La mort : un déplacement de la conscience au delà du mur de lumière
J'adhère à cette hypothèse, ayant expérimenté et donc vu cette lumière
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La grande intuition de Régis et Brigitte Dutheil est d’associer l’existence de l’univers
superlumineux aux propriétés de la conscience humaine. En fait, pour eux, l’univers
superlumineux est l’espace propre de la conscience humaine.
Dans l’univers superlumineux la causalité n’existe plus et l’entropie diminue, c’est-à-dire que
l’ordre et l’information augmentent sans cesse. Le principe d’information maximum remplace
le principe de causalité qui est la loi implacable de notre univers sous-lumineux. Considérant
les caractéristiques des particules de l’univers superlumineux, Régis Dutheil avance
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Conscience et Lumière spirituelle
l’hypothèse suivante : « la conscience est une substance matérielle qui est formée de matière
superlumineuse, elle est formée d’un champ de matière tachyonique, c’est-à-dire de particules
superlumineuses situées au-delà du « mur de la lumière », et associées à un espace-temps dont
les propriétés spatio-temporelles sont radicalement différentes de celles que nous connaissons.
D’après cette hypothèse, chaque être vivant porterait, abriterait en son sein, une partie, une
parcelle de l’univers superlumineux qui, avec son champs de matière superlumineuse aux
propriétés inhérentes, représenterait la conscience véritable. La propriété de cette conscience
superlumineuse serait d’être en quelque sorte de l’information et de la signification à l’état
pur. Le temps vécu par la conscience superlumineuse totale ne s’écoule plus, c’est un temps
spatial. La conscience superlumineuse totale possède donc deux propriétés essentielles : elle
est information pure et instantanéité ».
A partir de cette hypothèse aussi audacieuse qu’ingénieuse, l’édifice théorique se déploie
harmonieusement et parvient à englober dans sa sphère d’explication de nombreux
phénomènes relevant des expériences paranormales (synchronicités, précognition, télépathie),
et des états mystiques (illumination intérieure, fusion avec le Tout, connaissance intégrale).
L’implication majeure de cette hypothèse est que la mort d’un être humain ne représente en
fait qu’un simple « déplacement d’existence ». Le modèle superlumineux de la conscience
débouche logiquement sur la physique du transfert de la conscience ordinaire (souslumineuse)
vers un mode d’existence situé au delà du « mur de la lumière ». La mort n’est
qu’un déplacement et un élargissement, marqué par le retour de la conscience à son « lieu »
d’origine.
ps : Lyne
je rajouterai comme un retour chez soi, que je connaissais déjà, c'est vraiment l'impression que j'ai ressentie
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