la lumière et avait fait une expérience d’illumination magnifique. Lorsqu’il était revenu dans son corps, il avait terminé son morceau, mais il n’avait plus le souvenir de l’avoir joué ; il a été constaté que la qualité de l’interprétation avait été supérieure.

Les chercheurs comparent souvent ces expériences à des hallucinations produites par un traitement pharmacologique ou différentes drogues.

J’ai été moi-même en réanimation plusieurs semaines et si j’ai vécu des phénomènes paranormaux, il n’y avait aucune mesure avec un ressenti de NDE.

J’ai reçu une forte dose de « morphine » et effectivement je me suis retrouvée au-dessus de mon corps dans un état de bien-être total, entourée de lumière et d’anges emplis d’amour et de bonté, mais il n’y avait absolument pas cette sensation que tous les témoins affirment être « indicible » ou « ineffable », qui  marque pour le restant de ses jours.

Le suicide

Il est formellement interdit de se suicider.

Les gens qui se suicident arrivent presque toujours dans l’au-delà complètement défaits et il leur faut des mois, voir des années à s’en remettre.

Les envies suicidaires sont très souvent d’origine karmique, les mémoires de suicides ou de traumatismes de vies antérieures remontent à la surface dans des périodes critiques de l’existence et redonnent à la personne ce même désir ou le bouleversent complètement. Parfois les karmas sont tellements lourds (assassinats et ou suicides et ou viols et ou rejets et ou abandons dans plusieurs vies antérieures) que c’est très difficile à soigner. Mais en général les dépressions conduisant au suicide sont soignables à condition que la personne participe avec volonté pour s’en sortir.

Les pratiques hospitalières pour traiter les grosses dépressions sont désastreuses, les électrochocs lésent les neurones et affectent la mémoire, rendant alzheimer certains sujets. Il ne faut jamais en faire, c’est une catastrophe pour le cerveau. Les médicaments rendent les gens végétatifs incapable de volonté et de décision sur leur triste sort, ils se retrouvent à la merci d’une équipe de soignant ignorant que le mal des patients est karmique et que ce n’est qu’un magnétiseur qui peut les soulager et non des somnifères ou des anti-dépresseurs.

Pour éviter d’en arriver là, il faudrait procéder à un nettoyage karmique dès la naissance ou dès les symptômes alertants, et consulter un magnétiseur comme moi qui soigne les dépressions par le magnétisme.

Comprenez que l’origine du mal vient de nos vies antérieures, assistez toujours les personnes en détresse, rassurez-les en leur disant que ce sont des mémoires antérieures qui remontent, qu’il ne faut pas se focaliser dessus mais au contraire, ne pas y penser, être volontaire pour s’en sortir en se faisant aider, par un magnétiseur, une sophrologue, un kinésiologue, une psychologue etc…mais évitez l’hospitalisation.

Qu’est-ce qu’on fera quand on sera mort? bonne question n’est-ce pas?

Comme la mort n’est qu’un passage vers une autre vie, on a donc encore beaucoup de choses à vivre. Mon ange gardien (qui n’a pas d’ailes bien sûr) m’a dit ceci à ce sujet:

« Cela dépend de chaque individualité et de son évolution passée. Suivant cela, après notre mort et quand on  a un esprit clair, on voit immédiatement sa famille restée sur Terre ou les êtres chers des derniers moments. On sonde alors souvent le jour de notre enterrement, l’esprit de ces personnes pour savoir si elles nous ont aimé autant qu’on les a aimé. Selon la réponse, et si on est assez fort, on va se demander si on peut aider une personne qui nous était chère, et si on peut l’aider on restera près d’elle pour le faire, mais si on s’aperçoit qu’elle ne nous aimait pas et bien on peut décider de la quitter définitivement. On peut ignorer les choses et les êtres qui ne nous intéressent pas. On retrouve aussi les gens que l’on a aimé dans cette vie et dans d’autres, dans l’au-delà et quand on est rassuré dans ce nouvel espace, on se demande alors ce qu’on va bien pouvoir y faire. Et là, tout d’un coup, les choses s’ouvrent et il nous arrive un flot d’idées!!!. Suivant ses propres aptitudes, joies et intérêts on fait ses choix. Puis ensuite, on s’installe dans ces références en essayant de les prendre de A à Z. On commence donc à s’initier en cherchant parmi les humains, les personnes qui ont ces aptitudes communes. Par exemple, si on souhaite devenir chirurgien et bien nous irons observer un chirurgien et apprendre le métier de cette façon. On se dit alors: »Est-ce que je suis capable de faire ça dans ma prochaine incarnation? ». Certains étudient plusieurs disciplines à fond. D’autres restent près de leur famille car c’est toujours ce qui réchauffe l’âme. La plupart du temps on essaye d’aider les êtres chers en leur donnant des motivations et de l’énergie.

On a aussi des merveilles à découvrir car à chaque instant, notre regard sait apprécier la vie parce qu’on la ressent pleinement. On a l’impression que notre énergie explose de bonheur dans un gloria avec la plus petite chose regardée. On a l’impression d’être le frère de cette chose ou de cet être, de partager son ressenti, son être.

On voit vivre les humains et quand quelque chose ne nous plaît pas on part immédiatement vers autre chose sachant qu’on se déplace à la vitesse de la lumière.

On peut aussi faire les voyages que l’on veut sans se déplacer, on en a la vision grandeur nature.

On est toujours dans la lumière, le noir n’existe pas mais les âmes en souffrance sont dans une sorte de brume.

On peut plaisanter et discuter télépathiquement avec nos bons amis et les gens qu’on a aimé. On peut se reposer. Mais il y a des codes et des engagements à respecter quotidiennement pour l’évolution de l’âme.

Un autre côté positif de l’au-delà, c’est qu’on est au courant de tout immédiatement. Et si on pose une question on a immédiatement la réponse qui vient des grands de 5ème dimension qu’on entend mais qu’on ne voit pas.

Pour les êtres de l’au-delà tout est positif, ils savent que tout est important et que rien n’est négatif.

Le temps est très différent, plus long et plus tranquille. On a le temps de faire tout ce que l’on souhaite, calmement et on ne vit que dans le présent c’est pour cela qu’ils ont du mal à se remémorer certains souvenirs. Ils sont obligés d’aller voir dans les annales akashiques pour nous répondre

On a un corps qui a l’apparence de celui des incarnés car dans l’au-delà il y a de la matière mais elle est tellement subtile et la vibration tellement! tellement plus élevée qu’on a une apparence recomposée d’après l’âge dans lequel on était le plus fort dans sa dernière vie. Environ 20-30 ans.

Pour être bien dans l’au-delà, il faut arriver en paix, et être ensuite volontaire pour y vivre tout ce qui est possible d’y vivre, il faut être dans un bon état d’esprit, ce n’est malheureusement pas le cas pour tout le monde. « 

Nous venons ici de parler d’un départ normal dans l’au-delà mais il faut savoir que les âmes traumatisées comme celles qui ont vécu des tsunamis, tremblements de terre, les camps de concentration ou une mort tragique arrivent dans l’au-delà tellement choquées, terrifiées et traumatisées qu’il est dans cet état, impossible de les aider. Par contre, on leur envoie des forces pour que leur temps de souffrance leur paraisse un peu moins long. Elles peuvent rester ainsi, en détresse des mois voir des années. Mais dès qu’elles tapent du pied pour repartir en avant, alors là, on peut les aider et elles vont mieux. Sinon, elles ont l’impression de vivre un cauchemar sans fin. Et les âmes aidantes de l’au-delà doivent conserver leur énergie c’est pour cela qu’elles désertent ces âmes en souffrance extrême au moment des drames, parce qu’elles leur pomperaient toute leur énergie.

Une âme choquée ne peut pas être aidée, il faut qu’elle s’apaise pour recevoir. Toutes les âmes interrogées disent la même chose.

« Comme vous j’ai eu peur d’elle, j’ai douté, mais là je ne doute plus du tout!! Après plusieurs années de conversations avec les belles et aimantes âmes de l’au-delà, je sais maintenant que mourir n’est qu’un petit passage vers la 4ème dimension, globalement plus douce et plus belle et spirituelle que la nôtre. Si je peux vous communiquer à travers ce blog tous mes enseignements, toute ma connaissance, pour parvenir à vous rassurer, à vous enlever tout doute et peur, alors j’aurais accompli un merveilleux travail. » Chanelle

Il est grand temps d’apprendre à mourir, à l’aube de l’ère spirituelle du Verseau. 

Besoin d’aide? Contactez-moi :  contact@lacompassion.net   puis voir les soins de Chanelle à travers le monde

Cet article a été publié le 11 août, 2012 à 22 h 40 min et est catégorisé sous La mort expliquée par l'au-delà

 


16/07/2017
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les schèmes

 

pas beaucoup d'articles sur ce sujet :

 

voici un extrait de Frantz Bardon que vous pouvez lire en entier sur cette page : 

 

http://users.skynet.be/Aranan/download/livres/LCVIM.pdf

 

 

IMG_0342 schème.JPG

 

voici un extrait de Frantz Bardon que vous pouvez lire en entier sur cette page : 

 

http://users.skynet.be/Aranan/download/livres/LCVIM.pdf

 

 

et aussi :

 

 

Qu'es ce qu'un schème?

Les larves se situent sur un plan astral (émotionnel), les schèmes sur un plan mental (pensées).
Si l'un se forme sous l'influence de l'émotion répétée, l'autre sous l'influence d'une pensée, ou d'une structuration mentale répétée.
Exemple : je pense tous les jours que je suis une personne positive, avec des pensées positives, j'induis d'une part la structuration mentale, d'autre part à terme je peux produire un schème qui m'incite dans un auto-renouvellement de mes pensées à cet objectif (le pendant négatif est bien entendu possible).

C'est à la fois une forme de cristallisation de notre personnalité, qui par extension peut se développer en part de soi, sur le plan de la psyché et du corps mental. Ces schèmes peuvent être des forces, comme ils peuvent tout à fait se retourner contre nous-même.


Quand un schème devient négatif?

L'un des exemples les plus illustratifs : "les fameuses parts sombres de nous-même".
Je ne traite pas ici de l'inconscient ici, chaque personne a différentes facettes dans sa personnalité, et il peut arriver que dans une dichotomie majeure entre ce qu'il veut être et ce que certaines parts de lui sont entraine une forme de cission qui engendre le schème.
Ainsi la part non-voulue de l'être se retourne contre la personne, pouvant aller jusqu'à se détacher (donne une impression de fracture sur le corps mental, ou d'ajout sur celui-ci) et engendrer des attaques, sur le plan de la pensée chez la personne concernée.
-> pensées répétées, en incohérence avec la façon dont la personne se perçoit, pouvant engendrer des états dépressifs, incapacité à sortir d'un schéma mental, fracturation psychique.
Attention : cela ne justifie pas l'absence de prise en charge médicale (physique, psychiatrique, psychologique). Ces manifestations sont généralistes et pas forcément induites par un schème. D'un problème psychiatrique peut découler un schème, ce n'est pas l'évacuation de celui-ci qui soignera la personne.


Le schème : "masque" énergétique :

Poussé au paroxysme, le schème peut induire en erreur la perception que l'on a d'autrui.
(Attention, le schème ne doit pas être confondu avec d'autres effets énergétiques pouvant engendrer le même résultat)

Pour prendre l'exemple le plus basique, quand une personne a une part d'elle-même "obscure" (au sens de capacité à volontairement engendrer le chaos pour le plaisir du chaos) qui se retourne contre elle-même, les énergies générées peuvent créer comme un "masque" sur celle-ci donnant la sensation de rencontrer une personne "démoniaque", un "démon incarné", le "mal manifesté". Alors qu'en réalité, c'est une personne douce, normale, sans aucun souci, et qui n'accepte juste pas cette part d'elle-même.
Il est ainsi perçu comme un "masque" qui se superpose à la perception globale de l'être. Et pour les personnes douées dans la capacité à se cacher, ou à ne présenter qu'un aspect d'eux, le schème est ainsi un atout.
La nuance avec la larve, c'est que le schème rejoint un quasi statut d'égrégore/élémental, au sens où il peut être nourri des projections des autres, quand le schème nous échappe.
Exemple : je projette volontairement qu'un seul aspect de ma personnalité dans l'administration de ce forum. Les gens projettent des éléments annexes et me cataloguent à partir de ce qu'ils perçoivent, ils nourissent ce schème, qui pour autant ne me défini pas, créant ainsi un intermédiaire entre mes énergies mentales et eux. Le "masque" m'échappe, et ce que je suis n'est plus défini par les énergies du schème associé à mon pseudo.

Donc oui, le schème peut être une problématique perverse de la perception médiumnique, autant que du rapport personnel à son acceptation. L'introspection est ainsi toujours à écrire en gros, gras, sur votre frigidaire.

Il est néanmoins moins facilement perçu que la larve, parce que les énergies du plan mental sont moins évidentes dans un développement naturel de la médiumnité.


Se débarrasser d'un schème?

Tout comme pour celle-ci, certaines personnes ont plus de facilité à produire des schèmes, ou peuvent être dans des moments de leur vie où par des fragilités ils peuvent y être plus prédisposés (deuil, dépression, choc...). Il est important de ne pas juger du schème en soi, mais de le prendre en considération dans un contexte.
Il peut aussi être imbriqué avec une problématique de larve (et c'est la plupart du temps le cas) et donc ne doit pas être traité de façon seule, tous ses aspects sont à considérer.
Il recquiert bien entendu que la personne travaille sur son acceptation, sur sa compréhension de soi, pour que le schème ne se reproduise pas, une fois dégagé ou retiré.

En terme technique, c'est comme la larve, mais à travailler sur un plan mental (une bonne connaissance de ce type d'énergies est ainsi un atout) :
Entre en considération :
le rituel de renvoi à la terre (de façon quotidienne)
la purification (par décharge) (pour un besoin spécifique, idéalement répété)
- le dégagement (par vous-même ou par autrui)

Mais :
- si la source du schème est toujours entretenue, autant dire que toute la purification du monde ne sera qu'une éternelle partie de cache-cache. Outre le ménage, la prise de conscience du mécanisme de formation est nécessaire pour ne pas que se reproduise sa formation.


Bien à vous, Hagel

 

 

pour le rituel ou purification : cliquez sur le lien

 

http://equinox.over-blog.net/2014/10/les-schemes.html

 


15/07/2017
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